Un week-end avec nos Maîtres [troisième partie]

- Par l'auteur HDS Pompée -
Récit érotique écrit par Pompée [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Un week-end avec nos Maîtres [troisième partie] Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-01-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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Un week-end avec nos Maîtres [troisième partie]
Sophie se lève pour débarrasser la table. Nous venons de terminer de déjeuner. Je l’aide à emporter les assiettes et les couverts pour les ranger dans le lave-vaisselle. Jules et Marc discutent sans prêter attention à nous.
Quand nous finissons de nettoyer la cuisine, Jules nous indique nous irons ensemble à la plage cet après-midi. Il précise :
« Nous allons vous donner vos tenues. »


Quelques instants plus tard, Jules et Marc apportent un sac. Ils en sortent d’abord un t-shirt blanc, que Marc me tend.
« Tiens, ça c’est pour notre petit soumis. »
« Merci, Maîtres. »
Je le déplie. Il a l’air à ma taille. Je suis étonné par ce cadeau très ordinaire. Jules et Marc sourient.
« Il t’ira très bien, mets-le. »
Je m’apprête à essayer le t-shirt mais je m’arrête en regardant la face avant. En grosses lettres majuscules, il est écrit : « COCU ». Je comprends mieux. Je retire mon t-shirt et enfile le nouveau. Jules acquiesce :
« Parfait. »
Je me tourne vers Sophie, qui découvre à son tour l’inscription. Elle ricane.
« Magnifique… »
Marc l’interrompt :
« Voilà pour toi. »
Il tient dans ses mains une petite brassière en dentelle. Il la jette à Sophie qui l’attrape au vol.
« Merci, Maîtres. »
Sans qu’ils n’aient besoin de le lui demander, elle retire son haut et son soutien-gorge. Ses gros seins s’agitent lorsqu’elle enfile cette brassière légèrement trop petite pour elle. Elle finit par parvenir à faire glisser ses deux seins à l’intérieur. Elle ajuste les bretelles et l’élastique qui retient le poids de sa poitrine, sous ses seins. Le tissu n’est pas tout à fait opaque, la dentelle laisse deviner les tétons par transparence. Le rendu est très affriolant, cela laisse peu de place à l’imagination. Je comprends immédiatement que nos Maîtres veulent la voir sortir dans cette tenue. Mais Sophie les regarde en s’attendant à recevoir un haut à enfiler par-dessus.
Jules sourit :
« Bien. Vous porterez ces hauts pour aller à la plage. »
Sophie rougit à l’idée de s’exposer dans cette brassière. Jules poursuit :
« En bas, vous mettrez chacun un string. Sophie, ta petite jupe ras-la-chatte suffira par-dessus. Et toi, ton short noir moulant ira très bien. »
C’est alors que Marc sort du sac deux plugs anaux.
« Et ça, c’est à fourrer dans vos culs avant de partir. »


Nous voilà partis. Depuis la maison, il faut traverser le centre-ville de cette station balnéaire prisée de la côte méditerranéenne, pour se rendre à la plage.
En ce samedi, début d’après-midi, de ce premier week-end de l’été, les rues sont bondées. Nous traversons la grande rue marchande et piétonne du centre-ville. Jules et Marc nous ont ordonné de marcher main dans la main avec Sophie, devant eux, probablement pour mieux apprécier les réactions des passants à nos tenues.
Les seins de Sophie se dandinent dans cette pièce de tissu en dentelle très osée. Au soleil, on perçoit encore mieux ses tétons. De nombreux regards s’arrêtent sur sa poitrine. L’inscription écrite en gros sur mon t-shirt attire également l’attention. Les plugs dans nos culs nous imposent une démarche un peu exagérée. Les passants sont nombreux à nous dévisager. Je crois que nous n’échappons à personne. Mon t-shirt arrache quelques sourires, certaines personnes s’esclaffent même sur mon passage. Une femme me désigne du doigt à son compagnon, l’air narquoise. Mon short trop moulant me rentre dans le sif. Je me demande si on ne devine pas le plug que je porte. Ma plus grande crainte est d’être pris d’une érection que mon short laisserait entièrement transparaître.
Sophie et moi n’échangeons aucun regard, nous marchons droit devant nous d’un pas un peu pressé, cachés derrière nos lunettes de soleil respectives, pour essayer de camoufler notre trouble.
Nous atteignons le littoral. Nous empruntons le trottoir qui longe la mer. Il y a toujours autant de monde, mais au moins les personnes en tenue de plage ou en maillot de bain sont nombreuses. Sophie se fond un peu mieux dans le paysage. Je remarque tout de même plusieurs passants les yeux bloqués sur ces gros seins trop découverts.


Jules et Marc reviennent à notre hauteur. Ils nous indiquent une plage au loin, à l’écart, derrière des rochers. C’est la zone naturiste. Nous poursuivons notre chemin. Alors que nous approchons, Marc nous arrête.
« On va aller s’installer sur la plage avec Jules. Vous nous rejoindrez, mais d’abord, vous avez une mission. »
Sophie et moi échangeons un regard inquiet. Il poursuit :
« Sophie, tu dois trouver un mec et le sucer. Il faut qu’il éjacule sur toi. N’importe lequel. »
Puis, en se tournant vers moi :
« Et toi, tu dois filmer la scène, et nous rapporter les preuves. Tant que ce n’est pas fait, vous avez interdiction de nous rejoindre pour venir vous baigner. »
Sans nous laisser le temps de réagir, Jules et Marc se retournent, descendent les quelques marches qui nous séparent de la plage, et s’éloignent dans le sable.
Nous restons interdits avec Sophie. Elle finit par articuler, déconcertée :
« Mais comment on va faire… »
Je lui réponds, amusé :
« Je pense qu’on aura pas trop de mal à trouver… »


Sophie prend finalement l’initiative de définir une stratégie. Elle me demande de m’éloigner d’elle, de la laisser seule. Je traverse la rue pour me placer sur le trottoir d’en-face. Il y a moins de monde de ce côté-là. Je vois Sophie s’installer à côté d’un abribus, et soutenir le regard des hommes qui passent près d’elle.
La plupart d’entre eux sont intrigués par cette femme seule dans une tenue si scandaleuse, mais il faut attendre plusieurs minutes pour qu’un homme ne s’arrête et lui adresse la parole. Je n’entends rien des mots qu’ils échangent. Je vois Sophie essayer de prendre son air le plus charmant et innocent. C’est une vraie coquine. Mais au bout de quelques instants, l’homme finit par s’éloigner. Sophie ne m’adresse pas un regard, mais je comprends que l’opération est infructueuse.
Elle reprend son manège, et cherche le regard des hommes qui passent. Elle a vraiment l’air d’une pute en plein racolage. Elle parvient à échanger quelques mots avec certains, mais aucune discussion ne s’engage vraiment.


Finalement, deux jeunes s’arrêtent près d’elle. Sophie leur sourit, une conversation débute. L’un d’entre eux semble joueur, entreprenant. Mais ils ont tous les deux l’air très jeunes. J’entends quelques rires. Au bout d’un certain moment, Sophie me fait signe de m’approcher. Une grande honte m’envahit. Je les rejoins doucement. Les deux jeunes hommes déchiffrent l’inscription sur mon t-shirt et me dévisagent avec un grand sourire railleur. Ils sont ébahis. L’un d’eux, celui qui semble le plus réservé, s’exclame :
« Mais tu déconnes… »
Et l’autre :
« Putain, c’est pas une blague ! »
Sophie, sans perdre son aplomb :
« Alors ? Vous êtes partants ? »
Ils se retournent tous les deux vers elle. Ils n’en croient pas leurs yeux. Mais je sens que le plus timide est mal à l’aise, il veut se sortir de la situation. L’autre en revanche ne se démonte pas. Il contemple un instant le corps de Sophie, et me lance, sur un ton mi-interloqué, mi-moqueur :
« Et toi, t’es d’accord ? »
Sans lui demander de préciser, je réponds tout de suite, en essayant d’avoir l’air détaché :
« Oui, bien sûr. »
Je vois l’enthousiasme prendre le dessus de l’étonnement sur son visage. Il lance un regard à son ami, qui tout de suite secoue la tête.
« Non, je fais pas ça, c’est quoi ces conneries… »
Il me dévisage. Je sens dans ses yeux tout le mépris qu’il éprouve pour moi. Il n’avait visiblement jamais envisagé qu’un homme (ou plutôt une fiotte, se dit-il probablement) pouvait accepter de voir sa femme sucer quelqu’un. Je crois que la situation entière le révulse. Ou alors il est trop timide pour endosser le rôle du cocufieur.


L’autre, en revanche, conserve son enthousiasme :
« Ben vas-y, moi je suis chaud ! »
Il se tourne vers ma femme :
« On fait ça genre, maintenant ? »
Elle acquiesce.
« Tu veux qu’on se mette où ? »
Je vois Sophie jeter un regard autour d’elle. Les endroits abrités manquent. Le jeune lui propose :
« J’ai ma voiture pas loin, si tu veux on se met là-bas. »
Il désigne une rangée de voitures stationnées un peu plus haut en épi sous des arbres. Sophie approuve.
Nous remontons tous ensemble jusqu’à sa voiture. Je demande discrètement à ma femme si elle s’est assurée qu’il était majeur. Elle me répond en me chuchotant :
« Il a 19 ans. »
Le jeune homme se retourne pour demander son prénom à ma femme, qui lui répond. Il précise à son tour :
« Je m’appelle Enzo. »
Il ne m’accorde pas un regard. Il est concentré sur le corps de ma femme. Je sens qu’il la désire.
Son pote nous suit de loin, n’osant pas s’approcher.
« Et tu suces souvent des mecs comme ça, Sophie ? »
Elle hausse les épaules en souriant.
« Ça m’arrive… »


Nous arrivons à sa voiture, une petite citadine rouge d’une vieille génération. Il s’arrête à la hauteur de la portière, côté conducteur. Sophie s’approche de lui. Malgré le désir, je sens qu’il ne sait pas quoi faire. Sophie s’accroupit devant lui. Il est un peu mal à l’aise, je sens que mon regard le gêne.
« Il est obligé de rester là ? »
Sophie lève les yeux vers lui.
« Oui, il faut qu’il filme, mais ne t’inquiète pas, seulement ta bite, pas ton visage. »
Il hésite. Pour le motiver, Sophie pose les genoux au sol, jette un regard autour d’elle pour s’assurer que nous sommes seuls, et soulève sa brassière pour dévoiler complètement ses seins. Instantanément, le regard d’Enzo se rallume. Il attrape et soupèse un sein d’une main.
« Waow… Pas mal. »
Sophie lui sourit. Elle est contente de l’effet qu’elle lui fait. Il faut dire qu’on n’en voit pas tous les jours, des seins pareils. Sophie approche ses mains du short de bain du jeune homme. Elle frotte sa main contre ses parties génitales, à travers le tissu. Enzo lui tripote maintenant les seins à deux mains. Il lui caresse ensuite la nuque, le visage. Sophie fait glisser lentement le short à terre, dévoilant une belle bite, à demi-molle, qu’elle prend en main. Elle commence à le branler doucement, en le regardant droit dans les yeux.


Je sors mon téléphone pour commencer à filmer. Sophie surveille à nouveau que personne ne vient. Elle se redresse, baisse sa jupe, se tourne et frotte son cul contre la bite d’Enzo. Il lui attrape les fesses. Il a les yeux écarquillés, la bouche ouverte. Elle ne porte qu’un string ficelle, dévoilant le plug qu’elle a dans le cul. Enzo murmure doucement, plein d’excitation :
« Ah ouais… »
Elle ne le laisse pas profiter longtemps du spectacle. Elle se retourne, remonte sa jupe et se remet à genoux pour le mettre en bouche énergiquement. Il bande maintenant dur. Il ouvre la portière d’une main et interrompt le début de fellation de Sophie pour s’asseoir dans le fauteuil et se débarrasser de son short pendu à ses chevilles. Il écarte légèrement les jambes et s’installe un peu en arrière pour donner un bon accès à Sophie à sa bite.
Elle se rapproche et le remet en bouche, en attrapant ses couilles de l’autre main pour les lui masser délicatement. Je me décale pour avoir un bon angle sur la scène avec mon téléphone. Le sang afflue dans mon pénis, la situation m’excite.
Enzo émet de petits bruits de contentement. Sophie lui offre une fellation appliquée. Elle le bouffe avec énergie. Elle plonge parfois entièrement sa bite dans sa bouche, jusqu’à sa gorge. Son nez vient coller le pubis du jeune homme. Enzo râle de plus en plus fort. J’essaie de filmer du mieux que je peux. Les bruits de succion de Sophie s’accélèrent.
Enzo n’est peut-être pas puceau, mais il n’a sûrement jamais reçu pareille fellation. Il lui signale qu’il va jouir. Sophie continue de le pomper. Il gicle immédiatement dans sa bouche, en poussant un petit hurlement de plaisir. Sophie continue son mouvement quelques instants. Elle avale une partie de son foutre, et garde le reste en bouche. Elle se redresse, cherche la caméra de mon téléphone du regard, et recrache le sperme sur ses seins.
Enzo murmura un petit :
« Waah… »
C’est une sacrée salope.


Nous ne nous éternisons pas. Enzo n’est même pas remis de ses émotions que nous le quittons. Sophie remet du mieux qu’elle peut sa brassière sur ses seins pleins de foutre, et le salue de la main :
« Merci, au revoir Enzo ! »
Il se redresse, sort de la voiture, veut nous dire quelque chose mais se rappelle qu’il est à demi-nu, se penche pour attraper son short et le renfiler. Nous nous sommes déjà éloignés. Nous croisons son pote qui s’est tenu sagement à l’écart. Il nous salue d’un regard gêné et remonte rejoindre Enzo.
Sophie me sourit, satisfaite :
« Mission accomplie. J’espère que ça rend bien en vidéo. »
Je lui confirme silencieusement, d’un mouvement de la tête.
Nous filons rejoindre nos Maîtres.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
J’avoue que j’ai des problèmes avec ces trois récits n’ayant pas le contexte je comprends mal l’avilissement du couple aceptant tout et n’importe quoi de ces deux énergumènes et quel en est l’objectif l’histoire à vraiment démarrée brutalement



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