UN VERRE AU BAR
Récit érotique écrit par Noirs-Desirs [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-12-2022 dans la catégorie Plus on est
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UN VERRE AU BAR
Comme à chaque fois mon époux a imaginé une soirée de sexe dont je ne sais rien.
- Chérie ce soir on sort et prendre un verre dans un bar et rejoindre Malick qui fête ses vingt-cinq ans.
Malick c est un collègue de mon mari un beau malien que j avais déjà reluquer à leur fête de fin d'année au boulot.
Mon homme qui n'a pas ses yeux dans sa poche à du le remarquer.
Je prend une douche rapide et me voilà devant ma tenue de soirée qu'il m'a comme à chacune de nos sorties préparer.
Sur le lit je trouve un porte jarretelles blanc, des bas coutures gris, une petite robe moitié dentelle moitié tulle très et une paire d'escarpins à plateau en dentelle blanche et aux talons très hauts.
Pour compléter le tout un maquillage de soirée aux tons gris et paillettes et mon rouge a lèvres carmin et glossaire.
Me voilà prête à partir, je jette un petit perfecto gris sur mes épaules et en route.
Après quarante minutes nous voici arrivés porte de la chapelle on prend quelques rue étoiles bondées malgré l heure.
On se gare entre un échafaudage et un café.
- Tu est sur de l'adresse ton bar semble fermé, non ?
Mais sans me répondre mon mari sort de la voiture et se dirige vers la l'entrée et pousse la porte.
Je passe la porte et me retrouve dans une salle vieillotte quelques chaises de skaï rouge et aux tables en bois dont deux sont occupés par des blacks devant un café, la au comptoir 3 ouvriers arabes discutent et derrière le bar le patron dans les soixante ans nous regarde entrer.
Mon homme se dirige vers le tenancier et lui demande:
- Malick n est pas la ?
Le patron nous répond qu'il est en chemin se ne devrait pas tarder.
Mon mari me guide vers le zinc et s installe sur un de ses haut tabourets qui trône devant nous et je fait de même.
Évidemment ma robe un peut courte laisse entrevoir le haut de mes bas ce qui ne laisse visiblement pas indifférent les consommateurs de l établissement.
Je commande une coupe et mon mari une vodka. En dix minutes j ai vider mon verre et un des maghrébins me demande si j en désire un second. En personne bien élevée je ne peux refuser.
Ils se rapproche de nous et commencent à discuter de tout et de rien avec nous.
Je vois bien qu'ils ne quittent pas mes cuisses en discutant.
C est au tour des blacks aux tables de nous proposer un verre et par la même occasion de nous entouré surtout moi d ailleurs.
Le patron se dirige vers la porte et place sue les vitres de grandes tentures et retourne l'étiquette qui passe de ouvert à fermé.
La j'ai compris l'idée de mon conjoint et le regarde amusée.
Les hommes sont autour de ma chaise et certains commencent à poser leurs mains sur mes cuisses.
Je décroisée mes jambes leurs montrant ainsi que je suis plutôt partante pour le jeux.
Déjà le patron a sa queue à l'air et me prend la main et me la pose sur sont engin.
Je sent mon blouson qui s ouvre et se retrouve au sol laissant apparaître mes seins à travers le haut transparent.
D'autres me fouille la chatte que j ai déjà toute ruisselante de désir.
La voie de mon mari se fait entendre:
- Doucement messieurs inutile de lui sauter dessus chacun aura sont tour, pour le moment je souhaiterais la faire monter sur le bar à quatre pattes pour immortaliser l instant.
Ils m'aide à escalader le comptoir et me voilà devant l objectif de mon mec les hommes en profitant pour me caresser à genoux sur le zinc. Je m'assois sur le cuivre froid et laisse pendre mes jambes. Un des noirs passe sa tête entre mes cuisses et me titillent clito avec sa langue.
Un autre noir un colosse me soulève et me pose au sol. Immédiatement je sent les hommes au tour de moi.
Je prend les choses en main ou plutôt je devrais dire en bouche en effet je me met à genoux et commence à pomper toutes les queues que j attrape.
Je suce, pompe, avale chacun des membres qui m'entoure, celui du patron je le reconnais direct mou avec un gland très rouge et je me met en devoir de le faire durcir. Peine perdu malgré l énergie que j y met j arrive tous juste à avoir une demi-molle, je le branle encore un peu et je le reprends en bouche. Il râle et sort sa bite de ma bouche et m'étale un liquide blanc et crémeux sur la joue.
Le grand noir m attrape par la taille et me soulève. Il me pose sur le dos sur une table bistrot un de ses compères pose une seconde table sous mon dos et le colosse m écarté les cuisses, je me rend compte qu'il a mis une capote et je sent sont gland énorme qui force l'entrée de ma chatte.
Il s allonge sur moi et plante sont pieux en moi. Je suis tellement excitée qu'une première vague de plaisir monte en moi.
Je continue de sucer ce qui me vaux d être aspergé du foutre de ses messieurs.
Une fois que que le black se retire son préservatif plein de semence, il prend soin de le vider sur mon visage à la demande de mon mari.
Une couverture est jeter au sol et un des arabes s allonge sur le dos le sexe dresser je l'enjambe et m'assois dessus sa tige est plutôt longue et bien dure. Me voilà qui bouge mon bassin pour prendre un maximum de plaisir.
Des mains me claque les fesses ce qui augmente encore mes cris de plaisir.
Deux mains m'écarte le cul et je tourne la tête pour apercevoir un deuxième arabe enfiler une capote sur une bite courte mais grosse comme une canette de soda il a d ailleurs su mal à se glisser dans la protection.
Il pose son gland devant ma petite rondelles et commence sont travail de dilatation, il force le passage, en une poussée douce et régulière il investit mon cul en une fois,
J'adore cette sensation, les queues qui glissent en moi à des rythmes différentes.
Je suis envahie d'une violente jouissance, Je ne peux retenir mes cris, ma chatte est en feu, mon petit trou me fait mal mais aussi du bien, ivres de plaisir j'hurle ma jouissance.
Les deux arabes se vide en même temps que prend mon pied.
Ils se retirent et toujours sur les injonctions de mon époux rajoute leurs foutre encore chaud sur mon visage toujours recouvert des sécrétions d'autres participants.
Me voilà à genoux sans force et complètement souillée pas le jus de ses hommes, leurs sperme me dégouline du visage sur ma robe relevée jusqu'à la taille.
Je suis heureuse de cet petite soirée fatigante certes mais tellement agréable.
Je cherche mon conjoint dans la pièce, il est assis à une table et a côté de lui Malick qui était dans un coin depuis le début et n' à rien perdu du spectacle notre appareil photo est pose devant lui.
Il a couvert toute la soirée depuis sont coin à la demande de mon mari.
Mon homme se lève et vient m'aider à me mettre debout, je vacille sur mes talons. Il me guide jusqu'à la table de Malick qui me tend une coupe de champagne.
- Dit donc je ne pensais pas que tu avais une femme aussi salope !
Adresse t il a mon mari
- Elle m'a excitée ta cochonne, venez on va finir la nuit à la maison. Ce sera mon cadeau anniversaire.
- Chérie ce soir on sort et prendre un verre dans un bar et rejoindre Malick qui fête ses vingt-cinq ans.
Malick c est un collègue de mon mari un beau malien que j avais déjà reluquer à leur fête de fin d'année au boulot.
Mon homme qui n'a pas ses yeux dans sa poche à du le remarquer.
Je prend une douche rapide et me voilà devant ma tenue de soirée qu'il m'a comme à chacune de nos sorties préparer.
Sur le lit je trouve un porte jarretelles blanc, des bas coutures gris, une petite robe moitié dentelle moitié tulle très et une paire d'escarpins à plateau en dentelle blanche et aux talons très hauts.
Pour compléter le tout un maquillage de soirée aux tons gris et paillettes et mon rouge a lèvres carmin et glossaire.
Me voilà prête à partir, je jette un petit perfecto gris sur mes épaules et en route.
Après quarante minutes nous voici arrivés porte de la chapelle on prend quelques rue étoiles bondées malgré l heure.
On se gare entre un échafaudage et un café.
- Tu est sur de l'adresse ton bar semble fermé, non ?
Mais sans me répondre mon mari sort de la voiture et se dirige vers la l'entrée et pousse la porte.
Je passe la porte et me retrouve dans une salle vieillotte quelques chaises de skaï rouge et aux tables en bois dont deux sont occupés par des blacks devant un café, la au comptoir 3 ouvriers arabes discutent et derrière le bar le patron dans les soixante ans nous regarde entrer.
Mon homme se dirige vers le tenancier et lui demande:
- Malick n est pas la ?
Le patron nous répond qu'il est en chemin se ne devrait pas tarder.
Mon mari me guide vers le zinc et s installe sur un de ses haut tabourets qui trône devant nous et je fait de même.
Évidemment ma robe un peut courte laisse entrevoir le haut de mes bas ce qui ne laisse visiblement pas indifférent les consommateurs de l établissement.
Je commande une coupe et mon mari une vodka. En dix minutes j ai vider mon verre et un des maghrébins me demande si j en désire un second. En personne bien élevée je ne peux refuser.
Ils se rapproche de nous et commencent à discuter de tout et de rien avec nous.
Je vois bien qu'ils ne quittent pas mes cuisses en discutant.
C est au tour des blacks aux tables de nous proposer un verre et par la même occasion de nous entouré surtout moi d ailleurs.
Le patron se dirige vers la porte et place sue les vitres de grandes tentures et retourne l'étiquette qui passe de ouvert à fermé.
La j'ai compris l'idée de mon conjoint et le regarde amusée.
Les hommes sont autour de ma chaise et certains commencent à poser leurs mains sur mes cuisses.
Je décroisée mes jambes leurs montrant ainsi que je suis plutôt partante pour le jeux.
Déjà le patron a sa queue à l'air et me prend la main et me la pose sur sont engin.
Je sent mon blouson qui s ouvre et se retrouve au sol laissant apparaître mes seins à travers le haut transparent.
D'autres me fouille la chatte que j ai déjà toute ruisselante de désir.
La voie de mon mari se fait entendre:
- Doucement messieurs inutile de lui sauter dessus chacun aura sont tour, pour le moment je souhaiterais la faire monter sur le bar à quatre pattes pour immortaliser l instant.
Ils m'aide à escalader le comptoir et me voilà devant l objectif de mon mec les hommes en profitant pour me caresser à genoux sur le zinc. Je m'assois sur le cuivre froid et laisse pendre mes jambes. Un des noirs passe sa tête entre mes cuisses et me titillent clito avec sa langue.
Un autre noir un colosse me soulève et me pose au sol. Immédiatement je sent les hommes au tour de moi.
Je prend les choses en main ou plutôt je devrais dire en bouche en effet je me met à genoux et commence à pomper toutes les queues que j attrape.
Je suce, pompe, avale chacun des membres qui m'entoure, celui du patron je le reconnais direct mou avec un gland très rouge et je me met en devoir de le faire durcir. Peine perdu malgré l énergie que j y met j arrive tous juste à avoir une demi-molle, je le branle encore un peu et je le reprends en bouche. Il râle et sort sa bite de ma bouche et m'étale un liquide blanc et crémeux sur la joue.
Le grand noir m attrape par la taille et me soulève. Il me pose sur le dos sur une table bistrot un de ses compères pose une seconde table sous mon dos et le colosse m écarté les cuisses, je me rend compte qu'il a mis une capote et je sent sont gland énorme qui force l'entrée de ma chatte.
Il s allonge sur moi et plante sont pieux en moi. Je suis tellement excitée qu'une première vague de plaisir monte en moi.
Je continue de sucer ce qui me vaux d être aspergé du foutre de ses messieurs.
Une fois que que le black se retire son préservatif plein de semence, il prend soin de le vider sur mon visage à la demande de mon mari.
Une couverture est jeter au sol et un des arabes s allonge sur le dos le sexe dresser je l'enjambe et m'assois dessus sa tige est plutôt longue et bien dure. Me voilà qui bouge mon bassin pour prendre un maximum de plaisir.
Des mains me claque les fesses ce qui augmente encore mes cris de plaisir.
Deux mains m'écarte le cul et je tourne la tête pour apercevoir un deuxième arabe enfiler une capote sur une bite courte mais grosse comme une canette de soda il a d ailleurs su mal à se glisser dans la protection.
Il pose son gland devant ma petite rondelles et commence sont travail de dilatation, il force le passage, en une poussée douce et régulière il investit mon cul en une fois,
J'adore cette sensation, les queues qui glissent en moi à des rythmes différentes.
Je suis envahie d'une violente jouissance, Je ne peux retenir mes cris, ma chatte est en feu, mon petit trou me fait mal mais aussi du bien, ivres de plaisir j'hurle ma jouissance.
Les deux arabes se vide en même temps que prend mon pied.
Ils se retirent et toujours sur les injonctions de mon époux rajoute leurs foutre encore chaud sur mon visage toujours recouvert des sécrétions d'autres participants.
Me voilà à genoux sans force et complètement souillée pas le jus de ses hommes, leurs sperme me dégouline du visage sur ma robe relevée jusqu'à la taille.
Je suis heureuse de cet petite soirée fatigante certes mais tellement agréable.
Je cherche mon conjoint dans la pièce, il est assis à une table et a côté de lui Malick qui était dans un coin depuis le début et n' à rien perdu du spectacle notre appareil photo est pose devant lui.
Il a couvert toute la soirée depuis sont coin à la demande de mon mari.
Mon homme se lève et vient m'aider à me mettre debout, je vacille sur mes talons. Il me guide jusqu'à la table de Malick qui me tend une coupe de champagne.
- Dit donc je ne pensais pas que tu avais une femme aussi salope !
Adresse t il a mon mari
- Elle m'a excitée ta cochonne, venez on va finir la nuit à la maison. Ce sera mon cadeau anniversaire.
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