Une aventure érotique : Le veinard ! - histoire érotique

Salut à tous, je viens ici pour me soulager d’une histoire qui vient de m’arriver. Cette histoire, j’en ai un peu honte, je dois l’avouer mais en même temps quand j’y repense, je ne peux m’empêcher d’être excitée et bien souvent le soir, quand je suis seule dans ma chambre, je me masturbe en y repensant !


Tout d’abord je vais me présenter : je m’appelle Sofia, j’ai vingt ans, je suis blonde aux yeux noisettes et mesure un mètre soixante cinq. Côté rondeurs j’ai tout ce qu’il faut là où il faut sans exagération. Je sais que je plais beaucoup aux garçons mais malgré cela, avant cette histoire, à cause d’une timidité maladive, je n’étais jamais sortie avec un mec.


Cela ne me manquait pas vraiment, en jeune fille sage que je suis, je me disais que tout arriverait au moment opportun et que pour le moment il valait mieux que je privilégie les études.


Hors donc, je suis étudiante et pour payer mes études je fais des petits boulots l’été venu. Cette année j’ai dégoté un job dans une maison de retraite. Un boulot administratif pas trop compliqué mais pas trop mal payé. Les pensionnaires sont plus ou moins sympas et plus ou moins alertes. Je me liais cependant avec un groupe de pépés et mémés marrants et chambreurs ! Chaque midi je mangeais avec eux au réfectoire, il y avait là Maria, Violette, Simone, Denise, Roger et Grégoire. Le rigolo de la bande était Grégoire, un Monsieur âgé de soixante quinze ans particulièrement bien conservé. Il me taquinait souvent et je dois dire que j’aimais beaucoup ça, une tendre complicité c’était d’ailleurs installée entre nous deux.


A la mi-août, par manque de personnel, je dus donner un coup de main aux aides-soignantes et laisser un peu pendant quelques jours mon travail de bureau. Du coup, là c’était beaucoup moins tranquille ! Laver les chambres et nettoyer les vieilles personnes n’est pas de tout repos.


Arriva un moment où je dus m’occuper de Grégoire. D’équipe du soir, il fallait que j’aide Grégoire à prendre sa douche et veiller à ce qu’il prenne ses cachets avant de se coucher. En règle générale, Grégoire prend sa douche tout seul, mais là il avait, soit disant, un lumbago qui le faisait souffrir.


C’était la première fois de ma vie que je voyais un homme totalement nu et bien que septuagénaire je dois dire que sa nudité me troublait. La verge d’un homme, je n’en n’avais aperçu que subrepticement à la télévision, et encore pas dans un film pornographique ! Celle de Grégoire me semblait bien grosse ! Dans mon imaginaire de jeune fille l’objet viril était beaucoup plus petit que celui que j’avais sous mes yeux ! Faut dire que le corps du vieux Monsieur semblait apprécier le savonnage que je lui prodiguais avec le gant ! Et si mes cours d’éducation sexuelles disaient vrai, cela ressemblait bel et bien à une érection !!!


Très gênée, je ne savais comment me comporter et je laissais tomber gant et savon pour reculer dans la chambre. Grégoire m’appela alors en s’excusant :

-« Je suis désolé si je vous ai choquée jeune fille, mais vous comprenez que c’est malgré moi que je bande ! Comment résister à une si jolie demoiselle. »


Le rouge aux joues j’étais, de par ma maudite timidité, incapable de sortir un mot. Pourtant de la chambre je continuais à regarder fixement par la porte entre ouverte le pénis de Monsieur Grégoire…


-« Allons, Sofia, venez me rincer, je suis tout plein de mousse et de savon et je n’ai pas l’agilité pour me passer l’eau partout. »


J’obtempérais tout en constatant que sexe de Grégoire loin d’avoir perdu de sa vigueur était toujours aussi tendu ! Un fois propre je raccompagnais le septuagénaire à son lit.


« Vous savez Sofia, je m’excuse encore pour tout à l’heure. »


« Oh mais de rien Monsieur Grégoire, c’est moi qui m’excuse, je n’aurai pas du réagir comme cela, mais c’est la première fois que… »


« Que quoi ? Que vous voyez un sexe d’homme ? »


A ma grand honte je lui fit signe que oui.


« Une si jolie fille que vous ? »


« Ma timidité en est la cause »


« Mais cela ne te manque pas ? »


« Si, sûrement, parfois… Mais n’ayant pas goûté à la chose je ne peux pas savoir ce que je manque »


Monsieur Grégoire eut alors un geste qui me stupéfia : il enleva les draps et baissa son bas de pyjama, me présenta son pénis bandé et me dit :


« Et bien si tu veux tu peux goûter ! »


Je tremblais de tout mon corps devant l’audace de cet homme de cinquante cinq ans de plus que moi… Si on m’avait raconté une telle scène, j’aurais crié au pervers et au tabou mais étrangement je restais pétrifiée et hypnotisé par la chose… Qu’allais je faire ? J’avais tout d’un coup énormément envie de toucher…


« Allons Sofia, personne ne le saura… Et puis il est plus facile pour toi de découvrir le sexe avec moi ! J’ai de l’expérience et je suis encore vert… »


Me croirez vous quand je vous dirais que je me suis jetée sur sa bite comme une affamée ?


Me croirez vous quand je vous dirais que je me suis laissée toucher par les vieilles mains ridées et tremblantes du vieux satire ?


Et mon dieu que ce fut bon ! Comment avais-je pu ignorer le plaisir que l’on ressent en ce laissant aller au vice ? Une verge d’homme c’est meilleur que tout ! Et quel orgasme je ressentis quand il me dévora la chatte…


Son sperme je le reçus dans la bouche et l’avala, ce qui surpris beaucoup Grégoire. Il me complimenta et me dit que j’étais doué pour une première !


Il se trouva que le lendemain je ne travaillais pas… Pourtant mes pensées étaient toutes tournées vers l’hospice ! Honteuse au plus haut point, j’avais pourtant envie de revoir Grégoire au plus vite pour que l’on recommence nos petits jeux pervers. Je décidais également que ce serait lui qui aurait l’honneur de prendre ma virginité.


Quand l’occasion ce présenta, nous nous retrouvâmes donc ensemble dans sa chambre et je lui demandais alors de me déflorer. Flatté il hésita quand même et me demanda si j’étais sure de moi. Ensuite il s’occupa de moi avec douceur et tendresse. J’ai eu un peu mal, mais juste un peu et je pense avoir ressentis ce que l’on nomme un orgasme. C’est très bon et d’après Grégoire ça sera de plus en plus fort à l’avenir.


Nous avons fait l’amour à plusieurs reprises durant la fin du mois d’août et durant le mois de Septembre, mes cours ne reprenant qu’au mois d’Octobre.


Nous avons décidés de nous revoir de temps en temps, pas obligatoirement pour faire l’amour car Grégoire sait bien que j’ai désormais besoin d’un amant de mon age, mais pour continuer cette douce complicité qui c’est lié entre nous.


Voilà mon histoire, et j’espère qu’elle ne vous a pas trop choqué. Je sais bien qu’elle n’est pas banale, loin de là, mais je ne la changerais pour rien au monde tellement j’ai prise du plaisir à la vivre et ce n’est pas non plus Grégoire qui dira le contraire ! D’ailleurs depuis ce jour il s’auto-surnomme le veinard ! ! !