Un tour au ciné x
Récit érotique écrit par Lousouleil13 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-03-2022 dans la catégorie Plus on est
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Un tour au ciné x
Je ne cesse de penser à notre histoire au sex shop. Françoise, ma maîtresse, est ravissante. Son exhibition récente dans un sex shop, avec ses larges fesses, ses seins lourds et engageants, sa chatte lisse et accueillante, sa façon de sucer, de gober les queues à outrance me revient à l'esprit. En rêver est devenu ma drogue. Je suis vraiment impatient de la retrouver.
Cela fait quelques jours qu’elle est absente. Pendant ma masturbation quotidienne dans mon lit, j’entends un bip sur mon portable qui m’avertit que j’ai reçu un sms. Je détache mes doigts de ma queueenflée pour saisir le portable. C’est justement Françoise ! Elle m’apprend que son ami septuagénaireest parti chez un copain pour l’aider dans ses travaux de peinture et qu’elle est disponible pour moi. Je n’hésite pas une seule seconde et lui envoie rapidement un sms pour lui dire que je l’attends en début d'après-midi.
J’ai déjà prévu quelque chose pour nous, elle ne le sait pas encore. Je pense qu’elle acceptera.
Elle arrive dans un chemisier blanc transparent à motif qui laisse voir ses énormes seins attirants,ils sont en forme de poire, bien denses et les tétons dressent. Elle porte aussi une jupe courte à carreaux qui tombe sur des bas. Elle a aux pieds des escarpins. Tenue appropriée pour aller là où je veux l’emmener. Son visage me présente un sourire dévastateur. Après de chaudes embrassades, je lui fais ma proposition.
- Si nous allions dans un cinéma x aujourd’hui. Il est 14H30. Le film que j’ai sélectionné passe à 15h et finit à 17h. Nous sommes dans les temps.
Comme à l’accoutumée, elle ne refuse pas.
- Quelle en est le titre ?
- Sois sage coquine, patiente un peu et tu sauras.
- Ben, cela promet, je commence déjà à frémir.
Nous partons en voiture. J'aimerais bien qu'elle s'occupe de mon sexe qui est bien à l'étroit dans le pantalon. Non, je reste raisonnable. Et nous arrivons. En achetant les billets, je vois la caissière qui jette un regard sur les seins de Françoise qui ballottent quand elle marche. Elle a unsourire coquin. Nous nous installons au milieu d'une rangée, confortablement, dans des sièges basculants. Il me semble, dans cette salle obscure, ne distinguer qu'une dizaine de têtes qui dépassent des dossiers. Donc peu de monde.
Je vois un homme qui a à peu près 35ans s’assoir juste à côté de Françoise. Je ne suis pas surpris du tout. Françoise a tout pour attirer les hommes. Assise, sa jupe s’est raccourcie, elle s'arrête àla limite des bas auto fixants. On distingue une bande de peau nue des cuisses. et ses jambes appellent à la dépravation. Son maquillage séduit. Et enfin ses opulents obus qui se voient bien carle chemisier est assez déboutonné ne sont qu’une attraction en plus pour séduire n’importe quel homme.
Après les publicités, le film commence. Françoise ouvre grand les yeux, ignorante du monde bdsm, c'était ma surprise, un film mettant en scène une femme soumise. Je regarde ses réactions. Elle semble étonnée, intéressée aussi, donc j'espère ouverte et aimant la découverte. Mes yeux circulententre l’écran, Françoise et le mec à ses côtés. Je n’en perds pas une du ménage qui s’opère.
L’homme a la chemise ouverte et il dévoile un torse très poilu. Il place sa main sur la cuisse de macomplice et pose la main de Françoise sur son torse. Il commence à promener ses doigts le long de lachair tendre. Je m’aperçois que Françoise n’y est pas insensible. Elle ouvre petit à petit ses jambes dévoilant sa culotte, tout en caressant de ses doigts la toison qui pousse sur les seins de l'homme.
L’homme en profite pour glisser ses doigts sous le tissu et la doigte doucement, je perçois le bruitd'une fente humide. N’étant pas avare de plaisirs, Françoise lâche les poils de l'inconnu et se tourne vers moi, tout en se laissant caresser son intimité. Elle m’ouvre la braguette et en sors maqueue déjà en bonne forme. Moi-même je sors ma langue et la balade autour des lèvres de Françoise, puis je la plonge dans sa bouche et l’enroule autour de la sienne.
Elle se penche pour me sucer la bite doucement. Ma tige est dressée comme un i. Sa bouche est chaudeet s’enfonce jusqu’à mes burnes, montant et descendant, parfois me la serrant fort entre ses dents.
Pendant ce temps, l’homme continue de la palper, il s’autorise à masser ses seins d'une main, à lesmalaxer, après lui avoir ouvert le chemisier et avec son autre main , il active ses doigts dans lachatte humide. Je la sens au bord de l’extase comme moi d’ailleurs. Les séquences du film ont sûrement accentué son excitation car je la vois pousser de timides gémissements, je sens qu'elle seretient pour ne pas crier.
Maintenant, le film affiche une soumise menottée aux barreaux d’un lit. Son dominant la fouette surle dos. Il passe ses lanières entre les cuisses, la traite de salope, puis lui enfonce le manche lisse dans la chatte. Je constate que Françoise n’en peut plus. Elle est dans tous ses états. Elle s’enfonce dans le siège et jouit. Au même moment, je décharge dans sa bouche. Elle avale mon sperme,sous le regard comblé de l'homme.
Pour clore nos ébats, je finis par l’embrasser une nouvelle fois avec toute l’intensité qu’elle m’inspire et nous poursuivons la vision du film, les trois, côte à côte. A la fin du film, le jeunehomme nous demande nos coordonnées dans l’espoir d’aller plus loin avec Françoise mais je refuse catégoriquement. Je ne suis pas contre pour partager mais pas avec n’importe qui.
A la sortie du cinéma, nous flânons et nous nous promenons vers le centre ville quand j’aperçois unparc un peu isolé.
- Et si nous faisions un pause ?
Elle devine mon arrière pensée, la pause n’est pas si sage que cela.
- Sans souci, surtout que je suis un peu fatiguée.
Le parc est orné de part et d’autre d’arbres, des platanes je suppose. Au milieu une fontaine trône,et un peu plus loin, à l’abri des regards indiscrets, il y a une petite portion de pelouse sur laquelle, dans le coin, un long et fin cyprès est planté.
- Tiens donc, il tombe bien cet arbre. Allonge-toi en prenant appuie avec ton dos sur le tronc, tu seras bien.
Elle s'étend, je m’allonge devant elle. Je relève sa jupe et descends sa culotte pour manger sa chatte, la faire dégouliner de plaisir et ouvrir en grand la porte vers la luxure. Les paupières mi-closes , Françoise est en extase. Elle aime quand je la lèche. Je me lève alors et lui demande de se mettre à quatre pattes, les fesses à l’air. Derrière moi, je discerne un voyeur, sûrement un ouvrier car il porte une salopette. Il a le regard insistant vers nous. Son bleu de travail signaleune grosseur au niveau de son sexe.
Je lèche l’anus et la chatte de Françoise pour la mettre en condition et entame une petite fessée dema main pour voir sa réaction. Elle semble aimer, elle émets des gémissements.. Curieux de découvrirjusqu’où elle est capable d’aller, je fais signe avec le doigt à l’ouvrier de nous retrouver. Il en profite pour vite se rapprocher. De suite il tombe son bleu de travail et apparaît dans son plus simple appareil, il n'avait ni slip ni chemise. Le torse est entièrement poilu, ses pectoraux sont saillants et ses abdos digne d’un culturiste. Son sexe est moyennement long mais très épais et ses grosses couilles sont recouverts par une quantité impressionnante de poils. On dirait un singe tellement il a de poils, même son dos en possède. Je m’étonne même de cette énorme quantité car j’enai aussi mais je pense juste ce qu’il faut sur le torse, un peu sur les couilles mais mon dos est glabre comme une femme.
Enfin, peu importe, l’ouvrier s’occupe déjà du cul de Françoise, il l’a doigte avec son majeur, puisl’accompagne de son index. Elle remue dans tous les sens. Il s’accroupit ensuite sur les genoux, luiprodigue un doux et long annulingus pour mieux la pénétrer par la suite et en y allant doucement.
Il rentre en elle facilement elle est bien lubrifiée. Il accélère ses allers et venues et très viteje constate leur jouissance mutuelle qui est brutale, bestiale même.
Pendant que l’ouvrier s’habille, je lave le corps de Françoise avec ma langue et la rhabille aussi.
Avant de partir, je laisse mes coordonnées à l’ouvrier et lui annonce que s'il a envie de se joindreà nous un jour, il n’y aura pas de problèmes dans la mesure de nos disponibilités.
Je crois que cet homme a bien plu à Françoise, alors pourquoi s'en priver.
Ensuite, j’ordonne à Françoise de se mettre à genoux, le visage devant ma bite enflée, et je lui glisse ma pine dans la bouche. Après une longue fellation, je la stoppe dans sa gourmandise car je ne veux pas jouir. Je rentre mon engin très dur, excité, dans le pantalon, la prend par la main et l’emmène une nouvelle fois au sex-shop où nous avions acheté récemment une belle robe d'été, moulante, courte et échancrée, qu'elle n'a même pas encore portée. Il faudra que je lui propose de la mettre pour une de nos prochaines sorties.
Pendant notre parcours, je lui explique que j’ai vu son excitation devant le film et que j’aimeraislui faire découvrir le rôle de soumise et pour cela, on a besoin d’articles bdsm.
A l’intérieur du magasin, nous saluons Julien, heureux de nous retrouver. On lui expose notre envie.
Il nous dirige vers un rayon spécialisé en bdsm. Nous apercevons divers articles, des plus softs au plus hard. Nous choisissons des menottes et un fouet. Pour la première séance, il est important de s’y prendre doucement. Et puis, je suis loin d’être une brute incompréhensive.
Quel que soit le chemin emprunté, la patience, la communication, la confiance et la complicité sontprimordiales et avec Françoise nous partageons sans effort ce principe.
C'est donc avec de nouvelles idées dans ma tête que nous quittons le magasin.
Cela fait quelques jours qu’elle est absente. Pendant ma masturbation quotidienne dans mon lit, j’entends un bip sur mon portable qui m’avertit que j’ai reçu un sms. Je détache mes doigts de ma queueenflée pour saisir le portable. C’est justement Françoise ! Elle m’apprend que son ami septuagénaireest parti chez un copain pour l’aider dans ses travaux de peinture et qu’elle est disponible pour moi. Je n’hésite pas une seule seconde et lui envoie rapidement un sms pour lui dire que je l’attends en début d'après-midi.
J’ai déjà prévu quelque chose pour nous, elle ne le sait pas encore. Je pense qu’elle acceptera.
Elle arrive dans un chemisier blanc transparent à motif qui laisse voir ses énormes seins attirants,ils sont en forme de poire, bien denses et les tétons dressent. Elle porte aussi une jupe courte à carreaux qui tombe sur des bas. Elle a aux pieds des escarpins. Tenue appropriée pour aller là où je veux l’emmener. Son visage me présente un sourire dévastateur. Après de chaudes embrassades, je lui fais ma proposition.
- Si nous allions dans un cinéma x aujourd’hui. Il est 14H30. Le film que j’ai sélectionné passe à 15h et finit à 17h. Nous sommes dans les temps.
Comme à l’accoutumée, elle ne refuse pas.
- Quelle en est le titre ?
- Sois sage coquine, patiente un peu et tu sauras.
- Ben, cela promet, je commence déjà à frémir.
Nous partons en voiture. J'aimerais bien qu'elle s'occupe de mon sexe qui est bien à l'étroit dans le pantalon. Non, je reste raisonnable. Et nous arrivons. En achetant les billets, je vois la caissière qui jette un regard sur les seins de Françoise qui ballottent quand elle marche. Elle a unsourire coquin. Nous nous installons au milieu d'une rangée, confortablement, dans des sièges basculants. Il me semble, dans cette salle obscure, ne distinguer qu'une dizaine de têtes qui dépassent des dossiers. Donc peu de monde.
Je vois un homme qui a à peu près 35ans s’assoir juste à côté de Françoise. Je ne suis pas surpris du tout. Françoise a tout pour attirer les hommes. Assise, sa jupe s’est raccourcie, elle s'arrête àla limite des bas auto fixants. On distingue une bande de peau nue des cuisses. et ses jambes appellent à la dépravation. Son maquillage séduit. Et enfin ses opulents obus qui se voient bien carle chemisier est assez déboutonné ne sont qu’une attraction en plus pour séduire n’importe quel homme.
Après les publicités, le film commence. Françoise ouvre grand les yeux, ignorante du monde bdsm, c'était ma surprise, un film mettant en scène une femme soumise. Je regarde ses réactions. Elle semble étonnée, intéressée aussi, donc j'espère ouverte et aimant la découverte. Mes yeux circulententre l’écran, Françoise et le mec à ses côtés. Je n’en perds pas une du ménage qui s’opère.
L’homme a la chemise ouverte et il dévoile un torse très poilu. Il place sa main sur la cuisse de macomplice et pose la main de Françoise sur son torse. Il commence à promener ses doigts le long de lachair tendre. Je m’aperçois que Françoise n’y est pas insensible. Elle ouvre petit à petit ses jambes dévoilant sa culotte, tout en caressant de ses doigts la toison qui pousse sur les seins de l'homme.
L’homme en profite pour glisser ses doigts sous le tissu et la doigte doucement, je perçois le bruitd'une fente humide. N’étant pas avare de plaisirs, Françoise lâche les poils de l'inconnu et se tourne vers moi, tout en se laissant caresser son intimité. Elle m’ouvre la braguette et en sors maqueue déjà en bonne forme. Moi-même je sors ma langue et la balade autour des lèvres de Françoise, puis je la plonge dans sa bouche et l’enroule autour de la sienne.
Elle se penche pour me sucer la bite doucement. Ma tige est dressée comme un i. Sa bouche est chaudeet s’enfonce jusqu’à mes burnes, montant et descendant, parfois me la serrant fort entre ses dents.
Pendant ce temps, l’homme continue de la palper, il s’autorise à masser ses seins d'une main, à lesmalaxer, après lui avoir ouvert le chemisier et avec son autre main , il active ses doigts dans lachatte humide. Je la sens au bord de l’extase comme moi d’ailleurs. Les séquences du film ont sûrement accentué son excitation car je la vois pousser de timides gémissements, je sens qu'elle seretient pour ne pas crier.
Maintenant, le film affiche une soumise menottée aux barreaux d’un lit. Son dominant la fouette surle dos. Il passe ses lanières entre les cuisses, la traite de salope, puis lui enfonce le manche lisse dans la chatte. Je constate que Françoise n’en peut plus. Elle est dans tous ses états. Elle s’enfonce dans le siège et jouit. Au même moment, je décharge dans sa bouche. Elle avale mon sperme,sous le regard comblé de l'homme.
Pour clore nos ébats, je finis par l’embrasser une nouvelle fois avec toute l’intensité qu’elle m’inspire et nous poursuivons la vision du film, les trois, côte à côte. A la fin du film, le jeunehomme nous demande nos coordonnées dans l’espoir d’aller plus loin avec Françoise mais je refuse catégoriquement. Je ne suis pas contre pour partager mais pas avec n’importe qui.
A la sortie du cinéma, nous flânons et nous nous promenons vers le centre ville quand j’aperçois unparc un peu isolé.
- Et si nous faisions un pause ?
Elle devine mon arrière pensée, la pause n’est pas si sage que cela.
- Sans souci, surtout que je suis un peu fatiguée.
Le parc est orné de part et d’autre d’arbres, des platanes je suppose. Au milieu une fontaine trône,et un peu plus loin, à l’abri des regards indiscrets, il y a une petite portion de pelouse sur laquelle, dans le coin, un long et fin cyprès est planté.
- Tiens donc, il tombe bien cet arbre. Allonge-toi en prenant appuie avec ton dos sur le tronc, tu seras bien.
Elle s'étend, je m’allonge devant elle. Je relève sa jupe et descends sa culotte pour manger sa chatte, la faire dégouliner de plaisir et ouvrir en grand la porte vers la luxure. Les paupières mi-closes , Françoise est en extase. Elle aime quand je la lèche. Je me lève alors et lui demande de se mettre à quatre pattes, les fesses à l’air. Derrière moi, je discerne un voyeur, sûrement un ouvrier car il porte une salopette. Il a le regard insistant vers nous. Son bleu de travail signaleune grosseur au niveau de son sexe.
Je lèche l’anus et la chatte de Françoise pour la mettre en condition et entame une petite fessée dema main pour voir sa réaction. Elle semble aimer, elle émets des gémissements.. Curieux de découvrirjusqu’où elle est capable d’aller, je fais signe avec le doigt à l’ouvrier de nous retrouver. Il en profite pour vite se rapprocher. De suite il tombe son bleu de travail et apparaît dans son plus simple appareil, il n'avait ni slip ni chemise. Le torse est entièrement poilu, ses pectoraux sont saillants et ses abdos digne d’un culturiste. Son sexe est moyennement long mais très épais et ses grosses couilles sont recouverts par une quantité impressionnante de poils. On dirait un singe tellement il a de poils, même son dos en possède. Je m’étonne même de cette énorme quantité car j’enai aussi mais je pense juste ce qu’il faut sur le torse, un peu sur les couilles mais mon dos est glabre comme une femme.
Enfin, peu importe, l’ouvrier s’occupe déjà du cul de Françoise, il l’a doigte avec son majeur, puisl’accompagne de son index. Elle remue dans tous les sens. Il s’accroupit ensuite sur les genoux, luiprodigue un doux et long annulingus pour mieux la pénétrer par la suite et en y allant doucement.
Il rentre en elle facilement elle est bien lubrifiée. Il accélère ses allers et venues et très viteje constate leur jouissance mutuelle qui est brutale, bestiale même.
Pendant que l’ouvrier s’habille, je lave le corps de Françoise avec ma langue et la rhabille aussi.
Avant de partir, je laisse mes coordonnées à l’ouvrier et lui annonce que s'il a envie de se joindreà nous un jour, il n’y aura pas de problèmes dans la mesure de nos disponibilités.
Je crois que cet homme a bien plu à Françoise, alors pourquoi s'en priver.
Ensuite, j’ordonne à Françoise de se mettre à genoux, le visage devant ma bite enflée, et je lui glisse ma pine dans la bouche. Après une longue fellation, je la stoppe dans sa gourmandise car je ne veux pas jouir. Je rentre mon engin très dur, excité, dans le pantalon, la prend par la main et l’emmène une nouvelle fois au sex-shop où nous avions acheté récemment une belle robe d'été, moulante, courte et échancrée, qu'elle n'a même pas encore portée. Il faudra que je lui propose de la mettre pour une de nos prochaines sorties.
Pendant notre parcours, je lui explique que j’ai vu son excitation devant le film et que j’aimeraislui faire découvrir le rôle de soumise et pour cela, on a besoin d’articles bdsm.
A l’intérieur du magasin, nous saluons Julien, heureux de nous retrouver. On lui expose notre envie.
Il nous dirige vers un rayon spécialisé en bdsm. Nous apercevons divers articles, des plus softs au plus hard. Nous choisissons des menottes et un fouet. Pour la première séance, il est important de s’y prendre doucement. Et puis, je suis loin d’être une brute incompréhensive.
Quel que soit le chemin emprunté, la patience, la communication, la confiance et la complicité sontprimordiales et avec Françoise nous partageons sans effort ce principe.
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