Un week end d'épreuves coquines épisode 2
Récit érotique écrit par Antonia [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-09-2004 dans la catégorie Dominants et dominés
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Un week end d'épreuves coquines épisode 2
Pendant quelques instants , il ne se passa rien. La musique continuait sa mélodie et je sentais Stéphane bouger autour de moi.
Soudain, ce qui devait m'arriver m'arriva ...
Une chair humide effleura les lèvres de ma bouche. A partir de ce moment je compris que j'allais devoir sucer mon homme. A la différence de la veille dans la piscine, cette fois là rien ne m'empêcherait d'aller jusqu'au bout. Cependant l'entreprise n'était pas facile car la pipe se taillait sans les mains et sans les yeux. Je vous invite toutes à essayer pour en comprendre la difficulté : le gourdin dur de Stéphane faisait ce qu'il voulait. Il s'enfoncé dans ma gorge s'il voulait, se retirer tout d'un coup. Bref, les conditions me semblaient extrême. Cependant, je n'en étais pas à mon coup d'essai puisque depuis longtemps nous avions conclu une sorte de contrat avec Stéphane dans lequel je m'engageais à ne plus utiliser mes mains quand je le suçais. Cela durait depuis 18 mois, et je m'étais habituée à palier ce handicap. Finalement, je crois que désormais j'y arrive aussi bien avec ou sans les mains. La seule différence, c'est que privée des mains ( souvent jointe dans mon dos) l'excitation de Stéphane décuple. Alors pourquoi se priver de ce qui est bon...
Dans le cas présent, la tache se compliquait encore car je n'y voyais pas. Mais avais-je le choix ?
Je m'appliquais donc à commencer par lui lécher le gland découvert qui me semblait lisse et qui suintait déjà le plaisir. Paradoxalement ce produisit un sentiment totalement inattendu : dans ce contexte de prisonnière entièrement soumise aux fantasmes de mon homme je me suis sentie libre. En effet, j'en faisais à ma guise pour sucer cette queue et mon adresse et son plaisir immobilisèrent Stéphane qui se laissa faire au point que j'eus la sensation que c'était lui mon prisonnier. Il se pliait à mon rythme, à mes fantaisies, à mes gobages, à mes sussions appuyées.... Il ne contrôlait plus rien et se laissait guider. J'avais repris la main si je puis dire... J'était LIBRE.
J'étais contente d'avoir renversé la vapeur et je fit durer aussi longtemps que je voulu.
Après de nombreux va et vient profonds, je sentis un petit picotement dans ma bouche synonyme d'une explosion imminente. Alors, je fis le choix d'intensifier le mouvement en me préparant à recevoir la semence en ma bouche. Dans un ultime cris, Stéphane se déchargea dans mes papilles et consciente toutefois de mon statut de prisonnière je pris soin d'avaler chacune de ses gouttes. Le goût n'est pas excellent car le sperme est acre mais il me semblait qu'une prisonnière loyale ne recrache rien et savoure au contraire.
Rassasiée de cet élixir, je restais immobile toujours dans ma position et je sentais Stéphane récupérer des émotions que je lui avais provoquées.
Au bout de quelques minutes, Stéphane me releva me fit faire quelques pas et me demanda de monter sur une sorte de chaise. Je n'étais vraiment pas bien, car j'avais peur de chuter. Il me démousquetonna les mains et me fit glisser les bretelles du soutien-gorge. Puis me reprenant les mains il me lia de nouveau avec le mousqueton qu'il cliqua très haut au dessus de ma tête au point que mes bras se tendirent.
La musique continuait ses mélodies envoûtantes.
Ce qui allait m'arrivé m'excite encore aujourd'hui.
Suspendue au bout d'une ma corde, nue, les jambes écartées, les yeux bandés...J'ai senti les crochets de mon soutien-gorge sauter un à un. Au dernier ma poitrine se libéra, le soutien gorge tomba. Mes bas et mon porte-jarretelles pour seuls ornements...
Pendant quelques instants rien ( sauf quelques nouvelles photos).
Puis, un effleurement sur un sein, sur une jambe, dans le cou, l'autre sein, au creux des reins, une fesse, la raie des fesses ...une caresse sur le ventre, sur le visage, dans les cheveux, à l'intérieur des cuisses...
Puis un doigt passe et enflamme mes lèvres qui s'humidifient au fil des minutes. Je m'embrase. Presque rien ne s'est encore passé et pourtant le feu brûle en moi.
De nouveau quelques instants ou rien ne se passe et tout d'un coup Stéphane me fait m'abandonner : sûrement agenouillé devant moi, de sa langue pointue d'abord il me léchouille tout la longueur des grandes lèvres sans toucher ni les petites lèvres ni mon clito. Que sa langue était chaude.
A cette chaleur, mon abricot a très vite mûri et ses lèvres gonflées se sont entrouvertes toutes seules pour mieux laisser entrer le soleil de sa bouche. Le sirop commençait à couler.... J'ai découvert à ce moment-là les avantages de l'épilation des lèvres : le plaisir est décuplé, le contact doux de la langue se fait directement sur la peau en feu. Par ailleurs je comprends que pour Stéphane, l'absence de poils dans la bouche doit être agréable ( quand je le suce, je déteste avoir un de ses poils dans la bouche) .
Petit à petit ses léchouilles se sont faites plus profondes et plus insoutenables. Sa langue a pris soin de se concentrer sur les pourtours de mon clito. Il dessinait des cercles autour de mon bouton de fleur qui s'était gorgé de sang pour prendre le maximum de plaisir. Ce genre de caresse me rend folle, il le savait, il en abusait. Ma respiration est devenue plus soutenue et plus soutenue encore quand tout en me léchant il me caressait soit les fesses soit les seins. Tout s'enflammait je ne contrôlais plus rien.
Je pensais que je ne parviendrais pas à jouir dans cette position où mon corps, suspendu à une corde, touchait à peine le sol avec mes talons aiguilles. Mes jambes commençait à flotter au rythme des spasmes qui m'envahissaient. Allaient-elles flancher ? Je me suis astreinte à tenir, résister, pour connaître jusqu'au bout mon mûrissement et mon explosion.
Grâce à la hardiesse de Stéphane et à la puissance de sa langue experte, subitement j'ai tremblé des pieds jusqu'à la tête, mon ventre s'est contracté, et mes chairs ont explosé de plaisir. Un cri langoureux est sorti de ma poitrine. J'était vaincue.
Le miel a coulé de mes lèvres, aucune goutte n'a dû être perdue tellement Stéphane s'appliquait pour les recueillir dans sa bouche et les boire. Moi, la buveuse de son sperme, j'étais bue à mon tour....
Je ne sais pas si vous avez déjà joui debout mais c'est un exercice extraordinaire : J'ai sentie mes jambes se dérobées, mon corps se cambrer avant d'imploser, mon ventre trembler de l'intérieur. Avant, je croyais ne pas y parvenir, mais maintenant je sais que j'en suis capable et depuis cette fois-là c'est moi qui demande de recommencer.
Une fois que Stéphane eut léché jusqu'à la dernières gouttes de mon miel ; plus rien ne se passa. C'était cruel car j'avais une envie folle que ça continue et qu'il m'empale avec son sexe sûrement dur comme un gourdin. Stéphane sait que j'adore quand il enchaîne le cuni avec la pénétration. Mais là, il m'a rappelée à mon sort de prisonnière. Il s'est éloigné de moi, j'ai entendu qu'il changeait la musique, il s'est servi à boire, il a pris quelques photos encore. Puis, plus rien, pendant de longues minutes....
Il devait avoir envie de moi lui aussi mais il adore me faire jouir et me laisser ensuite mariner dans mon désir. C'est à la fois bien et à la fois un peu sadique de sa part.
Soudain, j'ai senti sa main sur mes lèvres intimes. Je n'avais pas perçu qu'il avait bougé. Il me pris une lèvre entre ses doigts serrés, il tendit la peau en tirant dessus doucement, puis je ressentis un pincement en haut de ma lèvre gauche. Le pincement était fort sans être douloureux. Il me fit la même chose à l'autre lèvre. Mes lèvres rasées venaient de connaître quelque chose de nouveau. Je ne comprenais pas ce qui m'arrivait...
Il fit glisser ses doigts de dix centimètres vers mon nombril, me pinça de nouveau le bord du nombril et je ressentis un nouveau pincement. Une différence : j'ai perçu que j'avais quelque chose dans le nombril et j'ai commençais à imaginer qu'il m'avait clipser des bijoux à mes deux lèvres et au nombril. J'étais sûrement ornée....mais de quel ornement ?
Une fois parée de mes nouveaux bijoux, Stéphane me détacha les mains d'au-dessus de la tête, me les glissa dans le dos tout en laissant liées ensemble et m'entraîna quelques pas plus loin. Je marchais doucement sur mes talons et sans y voir. Soudain, il me retint et je m'arrêtai immédiatement. Je sentis au niveau des agrafes de mon porte-jarretelles, les bords d'un objet touchant mes jambes.
Stéphane me mit une mains chaude sur le ventre et l'autre dans le dos et m'inclina vers l'avant. Au lieu de tomber, je sentis tout de suite que m'allongeais sur une sorte de table.
De derrière, Stéphane me fit écarter les jambes et je me retrouvais ainsi à demi-allongée, jambes entrouvertes.
A ma grande surprise, pour la première fois mon bandeau me fut enlevé des yeux. Après une privation aussi longue et mouvementée de la vue, il m'a fallu quelques instants pour retrouver la vision. Quand je vis de nouveau, j'aperçus l'installation qui avait dû servir à me suspendre : une cordelette était passée autour de la poutre des boiseries apparentes du plafond avec à son extrémité un mousqueton d'escalade (rq : notre couple pratique comme sport l'escalade sur parois naturelles et verticales...). La hauteur du mousqueton était méticuleusement réglée pour que je sois en tension. Je n'avais pas imaginé que le décor raffiné de notre chambre allait devenir l'outil de mes supplices...
Pendant que je découvrais tous ces détails, Stéphane, entièrement nu vint au niveau de mon visage. Mes yeux se trouvait en face de sa queue qui avait besoin d'être revigorée à mon goût. Sans que rien me soit demandé, je pris l'initiative de sucer ce gourdin encore trop mou pour moi. Malgré la position inconfortable ( il me fallait redresser la tête et mes mains restaient liées dans mon dos ), je le pompais par des aller-retour qui ne restaient pas sans effet : un raffermissement se produisit. J'aime quand je fais durcir son sexe dans ma bouche, je sens que lui donne du plaisir. C'est sûrement pour ces raisons que j'aime autant le sucer. Stéphane ne me laissa pas le loisir de l'asticoter longtemps. Il me retira sa trique de la bouche ; je râlais un peu pour la forme, mais je compris rapidement que le glas avait sonné. Son piston allait prendre une autre route.
Stéphane se plaça derrière moi et me prit entre ses mains au niveau des reins. Il me décolla légèrement le bassin de la table et se présenta à l'entrée de mon antre intime. Sans sommation, il s'enfonça sans ménagement. Qu'est-ce que ce fut bon pour moi...
Il me fit alors ma fête : son piston s'enfonçait, se retirait, se réenfonçait....Le tout de plus en plus profondément. Avant d'aller plus avant, une deuxième surprise arriva : Il me démousquetonna les poignets et je retrouvais ainsi l'usage de mes mains. Au lieu de restée allongée sur la table je me suis surélevée un peu sur mes avant-bras pour consommer pleinement la levrette. Stéphane a alors fait glissé ses mains sur mes seins qu'il a caressés au point de les faire durcir. Avant l'explosion mutuelle, Stéphane avait donc choisi de me libérer. Quelle belle récompense !! N'est ce pas ?
Aucun de nous deux ne résista aux coups de boutoir. La décharge se produisit, son intensité nous colla à la table tellement la jouissance nous vida de notre énergie.
Après l'avoir sucé intégralement; après que Stéphane m'ait butinée pour boire le miel de mon corps, la jouissance mutuelle du couple éclata dans une passion torride.
A demi-conscients, allongés sur la table, nous avons profité de ces instants magiques où le corps s'apaise après s'être enflammé. J'adore ces moments de câlins doux et paisibles. Le seul bémol fut la position : la levrette ne permet que le coït dure très longtemps, dès que la queue de Stéphane se ramollit elle se rétracte et se retire. Quelle frustration !!! J'aurais voulu le garder en moi toute la journée.
Stéphane me prit dans ses bras et me serra très fort. J'étais contente, rassurée et comblée. Je trouvais que les deux dernières heures avaient été magnifiques et je souhaite en revivre d'autres comme celles-ci. Dans cette relation nouvelle, je sentais que notre couple avait grandi et s'était enrichi. Finalement être prisonnière avait été une source de plaisir immense. J'étais fière de moi et du résultat que je n'imaginais pas aussi complet.
Mais rien n'était fini, ce n'étais qu'un début. Nous n'étions que samedi 19 heure et mon engagement initial courrait jusqu'à dimanche soir. Désormais, ce n'était pas pour me déplaire. Je confesse que j'y avais pris goût coquinement.
Stéphane se lava rapidement dans la salle de bain pendant que je somnolais sur le lit. Il s'habilla et me donna une demi-heure pour me préparer. Il m'attendait, en bas, en terrasse de la piscine.
Le moment de revêtir ma tenue de soirée surprise avait donc sonné.
Pour quelles nouvelles aventures nocturnes ?
Soudain, ce qui devait m'arriver m'arriva ...
Une chair humide effleura les lèvres de ma bouche. A partir de ce moment je compris que j'allais devoir sucer mon homme. A la différence de la veille dans la piscine, cette fois là rien ne m'empêcherait d'aller jusqu'au bout. Cependant l'entreprise n'était pas facile car la pipe se taillait sans les mains et sans les yeux. Je vous invite toutes à essayer pour en comprendre la difficulté : le gourdin dur de Stéphane faisait ce qu'il voulait. Il s'enfoncé dans ma gorge s'il voulait, se retirer tout d'un coup. Bref, les conditions me semblaient extrême. Cependant, je n'en étais pas à mon coup d'essai puisque depuis longtemps nous avions conclu une sorte de contrat avec Stéphane dans lequel je m'engageais à ne plus utiliser mes mains quand je le suçais. Cela durait depuis 18 mois, et je m'étais habituée à palier ce handicap. Finalement, je crois que désormais j'y arrive aussi bien avec ou sans les mains. La seule différence, c'est que privée des mains ( souvent jointe dans mon dos) l'excitation de Stéphane décuple. Alors pourquoi se priver de ce qui est bon...
Dans le cas présent, la tache se compliquait encore car je n'y voyais pas. Mais avais-je le choix ?
Je m'appliquais donc à commencer par lui lécher le gland découvert qui me semblait lisse et qui suintait déjà le plaisir. Paradoxalement ce produisit un sentiment totalement inattendu : dans ce contexte de prisonnière entièrement soumise aux fantasmes de mon homme je me suis sentie libre. En effet, j'en faisais à ma guise pour sucer cette queue et mon adresse et son plaisir immobilisèrent Stéphane qui se laissa faire au point que j'eus la sensation que c'était lui mon prisonnier. Il se pliait à mon rythme, à mes fantaisies, à mes gobages, à mes sussions appuyées.... Il ne contrôlait plus rien et se laissait guider. J'avais repris la main si je puis dire... J'était LIBRE.
J'étais contente d'avoir renversé la vapeur et je fit durer aussi longtemps que je voulu.
Après de nombreux va et vient profonds, je sentis un petit picotement dans ma bouche synonyme d'une explosion imminente. Alors, je fis le choix d'intensifier le mouvement en me préparant à recevoir la semence en ma bouche. Dans un ultime cris, Stéphane se déchargea dans mes papilles et consciente toutefois de mon statut de prisonnière je pris soin d'avaler chacune de ses gouttes. Le goût n'est pas excellent car le sperme est acre mais il me semblait qu'une prisonnière loyale ne recrache rien et savoure au contraire.
Rassasiée de cet élixir, je restais immobile toujours dans ma position et je sentais Stéphane récupérer des émotions que je lui avais provoquées.
Au bout de quelques minutes, Stéphane me releva me fit faire quelques pas et me demanda de monter sur une sorte de chaise. Je n'étais vraiment pas bien, car j'avais peur de chuter. Il me démousquetonna les mains et me fit glisser les bretelles du soutien-gorge. Puis me reprenant les mains il me lia de nouveau avec le mousqueton qu'il cliqua très haut au dessus de ma tête au point que mes bras se tendirent.
La musique continuait ses mélodies envoûtantes.
Ce qui allait m'arrivé m'excite encore aujourd'hui.
Suspendue au bout d'une ma corde, nue, les jambes écartées, les yeux bandés...J'ai senti les crochets de mon soutien-gorge sauter un à un. Au dernier ma poitrine se libéra, le soutien gorge tomba. Mes bas et mon porte-jarretelles pour seuls ornements...
Pendant quelques instants rien ( sauf quelques nouvelles photos).
Puis, un effleurement sur un sein, sur une jambe, dans le cou, l'autre sein, au creux des reins, une fesse, la raie des fesses ...une caresse sur le ventre, sur le visage, dans les cheveux, à l'intérieur des cuisses...
Puis un doigt passe et enflamme mes lèvres qui s'humidifient au fil des minutes. Je m'embrase. Presque rien ne s'est encore passé et pourtant le feu brûle en moi.
De nouveau quelques instants ou rien ne se passe et tout d'un coup Stéphane me fait m'abandonner : sûrement agenouillé devant moi, de sa langue pointue d'abord il me léchouille tout la longueur des grandes lèvres sans toucher ni les petites lèvres ni mon clito. Que sa langue était chaude.
A cette chaleur, mon abricot a très vite mûri et ses lèvres gonflées se sont entrouvertes toutes seules pour mieux laisser entrer le soleil de sa bouche. Le sirop commençait à couler.... J'ai découvert à ce moment-là les avantages de l'épilation des lèvres : le plaisir est décuplé, le contact doux de la langue se fait directement sur la peau en feu. Par ailleurs je comprends que pour Stéphane, l'absence de poils dans la bouche doit être agréable ( quand je le suce, je déteste avoir un de ses poils dans la bouche) .
Petit à petit ses léchouilles se sont faites plus profondes et plus insoutenables. Sa langue a pris soin de se concentrer sur les pourtours de mon clito. Il dessinait des cercles autour de mon bouton de fleur qui s'était gorgé de sang pour prendre le maximum de plaisir. Ce genre de caresse me rend folle, il le savait, il en abusait. Ma respiration est devenue plus soutenue et plus soutenue encore quand tout en me léchant il me caressait soit les fesses soit les seins. Tout s'enflammait je ne contrôlais plus rien.
Je pensais que je ne parviendrais pas à jouir dans cette position où mon corps, suspendu à une corde, touchait à peine le sol avec mes talons aiguilles. Mes jambes commençait à flotter au rythme des spasmes qui m'envahissaient. Allaient-elles flancher ? Je me suis astreinte à tenir, résister, pour connaître jusqu'au bout mon mûrissement et mon explosion.
Grâce à la hardiesse de Stéphane et à la puissance de sa langue experte, subitement j'ai tremblé des pieds jusqu'à la tête, mon ventre s'est contracté, et mes chairs ont explosé de plaisir. Un cri langoureux est sorti de ma poitrine. J'était vaincue.
Le miel a coulé de mes lèvres, aucune goutte n'a dû être perdue tellement Stéphane s'appliquait pour les recueillir dans sa bouche et les boire. Moi, la buveuse de son sperme, j'étais bue à mon tour....
Je ne sais pas si vous avez déjà joui debout mais c'est un exercice extraordinaire : J'ai sentie mes jambes se dérobées, mon corps se cambrer avant d'imploser, mon ventre trembler de l'intérieur. Avant, je croyais ne pas y parvenir, mais maintenant je sais que j'en suis capable et depuis cette fois-là c'est moi qui demande de recommencer.
Une fois que Stéphane eut léché jusqu'à la dernières gouttes de mon miel ; plus rien ne se passa. C'était cruel car j'avais une envie folle que ça continue et qu'il m'empale avec son sexe sûrement dur comme un gourdin. Stéphane sait que j'adore quand il enchaîne le cuni avec la pénétration. Mais là, il m'a rappelée à mon sort de prisonnière. Il s'est éloigné de moi, j'ai entendu qu'il changeait la musique, il s'est servi à boire, il a pris quelques photos encore. Puis, plus rien, pendant de longues minutes....
Il devait avoir envie de moi lui aussi mais il adore me faire jouir et me laisser ensuite mariner dans mon désir. C'est à la fois bien et à la fois un peu sadique de sa part.
Soudain, j'ai senti sa main sur mes lèvres intimes. Je n'avais pas perçu qu'il avait bougé. Il me pris une lèvre entre ses doigts serrés, il tendit la peau en tirant dessus doucement, puis je ressentis un pincement en haut de ma lèvre gauche. Le pincement était fort sans être douloureux. Il me fit la même chose à l'autre lèvre. Mes lèvres rasées venaient de connaître quelque chose de nouveau. Je ne comprenais pas ce qui m'arrivait...
Il fit glisser ses doigts de dix centimètres vers mon nombril, me pinça de nouveau le bord du nombril et je ressentis un nouveau pincement. Une différence : j'ai perçu que j'avais quelque chose dans le nombril et j'ai commençais à imaginer qu'il m'avait clipser des bijoux à mes deux lèvres et au nombril. J'étais sûrement ornée....mais de quel ornement ?
Une fois parée de mes nouveaux bijoux, Stéphane me détacha les mains d'au-dessus de la tête, me les glissa dans le dos tout en laissant liées ensemble et m'entraîna quelques pas plus loin. Je marchais doucement sur mes talons et sans y voir. Soudain, il me retint et je m'arrêtai immédiatement. Je sentis au niveau des agrafes de mon porte-jarretelles, les bords d'un objet touchant mes jambes.
Stéphane me mit une mains chaude sur le ventre et l'autre dans le dos et m'inclina vers l'avant. Au lieu de tomber, je sentis tout de suite que m'allongeais sur une sorte de table.
De derrière, Stéphane me fit écarter les jambes et je me retrouvais ainsi à demi-allongée, jambes entrouvertes.
A ma grande surprise, pour la première fois mon bandeau me fut enlevé des yeux. Après une privation aussi longue et mouvementée de la vue, il m'a fallu quelques instants pour retrouver la vision. Quand je vis de nouveau, j'aperçus l'installation qui avait dû servir à me suspendre : une cordelette était passée autour de la poutre des boiseries apparentes du plafond avec à son extrémité un mousqueton d'escalade (rq : notre couple pratique comme sport l'escalade sur parois naturelles et verticales...). La hauteur du mousqueton était méticuleusement réglée pour que je sois en tension. Je n'avais pas imaginé que le décor raffiné de notre chambre allait devenir l'outil de mes supplices...
Pendant que je découvrais tous ces détails, Stéphane, entièrement nu vint au niveau de mon visage. Mes yeux se trouvait en face de sa queue qui avait besoin d'être revigorée à mon goût. Sans que rien me soit demandé, je pris l'initiative de sucer ce gourdin encore trop mou pour moi. Malgré la position inconfortable ( il me fallait redresser la tête et mes mains restaient liées dans mon dos ), je le pompais par des aller-retour qui ne restaient pas sans effet : un raffermissement se produisit. J'aime quand je fais durcir son sexe dans ma bouche, je sens que lui donne du plaisir. C'est sûrement pour ces raisons que j'aime autant le sucer. Stéphane ne me laissa pas le loisir de l'asticoter longtemps. Il me retira sa trique de la bouche ; je râlais un peu pour la forme, mais je compris rapidement que le glas avait sonné. Son piston allait prendre une autre route.
Stéphane se plaça derrière moi et me prit entre ses mains au niveau des reins. Il me décolla légèrement le bassin de la table et se présenta à l'entrée de mon antre intime. Sans sommation, il s'enfonça sans ménagement. Qu'est-ce que ce fut bon pour moi...
Il me fit alors ma fête : son piston s'enfonçait, se retirait, se réenfonçait....Le tout de plus en plus profondément. Avant d'aller plus avant, une deuxième surprise arriva : Il me démousquetonna les poignets et je retrouvais ainsi l'usage de mes mains. Au lieu de restée allongée sur la table je me suis surélevée un peu sur mes avant-bras pour consommer pleinement la levrette. Stéphane a alors fait glissé ses mains sur mes seins qu'il a caressés au point de les faire durcir. Avant l'explosion mutuelle, Stéphane avait donc choisi de me libérer. Quelle belle récompense !! N'est ce pas ?
Aucun de nous deux ne résista aux coups de boutoir. La décharge se produisit, son intensité nous colla à la table tellement la jouissance nous vida de notre énergie.
Après l'avoir sucé intégralement; après que Stéphane m'ait butinée pour boire le miel de mon corps, la jouissance mutuelle du couple éclata dans une passion torride.
A demi-conscients, allongés sur la table, nous avons profité de ces instants magiques où le corps s'apaise après s'être enflammé. J'adore ces moments de câlins doux et paisibles. Le seul bémol fut la position : la levrette ne permet que le coït dure très longtemps, dès que la queue de Stéphane se ramollit elle se rétracte et se retire. Quelle frustration !!! J'aurais voulu le garder en moi toute la journée.
Stéphane me prit dans ses bras et me serra très fort. J'étais contente, rassurée et comblée. Je trouvais que les deux dernières heures avaient été magnifiques et je souhaite en revivre d'autres comme celles-ci. Dans cette relation nouvelle, je sentais que notre couple avait grandi et s'était enrichi. Finalement être prisonnière avait été une source de plaisir immense. J'étais fière de moi et du résultat que je n'imaginais pas aussi complet.
Mais rien n'était fini, ce n'étais qu'un début. Nous n'étions que samedi 19 heure et mon engagement initial courrait jusqu'à dimanche soir. Désormais, ce n'était pas pour me déplaire. Je confesse que j'y avais pris goût coquinement.
Stéphane se lava rapidement dans la salle de bain pendant que je somnolais sur le lit. Il s'habilla et me donna une demi-heure pour me préparer. Il m'attendait, en bas, en terrasse de la piscine.
Le moment de revêtir ma tenue de soirée surprise avait donc sonné.
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Les avis des lecteurs
Sublime récit vivement la suite.