Une aventure érotique : Le vilain petit canard
Récit érotique écrit par DeLaLune [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-11-2015 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Une aventure érotique : Le vilain petit canard
Tout a commencé alors que j’étais encore au Lycée en classe de terminale…
Cette année là, suite à un déménagement, j’étais le nouveau de l’établissement scolaire. Peut chargée en élève, notre classe était principalement composée de filles particulièrement à mon goût…
Cela n’était bien entendu pas fait pour me déplaire mais, timide et peu sur de moi je restais dans mon coin, n’osant engager la conversation avec l’une d’elles. Il faut dire que mon physique, à l’époque, n’avait rien pour attirer vraiment les filles ! Boutonneux, malingre, petit de taille, j’avais un retard de croissance par rapport à mes camarades de classe ! Je me rassurais en sachant que cela était de famille et que mon passage physique à l’age adulte se ferait plus tard que les autres, mais ce ferait normalement et j’atteindrais une taille et une carrure définitive que vers l’age de vingt deux ans.
En attendant, je devais subir les quolibets et autres railleries des autres garçons de ma classe qui par exemple dans les vestiaires de la piscine découvrait la petite nouille qui pendait au bas de mon ventre !
Bien vite les filles furent mises au courant de mon petit zizi et à leur tour, sourires en coins, elles riaient de moi.
Malheureux de la situation, j’avais beau me défendre en expliquant mon cas et que cela rentrerai dans la normale dans les mois et années qui à venir, j’étais devenu un peu le souffre douleur de la classe…
Un groupe de trois filles étaient particulièrement cruelles avec moi, elles ne rataient pas une occasion de me rabaisser. Cependant, même si elles étaient moqueuses, elles ne me laissaient pas tranquille et isolé comme le faisaient les autres filles ou garçon. Plusieurs fois elles m’avaient invité à passer le mercredi après-midi avec elles. J’avais au début refusé, pensant qu’elles se moquaient une nouvelle fois de moi, mais devant leur insistance, j’acceptais leur invitation…
Le mercredi arrivant, je sonnais à la porte de l’adresse qu’elles m’avaient indiquées. Au fond de moi je pensais qu’elles m’avaient donné une fausse adresse mais, surprise, c’est elles qui m’ouvrirent.
Elles étaient toutes trois habillées de façon provocante et sexy ! Je n’en croyais pas mes yeux.
J’entrais à leur suite dans une pièce jonchée de coussins et de magasines féminins. Au mur, des posters d’icônes gothiques venaient s’ajouter à la musique pour souligner l’atmosphère un peu déjantée du lieu et de ses occupantes.
- Alors finalement tu as osé venir ? Cela faisait plusieurs fois qu’on t’invitait, on n’est pas assez bien pour toi ?
- Non non, mais je croyais que…
- Tu avais peur de nous ?
- Ce n’est pas ça mais…
- Tu n’avais pas confiance en nous ?
- Oui, c’est plutôt ça…
Les trois filles me toisaient d’un air goguenard et je n’en menais pas large !
- Tu n’es pas étonné qu’on t’ai invité alors qu’on se fout de ta gueule à longueur de journée ?
Je me taisais, la tête basse, je ne savais que répondre…
- Si tu es là c'est par curiosité… Nous sommes des filles très curieuses...
Je ne comprenais pas ce qu’elles me voulaient.
- Nous aimerions en voir plus de toi… Nous aimerions voir par nous même ta petite bite…
Alors là j’étais abasourdi ! Tombé dans le piège, tremblant, je cherchais la porte de sortie mais elles s’étaient placées de façon à ce que je ne puisse pas y accéder…
- Allez, ne fait pas ton timide… On sait bien que tu es puceau… On est même sûres que tu n’as jamais vu de filles à poil !
Disant cela, elles commencèrent à s’effeuiller devant mes yeux exorbités ! Qu’allait 'il m’arriver ? Comment allais-je me sortir de se traquenard !
Une fois nues elles s’approchèrent de moi et entreprirent de me déshabiller…
Je me laissais faire, hypnotisé que j’étais par leurs corps sublimes exposés à ma vue.
Et d’un coup se furent des éclats de rires, elles venaient de me descendre le slip !
- Ah ah ! Mais regardez-moi ça les filles !
- Oh oh mais ce n’est pas possible !
- Hi Hi ! Je n’en ai jamais vu d’aussi petite !
Rouge et honteux, j’avais les larmes aux yeux…
- Mon pauvre ! C’est pire que ce que l’on avait imaginé !
- Hi Hi ! Et il t’arrive de bander au moins ?
Les rires et les commentaires sur ma personne se succédaient, je ne savais plus où me mettre et sentais que j’allais fondre en larme.
- Bon écoute, puisqu’on est tous à poil, autant qu’on en profite !
Hein ? Que voulaient t’elles dire par là ? Et elles me couchèrent par terre…
Julia, la blonde, m’embrassa à pleine bouche… Alors là je n’y comprenais plus rien !
- Détend toi me dit Sophie, une fille d’un mètre soixante quinze, c'est-à-dire quinze centimètres de plus que moi…
Les trois filles me caressaient le corps et petit à petit je me détendis. Après tout, même si je ne comprenais pas ce qui se passait, je me dis qu’il fallait que j’en profite !
- Oh regardez les filles, il bande !!!
Et ce fut de nouveaux rires et gloussements…
Sophie me pris le sexe en bouche… Qu’elle sensation agréable ! Je tournais la tête et découvrit Julia et Magali, l’asiatique, s’embrasser à pleines bouches…
Ainsi donc il n’existait pas que de l’amitié entre ces trois filles…
- Plutôt que vous dévorer, venez plutôt goûter cette queue dit Sophie…
- Il semble dur dit Magali.
- J’ai bien envie de m’y emmancher dit Julia et ni une ni deux, elle s’embrocha sur mon pénis.
Julie me chevauchait et semblait y prendre plaisir.
- Oh…. Les filles… Faudra que vous l’essayiez… Il n’est pas si petit que ça une fois bandé… En plus il est vraiment très dur !
Rassuré, c’était le premier compliment que j’entendais de leur part.
Ce jour là, elles se succédèrent une après l’autre pour, comme elles dirent : essayer leur petit homme… Ensuite j’ai éjaculé dans la bouche de Sophie qui partagea mon sperme avec ses deux consoeurs. Pendant que je récupérais de mes émotions elles se gouinèrent devant moi ce qui eut pour effet de me faire rebander bien vite.
- Oh mes regardez donc ce petit cochon ! Il se paluche le nœud en nous regardant !
- Viens plutôt nous bouffer la chatte…
Magali m’attrapa par les cheveux et m’obligea à lécher ses copines.
Je n’avais jamais fait ça mais dû apprendre très vite car elles me giflaient à chaque fois que ça n’allait pas selon leurs goûts.
Je ne comprenais pas trop ces filles, tantôt gentilles avec moi, tantôt sadiques et dirigistes…
Après avoir réussi à les faire jouir l’une après l’autre, j’ai eu droit à ma récompense, une fellation de Julia pendant que Magali et Sophie me caressaient de partout, trou du cul compris !
- A la prochaine séance il faudra s’occuper de son trou de balle et lui apprendre à nous prendre le notre dit Magali !
C’est ainsi que tous les mercredi, je pris l’habitude de me rendre chez les trois copines. Notre relation resta secrète et si au lycée je restais la tête de turc de mes camarades, désormais je m’en fichais… J’avais bien autre chose en tête !
Magali, Sophie et Julia étaient trois jeunes filles extrêmement vicieuses et imaginatives. Grâce ou à cause d’elles je connus de nombreuses expériences sexuelles que je n’aurais jamais eut autrement. Au début, j’étais en quelque sorte leur jouet mais au fil du temps je devins plus que ça, je devins leur compagnon de baise si bien qu’à la fin de l’année, ma croissance arrivant enfin, je devins un maître dans l’art de donner du plaisir aux filles !
Devenus leur ami, elles se firent un plaisir de changer ma réputation misérable en réputation enviable ! Et en quelques jours, le bruit couru parmi les filles que j’étais un bon coup !
Aujourd’hui encore je pense à cette époque où, de vilain petit canard, je suis devenu beau cygne !
Partit à la Fac dans une ville très éloignée et ne rentrant que rarement le weekend, je n’ai plus jamais revu mes trois initiatrices mais si aujourd’hui j’ai du succès avec les femmes je le dois en grande partie à mes trois vicieuses dont je chérie le souvenir.
Cette année là, suite à un déménagement, j’étais le nouveau de l’établissement scolaire. Peut chargée en élève, notre classe était principalement composée de filles particulièrement à mon goût…
Cela n’était bien entendu pas fait pour me déplaire mais, timide et peu sur de moi je restais dans mon coin, n’osant engager la conversation avec l’une d’elles. Il faut dire que mon physique, à l’époque, n’avait rien pour attirer vraiment les filles ! Boutonneux, malingre, petit de taille, j’avais un retard de croissance par rapport à mes camarades de classe ! Je me rassurais en sachant que cela était de famille et que mon passage physique à l’age adulte se ferait plus tard que les autres, mais ce ferait normalement et j’atteindrais une taille et une carrure définitive que vers l’age de vingt deux ans.
En attendant, je devais subir les quolibets et autres railleries des autres garçons de ma classe qui par exemple dans les vestiaires de la piscine découvrait la petite nouille qui pendait au bas de mon ventre !
Bien vite les filles furent mises au courant de mon petit zizi et à leur tour, sourires en coins, elles riaient de moi.
Malheureux de la situation, j’avais beau me défendre en expliquant mon cas et que cela rentrerai dans la normale dans les mois et années qui à venir, j’étais devenu un peu le souffre douleur de la classe…
Un groupe de trois filles étaient particulièrement cruelles avec moi, elles ne rataient pas une occasion de me rabaisser. Cependant, même si elles étaient moqueuses, elles ne me laissaient pas tranquille et isolé comme le faisaient les autres filles ou garçon. Plusieurs fois elles m’avaient invité à passer le mercredi après-midi avec elles. J’avais au début refusé, pensant qu’elles se moquaient une nouvelle fois de moi, mais devant leur insistance, j’acceptais leur invitation…
Le mercredi arrivant, je sonnais à la porte de l’adresse qu’elles m’avaient indiquées. Au fond de moi je pensais qu’elles m’avaient donné une fausse adresse mais, surprise, c’est elles qui m’ouvrirent.
Elles étaient toutes trois habillées de façon provocante et sexy ! Je n’en croyais pas mes yeux.
J’entrais à leur suite dans une pièce jonchée de coussins et de magasines féminins. Au mur, des posters d’icônes gothiques venaient s’ajouter à la musique pour souligner l’atmosphère un peu déjantée du lieu et de ses occupantes.
- Alors finalement tu as osé venir ? Cela faisait plusieurs fois qu’on t’invitait, on n’est pas assez bien pour toi ?
- Non non, mais je croyais que…
- Tu avais peur de nous ?
- Ce n’est pas ça mais…
- Tu n’avais pas confiance en nous ?
- Oui, c’est plutôt ça…
Les trois filles me toisaient d’un air goguenard et je n’en menais pas large !
- Tu n’es pas étonné qu’on t’ai invité alors qu’on se fout de ta gueule à longueur de journée ?
Je me taisais, la tête basse, je ne savais que répondre…
- Si tu es là c'est par curiosité… Nous sommes des filles très curieuses...
Je ne comprenais pas ce qu’elles me voulaient.
- Nous aimerions en voir plus de toi… Nous aimerions voir par nous même ta petite bite…
Alors là j’étais abasourdi ! Tombé dans le piège, tremblant, je cherchais la porte de sortie mais elles s’étaient placées de façon à ce que je ne puisse pas y accéder…
- Allez, ne fait pas ton timide… On sait bien que tu es puceau… On est même sûres que tu n’as jamais vu de filles à poil !
Disant cela, elles commencèrent à s’effeuiller devant mes yeux exorbités ! Qu’allait 'il m’arriver ? Comment allais-je me sortir de se traquenard !
Une fois nues elles s’approchèrent de moi et entreprirent de me déshabiller…
Je me laissais faire, hypnotisé que j’étais par leurs corps sublimes exposés à ma vue.
Et d’un coup se furent des éclats de rires, elles venaient de me descendre le slip !
- Ah ah ! Mais regardez-moi ça les filles !
- Oh oh mais ce n’est pas possible !
- Hi Hi ! Je n’en ai jamais vu d’aussi petite !
Rouge et honteux, j’avais les larmes aux yeux…
- Mon pauvre ! C’est pire que ce que l’on avait imaginé !
- Hi Hi ! Et il t’arrive de bander au moins ?
Les rires et les commentaires sur ma personne se succédaient, je ne savais plus où me mettre et sentais que j’allais fondre en larme.
- Bon écoute, puisqu’on est tous à poil, autant qu’on en profite !
Hein ? Que voulaient t’elles dire par là ? Et elles me couchèrent par terre…
Julia, la blonde, m’embrassa à pleine bouche… Alors là je n’y comprenais plus rien !
- Détend toi me dit Sophie, une fille d’un mètre soixante quinze, c'est-à-dire quinze centimètres de plus que moi…
Les trois filles me caressaient le corps et petit à petit je me détendis. Après tout, même si je ne comprenais pas ce qui se passait, je me dis qu’il fallait que j’en profite !
- Oh regardez les filles, il bande !!!
Et ce fut de nouveaux rires et gloussements…
Sophie me pris le sexe en bouche… Qu’elle sensation agréable ! Je tournais la tête et découvrit Julia et Magali, l’asiatique, s’embrasser à pleines bouches…
Ainsi donc il n’existait pas que de l’amitié entre ces trois filles…
- Plutôt que vous dévorer, venez plutôt goûter cette queue dit Sophie…
- Il semble dur dit Magali.
- J’ai bien envie de m’y emmancher dit Julia et ni une ni deux, elle s’embrocha sur mon pénis.
Julie me chevauchait et semblait y prendre plaisir.
- Oh…. Les filles… Faudra que vous l’essayiez… Il n’est pas si petit que ça une fois bandé… En plus il est vraiment très dur !
Rassuré, c’était le premier compliment que j’entendais de leur part.
Ce jour là, elles se succédèrent une après l’autre pour, comme elles dirent : essayer leur petit homme… Ensuite j’ai éjaculé dans la bouche de Sophie qui partagea mon sperme avec ses deux consoeurs. Pendant que je récupérais de mes émotions elles se gouinèrent devant moi ce qui eut pour effet de me faire rebander bien vite.
- Oh mes regardez donc ce petit cochon ! Il se paluche le nœud en nous regardant !
- Viens plutôt nous bouffer la chatte…
Magali m’attrapa par les cheveux et m’obligea à lécher ses copines.
Je n’avais jamais fait ça mais dû apprendre très vite car elles me giflaient à chaque fois que ça n’allait pas selon leurs goûts.
Je ne comprenais pas trop ces filles, tantôt gentilles avec moi, tantôt sadiques et dirigistes…
Après avoir réussi à les faire jouir l’une après l’autre, j’ai eu droit à ma récompense, une fellation de Julia pendant que Magali et Sophie me caressaient de partout, trou du cul compris !
- A la prochaine séance il faudra s’occuper de son trou de balle et lui apprendre à nous prendre le notre dit Magali !
C’est ainsi que tous les mercredi, je pris l’habitude de me rendre chez les trois copines. Notre relation resta secrète et si au lycée je restais la tête de turc de mes camarades, désormais je m’en fichais… J’avais bien autre chose en tête !
Magali, Sophie et Julia étaient trois jeunes filles extrêmement vicieuses et imaginatives. Grâce ou à cause d’elles je connus de nombreuses expériences sexuelles que je n’aurais jamais eut autrement. Au début, j’étais en quelque sorte leur jouet mais au fil du temps je devins plus que ça, je devins leur compagnon de baise si bien qu’à la fin de l’année, ma croissance arrivant enfin, je devins un maître dans l’art de donner du plaisir aux filles !
Devenus leur ami, elles se firent un plaisir de changer ma réputation misérable en réputation enviable ! Et en quelques jours, le bruit couru parmi les filles que j’étais un bon coup !
Aujourd’hui encore je pense à cette époque où, de vilain petit canard, je suis devenu beau cygne !
Partit à la Fac dans une ville très éloignée et ne rentrant que rarement le weekend, je n’ai plus jamais revu mes trois initiatrices mais si aujourd’hui j’ai du succès avec les femmes je le dois en grande partie à mes trois vicieuses dont je chérie le souvenir.
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