Un trio a-typique partie 1
Récit érotique écrit par Minpass [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-05-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Un trio a-typique partie 1
Georges a fait venir une voiture. Elle m’attend en bas de chez Claude. Mon amant a décidé de ne pas venir. Il se contente de m’embrasser sur le pas de la porte avant de la fermer derrière moi. Le son du bois claquant contre la serrure me donne l’impression que c’est un au-revoir. Je descends l’ancien escalier de l’immeuble chic.
Le trajet dure près d’une heure. Mon conducteur ne lâche pas un mot. Nous passons le périph en silence et la voiture s’initie en Seine et Marne. Le voyage prend fin au bout d’une longue avenue boisée en campagne. La voiture s’arrête devant une grande maison de campagne, les pneus grinçant sur les graviers. Je suis accueilli par Georges, qui m’attend un grand sourire aux lèvres.
« Vient petit, je vais te présenter à l’artiste. »
L’artiste en question s’appel Tito – enfin c’est comme ça qu’on me le présente. Je connais vaguement son travail, surtout suite aux discussions entre Georges et Claude. Il me semble que son vrai prénom et Théo. Il est très beau – de taille moyenne, les cheveux noirs, repoussés en arrière, quelques mèches venant balayer un regard bleu vif et passionné. Je ne trouve aucun autre mot pour le décrire. Il porte un t-shirt blanc et un jean noir. Ses bras sont décorés de deux manches. Les tatouages sont noirs vifs – tourbillonnant sur la peau. Il m’est impossible de devenir son âge. Il pourrait avoir vingt-cinq ans comme il pourrait avoir dépassé la quarantaine. Tito semble s’être figé dans le temps. Peut-être comme Dorian, il retranscrit sa mortalité dans son œuvre, lui permettant d’accéder à l’immortalité. Si c’est le cas, je suis donc ici pour me sacrifier au nom de son art, de son immortalité ?
« Tu es très beau. Tu seras parfait. »
Ce sont les seuls mots qu’il m’adresse avant de s’élancer vers un grand salon où j’aperçois une estrade, des spots et une caméra posée sur un trépied.
Georges place une main sur mon épaule et me fait signe de le suivre. Le salon, somptueusement décoré, le mobilier un ensemble de pièces des 18ème et 19ème siècles, est occupé par une petite équipe de tournage. Tito s’affaire entre eux, donnant si et là des indications. Il semble parfaitement à l’aise. J’ai de plus en plus le sentiment d’être un agneau qu’on amène au sacrifice - Tito le maître de cérémonie.
On me guide vers un canapé sur lequel sont installés deux hommes – entre quarante-cinq et cinquante ans je dirais – musclés, la barbe de trois jours et surtout, totalement nus. Mes yeux se braquent sur leurs corps sculptés – deux grands barbares auxquels ont présente une offrande. Leurs membres reposent entre leurs cuisses. Je peine à croire que d’ici quelques minutes ces engins seront surement au fond de moi. L’idée m’est à la fois terrifiante et sublime. J’en ai envi, je ne peux le nier. Je me donne volontiers au sacrifice.
« James, je te présente Jean et Luca. Messieurs, voici James. Je vous laisse vous familiariser. » Georges fait pression sur mon dot, me faisant signe de m’asseoir. Les deux daddys me font une place entre eux. Georges s’éloigne – allant s’entretenir avec un homme en costard, un des autres mécènes surement.
Jean, ou Luca, je n’ai pas bien retenu lequel est qui, pose une main sur ma cuisse. Sont contact me fait frissonner malgré le fait que je suis encore totalement vêtu. Avant de partir, Georges m’a donné des copies de leurs tests de dépistages – tous deux négatifs. Il y a trois semaines Claude m’avait poussé à en faire un aussi. Je m’étais dis sur le moment qu’il souhaitait juste se rassurer après l’orgie de chez Georges mais à présent je découvrais le vrai motif de ce test. Luca et Jean ont dû en recevoir une copie.
« Alors James, c’est ta première fois sur un set de tournage ? »
Je fais oui de la tête.
Les daddys sourient. « Ne t’inquiète pas, me dit Daddy 1, on sera très doux. Tito ne te poussera à rien. Ce n’est pas non plus un porno, c’est de l’art. » Les deux barbares rient.
La main de Daddy 1 remonte le long de ma cuisse à présent. Puis sans hésitation, il se saisit, non sans tendresse de mon entre-jambe. Il se met à me malaxer au travers mon jean. Il est habile. Son autre main vient contre ma joue et, doucement mais fermement, il me tourne le visage vers le sien. Il m’embrasse à pleine bouche. Je sens la main de Daddy deux qui s’initie sous mon t-shirt. Il me caresse le torse, le ventre, avant de descendre défaire le bouton de ma braguette. Il se glisse ensuite contre ma peau, sous mon string.
Georges m’a expliqué que le film traite de la transgression des ultimes barrières jusqu’à lors encore considérées infranchissables sein d’une société sans repère. Je représente donc une sorte de perte d’innocence, la caricature du jeune minet qui se laisse séduire et « corrompre ». Selon Tito cependant, l’œuvre se veut également rétrospective – le décors somptueux et néo-classique sert de rappel des orgies romaines ; la musculature de mes deux amants symbolisant la relation autrefois considérée comme naturelle entre guerriers – surtout chez les Spartes. Enfin bref c’est ce que m’a expliqué Georges. Après, à mes yeux, et aux doigts forts, épais et habiles faisant durcir ma queue, ça reste un porno.
A présent je suis excité. Daddy 2 me masturbe fermement. Alors que Daddy 1 m’embrasse toujours, ses mains parcourant mon corps, Daddy 2 me fait basculer en avant et sur le côté, me poussant à quatre pates sur le canapé. Il fait ensuite glisser mon jean sous la démarcation de mes fesses. A présent je sens sa main se glisser de nouveau sous mon string dentelle. Je sens un doigt se coller à scrotum. Le matin même, tôt, je suis allé chez l’esthéticienne. On m’a fait un lavage complet après m’avoir épilé. La peau en est encore tendre. J’entends le clic d’un capuchon en plastique. Daddy 1 se glisse près de mon oreille,
« Reste naturel, on a déjà commencé. »
Tournant légèrement la tête j’aperçois du coin du regard la caméra, fixée sur nous. C’est à ce moment que Daddy 2 glisse un doigt en moi, suivi d’un deuxième puis d’un troisième. Il me pénètre d’abord lentement tandis que son compagnon barbare se lève devant moi, un genou posé sur le canapé. Il me fait lever la tête puis glisse un doigt entre mes lèvres. Je le suce sans hésitation. Daddy 2 a cessé de me doigté. J’arrête de sucer un instant l’index de Daddy 1 pour tourner ma tête en arrière. Son regard se rive au mien, sa main s’astiquant le sexe à présent raide, recouvrant le gland enflé de lubrifiant. La main de Daddy 1 me ramène vers lui. A présent c’est son sexe qu’il me présente. Il est presque totalement en érection.
Je sens que Daddy 2 écarte la bretelle du string de la raie de mes fesses. Je sens sa main gauche se saisir de ma hanche. Je fixe le membre de Daddy 1 qui se tend devant moi, durcissant à vue d’œil. Une barre – fraichement enduite de lubrifiant, dure et veineuse se colle entre mes cuisses, le gland tapotant contre mes testicules imberbes. Elle se frotte à moi, le liquide lubrifiant se collant à ma peau. Je lève le regard vers Daddy 1 et, soumis, écarte les lèvres. Il avance son bassin, sa main à présent posée sur ma tête. Alors que son gland se pose sur ma lèvre basse, je sens le sexe de Daddy 2 se caller contre mon anus.
Ils me pénètrent au même moment. J’imagine que dans l’imaginaire de Tito c’est le moment sublime, l’acte marquant la perte totale d’innocence et de contrôle. Pour moi c’est un moment d’extase. Je me sens totalement possédé par ces deux hommes.
A suivre
Le trajet dure près d’une heure. Mon conducteur ne lâche pas un mot. Nous passons le périph en silence et la voiture s’initie en Seine et Marne. Le voyage prend fin au bout d’une longue avenue boisée en campagne. La voiture s’arrête devant une grande maison de campagne, les pneus grinçant sur les graviers. Je suis accueilli par Georges, qui m’attend un grand sourire aux lèvres.
« Vient petit, je vais te présenter à l’artiste. »
L’artiste en question s’appel Tito – enfin c’est comme ça qu’on me le présente. Je connais vaguement son travail, surtout suite aux discussions entre Georges et Claude. Il me semble que son vrai prénom et Théo. Il est très beau – de taille moyenne, les cheveux noirs, repoussés en arrière, quelques mèches venant balayer un regard bleu vif et passionné. Je ne trouve aucun autre mot pour le décrire. Il porte un t-shirt blanc et un jean noir. Ses bras sont décorés de deux manches. Les tatouages sont noirs vifs – tourbillonnant sur la peau. Il m’est impossible de devenir son âge. Il pourrait avoir vingt-cinq ans comme il pourrait avoir dépassé la quarantaine. Tito semble s’être figé dans le temps. Peut-être comme Dorian, il retranscrit sa mortalité dans son œuvre, lui permettant d’accéder à l’immortalité. Si c’est le cas, je suis donc ici pour me sacrifier au nom de son art, de son immortalité ?
« Tu es très beau. Tu seras parfait. »
Ce sont les seuls mots qu’il m’adresse avant de s’élancer vers un grand salon où j’aperçois une estrade, des spots et une caméra posée sur un trépied.
Georges place une main sur mon épaule et me fait signe de le suivre. Le salon, somptueusement décoré, le mobilier un ensemble de pièces des 18ème et 19ème siècles, est occupé par une petite équipe de tournage. Tito s’affaire entre eux, donnant si et là des indications. Il semble parfaitement à l’aise. J’ai de plus en plus le sentiment d’être un agneau qu’on amène au sacrifice - Tito le maître de cérémonie.
On me guide vers un canapé sur lequel sont installés deux hommes – entre quarante-cinq et cinquante ans je dirais – musclés, la barbe de trois jours et surtout, totalement nus. Mes yeux se braquent sur leurs corps sculptés – deux grands barbares auxquels ont présente une offrande. Leurs membres reposent entre leurs cuisses. Je peine à croire que d’ici quelques minutes ces engins seront surement au fond de moi. L’idée m’est à la fois terrifiante et sublime. J’en ai envi, je ne peux le nier. Je me donne volontiers au sacrifice.
« James, je te présente Jean et Luca. Messieurs, voici James. Je vous laisse vous familiariser. » Georges fait pression sur mon dot, me faisant signe de m’asseoir. Les deux daddys me font une place entre eux. Georges s’éloigne – allant s’entretenir avec un homme en costard, un des autres mécènes surement.
Jean, ou Luca, je n’ai pas bien retenu lequel est qui, pose une main sur ma cuisse. Sont contact me fait frissonner malgré le fait que je suis encore totalement vêtu. Avant de partir, Georges m’a donné des copies de leurs tests de dépistages – tous deux négatifs. Il y a trois semaines Claude m’avait poussé à en faire un aussi. Je m’étais dis sur le moment qu’il souhaitait juste se rassurer après l’orgie de chez Georges mais à présent je découvrais le vrai motif de ce test. Luca et Jean ont dû en recevoir une copie.
« Alors James, c’est ta première fois sur un set de tournage ? »
Je fais oui de la tête.
Les daddys sourient. « Ne t’inquiète pas, me dit Daddy 1, on sera très doux. Tito ne te poussera à rien. Ce n’est pas non plus un porno, c’est de l’art. » Les deux barbares rient.
La main de Daddy 1 remonte le long de ma cuisse à présent. Puis sans hésitation, il se saisit, non sans tendresse de mon entre-jambe. Il se met à me malaxer au travers mon jean. Il est habile. Son autre main vient contre ma joue et, doucement mais fermement, il me tourne le visage vers le sien. Il m’embrasse à pleine bouche. Je sens la main de Daddy deux qui s’initie sous mon t-shirt. Il me caresse le torse, le ventre, avant de descendre défaire le bouton de ma braguette. Il se glisse ensuite contre ma peau, sous mon string.
Georges m’a expliqué que le film traite de la transgression des ultimes barrières jusqu’à lors encore considérées infranchissables sein d’une société sans repère. Je représente donc une sorte de perte d’innocence, la caricature du jeune minet qui se laisse séduire et « corrompre ». Selon Tito cependant, l’œuvre se veut également rétrospective – le décors somptueux et néo-classique sert de rappel des orgies romaines ; la musculature de mes deux amants symbolisant la relation autrefois considérée comme naturelle entre guerriers – surtout chez les Spartes. Enfin bref c’est ce que m’a expliqué Georges. Après, à mes yeux, et aux doigts forts, épais et habiles faisant durcir ma queue, ça reste un porno.
A présent je suis excité. Daddy 2 me masturbe fermement. Alors que Daddy 1 m’embrasse toujours, ses mains parcourant mon corps, Daddy 2 me fait basculer en avant et sur le côté, me poussant à quatre pates sur le canapé. Il fait ensuite glisser mon jean sous la démarcation de mes fesses. A présent je sens sa main se glisser de nouveau sous mon string dentelle. Je sens un doigt se coller à scrotum. Le matin même, tôt, je suis allé chez l’esthéticienne. On m’a fait un lavage complet après m’avoir épilé. La peau en est encore tendre. J’entends le clic d’un capuchon en plastique. Daddy 1 se glisse près de mon oreille,
« Reste naturel, on a déjà commencé. »
Tournant légèrement la tête j’aperçois du coin du regard la caméra, fixée sur nous. C’est à ce moment que Daddy 2 glisse un doigt en moi, suivi d’un deuxième puis d’un troisième. Il me pénètre d’abord lentement tandis que son compagnon barbare se lève devant moi, un genou posé sur le canapé. Il me fait lever la tête puis glisse un doigt entre mes lèvres. Je le suce sans hésitation. Daddy 2 a cessé de me doigté. J’arrête de sucer un instant l’index de Daddy 1 pour tourner ma tête en arrière. Son regard se rive au mien, sa main s’astiquant le sexe à présent raide, recouvrant le gland enflé de lubrifiant. La main de Daddy 1 me ramène vers lui. A présent c’est son sexe qu’il me présente. Il est presque totalement en érection.
Je sens que Daddy 2 écarte la bretelle du string de la raie de mes fesses. Je sens sa main gauche se saisir de ma hanche. Je fixe le membre de Daddy 1 qui se tend devant moi, durcissant à vue d’œil. Une barre – fraichement enduite de lubrifiant, dure et veineuse se colle entre mes cuisses, le gland tapotant contre mes testicules imberbes. Elle se frotte à moi, le liquide lubrifiant se collant à ma peau. Je lève le regard vers Daddy 1 et, soumis, écarte les lèvres. Il avance son bassin, sa main à présent posée sur ma tête. Alors que son gland se pose sur ma lèvre basse, je sens le sexe de Daddy 2 se caller contre mon anus.
Ils me pénètrent au même moment. J’imagine que dans l’imaginaire de Tito c’est le moment sublime, l’acte marquant la perte totale d’innocence et de contrôle. Pour moi c’est un moment d’extase. Je me sens totalement possédé par ces deux hommes.
A suivre
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Que c'est beau, en plus d'être super excitant ! Le cadre est sublime, les personnages bien choisis, les sensations bien décrites,... J'étais sur ce canapé !
Bravo, j'attends la suite avec impatience.
Bravo, j'attends la suite avec impatience.
Il n'y a pas l'image,mais c'est peut etre encore mieux.On ne peut pas etre déçu par le physique des participants et fantasmer encore plus fort.Vite la suite!!!