Un travail bien rémunéré

- Par l'auteur HDS Le licencieux -
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Récit libertin : Un travail bien rémunéré Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-12-2022 dans la catégorie Pour la première fois
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Un travail bien rémunéré
Quelques jours après ma dix huitième année, je connus les premiers réels émois de ma jeune vie.

J’étais un garçon timide et mes expérience sensuelles se limitaient à un rapport physique entre moi… et moi ! Et ça pouvait se dérouler n’importe où…. Et plusieurs fois par jour.

Vous l’aurez aisément compris : ma libido était florissante mais, techniquement parlant, j’étais encore puceau.
Pire ! je n’avais jamais vu de fille à poil autrement que sur la toile et ça me donnait des boutons.
Je refusais de plus en plus fréquemment les sorties avec des potes car elles se finissaient toujours par une chasse aux filles et dès que j’en approchais une je me mettais à bafouiller après avoir pris une belle couleur vermillon. Je me faisais alors copieusement charrier et je finissais toujours par m’enfuir.
Je tentais bien chaque matin de me motiver, de me dire : « c’est pour aujourd’hui » mais la timidité n’est pas chose facile à vaincre.

Voilà où j’en étais lorsque je débarquai dans une superbe propriété.
La femme qui m’accueillit avait fort belle allure dans sa robe printanière.

— Votre mère vous a expliqué ce que je veux ?
— Oui madame.
— Alors il va falloir commencer à arracher toutes ces broussailles.

Je me mis aussitôt à l’ouvrage, suant rapidement sous la chaleur estivale.
Me voyant m’éponger fréquemment elle lança :

— Vous pouvez vous mettre torse nu, ça ne me dérange pas.
— Merci madame.

Je posai mes outils trop heureux de pouvoir retirer ma chemise.

— Oh, mais vous êtes très musclé, fit-elle.
— Mer… merci madame, bafouillai-je.
— Ne soyez pas intimidé voyons, poursuivit-elle, en éclatant de rire.

Elle me questionna soudain abruptement sur mes études et lorsque je lui révélai que je ne pourrai sans doute pas intégrer les beaux arts en raison du coût que cela représentait, elle s’en montra navrée.

— C’est la vie, conclus-je.

La discussion franche et enjouée m’avait détendu et c’était probablement la première fois que je l’étais autant en présence d’une inconnue.

— Alors c’est pour ça que vous travaillez ?
— Dès que j’ai une minute de libre, mais je crains que ça ne suffise pas.

Il s’en suivit un long silence et je me retournai pour voir si elle était toujours là.
Lorsque je croisai son regard elle lança :

— Vous aimeriez gagner plus d’argent, chez moi ?
— Bien sûr, madame mais il faut d’abord que je termine ça.
— Ça n’est pas incompatible.

Je la regardai, étonné.

— Je ne comprends pas madame, la questionnai-je, puis comme elle ne répondait pas, je poursuivis mon ouvrage.
Pourtant, peu après elle déclara avec une inflexion étrange dans la voix :

— Vous aurez cinquante euros en plus si vous travaillez en slip.

Je me figeai d’abord sous la surprise, puis sans un mot je plantai à nouveau ma pioche dans la terre ferme.
J’étais de moins en moins concentré. Ça bouillonnait sous mon crâne.

Elle ne lâcha pas l’affaire :

— Cinquante euros ça ne se trouve pas sous le sabot d’un cheval. D’ailleurs il n’y a pas de cheval ici. Elle partit d’un rire clair, quelques instants.

Bien sûr, elle avait raison, l’argent ne tombai pas si facilement. Et j’en avais cruellement besoin. Alors je me sentis soudain fléchir et ma main se fit moins ferme sur le manche de ma pioche.
Je grattai encore un peu la terre puis, finalement, je retirai mon pantalon.
Elle ne fit aucun commentaire et j’étais incapable de la regarder.
Elle ne me laissa que peu de répit en ajoutant quelques minutes plus tard :

— Cent euros si vous enlevez le slip.

Ça bien sûr, c’était hors de question. Sans doute aurais-je dû m’enfuir mais j’avais besoin des 300 euros que me rapporterait mon travail. Alors je continuai à bêcher.

— Cent cinquante ! poursuivit-elle.

Mes neurones surchauffaient. Il me suffisait d’ôter mon slip ! Mais non, décidément je ne pouvais pas, même si ces 100 euros m’auraient bien dépanné.

— Deux cent euros si vous le retirez face à moi.

Je devins écarlate mais la calculatrice s’activa : Deux cent euros c’était plus de la moitié de ce que j’allais gagner pour cet travail.
Deux cent euros en quelques secondes… pour me montrer nu à cette femme ! Bien sûr personne n’en saurait rien, mais quand même.

— Mon offre expire dans cinq minutes, précisa la femme.

J’avais beau me dire que cela ne prêterait pas à conséquence, je ne parvenais pas à sauter le pas.

— Deux minutes…

Plus que deux minutes pour empocher les deux cent euros, mais ma pudeur me retenait toujours.

— Trente seconde… Quinze secondes… Cinq… Quatre… Trois…

Lorsqu’elle arriva à deux secondes, je me retournai d’un bond et retirai précipitamment mon slip.
Elle sourit puis se leva.

— Continuez de travailler dans cette tenue.

J’étais rouge de honte lorsque, quelques minutes plus tard je la vis s’approcher. Elle compta :

— Cinquante… Cent… cent cinquante et Deux cent. Le compte y est. Je les mets dans votre pantalon.

J’attendis impatiemment qu’elle retourne s’asseoir mais elle s’installa face à moi, sur un banc à une dizaine de mètres.
Je peinai à reprendre mon ouvrage tant je sentais le poids de son regard sur mon intimité. Elle voyait ballotter ma verge et mes bourses au rythme de mes coups de pioche. J’étais terriblement gêné mais curieusement la certitude de son regard sur mes attributs masculins fit frémir ma verge qui commença à prendre de la consistance. Je tentai aussitôt de me retourner.

— Non, restez face à moi.

Je tentai alors de concentrer mon esprit sur la terre que je foulais mais il ne me rapporta que l’image du regard de cette femme posé sur ma nudité et mon sexe s’érigea totalement.
Jamais ma timidité n’avait été mise à pareille épreuve.
Je jetai un rapide coup d’oeil. Elle affichait un sourire ravi.
Il se passa alors quelque chose d’étrange lorsque je réalisai que c’était la première femme à me voir nu. Je sentis la chaleur de mon visage se répandre dans tout mon corps et soudain je lâchai prise. En un éclair ma pudeur s’évapora et je ne cherchai plus par des positions compliquées à dissimuler mon sexe qui semblait plaire à cette femme.
Une heure plus tard elle me proposa de faire une pause au bord de la piscine. Je tendis la main vers mes vêtements

— Non, je veux que vous restiez comme ça.

Je crois que j’étais ravi de cette demande car je commençais à trouver très excitant de m’exhiber ainsi.
Je me demandai quel âge pouvait avoir cette femme. Quarante cinq, cinquante ? Peut-être plus ? Et surtout, pourquoi, bien qu’étant nu comme un ver devant-elle, je ne m’en trouvai plus intimidé.

— Vous pouvez vous baigner pour vous rafraichir si vous voulez.

Je ne me fis pas prier et je plongeai aussitôt pour un bon quart d’heure de délassement.
Lorsque je sortis de l’eau elle s’approcha avec une serviette pour me sécher.

— Au fait je m’appelle Alexandrine, m’informa-t-elle.
— Moi c’est Marc.
— Je sais.

Lorsque, à travers l’étoffe je sentis sa main courir sur mes fesses, je bandai déjà.

— Tournez-vous !

Je n’eus pas la possibilité de résister car, tout en parlant elle me fit pivoter.
Elle me frotta le torse, le ventre, les bourses puis frictionna ma verge.
Je la suivis ensuite vers la table basse où elle avait disposé des bières et des jus de fruits.
Elle me parla un peu de sa vie. De son défunt mari, et de son manque d’homme.

— C’est vrai qu’il y a beaucoup à faire dans une grande maison comme celle-la, fis-je benoitement.

Elle me regarda alors avec une lueur étrange dans les yeux puis répondit.

— je ne pensais pas seulement au bricolage.

Ma naïveté m’empêcha de comprendre l’allusion.
Un peu plus tard, elle me fit parler de moi, de mes projets, de mes envies et je fus intarissable.

— Je voudrais être architecte mais les études coutent trop cher et ma mère ne peut pas m’aider.
— Je comprends. Alors mes petites primes doivent-être les bien venue ?

J’acquiesçai d'un mouvement de tête en baissant les yeux.

— Et vous avez une petite copine ?
— Non, madame.
— Pourtant, bâti comme vous l’êtes vous ne devez pas manquer de séduire.

Là, je ne sais pas ce qui me prit, mais je me senti autorisé, bien que cela me fut difficile, à confesser ma timidité maladive.

— Pourtant, vous êtes entièrement nu devant moi.
— Je sais, et je ne comprends pas ce qui c’est passé dans ma tête.
— Peut-être est-ce mon âge qui vous rassure ?

Je ne répondis pas et elle poursuivit après une pause.

— Et vous n’avez donc jamais été caressé par une fille ?

Je hochai la tête rouge de honte.

— Allons, allons, mon garçon, il n’y a pas de honte à avoir.

Je soupirai, encore abasourdi par mes aveux.
Moins de cinq minutes plus tard elle enfonçait le clou :

— Tu es encore puceau alors ?

Je la regardai avec une mine de chien battu et elle me tapota le genou.

— Allons, allons, je te taquine.

Son soudain tutoiement ne me dérangea pas. Je la vis réfléchir un moment puis elle se leva et se plaça derrière ma chaise. Je sentis peu après ses mains sur mes épaules. Elles descendirent lentement sur mon torse puis glissèrent jusqu’à mon ventre.

— On va y aller doucement, murmura-t-elle.

Que voulait-elle dire ?
Elle disparut dans la maison et en ressortit peu après avec une écharpe qu’elle noua autour de mes yeux.

— Ça va t’aider à te concentrer sur ce que tu ressens. Lève-toi !

Elle prit ma place sur le siège puis me caressa le dos très lentement.
Je frissonnai lorsque je sentis ses mains courir sur mes fesses.

— Concentre-toi sur tes sensations, murmura-t-elle.

Ce conseil était inutile car je fus envahi par un tsunami de frissons et je sentis ma verge durcir encore. Et je n’étais pas au bout de ma découverte.
Elle tapa sur ma cuisse droite.

— Ecarte !

Je ne savais pas pourquoi elle me demandait ça, mais j’étais dans un tel état d’excitation que j’écartai les jambes.
Elle remonta sur la face interne des cuisses puis je sentis bientôt ses doigts emprisonner mes bourses. Elle les soupesa, les caressa, les palpa puis son autre main remonta le long de mon pieu de chair et je sursautai.

— Chut… Tout va bien, murmura-t-elle.

Je sentis mon prépuce glisser sur mon gland.

— Retourne-toi !

Je ne résistai au mouvement qu’elle imprima à mon corps.
Elle garda mes testicules dans la main puis de l’autre me masturba lentement.
J’éjaculai en moins de cinq minutes.

— Ça n’est pas grave, me rassura-t-elle, avec le temps tu apprendras à te retenir. Ne t’inquiète pas.

Je n’osai plus bouger. J’avais éjaculé beaucoup plus rapidement que lorsque je le faisais seul. Mais c’était meilleur. Bien meilleur !
Elle me retira le bandeau et se rassit sur sa chaise.
Elle était à présent en sous vêtements.

— Je suppose que tu n’as jamais touché une femme non plus, lança-t-elle.

Je fis non de la tête et elle continua à me torturer :

— Et en as-tu déjà vu une nue ? Je veux dire en chair et en os ?

Je bafouillais :

— Heu… non, non, madame.

Elle sourit puis se leva.
Je la vis passer les mains dans son dos puis quelques secondes plus tard, son soutien gorge glissa le long de ses bras, libérant deux seins ronds et laiteux pourvus d’une large aréole.
Elle ne me quitta pas des yeux puis d’un mouvement lent dévoila la fine toison brune de son pubis.
Lorsque sa culotte toucha le sol, j’avais des spasmes dans la verge.
Alexandrine me laissa l’admirer un moment puis elle se retourna, écarta les jambes et se pencha en avant. Je frissonnai en posant les yeux sur sa vulve luisante. Elle resta ainsi cinq bonnes minutes puis se redressa et lança :

— Tu te souviens comment j’ai fait tout à l’heure ?
— Oui madame.
— Alors je veux que tu fasses la même chose et que tu me découvres avec tes yeux et tes doigts.

J’hésitai un instant puis je levai les mains vers sa poitrine. Je vis aussitôt ses tétons se dresser. Je fus étonné par la fermeté de ses seins qui emplissaient généreusement mes paumes. Puis je la fit pivoter et me collai contre son dos. Je m’écartai aussitôt.

— Non, reste comme ça, j’aime la sentir.

Je plaquai donc à nouveau mon sexe contre ses fesses. Elle plaça les mains sur la tête et malgré ma candeur je compris qu’elle me libérait ainsi le passage et j’empaumai ses globes que je malaxai à nouveau avec de moins en moins de retenue.

— Oui c’est bien, murmura-t-elle. N’oublie pas mes tétons.

Je les pinçais alors délicatement.

— Un peu plus fort… Oui, comme ça c’est bien.

Je jouai encore un moment avec ses mamelons puis lorsque je touchai ses fesses, elle écarta les jambes. Délicatement, presque tendrement, je caressai l’intérieur de ses cuisses puis je glissai la main sur sa chatte.

— Masturbe-moi.

Bien sûr, je comprenais ce qu’elle voulait, mais je ne savais pas comment m’y prendre.

— Attends, fit-elle.

Elle posa un pied sur la chaise, s’ouvrit au maximum et prit ma main pour la guider.

— Tu sens ce petit bouton tout dur ? C’est mon clitoris. Fais le rouler sous tes doigts.

Je m’exécutai avec douceur.

— Pince le doucement… Voilà, c’est bien.

Je fus surpris de l’entendre gémir.

— Tu te débrouilles bien, c’est bon, m’encouragea-t-elle, la voix cassée de trémolos.

Elle gémit encore puis une nouvelle fois me guida :

— Continue comme ça, et enfile deux doigts de ton autre main dans ma chatte.

J’hésitai quelques secondes de peur de lui faire mal par maladresse.

— N’aies pas peur, je suis toute mouillée, me rassura-t-elle.

J’enfonçais donc doucement les doigts et je trouvai la sensation agréable.

— Maintenant fais des mouvements de va et vient et continue sur mon clitoris.

Je m’exécutai à la lettre et ses gémissements s’intensifièrent.

— Oh, c’est bon, c’est bon. Continue comme ça.

Je me sentis soudain investi par une immense fierté. Moi, le puceau, j’avais le plaisir de cette femme au bout des doigts !

— Mon clitoris, accélère, accélère ! Cria-t-elle soudain.

Je ne pus coordonner les mouvements de mes mains et je choisis de retirer les doigts de sa chatte.

— Plus vite, plus vite.

Je bougeai frénétiquement le majeur et l’index sur le bouton de chair et j’entendis Alexandrine crier en même temps qu’elle s’accrochait à moi.
Je faillis paniquer lorsque je la vis trembler puis sursauter plusieurs fois sous des répliques de son orgasme, mais cela ne dura pas. Elle glissa lentement au sol.

— Il faut que je m’allonge, j’ai la tête qui tourne.

Je la regardai perplexe.

— Ne t’inquiète pas ça me fait toujours ça lorsque j’ai joui fort. Et ça fait longtemps que ça ne m’étais pas arrivé.

Tandis qu’elle récupérait je me dirigeai vers le parc pour reprendre mon ouvrage.

— Où vas-tu ?
— J’ai encore du boulot.
— Laisse, on a encore des choses à voir ensemble, déclara-t-elle, ajoutant aussitôt : mais ne t’inquiète pas tu seras payé comme convenu.

Elle se releva au bout d’une dizaine de minutes.

— Tu aimes le champagne ?
— Heu… Oui.

Elle disparut dans la maison et revint en brandissant une bouteille de Don Pérignon.

— Ça fait au moins trois ans qu’un homme ne m’avait pas fait ça. Je crois que ça s’arrose. Tu la débouches ?

Je saisis la bouteille puis je remplis les verres qui étaient sur la table. Je lui en tendis un et nous trinquâmes.
Je m’étonnai qu’elle ne but pas mais j’appréciai la délicatesse du breuvage :

— Il est bon.

Elle me regarda avec un sourire mutin avant de répondre :

— Moi, je préfère boire à la paille.

Je compris ce qu’elle voulait dire lorsqu’elle trempa mon gland dans son verre et qu’elle le lécha.
Il ne me fallut pas plus de deux secondes pour bander comme un taureau.
Elle orienta plusieurs fois son verre afin de retremper ma queue et d’y déguster le nectar puis elle me regarda dans les yeux, posa son verre au sol et goba mon gland.
Je frémis sous la sensation délicieuse. Elle me pompa un moment puis lécha mes bourses avant de saisir la bouteille par le col. Elle s’allongea sur le dos, versa une grande rasade sur sa chatte et ordonna :

— Lèche !

Je commençai par laper le liquide répandu sur son pubis puis elle poussa ma tête vers le bas et je goutai une chatte pour la première fois. Je m’étonnai de trouver d’instinct, les bons mouvements de ma langue.
Alexandrine poussa plusieurs cris aigus avant de me demander de mettre mes fesses au-dessus de son visage.
J’avais vu quelques vidéos expliquant cette position alors je compris aussitôt et plaçai ma verge au dessus de sa bouche. Elle la prit aussitôt entre ses lèvres.
J’avais du mal à me concentrer sur sa chatte tant Alexandrine me procurait de sensations puissantes et inédites. J’y parvins toutefois et je perçus bientôt ses gémissements étouffés qui la poussèrent à me sucer avec davantage de gourmandise. Je ne me régalai pas moins de la douceur de sa vulve, et lorsqu’elle souleva légèrement le bassin je plaçai les mains sous ses fesses et augmentai la pression de ma bouche. Puis, terriblement excité par les sensations que me procuraient sa fellation, j’activai les mouvements de ma langue.
Soudain Alexandrine lâcha ma queue pour libérer un cri aigu de jouissance puis elle se remit à me pomper vigoureusement et je déchargeai en grognant.

Repus, nous ne fîmes aucun commentaire et je la suivis dans l’eau fraiche de la piscine.

Une heure plus tard, je déclarai qu’il commençait à se faire tard et que je devais rentrer.

— Tu as bien cinq minutes, me répondit-elle.

Je souris, car en fait, pressentant qu’elle avait encore des choses à me faire découvrir, je n’avais nullement l’envie de partir.

— J’aimerais bien que tu te masturbes devant moi, lâcha-t-elle soudain.

Bien que je fusse déstabilisé par sa demande, je me mis aussitôt à bander.
Elle tendis la main pour me caresser les fesses.

— S’il te plait, minauda-t-elle.

Je n’eus pas le coeur de la faire languir davantage et je commençai à m’astiquer en m’étonnant de l’excitation puissante que me procurait sa présence.
Après un moment elle murmura :

— Elle est belle, j’en ai envie.

Je ne compris pas immédiatement ce qu’elle voulait dire. Elle s’en aperçut sans doute car elle m’attrapa par le poignet et me fit asseoir sur la chaise.

— Ecarte un peu les jambes et laisse-moi faire.

Elle se mit de dos, à califourchon sur moi, saisit ma queue, la présenta à l’ouverture de sa chatte et s’empala. Je fermai les yeux de plaisir et la laissai bouger à sa guise. Très vite elle se mit à gémir.
Je ne pensais pas pouvoir tenir longtemps avant de décharger mais je ne sus par quel miracle elle s’immobilisait juste avant l’instant fatidique et reprenait dès que la tension était retombée.
Soudain elle agrippa mes cuisses et jouit en tremblant.
Je voulais venir à mon tour et je cherchai à la pilonner encore.

— Attends, murmura-t-elle.

Elle se retira puis plaça ma queue entre ses fesses.

— Laisse-moi faire.

Elle maintint mon sexe jusqu’à ce que mon gland fut entré puis elle lança :

— Soulève-moi les fesses et laisse moi retomber.

C’est ce que je fis… plusieurs fois de suite.

— Oh oui, c’est bon, continue comme ça.

Je trouvai rapidement le rythme.

— Oui… Oui… Vas-y… Oh mon Dieu je crois que je vais encore venir, lança-t-elle.

Moins d’une minute plus tard elle jouissait puis retombai mollement sur mes cuisses avant de se relever et de s’exclamer en voyant mon gourdin :

— T’as pas joui ?

Je hochai la tête.

— Lève-toi !

Dès que je fus debout elle m’astiqua vigoureusement et je déchargeai en quelques secondes.

Une heure plus tard, rhabillé, j’empochai mon salaire.
Pour quel travail au fait ? Je n’avais pas tellement gratté la terre.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
tres belle histoire . il faut continuer



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