Une aventure érotique : Tour de France
Récit érotique écrit par DeLaLune [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-07-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une aventure érotique : Tour de France
Je m’appelle Monique, j’ai trente huit ans et suis encore bien roulée pour mon âge. Cela est du principalement au fait que je fais beaucoup de sport. Il y a quatre ans de cela, je suis allé faire des randonnées à vélo dans les Alpes avec mon mari et un couple d’amis sportifs comme nous. En plein mois de Juillet il est agréable de parcourir ces somptueux paysages. Chaque nuits on s’arrêtait dans un camping différent où l’on plantait nos deux tentes, une par couple… Vous vous dites que cette histoire va tourner vers l’échangisme ou le mélangisme entre couples… Et bien vous n’y êtes pas du tout !!! J’aime bien nos amis certes mais il ne serait y avoir de relations extraconjugales ou autres avec l’un d’eux ! De plus mon mari est d’une jalousie maladive et est assez coincé niveau sexe ainsi je le vois mal jouer à des jeux amoureux de la sorte…
Non voyez vous, il s’agit ici d’une histoire, la mienne, parmi la foule Juilletiste de bord de route du tour de France…
Hors donc, puisque nous sommes fanas de vélos, nous avons décidés d’aller voir passer le peloton du Tour de France de visu dans une grande étape alpestre. Il faisait très chaud ce jour là et une foule considérable se pressait sur les deux côtés de la route sinueuse. Nous avions monté à vélo quelques kilomètres avant de trouver un endroit agréable. J’étais habillée en tenue de vélo avec des habits extrêmement moulants qui ne cachaient rien de mes rondeurs et courbes harmonieuses… Avant de voir passer les coureurs, il a fallu attendre un bon moment et nous en avons profité pour faire la connaissance de néerlandais venus eux aussi à vélo. C’était un groupe d’une vingtaine de jeunes gens d’environ vingt cinq ans. Leur tenue était également celle d’un coureur cycliste… Tenue que j’aime bien pour les garçons tant elle moule bien leur partie intime… Je ne me privais pas d’ailleurs de mater du coin de l’œil les attributs virils de ces messieurs…
L’un d’eux, Karl, qui parlait un Français hésitant, s’aperçu je crois de mon manège et se fit souriant et affable envers moi. J’en fut flattée tant le jeune homme était beau et bien foutu… Une femme de mon âge draguée par un minet de la sorte est franchement valorisant pour l’ego ! L’ambiance était de plus en plus à la rigolade de sorte que mon mari étant occupé à raconter des blagues aux spectateurs alentour ne s’aperçu pas des œillades et regards provocateurs de Karl… Je rosissais et m’échauffais… Karl proposa d’aller chercher des bouteilles d’eau dans son camping car garé un virage plus haut, je me proposais de l’accompagner. Mon mari ne m’a pas vu partir et vu la foule qu’il y avait il a du croire que je n’étais pas loin… Arrivés au camping-car de Karl, les choses furent de suite claires… J’allais me faire baiser comme la plus basse des salopes… Et rien que d’y penser cela me faisait mouiller et me fait mouiller encore… Pensez donc, on referma la porte à clef mais l’on entendait parfaitement la foule tout autour qui s’agitait ce qui rendait la situation d’autant plus vicieuse pour moi…
Karl me coucha sur le lit et se déshabilla… Quel athlète ! Il avait de beaux pectoraux et des muscles bien dessinés, son bronzage faisait luire sa peau et je n’avais qu’une envie c’est de le toucher et de le goûter ! Délicatement il me quitta mes habits et pencha sa tête sur ma petite chatte trempée. Le néerlandais savait s’y prendre, je n’avais jamais connu d’homme qui lèche aussi bien une femme… On se mit en soixante neuf et je me jetais comme une morte de faim sur son joli sexe bandé à l’extrême. Je me délectais de l’instant et de cette verge, dehors la foule criait au passage du premier coureur… Karl décida alors de me faire l’amour, il entra son pénis dans mon minou et commença des va-et-vient. Les cris d’encouragements du dehors semblaient être une invitation à l’encontre de Karl pour qu’il me besogne toujours plus fort et plus vite. Le jeune homme, sportif, avait non seulement un sexe performant mais également une endurance hors norme ! Croyez moi les filles se faire sauter par un jeune et beau sportif qui sait s’y prendre avec les femmes… Il n’y a rien de tel ! Malgré moi je poussais des cris de plaisir, j’hurlais même tellement c’était bon ! C’était la première fois qu’une telle chose m’arrivait, je n’arrivais pas à me contrôler, la jouissance était trop forte ! La foule couvrait sûrement mes bruits mais je découvris plus tard en sortant du camping car que les plus proches voisins s’étaient tout de même aperçu de quelque chose et ce fut quelques ricanements et sourires en coin qui nous dévisagèrent !
Notre partie de jambes en l’air ne dura qu’un quart d’heure environ car il ne fallait tout de même pas exagérer, mon mari allait commencer à me chercher et à se faire du souci s’il ne me voyait pas aux alentours. Comme si de rien n’était je précédais Karl pour retourner un virage plus bas. Il y avait encore des coureurs retardés qui escaladaient le col… Mon mari et mes amis ne s’étaient pas inquiétés, je leur dis que j’étais montée un peu plus haut car d’après moi il y avait une meilleure vue et ils le crurent !
Karl nous ramena de quoi boire, mon mari trouva que c’était un homme charmant et qu’il avait bien fait de nous ramener de quoi nous rafraîchir ! Le pauvre chéri ! Il ne pouvait pas se douter que de tous, c’était moi qui avait le plus besoin de me désaltérer vu l’énergie que je venais de dépenser !
Non voyez vous, il s’agit ici d’une histoire, la mienne, parmi la foule Juilletiste de bord de route du tour de France…
Hors donc, puisque nous sommes fanas de vélos, nous avons décidés d’aller voir passer le peloton du Tour de France de visu dans une grande étape alpestre. Il faisait très chaud ce jour là et une foule considérable se pressait sur les deux côtés de la route sinueuse. Nous avions monté à vélo quelques kilomètres avant de trouver un endroit agréable. J’étais habillée en tenue de vélo avec des habits extrêmement moulants qui ne cachaient rien de mes rondeurs et courbes harmonieuses… Avant de voir passer les coureurs, il a fallu attendre un bon moment et nous en avons profité pour faire la connaissance de néerlandais venus eux aussi à vélo. C’était un groupe d’une vingtaine de jeunes gens d’environ vingt cinq ans. Leur tenue était également celle d’un coureur cycliste… Tenue que j’aime bien pour les garçons tant elle moule bien leur partie intime… Je ne me privais pas d’ailleurs de mater du coin de l’œil les attributs virils de ces messieurs…
L’un d’eux, Karl, qui parlait un Français hésitant, s’aperçu je crois de mon manège et se fit souriant et affable envers moi. J’en fut flattée tant le jeune homme était beau et bien foutu… Une femme de mon âge draguée par un minet de la sorte est franchement valorisant pour l’ego ! L’ambiance était de plus en plus à la rigolade de sorte que mon mari étant occupé à raconter des blagues aux spectateurs alentour ne s’aperçu pas des œillades et regards provocateurs de Karl… Je rosissais et m’échauffais… Karl proposa d’aller chercher des bouteilles d’eau dans son camping car garé un virage plus haut, je me proposais de l’accompagner. Mon mari ne m’a pas vu partir et vu la foule qu’il y avait il a du croire que je n’étais pas loin… Arrivés au camping-car de Karl, les choses furent de suite claires… J’allais me faire baiser comme la plus basse des salopes… Et rien que d’y penser cela me faisait mouiller et me fait mouiller encore… Pensez donc, on referma la porte à clef mais l’on entendait parfaitement la foule tout autour qui s’agitait ce qui rendait la situation d’autant plus vicieuse pour moi…
Karl me coucha sur le lit et se déshabilla… Quel athlète ! Il avait de beaux pectoraux et des muscles bien dessinés, son bronzage faisait luire sa peau et je n’avais qu’une envie c’est de le toucher et de le goûter ! Délicatement il me quitta mes habits et pencha sa tête sur ma petite chatte trempée. Le néerlandais savait s’y prendre, je n’avais jamais connu d’homme qui lèche aussi bien une femme… On se mit en soixante neuf et je me jetais comme une morte de faim sur son joli sexe bandé à l’extrême. Je me délectais de l’instant et de cette verge, dehors la foule criait au passage du premier coureur… Karl décida alors de me faire l’amour, il entra son pénis dans mon minou et commença des va-et-vient. Les cris d’encouragements du dehors semblaient être une invitation à l’encontre de Karl pour qu’il me besogne toujours plus fort et plus vite. Le jeune homme, sportif, avait non seulement un sexe performant mais également une endurance hors norme ! Croyez moi les filles se faire sauter par un jeune et beau sportif qui sait s’y prendre avec les femmes… Il n’y a rien de tel ! Malgré moi je poussais des cris de plaisir, j’hurlais même tellement c’était bon ! C’était la première fois qu’une telle chose m’arrivait, je n’arrivais pas à me contrôler, la jouissance était trop forte ! La foule couvrait sûrement mes bruits mais je découvris plus tard en sortant du camping car que les plus proches voisins s’étaient tout de même aperçu de quelque chose et ce fut quelques ricanements et sourires en coin qui nous dévisagèrent !
Notre partie de jambes en l’air ne dura qu’un quart d’heure environ car il ne fallait tout de même pas exagérer, mon mari allait commencer à me chercher et à se faire du souci s’il ne me voyait pas aux alentours. Comme si de rien n’était je précédais Karl pour retourner un virage plus bas. Il y avait encore des coureurs retardés qui escaladaient le col… Mon mari et mes amis ne s’étaient pas inquiétés, je leur dis que j’étais montée un peu plus haut car d’après moi il y avait une meilleure vue et ils le crurent !
Karl nous ramena de quoi boire, mon mari trouva que c’était un homme charmant et qu’il avait bien fait de nous ramener de quoi nous rafraîchir ! Le pauvre chéri ! Il ne pouvait pas se douter que de tous, c’était moi qui avait le plus besoin de me désaltérer vu l’énergie que je venais de dépenser !
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