Une amie hermaphrodite
Récit érotique écrit par Helene2010 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-04-2013 dans la catégorie Fétichisme
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Une amie hermaphrodite
HERMAPHRODITE
Amina était arrivée en milieu d'année dans notre classe de Terminale. Il
n'était pas difficile de comprendre qu'elle venait de l'autre côté de la Méditerranée.
Elle s'est installée au fond de la classe et nous avons tout de suite vu qu'elle était
très intelligente mais il y avait quelque chose chez elle qui restait mystérieux. Les
garçons de la classe essayaient de la draguer parce qu'elle était aussi mignonne et
qu'elle avait une poitrine un peu grosse pour une fille de son âge.
Il y avait aussi que si elle faisait le sport avec nous, jamais elle ne
prenait de douche à la fin de la séance. J'avais remarqué qu'elle s'isolait dans les
toilettes pour se changer et le bruit a bientôt couru qu'elle n'était qu'un travesti
mais ça me semblait quand même incroyable.
J'avais quand même réussi à gagner sa confiance et nous faisions le chemin
ensemble pour rentrer car elle habitait mon quartier. C'est ainsi que j'ai fait la
connaissance de ses parents, son père ouvrier et sa mère qui ne parlait pas autre
chose que l'arabe. Quand j'ai parlé d'elle à mes parents, ils ont voulu connaître
Amina et elle a bien voulu venir chez moi un dimanche après-midi et ce qu'ils ont
pensé d'elle est que j'étais loin d'être à sa hauteur.
Amina a pris l'habitude de venir chez nous et la confiance venant, je me suis
prise d'audace un jour de lui demander pourquoi elle se cachait à la gym.
- Pourquoi, m'a-t-elle répondu, on ne se connaît pas assez !
Amina a bien vu que sa réponse m'a vexée et pour se rattraper, elle m'a
demandé si je voulais vraiment savoir. J'ai juré de ne rien dire comme elle me l'a
demandé et elle a retiré sa petite culotte avant de soulever sa jupe et j'ai vu un
pénis aussi long que mon pouce au-dessus de sa vulve.
- C'est ton clitoris, lui ai-je demandé ?
- Non, c'est un pénis, m'a répondu Amina ! Je suis hermaphrodite !
J'étais sidérée. Amina avait rabattu sa jupe. Quand je lui ai demandé s'il
allait encore grossir, elle m'a répondu qu'elle n'en savait rien puis elle a ajouté
qu'une de ses tantes était comme elle et que c'était aussi gros que le pénis d'un
homme.
- Jamais un homme ne voudra de moi, a-t-elle encore ajouté ! Je suis condamnée
à rester seule !
Quand je lui ai demandé si elle pouvait avoir des enfants, Amina m'a répondu
qu'en principe elle pourrait.
- Tu as de la chance, ai-je lancé ! Tu peux te branler !
J'étais tellement contrite que j'ai dit ça sans le penser et pour me faire
pardonner, j'ai dit à Amina que j'aimais me masturber.
- Moi aussi, m'a-t-elle répondu !
Je me suis approchée d'elle. Sous le prépuce, il y avait un gland que j'ai pu
décalotter et la petite fente, tout comme le pénis de mon copain mais en plus petit.
Quand j'ai commencé à la branler, Amina m'a dit que je ne devrais pas mais j'ai
insisté. C'était si tentant. Quand je lui ai demandé si elle avait du sperme, elle m'a
répondu qu'il y en avait et j'ai continué à la branler tout doucement. Mes parents
étaient dans la maison et j'ai soudain eu peur qu'on nous surprenne et j'ai dit à
Amina que samedi prochain, je serais seule tout l'après-midi.
- Tu viendras, l'ai-je suppliée ?
Elle m'a promis puis elle a remis sa petite culotte et nous nous sommes
allongées sur le lit pour écouter de la musique. De temps en temps, j'essayais de lui
attraper la main mais elle la retirait aussitôt puis quand ma mère a crié qu'il était
temps pour Amina de rentrer chez elle, mon amie s'est retournée sur moi et elle m'a
embrassée sur la bouche avant de se lever du lit et de partir dire au revoir à mes
parents.
J'avais le souvenir de son pénis dans mes doigts et je n'arrivais pas à
oublier et toute la semaine j'y ai pensé et quand je cherchais le regard d'Amina, elle
détournait le sien et j'en faisais autant quand elle cherchait le mien puis le samedi
est arrivé. J'étais seule quand elle est venue chez moi. Je l'ai embrassée tout de
suite et elle m'a dit que c'était à quoi elle était condamnée, aux filles puis nous
sommes allées dans ma chambre et nous avons fait l'amour. Je ne l'avais fait qu'une
fois avec un garçon de la classe qui m'avait laissée tomber ensuite parce qu'il ne
l'avait fait que pour se vanter de m'avoir eue. Là, ce n'était pas pareil. J'ai posé
la main sur la cuisse d'Amina et j'ai enfoncé mon pouce dans son vagin avant de
prendre son pénis dans ma bouche. Mes seins étaient ronds, mais ses seins étaient
pointus comme des obus. Ce que je voulais, c'était qu'elle me pénêtre et elle s'est y
est employée.
- Tu ne risques rien, m'a-t-elle alors dit ! Je n'ai pas de testicules et donc
pas de spermatozoïdes !
Je n'avais jamais éprouvé autant de plaisir. Nous avons cessé de jouer avec
son pénis et elle m'a fait un cunnilingus puis Amina m'a pénétrée avec ses doigts et
elle m'a fait avoir plusieurs orgasmes. Il était temps que je m'occupe d'elle et j'ai
collé ma bouche sur son vagin et je lui ai fait l'amour avec la langue pendant qu'elle
se branlait sur mon front. C'était vraiment excitant mais nous étions fatiguées et
nous nous sommes allongées dans les bras l'une de l'autre. Nous avons fait une courte
sieste pour récupérer puis nous nous sommes rhabillées et nous sommes sorties faire un
tour et le hasard nous a amenées devant la boutique du tatoueur et nous sommes entrées
pour regarder les photos. Amina m'a alors dit qu'elle avait toujours eu envie d'avoir
un piercing aux mamelons.
- Je le fais si tu le fais, m'a-t-elle alors dit !
J'ai accepté. Le pierceur était une femme et elle nous a demandé notre âge
mais elle a fini par accepter et elle a pu nous mettre un anneaux aux mamelons. Pour
moi, c'était la fin de la complicité avec ma mère avec qui je faisais parfois ma
toilette dans la salle de bains, du moins jusqu'à ce que je sois majeure, ce qui ne
durerait qu'un mois. En sortant de la boutique, elle m'a entraînée dans un coin de mur
et elle m'a embrassée avec fougue jusqu'à ce que je lui promette de ne jamais la
quitter mais le destin en a décidé autrement. Après le bac, les vacances d'été et à la
rentrée, Amina et ses parents avaient disparu de leur logement. Je suis entrée dans
une école pour apprendre un métier. Quelques années plus tard, alors que je rentrais
chez moi tard le soir, j'ai pris le raccourci par le bois bien que j'en sache les
dangers et là, parmi les putains qui y raccolaient toutes les nuits, j'ai reconnu
Amina. J'ai fait demi-tour et je me suis arrêtée devant elles.
- Toi, ai-je fait en désignant Amina ! Monte dans la voiture !
Elle est montée et ce n'est qu'après que j'ai redémarré qu'elle m'a reconnue.
- Tu fais la putain et tu m'as oubliée, lui ai-je crié dessus !
Elle restait muette mais elle a fini par me dire que c'était le seul métier
qu'elle pouvait faire. Je lui ai répondu qu'elle pouvait arrêter et que je l'emmenais
chez moi et que je la dédommagerais. J'avais hérité de l'appartement de mes grands-
parents. Je lui ai montré la chambre d'amis et je lui ai dit que ce serait la sienne
mais qu'avant, je la voulais dans mon lit et nous avons fait l'amour ensemble. C'était
un véritable pénis qu'elle avait maintenant, aussi long et large que celui d'un homme
et qu'elle a enfoncé dans mon vagin puis, alors qu'elle jouissait et éjaculait, Amina
m'a avoué que son médecin s'était trompé et que les gonades étaient sous sa peau et
que si elle ne faisait pas attention je pourrais avoir un enfant d'elle.
J'ai prévenu mes parents que j'avais retrouvé Amina et que parce qu'elle
cherchait un logement, je l'hébergeais chez moi dans la chambre d'amis mais ma père à
qui rien n'échappait m'a demandé si je n'étais pas lesbienne. Elle avait deviné que je
couchais avec elle puis elle a ajouté que ce qu'elle voulait avant tout, c'est que je
sois heureuse ! Je n'ai pas été fécondée tout de suite et ça nous a pris quelque
temps. Amina a arrêté de faire le trottoir et je lui ai trouvé un emploi dans ma
société puis, le moment venu, j'ai arrêté de prendre la pilule et je me suis faite
saillir par la meilleure amie que j'ai jamais eue et le père de ma fille est donc une
femme hermaphrodite. Elle a été très fière de m'avoir fait avoir le gros ventre et les
seins pleins de lait et depuis nous portons des alliances et quand nous sommes allées
faire du naturisme l'été dernier, nous avons pu voir le regard étonné des autres
participants de voir ces deux femmes heureuses avec leur fille.
FIN
Amina était arrivée en milieu d'année dans notre classe de Terminale. Il
n'était pas difficile de comprendre qu'elle venait de l'autre côté de la Méditerranée.
Elle s'est installée au fond de la classe et nous avons tout de suite vu qu'elle était
très intelligente mais il y avait quelque chose chez elle qui restait mystérieux. Les
garçons de la classe essayaient de la draguer parce qu'elle était aussi mignonne et
qu'elle avait une poitrine un peu grosse pour une fille de son âge.
Il y avait aussi que si elle faisait le sport avec nous, jamais elle ne
prenait de douche à la fin de la séance. J'avais remarqué qu'elle s'isolait dans les
toilettes pour se changer et le bruit a bientôt couru qu'elle n'était qu'un travesti
mais ça me semblait quand même incroyable.
J'avais quand même réussi à gagner sa confiance et nous faisions le chemin
ensemble pour rentrer car elle habitait mon quartier. C'est ainsi que j'ai fait la
connaissance de ses parents, son père ouvrier et sa mère qui ne parlait pas autre
chose que l'arabe. Quand j'ai parlé d'elle à mes parents, ils ont voulu connaître
Amina et elle a bien voulu venir chez moi un dimanche après-midi et ce qu'ils ont
pensé d'elle est que j'étais loin d'être à sa hauteur.
Amina a pris l'habitude de venir chez nous et la confiance venant, je me suis
prise d'audace un jour de lui demander pourquoi elle se cachait à la gym.
- Pourquoi, m'a-t-elle répondu, on ne se connaît pas assez !
Amina a bien vu que sa réponse m'a vexée et pour se rattraper, elle m'a
demandé si je voulais vraiment savoir. J'ai juré de ne rien dire comme elle me l'a
demandé et elle a retiré sa petite culotte avant de soulever sa jupe et j'ai vu un
pénis aussi long que mon pouce au-dessus de sa vulve.
- C'est ton clitoris, lui ai-je demandé ?
- Non, c'est un pénis, m'a répondu Amina ! Je suis hermaphrodite !
J'étais sidérée. Amina avait rabattu sa jupe. Quand je lui ai demandé s'il
allait encore grossir, elle m'a répondu qu'elle n'en savait rien puis elle a ajouté
qu'une de ses tantes était comme elle et que c'était aussi gros que le pénis d'un
homme.
- Jamais un homme ne voudra de moi, a-t-elle encore ajouté ! Je suis condamnée
à rester seule !
Quand je lui ai demandé si elle pouvait avoir des enfants, Amina m'a répondu
qu'en principe elle pourrait.
- Tu as de la chance, ai-je lancé ! Tu peux te branler !
J'étais tellement contrite que j'ai dit ça sans le penser et pour me faire
pardonner, j'ai dit à Amina que j'aimais me masturber.
- Moi aussi, m'a-t-elle répondu !
Je me suis approchée d'elle. Sous le prépuce, il y avait un gland que j'ai pu
décalotter et la petite fente, tout comme le pénis de mon copain mais en plus petit.
Quand j'ai commencé à la branler, Amina m'a dit que je ne devrais pas mais j'ai
insisté. C'était si tentant. Quand je lui ai demandé si elle avait du sperme, elle m'a
répondu qu'il y en avait et j'ai continué à la branler tout doucement. Mes parents
étaient dans la maison et j'ai soudain eu peur qu'on nous surprenne et j'ai dit à
Amina que samedi prochain, je serais seule tout l'après-midi.
- Tu viendras, l'ai-je suppliée ?
Elle m'a promis puis elle a remis sa petite culotte et nous nous sommes
allongées sur le lit pour écouter de la musique. De temps en temps, j'essayais de lui
attraper la main mais elle la retirait aussitôt puis quand ma mère a crié qu'il était
temps pour Amina de rentrer chez elle, mon amie s'est retournée sur moi et elle m'a
embrassée sur la bouche avant de se lever du lit et de partir dire au revoir à mes
parents.
J'avais le souvenir de son pénis dans mes doigts et je n'arrivais pas à
oublier et toute la semaine j'y ai pensé et quand je cherchais le regard d'Amina, elle
détournait le sien et j'en faisais autant quand elle cherchait le mien puis le samedi
est arrivé. J'étais seule quand elle est venue chez moi. Je l'ai embrassée tout de
suite et elle m'a dit que c'était à quoi elle était condamnée, aux filles puis nous
sommes allées dans ma chambre et nous avons fait l'amour. Je ne l'avais fait qu'une
fois avec un garçon de la classe qui m'avait laissée tomber ensuite parce qu'il ne
l'avait fait que pour se vanter de m'avoir eue. Là, ce n'était pas pareil. J'ai posé
la main sur la cuisse d'Amina et j'ai enfoncé mon pouce dans son vagin avant de
prendre son pénis dans ma bouche. Mes seins étaient ronds, mais ses seins étaient
pointus comme des obus. Ce que je voulais, c'était qu'elle me pénêtre et elle s'est y
est employée.
- Tu ne risques rien, m'a-t-elle alors dit ! Je n'ai pas de testicules et donc
pas de spermatozoïdes !
Je n'avais jamais éprouvé autant de plaisir. Nous avons cessé de jouer avec
son pénis et elle m'a fait un cunnilingus puis Amina m'a pénétrée avec ses doigts et
elle m'a fait avoir plusieurs orgasmes. Il était temps que je m'occupe d'elle et j'ai
collé ma bouche sur son vagin et je lui ai fait l'amour avec la langue pendant qu'elle
se branlait sur mon front. C'était vraiment excitant mais nous étions fatiguées et
nous nous sommes allongées dans les bras l'une de l'autre. Nous avons fait une courte
sieste pour récupérer puis nous nous sommes rhabillées et nous sommes sorties faire un
tour et le hasard nous a amenées devant la boutique du tatoueur et nous sommes entrées
pour regarder les photos. Amina m'a alors dit qu'elle avait toujours eu envie d'avoir
un piercing aux mamelons.
- Je le fais si tu le fais, m'a-t-elle alors dit !
J'ai accepté. Le pierceur était une femme et elle nous a demandé notre âge
mais elle a fini par accepter et elle a pu nous mettre un anneaux aux mamelons. Pour
moi, c'était la fin de la complicité avec ma mère avec qui je faisais parfois ma
toilette dans la salle de bains, du moins jusqu'à ce que je sois majeure, ce qui ne
durerait qu'un mois. En sortant de la boutique, elle m'a entraînée dans un coin de mur
et elle m'a embrassée avec fougue jusqu'à ce que je lui promette de ne jamais la
quitter mais le destin en a décidé autrement. Après le bac, les vacances d'été et à la
rentrée, Amina et ses parents avaient disparu de leur logement. Je suis entrée dans
une école pour apprendre un métier. Quelques années plus tard, alors que je rentrais
chez moi tard le soir, j'ai pris le raccourci par le bois bien que j'en sache les
dangers et là, parmi les putains qui y raccolaient toutes les nuits, j'ai reconnu
Amina. J'ai fait demi-tour et je me suis arrêtée devant elles.
- Toi, ai-je fait en désignant Amina ! Monte dans la voiture !
Elle est montée et ce n'est qu'après que j'ai redémarré qu'elle m'a reconnue.
- Tu fais la putain et tu m'as oubliée, lui ai-je crié dessus !
Elle restait muette mais elle a fini par me dire que c'était le seul métier
qu'elle pouvait faire. Je lui ai répondu qu'elle pouvait arrêter et que je l'emmenais
chez moi et que je la dédommagerais. J'avais hérité de l'appartement de mes grands-
parents. Je lui ai montré la chambre d'amis et je lui ai dit que ce serait la sienne
mais qu'avant, je la voulais dans mon lit et nous avons fait l'amour ensemble. C'était
un véritable pénis qu'elle avait maintenant, aussi long et large que celui d'un homme
et qu'elle a enfoncé dans mon vagin puis, alors qu'elle jouissait et éjaculait, Amina
m'a avoué que son médecin s'était trompé et que les gonades étaient sous sa peau et
que si elle ne faisait pas attention je pourrais avoir un enfant d'elle.
J'ai prévenu mes parents que j'avais retrouvé Amina et que parce qu'elle
cherchait un logement, je l'hébergeais chez moi dans la chambre d'amis mais ma père à
qui rien n'échappait m'a demandé si je n'étais pas lesbienne. Elle avait deviné que je
couchais avec elle puis elle a ajouté que ce qu'elle voulait avant tout, c'est que je
sois heureuse ! Je n'ai pas été fécondée tout de suite et ça nous a pris quelque
temps. Amina a arrêté de faire le trottoir et je lui ai trouvé un emploi dans ma
société puis, le moment venu, j'ai arrêté de prendre la pilule et je me suis faite
saillir par la meilleure amie que j'ai jamais eue et le père de ma fille est donc une
femme hermaphrodite. Elle a été très fière de m'avoir fait avoir le gros ventre et les
seins pleins de lait et depuis nous portons des alliances et quand nous sommes allées
faire du naturisme l'été dernier, nous avons pu voir le regard étonné des autres
participants de voir ces deux femmes heureuses avec leur fille.
FIN
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12 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
La nature est ainsi faite, très souvent on ne choisit pas son destin! en tout cas en plus de votre fidélité à Amina vous avez donné un bel exemple et du sens a ce noble sentiment que peut representer la philantropie !Bonne continuation et longue vie à vôtre couple!
tres beau et tellement sain de créer des sentiments naturels sur des genres naturels faites connaitre à nous les hommes des récits de ces relations et joignez y un homme à vos genoux ..
dieu a cree la nature soiyee heureuses faite atention au idiots beaucoup de sante et de bonheure
Ce récit est plein de tendresse et d'amour - j'aime beaucoup vos textes que je note au fur et à mesure e mes lectures. Cordialement. Vieulou
très belle histoire. Bonne continuation!
Belle rencontre, belle confiance, belle histoire, bel amour...duquel une petite fille est née...
Bravo, quelle belle leçon de vie.
Je ne suis pas bi mais lesbienne, et pourtant votre histoire me touche, vraiment.
Soyez heureuses toutes les 3....ou plus ;o)
Je vous embrasse.
Bravo, quelle belle leçon de vie.
Je ne suis pas bi mais lesbienne, et pourtant votre histoire me touche, vraiment.
Soyez heureuses toutes les 3....ou plus ;o)
Je vous embrasse.
Hmm, un vrai régal.
Quelle sensualité, un vrai comte de princesse
Très bien écris, bravo, dommage qu'il n'y ait pas de suite.
Je vous décerne un 20 sur 20.
Je vous décerne un 20 sur 20.
Magique, d’après ce que nous venons d'en lire, il n'y aura aucune suite quel grand
dommage.
dommage.
Très belle histoire. Pas trop bandante mais super interessante. Si cest une histoire
vraie alors je vous souhaite tout le bonheur du monde
vraie alors je vous souhaite tout le bonheur du monde
Superbe histoire, un véritable comte de princesse...