Un voyage à couper le souffle

- Par l'auteur HDS Labruyère -
Récit érotique écrit par Labruyère [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Un voyage à couper le souffle Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-02-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un voyage à couper le souffle
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En voyage au Brésil, je marche en contre-bas d'une colline dans une ruelle sombre. J’arpente un quartier particulièrement miséreux nommé recife.
Une vieille femme et une jeune fille sont assises l'une en face de l'autre au milieu du passage. Elles épluchent des courges sur une table en fer rouillée, dont il ne reste que quelques écailles de peinture jaunie.
Gonflé d'une suffisance mal placée, que me confère la richesse du « pays développé » dont je viens, je passe devant ces habitantes en les observant discrètement. La vieille femme a le visage tanné par le soleil et la peau plissée, à tel point que ses yeux ne sont plus que deux brillances noires sous des tissus froissés, ployant sous le poids de la gravité. Elle a des cheveux d'un blanc pur et uniforme qui, s'ajoutant à une posture rigide, lui donnent un air menaçant.
Arrivé au niveau de leur table, je tourne légèrement la tête et vois en coin le visage d’une jeune fille, dont j’avais déjà deviné l'âge à sa nuque mince et tendre, et à sa chevelure brune, brillante, teintée de mèches châtains clairs. Autant de signes de jeunesse et d'une vie passé à l'air libre, léché par les rayons d'un soleil puissant.
Elle a les traits du visages fins, avec une mâchoire légèrement prononcée, ce qui lui donne un air élégant de femme, tout en conservant la douceur d'un profil d'adolescente. Elle a le teint hâlé, deux yeux d'un vert à la fois clair et profond, qui sous des sourcils assez foncés, lui donne un caractère sauvage, farouche. À cela s'ajoute une bouche charnue qui s'intègre parfaitement au portrait, en ce qu'elle semble avoir été faite toute à la fois pour embrasser et pour mordre.
Elle est habillée d'un chemisier bleu clair passé, boutonné jusqu'au col, et d'une petite jupe blanche qui avait dû remonter l'air de rien au fil de son labeur, laissant apparaître ses jambes satinées, magnifiques, à peine cachées.
Ces dernières étaient minces, dorées à souhait, galbées doucement au mollet, et juste assez musclées pour marquer d'un trait lascif le milieu de la cuisse, qui ressortait lorsqu'elle avait les jambes croisées comme maintenant. J’eus comme un sentiment violent qui me saisit le cœur. Une sensation de chaleur qui me prit au bas ventre et remonta jusqu'au cou pour me laisser l'impression brutale d'être enfermé dans mon corps. Mon désir s'était déjà projeté entre les cuisses de la belle inconnue, mais mon corps suivait le trajet qu'imprimait sur moi une volonté mécanique, et froide, recommandée par la bienséance.

Je poursuivis ma route, un peu ahuri, étonné de la marque profonde qu'avait laissée sur moi cette fille.
Elle me hanta toute la journée, son visage et son corps revenaient par des images soudaines, me laissant à chaque fois la sensation qu'on me heurtait à la poitrine. Elle avait fait naître en moi un désir violent et compulsif. Incapable de dormir dans le lit de mon hôtel standardisé, la fièvre au corps, je m’habille et décide de marcher pour épuiser mon envie.
Après avoir trouvé un de ces taxis qui ne dorment pas non plus, je retourne compulsivement à l'endroit même de la ruelle, mais elle est vide cette fois.
Je la parcours d'un bout à l'autre sans que mon regard ne souffre de rencontrer un seul obstacle. Je remonte le passage en quête d'un indice... Rien.
Les volets sont tous fermés, pas de nom sur les maisons, la table et les chaises ont disparu. Je poursuis ma marche dans d'autres rues du quartier jusqu'à tomber sur un vieil homme à la barbe roussie et aux lèvres brûlées par la cigarette. Avec mon maigre bagage de vocabulaire portugais, je décris la jeune fille et la vieille femme que j’ai vues plutôt dans la journée. À mon grand étonnement, le vieillard semble voir immédiatement de qui il s'agit. Il pointe distinctement du doigt une maison turquoise, mal éclairée par un lampadaire, prise dans une succession d'autres habitations. Soudainement enjoué, je ne pensais pas vraiment retrouver leur trace à une heure pareille. J’étais parti à la recherche de l'Atlantide, sans y croire vraiment, ayant conscience d'une certaine manière que c'est la force demandée par l'aventure elle-même qui me servirait d'exutoire.
Le vieil homme parle vite, mais par le biais de signes et d'expressions universels, acquis par la nécessité, il signifie qu'il faut le payer pour cette information. Embarqué dans cette situation, je cherche quelques réaux brésiliens dans mon portefeuille et les remet dans le creux de sa main alors tendue.

Mon cœur s'accélère, j’approche de la maison. Me voilà devant la porte. J’entends le bruit d'une télévision allumée par la fenêtre entrouverte. Je n'ose pas frapper, mais ne s'aurait renoncer pour autant. Tiraillé, je tente de regarder par l'interstice laissé par le rideau à l'intérieur de la maison. Je vois les deux jambes fortes d'un homme posé sur une table basse, faisant face à un écran. Pendant une seconde, je vois mon idole en ménage avec un autre homme. « Ne pas y penser, investiguer, se renseigner, rien n'est sûr à ce moment ». J’attends quelques minutes à observer attentivement un éventuel détail pouvant me renseigner sur la situation, quand une femme vint à se présenter dans mon champ de vision. Elle semble avoir la quarantaine, bedonnante et mal coiffée. Elle fait ménagère négligée. Peut-être sont-ce ses parents ? Soudain, j’entend un « O que e isso?! » nettement audible, tranchant avec la bouillie du son émis par la télévision. Je regarde de nouveau par la fente de lumière et vois la femme qui me fixe d'un air aussi furieux qu'interrogatif. Une impression de terreur et de vertige me saisit. On m’a repéré! J’entends des bruits de pas sur le plancher de la maison. Je tente de me calmer, je me stoppe et me résous à leur expliquer la situation.
Un homme en marcel blanc avec une gueule burinée et une barbe épaisse noire ouvre la porte. Il est sale, gros, énervé, et détail important, avec un morceau de bois en forme de batte dans la main. Il sort et s'approche. Je lui fait signe de se calmer et répète plusieurs fois le mot « menina » qui veut dire « fille ». Le vieux m’interroge, toujours furieux et menaçant. La femme arrive sur le pas de la porte, tenant son peignoir d'une main. Elle appelle l'homme « Gustavo » et lui dit une phrase incompréhensible. Il lui répond sur air interrogatif. Il s'approche davantage de moi en baissant son bâton et semble poser une question. Il mime des cheveux longs et bouclés. J’acquiesce, faute de s'être parfaitement compris, ça m’évitera les coups de bâtons dans l'immédiat.
Le vieil homme sourit d'un air ironique, se dirige vers la porte et hurle quelque chose dans la montée d'escalier qu'on aperçoit du dehors. Il revient vers moi, toujours avec ce sourire gras aux lèvres. On entend des pas légers descendre et la jeune fille apparaît. C'est elle, et allez savoir pourquoi elle est encore plus belle et désirable que lorsque je l'avais croisée plus tôt dans la journée. Peut-être est-ce l'obscurité de la nuit qui offre une certaine intimité à ceux qui veulent bien s'en saisir ? Elle a encore ce regard farouche qui me fixe cette fois-ci.
Le vieux se rapproche à deux doigts de moi et me dit à l'oreille, « mil ». Déstabilisé mais piégé par cette situation que la peur de la violence de cet homme guide, je réponds précipitamment « sim, sim, ... » Et lui tend les billets. Le vieux molosse semble satisfait et me fait signe de passer devant, m’indiquant la porte de la maison. Je m’exécute et me retrouve face à la jeune fille qui me prend la main d'un air décidé presque machinal, et monte les escaliers. On aboie quelque chose dans l'escalier, ce à quoi la jeune fille répond par l'affirmative sur un ton sec et agacé.

Les murs sont délabrés. On distingue à peine les vestiges d'une ancienne peinture. On arrive sur le palier. Tout est obscur. Je suis ses longues jambes brunes dans l'obscurité et sens son odeur. C'est à la fois frais, féminin et épicé. Il y a un mélange de fleurs blanches de tabac blond et de safran. Cette odeur excite mes sens et je commence à prendre conscience de ce que je m'apprête à vivre. Elle ouvre une porte sur la droite et une faible lumière éclaire alors le couloir. Je pénètre dans la pièce. C'est petit, il y a un lit une place défait le long du mur du fond, deux étagères pleines de linges, de bric et de broc, et une lampe de chevet qui éclaire l'ensemble.
Dans sa petite jupe trapèze bombée à l'arrière, elle s'avance dans la pièce. Mon coeur bat tellement fort qu'on aurait cru qu'il allait se décrocher.
Elle se retourne face à moi, se tenant de toute sa superbe, et me laisse alors parcourir à souhait l'ensemble de ses courbes. Elle a la silhouette gracile, les hanches marquées et à en juger par le volume au niveau de sa poitrine, de beaux seins.
Elle me prend par le pan de mon t-shirt et me fait assoir sur son lit. Elle commence tout en me regardant dans les yeux avec une certaine nonchalance, à déboutonner son chemisier de bas en haut. Elle a une peau de velours dorée, une taille et un ventre de mannequin pour lingerie. Je peux mourir à présent.
Elle me tourne le dos puis, cambrée, elle descend la fermeture éclair sur le côté de sa jupe avant de la faire tomber à ses pieds. Elle a des fesses généreusement rebondies, enserrées dans un shorty blanc tout simple qui donne un air ingénu à ce corps si érotique.
J'ai envie de la toucher, de la palper, de la croquer. Je m'approche d'elle, mais délicatement, d'une main, elle me repousse sur le petit lit. Je comprends que je dois rester sage pour le moment.
Elle commence à faire bouger son corps lascivement. Ses formes ondulent harmonieusement dans un déhanché dont les latines ont le secret. La tension monte en moi.
Elle s'approche de moi, se retourne et colle ses fesses sur mon sexe qui pousse déjà de toutes ses forces sur le tissu de mon pantalon. Je sens sa chaleur et sa petite chatte se frotter le long de mon membre. Je sens ses lèvres s'écarter à travers le tissu sous la pression des corps.
J'ai ses cheveux qui sentent le parfum dans les yeux, et j'aperçois ses deux fesses que je caresse maintenant de mes mains avides. Je remonte le long de ses hanches et je palpe maintenant ses deux seins. Je dégrafe son soutif et reprends à pleine main sa poitrine ferme et infiniment douce.
Son souffle s'accélère, elle se frotte de plus en plus fort et de plus en plus vite.
Je m'allonge pour admirer plus à mon aise son déhanché sur mon sexe. Elle est tellement affairée à la tâche que son shorty laisse voir un bout de sa chatte, parfaitement épilée, et déjà humide. Avec une grande dextérité, elle déboutonne mon pantalon, baisse ma fermeture éclair et sort ma queue de mon caleçon. Sa main est légèrement froide, ce qui accentue les sensations à son contact. Elle me masturbe doucement de sa main experte, puis se lève d'un coup et enlève sa culotte, dernier rempart d'une apparente pudeur, avant de coller à nouveau ses lèvres trempées par la cyprine sur mon membre ferme et palpitante. J'aperçois l'intérieur de sa chatte toute rose et son anus que je fais ressortir au grand jour en lui écartant les fesses avec mes deux mains. La jeune fille que j'ai croisée plutôt dans la rue a laissé place à une diablesse particulièrement zélée, me dis-je, pendant qu'elle glisse et s'excite sur mon sexe.

Elle a des fesses magnifiquement rebondies et cela d’autant plus quand elles sont tendues comme maintenant. Ma main part soudain et je lui envoie une première claque sur la fesse droite. Elle gémit. Je lui en lance une autre. Elle s'affaire davantage à la tâche.

Excité à blanc par son cul frottant sur ma queue, je me lève, la poussant à se relever à son tour, et je la mets à quatre pattes sur le lit, face à moi. Je me tiens devant elle et elle comprend vite ce que je désire. Elle empoigne alors mon sexe et se le fourre directement dans la bouche. Il y a différents styles de fellations. Il y a notamment le style précieux, où la femme prend son temps, en commençant par des petits coups de langue jusqu'à la prendre entièrement en bouche. Et puis, il y a le style sauvage de celle qui veut avaler goulûment, comme s'il fallait en mettre une grosse quantité au plus vite à l'intérieur. Devinez quel est le style de ma Reine ?
Je sens mon sexe rentrer dans sa bouche chaude et toucher sa langue qui fait des grands tours autour de mon gland. Plus elle suce vite plus je la vois se cambrer, laissant ressortir ses fesses. Je ne résiste pas à cet appel et commence à lui doigter son anus serré avec mon majeur. Ça semble l'exciter davantage. Je lui fais accélérer la cadence des vas et vient de sa bouche en donnant de petit coup de rein. Elle se laisse faire docilement.
Je lui enlève d'un coup mon gland de sa bouche, elle me regarde comme une chienne bien excitée, je la retourne et lui plaque la tête sur le lit, l'obligeant à se cambrer. Son cul est à ma disposition. De ma main disponible, j'oriente mon sexe dans sa chatte ruisselante et lui enfonce doucement, mais fermement. Là, c'est le voyage fabuleux des sens lorsque je glisse au fond et là commence le ballet éblouissant des allers-retours.
Une bribe de conscience me fait apprécier le spectacle grandiose que j'ai sous les yeux. Il y a cette belle latine à la peau dorée, au corps de déesse qui frémit au rythme de mes impulsions portées en sa direction.
L'excitation monte encore d'un cran de part et d'autre. Elle commence à gémir de plus en plus fort et moi, j'ai envie d'être brutal. La main plaquée contre sa bouche, elle tente de retenir ses cris pour ne pas qu’on nous entende. Vaine tentative. Plus elle jouit, plus je la baise durement. Je veux plus !

Là, je sors mon membre, lui laissant une seconde de répit, et la positionne en chien de fusil sur le lit, avant de me mettre derrière elle. Je me colle contre son corps brûlant avant de prendre un peu de recul afin de profiter de la vision de son dos lascif et de son cul fabuleux.
Je crache sur mes doigts et commence à lubrifier son anus tout en lui écartant les fesses de l'autre main. J'applique mon sexe sur son cul et je pousse. Ça résiste, mais en maintenant une pression constante, je parviens à me frayer un chemin petit à petit. Mon gland passe d'abord, puis lentement, je tâche d'introduire le reste de ma queue centimètre par centimètre. Elle souffle fort, et semble avoir un peu mal. Elle pose sa main sur mon bassin pour gérer la progression de la pénétration. Je m’accorde à son rythme. Au bout de quelques allers-retours son cul semble bien dilaté et je profite maintenant de toute la profondeur et de l'étroitesse de celui-ci. La vue de mon sexe rentrant dans son anus dans un gémissement de plaisir porte maintenant mon excitation à son paroxysme et je sens l'orgasme arrivé. Je m'agrippe alors d'une main à son cou et de l'autre à ses fesses, et donne quelques derniers coups de rein brutaux avant de jouir tout mon foutre au fond de son cul. Après avoir atteint le nirvana, je sors tout doucement ma queue de la jeune latine encore haletante et regarde le sperme en sortir doucement. Son entrejambe est maculé d’un trait blanc qui fait ressortir la chaleur de sa couleur de peau, et moi, je suis satisfait d’avoir pu explorer et posséder un instant la plus belle et la plus envoutante partie de cette région sauvage.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Bravo une histoire de sexe latine tarifé sans protection. Daniel

Histoire Erotique
Pourquoi une auteure prend le rôle d’un homme ?J’aurais préféré qu’elle nous raconte ses aventures de femme libertine ou libérée



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