Un trio a-typique partie 2 - fin - histoire érotique

Le string est à mi-cuisse, la dentelle frottant contre ma peau. La sensation cependant est éclipsée par le plaisir remontant du bas de mon ventre comme une charge électrique. Tandis que Daddy 2 me baise, la queue de Daddy 1 m’emplit la bouche. Je sens mon propre sexe raide entre mes cuisses, oscillant de haut en bas au rythme des coups de reins. J’ai du mal à sucer à vrai dire. Le bassin de Daddy 2 tapant puissamment contre le mien rend la tâche difficile. Et puis le plaisir – cet extase qui s’empare de moi – fait qu’il ne m’est possible que de garder Daddy 1 en bouche sans pouvoir prendre pleinement contrôle de la fellation. Il finit par retirer son membre de mes lèvres et de m’offrir à la place ses boules rasées et lourdes. Je tends la langue pour les lécher. Elles sont chaudes, une goute de sueur perle sur l’une d’entre elles, avant d’être recueillie par ma langue.

Nous continuons ainsi de longues minutes. Sans en avoir pleinement conscience je gémis, un soprano accompagnant les grognements barytons de mes amants. Tito nous observe en maître d’orchestre attentif. Il guide la caméra. Celle-ci effectue lentement un demi cercle autour de nos ébats. Elle est suspendue sur un rail, sans doute pour rendre le plan plus stable. C’est seulement lorsqu’elle atteint la fin de son trajet que j’entends « couper ! »

Les deux daddys s’arrêtent simultanément, ma langue toujours lovée au testicules de Daddy 1. Haletant il me sourit alors que nos regards se croisent.

« T’es une bonne petite suceuse quand même. »

« Messieurs surtout ne perdez pas la main, on reprend dans à peine deux minutes ! James si tu veux bien continuer de t’occuper de Jean et Luca s’il te plait. » Tito s’affaire derrière nous.

Mes deux barbares se retirent de ma bouche et mon cul. Nous nous asseyons de nouveau sur le canapé. Je tremblote un peu, toujours sous l’emprise de secousses d’excitation. Je masturbe mes deux amants en attendant que Tito ait fini de faire préparer la scène devant nous. Il s’approche de nous.

« James c’est très important que dans la prochaine scène tu avales, d’accord ? Je fais oui de la tête, Luca finira sur ton visage parce qu’il jute plus mais Jean se lâchera au fond de ta gorge. On reprend ! »

La dernière remarque s’adresse à l’ensemble de l’équipe. La scène débute comme la première – assis sur le canapé, sans que l’on me prévienne. Je masturbe toujours mes deux Daddys lorsqu’on me fait lever, me baisse le string qui tombe autour de mes chevilles et me guident par la main jusqu’au centre de la pièce sur l’estrade.

On commence par m’enfoncer un gode dans le cul. Il est épais, réaliste et long. La caméra cependant ne se focalise pas sur le jouet mais plutôt sur mon visage. Tito veut un regard ébahi, toujours dans l’innocence. La taille du gode rend l’expression naturelle. Puis la lumière se tamise. Je me tiens debout, entre mes deux Daddys, toujours au garde à vous. Je bande aussi mais je me sens si petit entre ces deux mastodontes. Petit en tout. La sensation m’excite.

C’est alors qu’une silhouette se dessine à un bout de l’estrade. Celle d’une femme – grande, la courbe élégante de sa taille guidant le regard vers celle de ses seins. Elle est nue, la lumière basse venant lentement inonder son corps. Alors que son visage nous est révélé je découvre une femme sublime – peut-être trente-cinq ans, ses cheveux une cascade noir caressant le bas des reins. Elle est entièrement épilée. Elle s’approche, son pas lent et décidé, confiant. Elle s’arrête devant moi. Elle ne porte pas de talons mais me dépasse légèrement. Ses seins se blottissent contre ma peau, mon sexe vient effleurer sa vulve, puis ses lèvres. Je la sens trempée. Elle m’embrasse, ses mains se posant sur mes épaules. Je n’en peux plus. J’ai tant envi de cette femme – d’une femme. Alors que je l’enlace cependant je sens ses mains qui font pression sur mes épaules, me poussant à genoux. Je me retrouve devant sa chatte parfaite. Croyant qu’elle souhaite que je la lèche je m’avance mais elle me sourit et pose sa main sur ma tête, me retenant. Elle s’écarte alors et s’empare des verges des deux hommes à nos côtés, restés jusqu’à lors immobiles. Elle les guide vers moi. C’est l’ultime humiliation. Cette femme ne me considère pas comme un homme. Elle m’a possédé de son regard, ses mains, sa bouche, le rêve de son vagin. A présent elle m’offre aux deux alphas et je n’ai d’autre choix que de me soumettre. Elle s’éloigne et s’installe sur un fauteuil. Alors qu’elle est assise elle écarte les cuisses et y glisse une main. Je me dois de lui offrir un spectacle.

Daddy 1 m’emplit la bouche de son membre tandis que ma main droite caresse les testicules de Daddy 2. Je suce, lèche et branle tandis que la femme mystérieuse prenant son plaisir. J’enchaine avec la queue de Daddy 2. La scène se termine avec l’éjaculation de Daddy 2. Il m’inonde le visage. La caméra effectue un gros plan, capturant l’irruption de sperme qui vient s’étaler sur ma peau, entre mes lèvres, dans mes cheveux. Je lève le regard et la caméra reste sur moi de longs instants. Daddy 2 pose une main sur ma joue, me souriant. Le réalisateur souhaite sans doute capturer l’instant ou le jeune homme se livre totalement à son amant, acceptant sa place.

« Coupez! » La voix de Tito résonne dans la pièce. La femme continue de se caresser, le même sourire mystique aux lèvres.

Je suis surpris, je m’apprêtais à faire jouir Daddy 1. Tito s’approche. Je suis toujours à genoux devant Daddy 2, sa queue pendant à présent à demi molle devant mon visage. Son foutre coulant et séchant sur ma peau.

« James la dernière scène se déroule avec Mélissa. » Je ressens un espoir naissant en moi.

« Tu vas te placer à quatre pattes devant le fauteuil. Tandis que Jean te baisera en levrette, tu resteras devant elle. Surtout tu ne quittes jamais son regard, compris ? » Je fais oui de la tête.

Encore une fois on me fait lever. Je me dirige comme indiqué vers Mélissa. Elle me sourit encore mais ne dit rien, écartant à présent sa main de sa chatte. Alors que je me place à quatre pattes devant elle, Mélissa s’avance et je me retrouve à seulement quelques millimètres de sa vulve luisant de cyprine. Une odeur sublime s’en dégage. De nouveau je sens le désir monter en moi. Je souhaite la lécher, la doigter, me glisser entre ses cuisses et me laisser exploser en elle. Mais je me retiens, restant à ma place.

Daddy 1 se positionne derrière moi.

« Moteur, action ! »

Son gland ne peine pas à glisser en moi. Mon regard est captivé par celui de la femme alors que mon amant entame les coups de reins. Le rythme est puissant – son membre enfoncé jusqu’à la garde. Ses couilles tapotent contre mon scrotum. Je n’en peux plus. Mon désir pour cette femme, ses lèvres crémeuses et presque offertes devant moi ainsi que l’excitation que me procure l’interdiction d’y toucher, combinés au plaisir intense que m’inflige Daddy 1 me font éjaculer, mon sperme tombant en plusieurs jets contre le parquet.

Puis mon amant jouit à son tour, mes yeux, presque en larmes son toujours rivés à ceux de Mélissa. Les coups de hanches ralentissent, jusqu’à s’arrêter totalement. La scène se termine et la femme sourit toujours. Mon innocence est perdue. Tito est satisfait.