Un week-end avec nos Maîtres [sixième partie] - histoire érotique

Sophie et moi sommes nus, par terre, au milieu du salon. Nous sommes heureux, un peu hébétés de la folle expérience sexuelle que nous venons de vivre. Sophie reprend ses esprits après avoir satisfait ces six inconnus avec son corps, tous ses orifices.
Deux d’entre eux sont encore en train de discuter avec Jules dans la cuisine quand Marc s’approche de nous. Sans autre formalité, il sort son sexe de son pantalon et le présente devant la bouche de Sophie.
« Il va falloir s’occuper de vos Maîtres maintenant… »
Sophie obtempère tout de suite. Elle vient de bouffer six queues, mais elle y retourne avec plaisir. Mon pénis est prêt à exploser dans ma cage de chasteté. Mon excitation n’est pas retombée depuis une heure que ma femme est occupée à contenter tous ces hommes.
Sophie pompe Marc jusqu’à ce que son pénis durcisse. Elle a toujours autant d’entrain après cette débauche de sexe, c’est impressionnant. Marc se tourne ensuite vers moi pour que je lui offre le même traitement. Je lèche son sexe dans la longueur, lui suce doucement le gland, puis le bouffe avec énergie.


Nous nous relayons ainsi pendant quelques minutes pour sucer Marc. Je n’y avais pas prêté attention, mais je m’aperçois que la conversation dans la cuisine s’est arrêtée. Jules et les deux inconnus nous regardent silencieusement.
Marc ôte ses derniers vêtements et s’assied sur le gros fauteuil au milieu de la pièce. Nous nous installons entre ses jambes écartées et nous continuons à nous occuper de sa bite à tour de rôle. Je crois pouvoir dire sans avoir peur d’être contredit que Sophie et moi sommes de bons bouffeurs de queues. Il y a une petite compétition sur le sujet entre nous. Nous nous donnons au maximum pour satisfaire notre Maître.
Marc relève ses jambes pour nous donner accès à son cul. Sophie continue de s’occuper de sa bite tandis que je me positionne en-dessous pour lui caresser le cul avec ma langue. Je lui lèche son orifice, puis j’exerce une petite pression avec ma langue. Je lui masse l’anus avec la langue, je frotte tout mon visage contre son cul, je m’applique du mieux que je peux. J’essaie d’enfoncer un peu mon nez et ma langue dans son rectum. Tout cela semble lui plaire.


Au bout de quelques minutes, il se relève. Il demande à Sophie de s’allonger sur le gros fauteuil, le dos sur l’assise et les jambes en l’air appuyées contre le dossier. Elle s’exécute. Elle s’imagine au début qu’il veut lui imposer une gorge profonde. Elle laisse donc dépasser sa tête à l’envers, et ouvre la bouche, soumise, pour lui donner le meilleur accès. Mais il lui ordonne de se mettre au fond du fauteuil, la tête posée sur l’assise. Elle se repositionne. Aussitôt, Marc s’assied sur son visage. Il colle son anus contre la bouche de Sophie qui sort immédiatement la langue pour accomplir sa mission. Marc a ses couilles posées sur le visage de ma femme, et sa bite dressée. Assis devant lui, je m’empresse de prendre son sexe en bouche et de le pomper goulument tandis que Sophie lui bouffe le cul.
Soudain, sans que je l’ai senti s’approcher, Jules passe ses doigts pleins de lubrifiant froid entre mes fesses. Les deux autres mecs sont toujours en train de nous observer. Jules doit être assez excité par la scène, je sens bientôt son gland durci presser contre mon anus. Je suis fébrile : je tremble d’envie de l’accueillir dans mon fondement. Je continue de sucer le pénis de Marc en accélérant la cadence. Lui frotte son cul contre le visage de Sophie avec vigueur. Je la vois étouffer entre les fesses de notre Maître pendant que je le pompe. Elle lui bouffe le cul aussi bien que possible.


Jules pénètre le bout de son gland dans mon rectum. Je lui tends mon cul avec trop d’envie. Il comprend tout de suite que j’ai hâte de me faire défoncer. Il me claque les fesses à plusieurs reprises.
« Oui, t’as très envie de te faire enculer soumis… »
Le sang afflue tellement dans mon pénis que j’ai l’impression qu’il est prêt à éclater dans ma cage de chasteté. Le bout de mon gland, écrasé dans cette toute petite boîte métallique, est très humide. J’ai déjà laissé s’échapper beaucoup de liquide séminal.
Quand Jules m’attrape les hanches pour m’enfiler enfin de toute la longueur de son sexe, j’ai une sorte d’orgasme indéfinissable. Je suis envahi d’un plaisir immense pendant quelques secondes. Je tremble et je gémis en même temps. Ma prostate est pressée par la bite de Jules, et mon pénis convulse dans la cage. Ce n’est pas exactement un orgasme prostatique, en tout cas pas tel que j’ai pu en connaître jusqu’à présent, mais toujours est-il que j’en tire une vraie jouissance.
Marc me gifle car, déconcentré par la puissance de mon plaisir, j’ai cessé quelques instants de m’occuper de lui. J’y retourne avec élan tandis que Jules s’active pour me transpercer le cul à un bon rythme.


Le temps se suspend pour moi. Toutes ces stimulations sexuelles me remplissent de plaisir. Jules et Marc choisissent d’alterner. Après que je l’ai bien sucé, Marc remplace Jules dans mon cul, et je prends la bite de Jules en bouche lorsqu’il s’assied sur le visage de Sophie pour se faire bouffer le cul à son tour. Marc a un sexe moins long mais plus large que celui de Jules. Mon anus, pleinement dilaté, est comblé par son engin. Je suis aux anges.
Nos Maîtres ont été visiblement bien chauffés par le gang bang qu’ils ont offert à ma femme. Ces allers-retours entre ma bouche et mon cul sont sur le point de les faire venir. C’est Marc le premier, qui sort de mon cul pour venir se branler devant mon visage. J’ouvre grand la bouche et tire la langue. Jules en profite pour se remettre derrière moi et m’enculer frénétiquement.
Marc déverse son sperme dans ma gorge en quelques longues projections. Je lui aspire encore le gland quelques secondes avant qu’il ne se décale, assouvi.
Sophie, qui n’a plus de Maître à contenter, s’est retournée et assise sur le fauteuil. Elle me regarde me faire défoncer par Jules. Nous sommes les yeux dans les yeux. Elle peut lire sur mon visage les vagues de plaisir qui me traversent. C’est à ce moment que j’ai un véritable orgasme, qui me traverse dans tout le corps. Je pousse un long cri. Un gros filet de sperme s’échappe de mon gland prisonnier.


Jules ne tarde pas beaucoup plus longtemps. Il abandonne mon conduit et vient se positionner devant moi. Je m’agenouille, tête en arrière, bouche ouverte, yeux fermés, soumis, attendant la précieuse et tant aimée miction de mon Maître. Jules décharge abondamment lui aussi dans mon gosier. Je garde le tout en bouche quelques secondes, sous ses yeux, pour lui montrer que je savoure sa semence, et j’avale. Sophie s’approche de moi et récupère avec ses doigts les quelques gouttes qui ont atterri sur mes joues et mon front pour me les mettre en bouche. Elle fourre ensuite sa langue dans ma bouche et nous échangeons un long baiser.
Nos Maîtres échangent quelques mots, se congratulent pour cette belle soirée, renfilent leurs vêtements, et rigolent avec les deux inconnus qui sont toujours installés dans la cuisine et qui n’ont rien raté du spectacle.


Sophie et moi les regardons silencieusement. Les deux inconnus comprennent que la fête approche de la fin. Ils se préparent à partir. Sauf que l’un d’eux demander à aller aux toilettes.
« Je pisse et je m’en vais… »
Jules ne rate pas l’occasion et l’arrête :
« Ah… Si tu veux pisser… »
Il se tourne vers Sophie et moi.
« Fais plaisir à ces deux soumis… Crois-moi cette salope préfère ta pisse au champagne. »
Sophie est effectivement une grande amatrice de douche dorée. Le mec fronce les sourcils. L’autre inconnu aussi n’est pas sûr d’avoir compris.
« Qu’est-ce que tu veux dire ? »
Jules reformule et lui propose plus explicitement de pisser sur ma femme.
« Ah ouais, putain… C’est rare ça… »
C’est la première fois qu’on lui fait la proposition, il est très enthousiaste. Sophie, après toutes ces péripéties, doit encore être très excitée par cette perspective.
Sans autre formalité, Jules vient attraper ma femme par les cheveux et la traîne jusqu’à la salle de bain. Les deux invités suivent. Je leur emboîte le pas pour assister à la scène.


Jules installe Sophie, nue, par terre, dans la douche à l’italienne. Elle s’assied en tailleur sur le carrelage froid. Elle regarde l’inconnu droit dans les yeux, penche la tête en arrière et ouvre la bouche, soumise, offerte à sa pisse. L’invité n’a pas l’habitude, il est un peu perturbé. Quelques secondes s’écoulent. Pour lui montrer l’exemple, Jules sort son membre. Un filet d’urine chaude jaillit de son sexe pour éclabousser le visage de Sophie. Elle ferme les yeux et essaie de recevoir l’urine de son Maître en pleine bouche. Elle avale ce qu’elle peut. Jules s’arrête.
« Pour lui en faire profiter au maximum, tu peux faire des petites pauses. »
Et il se remet à pisser. Il en fout plein sur le visage de Sophie, sur ses seins, son ventre. Puis il lui ordonne :
« Mets-toi à quatre pattes. »
À contre-cœur elle s’exécute. Sophie aime la pisse dans sa bouche ou son visage, mais Jules veut lui pisser au cul. Elle lui présente ses fesses, bien cambrée, le visage contre le sol, dans la flaque qui commence à se former. Jules urine sur sa chatte et son trou du cul. Lorsqu’il finit, il sourit à l’invité.
« Voilà, à ton tour ! »
Timide, il met quelques instants avant de parvenir à laisser un jet de pisse s’échapper. Sophie se rassied et rapproche son visage de sa bite.
« Vas-y, pisse-moi dessus, s’il-te-plaît… »
« T’es une sacrée chienne toi. »
Il se détend. Il a la vessie pleine. Le flot d’urine chaude finit par s’écouler abondamment de sa bite. Sophie en reçoit jusqu’à plus soif. L’inconnu lui met tout sur le visage, en visant sa bouche. Elle avale plusieurs gorgées comme elle peut. Le flot est abondant. L’odeur d’urine envahit la salle de bain. Elle doit avoir un goût prononcé. Sophie se délecte de cette boisson.
Le sang afflue de nouveau dans mon pénis. J’aime tant voir ma femme souillée ainsi par un autre homme, et constater le plaisir qu’elle y prend.


Le flot d’urine de l’invité finit par se tarir. Sophie nettoie le gland avec sa langue. Le mec a l’air prêt à repartir pour un tour, son membre durcit alors qu’il le tapote contre la langue de Sophie : ça l’a excité de pisser sur ma femme. Mais Jules coupe court :
« Bon, sur ces bonnes choses, Messieurs, je vais vous reconduire. »
L’inconnu comprend, range son sexe, et tourne les talons. Avec l’autre mec, qui n’a rien raté de la scène, ils suivent Jules qui les ramène jusqu’à l’entrée.
Je rejoins Sophie dans la douche pour l’embrasser. Nous nous enlaçons. Nous entendons nos Maîtres saluer leurs invités et s’échanger encore quelques mots. Tout le monde est ravi de la soirée. Nous comprenons que l’un des invités demande si ce type d’évènement va être reconduit, mais nous entendons Marc éluder volontairement, les remercier poliment, la porte s’ouvrir… et se refermer.


Sophie et moi ouvrons l’eau chaude pour prendre une douche et nous remettre de toutes nos émotions. J’ai tellement de désir et d’amour pour elle après tout ce à quoi j’ai assisté…


[À suivre…]