Un trio devient un quartette - histoire érotique

UN TRIO QUI DEVIENT QUARTETTE

Jean était très occupé par son travail de commercial mais il avait promis qu'il passerait voir sa copine s'il son planning l'amenait près de chez elle et c'est pourquoi il a fait un détour cet après-midi là. Ce n'était que quelques kilomètres de plus et son patron ne lui en tiendrait sans doute pas rigueur.

Christelle lui avait dit qu'elle serait tout le mois dans la maison de campagne de ses parents et elle lui avait donné l'adresse qu'il avait inscrite dans son GPS. Aussi, ce n'était pas difficile.

- Vous êtes arrivé, lui a dit la voix dans l'appareil !

Jean s'est garé devant la maison puis ses pas l'ont mené dans l'allée qui conduit à la maison puis il a entendu des voix et il est allé dans le jardin. Christelle était allongée sur la pelouse et elle n'était pas seule parce que deux autres femmes étaient avec elle et ce qui l'a sidéré est qu'elles étaient entièrement nues toutes les trois et elles discutaient de la forme des nuages qui défilaient dans le ciel bleu.

Il les a regardées et écoutées un moment. Elles étaient vraiment belles toutes les trois. De vraies naïades même s'il n'y avait pas d'eau à proximité mais il était temps qu'il s'annonce et Jean s'est mis à tousser et les trois femmes ont tourné la tête vers lui.

- Ah, c'est toi ! Tu aurais pu prévenir, lui a dit son amie, mais ce n'était pas un reproche !

Les trois filles se sont levées et debout, elles étaient encore plus belles et elles étaient même très sexy et Jean a pensé que ça faisait un joli trio, Christelle si brune avec sa belle poitrine, Sonia, la rousse avec ses énormes seins et Carine la brune avec ses petits seins mais toutes avaient le ventre complètement épilé et aucun poil pour cacher leur intimité.

- Bon, leur a fait Jean qui ne manquait pas de répartie, le plus simple est que je me mette dans la même tenue que vous et sans attendre leur réponse, il a retiré tous ses vêtements et il a été très heureux que son érection ait provoqué chez les trois femmes une cri qu'elles avaient eu du mal à étouffer. C'est de votre faute, a-t-il ajouté en faisant disparaître son prépuce pour que le gland apparaisse aux yeux des femmes ! C'est de votre faute, a-t-il encore ajouté en ramenant le prépuce sur son gland puis en le découvrant à nouveau ! Vous êtes trop belles !

Il guettait surtout la réaction de son amie Christelle qui à l'occasion ne manquait pas de lorgner sur les fortes poitrines et la première fois qu'elle lui avait fait remarquer la poitrine d'une femme à énormes seins, il s'était demandé s'il ne s'était pas fourvoyé avec une bisexuelle mais sa nouvelle amie l'avait vite rassuré car lors de leur premier accouplement, elle lui avait dit qu'elle aimait sa bite et qu'elle n'avait jamais été aussi bien sautée. C'était un peu vulgaire comme langage mais c'était aussi le sien et ce n'était pas pour lui déplaire d'avoir une copine.

- Tu me baises bien, fais-moi jouir, lui disait-elle à chaque fois qu'il allait lui donner un orgasme et un jour que ça lui avait échappé et qu'il l'avait traitée de pute pendant le coït, elle lui avait répondu qu'elle serait sa putain s'il voulait qu'elle le soit et le jour où il l'avait traitée de salope, elle s'était jetée sur lui et pendant près d'une demi-heure elle avait sucé sa bite et ce qui le rendait fou c'était quand elle se masturbait devant lui et si au début de leur rencontre elle n'avait pas voulu lui dire, quand elle s'y était décidée, elle lui avait avoué qu'elle se masturbait depuis qu'elle savait le faire et qu'elle l'avait fait presque tous les soirs en se couchant dans son lit.

- Et toi, lui avait-elle demandé, tu te masturbes ?

Il lui avait avoué que ça avait été comme pour elle puis elle avait voulu qu'il se masturbe devant elle mais elle ne l'avait pas laissé continuer et elle avait avalé sa bite si bien qu'il avait éjaculé jusqu'au fond de sa gorge au point qu'elle avait dû avaler la semence.

C'est Sonia qui, la première, s'est lancée et après avoir demandé à Christelle, elle a posé sa main sur la bite puis elle l'a troussée avant de commencer à la branler puis Carine s'en est mêlée et Jean s'est demandé ce qu'allait en penser son amie mais il avait une autre idée en tête et il leur a exprimée sans vraiment être convaincu que les trois femmes y souscriraient :

- Voilà à quoi je pense, leur a-t-il dit : vous faites l'amour ensemble toutes les trois et je viendrais, au hasard, compliquer le tableau !

Jean est presque sûr quand il y repense, que les trois femmes ont rougi puis elles se sont ralliées à son idée.

- Mais, alors, vous l'avez déjà fait, leur a-t-il encore demandé ?

- Mais non, ont-elles protesté en chœur ! Nous ne sommes pas lesbiennes !

- Et quand je vous demande de faire l'amour ensemble, s'est amusé Jean ?

- C'est pas la même chose quand il y a un homme, a répondu le chœur des femmes !

Ah, le mystère insondable des femmes, a pensé Jean ! Carine s'est mise à quatre pattes et Christelle a suivi et Sonia leur a emboîté le pas et comme attirées par un invisible aimant, bouches et cons se sont rencontrés et les trois femmes ont fait la ronde mais ce n'était pas tout à fait ça même si elles avaient de l'ardeur à l'ouvrage.

- Am stram gram, pic et pic et colegram, a fait Jean ! Bour et bour et ratatatam ! Je vais là !

Il a séparé Sonia et Carine et il s'est intercalé entre elles et il a collé sa bouche sur le con de Sonia et Carine a cherché sa bite comme l'aurait fait une chienne avec son mâle et la ronde s'est élargie et les abeilles, les moustiques et les oiseaux n'ont plus entendu que le bruit des langues et des lèvres sur les cons et la bite. Jean écartait ses cuisses et Carine se tortillait le cou pour profiter au mieux de la bite.

- Qui veut ma bite, a demandé Jean qui a libéré Sonia ? Je la donne à celle qui a les plus gros seins !

Sonia a poussé un cri et elle s'est retournée puis elle s'est précipitée vers la bite, chienne à son tour à la recherche du mâle. Ses mamelons frottaient sur le gazon.

- Salope ! Il est à moi, lui a crié Christelle en se précipitant sur elle et les deux femmes ont roulé l'une sur l'autre tandis que Jean attendait, la bite dressée sous son ventre et l'une après l'autre, son amie et Sonia ont avalé son membre.

- Puisque c'est comme ça, je la redonne à Carine, a fait Jean et Carine a avalé à nouveau la bite pendant que les deux autres filles se roulaient dans l'herbe, verrouillée l'une à l'autre en soixante-neuf.

Profitant qu'elle était tranquille et seule avec Jean, Carine lui a dit qu'il pouvait jouir dans sa bouche mais ce n'était pas ce dont il avait envie. Jean a décrété une pause et les trois femmes se sont rassemblées en ligne et à genoux devant lui.

- Carine à gauche, Sonia au milieu et toi à droite, a-t-il décrété et les filles se sont mises dans l'ordre logique de la grosseur de leur poitrine.

Jean a pensé que ça faisait un très bel échantillon de jolies femmes

- Vous êtes belles, a-t-il ajouté ! Il faut que je vous le demande pour que vous fassiez l'amour ensemble ? Vous n'y avez vraiment jamais pensé ?

Les trois femmes se sont regardées et il a compris qu'aucune de ces trois femmes ne lui avouerait jamais qu'elles en avaient toujours eu envie et qu'elles en mourraient d'envie depuis qu'elles se connaissaient.

- Vous allez me présenter vos fesses et je vous ferais dix pénétration et dix retraits et je vous prendrais l'une après l'autre et le hasard décidera qui bénéficiera de mon sperme, a ajouté Jean ! Vous êtes d'accord ?

Une fois de plus les trois femmes se sont regardées et Jean voyait bien que son amie était jalouse et craignait que ce ne soit une de ses amies qui bénéficie des faveurs de son petit ami mais il lui fallait bien obéir et commes les deux autres, elle s'est mise à genoux pour lui présenter ses fesses. Maintenant, il pouvait commencer : dix coups dans le con de Carine; dix coups dans le con de Christelle; dix coups dans le con de Sonia puis à nouveau le con de Carine mais il s'est dit qu'il serait amusant de leur caresser les seins entre deux saillies et il a caressé les seins de Carine comme pour la récompenser puis il a pénétré Christelle et il lui a caressé les seins ensuite puis il a pénétré Sonia et il a eu un sourire en se disant que ces gros nichons étaient difficiles à remuer puis il a repris Carine, Christelle, Sonia. Carine, Christelle, Sonia. Carine, Christelle. Jean se rendait bien compte qu'il n'était pas très loin d'arriver et puis c'était un con familier qu'il avait pénétré de nombreuses fois et qu'il avait aussi regardé se faire doigter par sa propriétaire et il a triché en faisant deux pénétrations supplémentaires contrairement à la règle et la semence a jailli au fond du con de Christelle.

- C'est pas juste, a hurlé Sonia ! J'ai compté et c'est moi qui aurait dû en bénéficier mais Carine a été la plus prompte et elle a bousculé Jean pour pouvoir prendre la bite dans la bouche et bénéficier des ultimes gouttes de sperme et Sonia n'a pu que coller ses lèvres sur les petites lèvres de Christelle et récupérer le sperme qui maintenant refluait du vagin.

- C'est très bien, on dit les trois femmes en se rassemblant autour de Jean ! Ce qui serait bien serait que tu nous satisfasse toutes les trois ! Tu es d'accord, Christelle, lui a demandé Sonia ?

- Pourquoi pas, lui a répondu Christelle ! J'ai eu la chance d'avoir vidé les couilles de Jean et maintenant, c'est juste que vous puissiez en bénéficier !

Tout le monde est d'accord, s'est dit Jean ! Il faudrait que je téléphone pour dire que je ne rentrerai pas ce soir et en plus je ne pourrais jamais raconter que c'est pour pouvoir réaliser un fantasme que j'ai depuis mon enfance : faire l'amour avec plusieurs femmes en même temps ! Il a passé son coup de fil. Sonia a dit à Christelle qu'elle sentait la chatte et qu'elle devrait se laver mais l'amie de Jean a refusé.

- Tout ce que je veux, c'est que tu jouisses, lui a répondu Christelle et tu verras que ce n'est pas un mâle comme les autres qui se contente de tirer son coup avant de s'en aller ! Embrasse-moi !

Sonia l'a embrassée sur la bouche mais Christelle lui a dit que ce n'était pas ce qu'elle voulait, mais qu'elle l'embrasse sur la bouche et qu'elle y mette la langue pour exciter Jean qui, comme ça, la fera vraiment jouir.

- J'y veillerai, a ajouté Christelle !

Il n'y avait plus un seul nuage dans le ciel et il faisait plus chaud que tout à l'heure et sans que les femmes n'interviennent, Jean s'est remis à bander et les trois femmes se sont à nouveau occupées de lui. Il était temps maintenant de s'accoupler avec Sonia et il aurait bien voulu la prendre entre ses gros seins mais les femmes n'ont pas voulu. Pour Christelle, ça devait être identique pour toutes les trois.

- Baise-la ! Baise-la bien cette salope parce que ce sera la dernière fois, lui a hurlé Christelle ! Touche-lui ses grosses mamelles parce qu'elle aime ça ! Baise-là !

Les lèvres de son amie étaient presque collées à son oreille et Sonia était à quatre pattes sous Jean avec la bite complètement au fond de son vagin et ses seins s'écrasaient sur l'herbe. La bite ramonait son vagin et Carine ne se contentait pas de les encourager parce qu'elle les caressait tous les deux en pensant que ce serait bientôt à son tour et qu'on ne sait jamais...


- Ça vient, a gémi Jean !

- Alors, tu vas jouir, salope, a fait Christelle à son amie en glissant sa main jusqu'au clitoris de son amie puis remettant ses lèvres sur l'oreille de Jean elle lui a dit de faire jouir cette putain et Jean a joui en même temps que Sonia avait un orgasme et le sperme a rempli un nouveau vagin.

Maintenant, il n'en pouvait plus et il a quand même regardé Carine qui ne semblait plus vouloir s'accoupler avec lui et qui jouait l'indifférente et Jean regardait les petits seins coniques.

- Tu le veux, a dit Christelle à Carine en lui attachant un baîllon sur la bouche ! Mais avant tu vas souffrir !

Ses deux copines l'ont mise à quatre pattes puis le martinet que tenait Christelle dans sa main s'est abattu sur sa chatte et il était évident que l'amie de Jean la fouettait pour lui faire mal et ça lui faisait horriblement mal car tous les coups s'abattaient sur le clitoris et les petites lèvres et Carine a pensé qu'elle allait s'évanouir mais les deux femmes l'ont relevée et le martinet s'est abattu cette fois sur ses seins. Jean les regardait faire son réagir. Comment aurait-il pu lui qui était épuisé. Il avait mal aux couilles et il avait mal à la bite. Christelle et Sonia embrassaient les seins de la femme comme si elles voulaient se faire pardonner pendant que leurs doigts fouillaient son con et peu à peu, la bite de Jean s'est redressée. Il s'est approché des trois femmes et il leur a mise dans la bouche successivement mais elles avaient une autre idée dans la tête car la bite une fois dans la bouche de Sonia, ses deux amies ont pris les couilles dans leur bouche et elles les ont fait tourner avec leur langue puis les femmes ont changé de rôle et c'était maintenant dans la bouche de Christelle qu'était la bite et ainsi de suite mais quand elle a été bien raide le manège s'est arrêté et le con de Carine s'est retrouvé devant le gland de Jean et il s'est enfoncé jusqu'au fond et il en ressorti pour se renforcer et ainsi de suite jusqu'à ce que sa semence s'épanche au fond du vagin de Carine.

Il était mort maintenant et il s'est endormi sur la pelouse et il a eu du mal à se révieller quand les filles sont revenues le chercher. Maintenant, il était question de dîner et pas d'autre chose et Jean a dévoré comme il n'avait jamais dévoré puis il a aidé les femmes à faire la vaisselle et il est monté se coucher avec son amie et quand il a demandé à Carine et à Sonia ce qu'elles faizsaient, elles lui ont répondu qu'il leur avait donné l'idée de passer la nuit ensemble et le lendemain matin, il a trouvé les deux femmes emmêlées l'une dans l'autre. Maintenant, il était temps pour lui de reprendre sa tournée.

FIN