Une belle cavalière
Récit érotique écrit par Piewy [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-10-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une belle cavalière
Mon histoire a commencé il y a quelques mois au cours d'un concours d'équitation. Mais je me présente d'abord, je m'appelle Pierre divorcé début quarantaine et moyen physiquement.
Ce jour-là, mon club organisait un concours et j'avais la charge de remettre certaines coupes et médailles. C'est là que je l'ai vu pour la première fois. Elle avait fini deuxième de sa catégorie et c'est moi qui étais chargé de remettre les médailles aux trois jeunes femmes. Lorsque le speakeur l'annonce, je m'approche d'elle et suis fasciné par sa beauté. Mais quand elle ôte son casque et laisse ses cheveux de feu (un superbe roux) s'écouler en cascade sur ses épaules, j'en perds mes moyens; c'est en balbutiant qui je lui glisse sa médaille au tour du coup et une décharge électrique nous surprend quand je lui fait la bise. Elle éclate de rire et moi je rougis.
Après la remise, je perd Sophie (j'ai juste retenue son prénom) de vue et ne la revoie pas de la journée, sauf l'une ou l'autre fois où j'entraperçois sa chevelure qui dans sous la brise légère de ce jour et sa silhouette pleine de grâce qui dans sous la brise légère de ce jour.
Cette nuit-là, je fais un rêve d'elle des plus héroïques et je me réveille le sexe en érection comme il l'est rarement après un rêve, Je jouis en fantasmant sur le corps de rêve de Sophie.
Les semaines qui suivirent furent remplies de son image que ce soit la nuit ou la journée où mon travail a perdu de son efficacité à cause d'une jeune femme que je ne reverrai peut-être jamais ou alors dans un an au même concours.
Mais le hasard fait parfois bien les choses... Un jour, alors que j'entre dans un magasin de lingerie pour acheter un nouvel ensemble pour ma maitresse, mon regard va vers les cabines d'essayage et j'ai la chance d'entrevoir par un rideau mal fermé une jeune femme dans des dessous sage à fleur (string et soutien-gorge) mais aussi de beaux cheveux roux. C'est ce qui me fait attendre sa sortie immobile l'ensemble en dentelle noir dans les mains. Quand elle sort, je la reconnais tout de suite mais quand elle m'aperçoit et me sourit, je me sens rougir et elle aussi puis part dans un fou rire. Elle vient vers moi pour me dire bonjour et nous commençons à parler de tout et de rien en allant à la caisse pour payer. Elle me complimente sur mon achat un string avec un bustier qui permettent de voir plus qu'ils ne cachent; mes joues en reprennent de la couleur.
En sortant du magasin, on se promène en discutant équitation et cheval notre passion commune et en passant devant un café, je l'invite à entrer et boire quelque chose. Par politesse, je la laisse entrer en première mais j'en profite pour admirer ses fesses superbement moulées dans son jeans serrés qu'elle met en valeur par un beau déhanchement. On va s'assoir au fond du bar dans un endroit discret et c'est avec un sourire plein de sous-entendus qu'elle s'assoie en face de moi. Après avoir commandé nous reprenons notre discussion mais j'en perds un peu le fil, la vision de ses fesses encore devant les yeux. Lorsque nous recevons nos boissons et qu'elle se met à siroter avec la paille sa boisson en me regardant dans les yeux avec malice. Puis elle me demande tout à coup : « Elles te plaisent mes fesses ? », je rougis mais ne peux répondre que : « Oui, beaucoup ». Sophie ayant lancé la conversation, j'ose lui dire que la vue était superbe avec le dessin de sa culotte sur ses courbes; elle me répond qu'elle est sûr que j'aura encore plus apprécié avec un string en dessous. Je lui fait un grand sourire pour toute réponse. Sophie s'excuse pour aller aux toilettes, je la suis bien sûr du regard son déhanchement. Avant de disparaître de ma vue, elle tourne la tête et me fait un petit signe et un grand sourire. En revenant s'assoir, elle se penche au-dessus de la table pour prendre place et par la même m'offre une vue sur sa poitrine où le chemisier c'est ouvert un peu plus pendant son absence et voyant le galbe de ses seins je suppose que le soutien-gorge a disparu, il doit être dans son sac qu'elle avait pris avec elle. Elle finit son verre puis me propose de continuer notre promenade.
Nous nous levons et je la laisse passer devant moi pour sortir. Mon regard doit s'y prendre à deux fois pour constater que la marque de sa culotte a disparu, il n'y a pas que son soutien-gorge qui a disparu pendant son séjour aux toilettes. Une fois sortie, elle s'approche de mon oreille et me murmure : « Tu préfères comme ça ? ». Ma main glisse dans son dos jusqu'à ses fesses et sentir la présence d'un string, je lui répond : « Tu veux me faire craquer on dirait ? ». Elle part dans un éclat de rire. Nous continuons notre ballade bras dessus bar dessous, ma main sur sa hanche et mes doigts cherchant de temps en temps le contact de sa peau. Puis ni tenant plus dans une rue peu fréquenté, je la serre contre moi pour un premier baiser brulant, un baiser qui ne s'arrête plus ! Mes mains caressent son dos et ses fesses puis remontent pour effleurer ses seins libres sous son chemisier dont je sens les pointes durcirent.
Hélas, nous devions nous quitter, j'avais rendez-vous avec ma copine du moment et elle pour sortir avec des copines le soir. Mais nous échangeons nos tél et nos emails avant de nous quitter avec un baiser plein de promesses et de désirs inassouvies.
Invité à diner en tête à tête chez ma amie, je m'y rend avec Sophie dans mes pensées. Au cours de l'apéro, je lui offre le cadeau que j'avais acheté quelques heures plutôt. Elle est ravie et souhaite l'essayer de suite, ce que j'accepte avec plaisir. Elle va dans sa chambre pour se changer et c'est après quelques minutes que je la vois réapparaitre toute de noir vêtue (ce qui est en grand mot).
Un haut qui ne couvrait rien au-dessus de sa poitrine et qui laissait entrevoir à travers la dentelle ses auréoles. Le bas était dans le même style la finesse de la dentelle permettait de voir sa toison de blonde et ses fesses étaient mises en valeur par le string. Elle avait rajouté des bas noirs et des talons aiguilles pour mettre en valeur ses jambes. Ce spectacle a réveillé mon désir de sexe. Je lui dis mon admiration devant son corps merveilleux et l'attire à moi pour l'enlacer. Mais avant que j'ai le temps d'explorer ses formes, elle me repousse et me dit : « Le diner d'abord !!! Mais je te servirai comme ça! »; Je ne peux refuser une telle offre. J'avoue ne plus avoir de souvenirs de ce que j'ai mangé mais celle très appétissante de ma serveuse et compagne du repas qui ne manquait pas un instant pour m'exciter toujours d'avantage soit par des déhanchements très évocateurs ou quand elle était assise en pied qui venait sur mon entre-jambe. Après avoir pris le dessert, elle me convie à m'installer sur le canapé pendant qu'elle finit de débarrasser la table, refusant mon aide. Je l'entend s'agiter puis venir derrière moi et elle me dit de ne pas bouger en me mettant un foulard sur les yeux; je ne vois plus rien mais mes oreilles se dressent pour écouter le moindre de ses mouvements, comme le crissement de ses bas. Elle pose sa main sur mon épaule et avec ses ongles elle passe d'un épaule à l'autre puis en faisant le tour du canapé pour se mettre en face de moi, ses doigts passent dans le col de ma chemise. Elle en ouvre un à un les boutons et écarte les deux pans de la chemise,
Après m'avoir sortie les bras de la chemise, Brigitte me demande de ne plus bouger sauf à sa demande et de ne rien tenter sinon elle me menace d'arrêter et de me laisser partir quelque soit l'état dans lequel je me trouve. Mais je lui affirme que je ne vais pas bouger, j'ai trop envie qu'elle continue. Brigitte pose alors ses mains sur mes épaules et avec ses ongles me fait des caresses griffures dans les poils de ma poitrine pour atteindre les pointes de mes seins qu'elle pince doucement entre ses ongles. Un frisson me parcourt et une plainte-plaisir sort de ma bouche.
Elle continue et descend sur mon ventre qui se crispe sous la caresse, mon corps se tend comme pour lui dire: « Encore plus bas ». Ses mains arrivent sur mon jeans. Lentement elle défait la boucle de ma ceinture pour ouvre un à un les boutons, ce qui révèle la bosse qui s'est former dans mon boxer. Elle empoigne mon jeans et mon boxer au niveau de mes hanches, je soulève mes fesses pour lui permettre d'ôter le tout. C'est un mouvement brusque qui me surprend qu'elle baisse tout sur mes chevilles. Un hummmmm de la part de Brigitte vient accueillir ma nudité. Elle écarte mes genoux et je sens son souffle sur mon sexe qui se dresse encore un peu plus. J'attend une caresse de sa bouche qui est tout près de moi mais la seule chose à laquelle j'ai droit c'est un : « Il va falloir que je te rase un jour ton sexe ! »; elle s'attaque à ôter mon pantalon. Me voilà entièrement nu et aveugle devant elle, à sa merci avec un plaisir que je ne peux pas dissimuler.
Après un moment où je n'entend plus que sa respiration, elle pose de nouveau sa main sur moi mais cette fois au niveau de mon sexe, elle me caresse doucement du bout des doigts tout le long de mon sexe qui devient dur et s'allonge sous la caresse, puis elle descend pour caresser les testicules pui mon périnée jusqu'à un ongle sur mon anus qui réagit tout comme mon sexe sous la caresse. Elle me demande d'ouvrir ma bouche et de sortir ma langue, hummmm je vais pouvoir m'occuper de ses seins. Mais non c'est un doigt parfumé et humide de son plaisir qui se pose sur ma langue, je le lèche et le suce avec plaisir, comme j'aimerai mettre mes doigts, ma langue ou mon sexe là où était son doigt. Mon sexe durcit encore devant ce plaisir auquel je vais avoir droit.
Brigitte me demande de me coucher sur le tapis devant le canapé, elle me laisse m'y glisse, puis reprendre sa caresse sur mon sexe. Tout à coup sa langue entre en contact avec mon sexe, sa bouche se ferme sur mon gland, mon sexe bondit dans sa bouche pendant que ses doigts caressent mes testicules, j'ai du mal à me retenir. Elle le remarque et m'abandonne brutalement. Un « Nonnnn, encore !!!!! » sort de ma bouche mais rien n'y fait; je l'entend bouger sans savoir ce qu'elle fait. Elle me dit alors : « Moi d'abord ! » et je la sens qui descend sur moi, les genoux autour de ma tête et ses lèvres qu'elle tient écartées viennent contre ma bouche qui s'ouvre pour la boire. Mes lèvres aspirent les siennes et ma langue s'insinue entre pour aller goûter la source de son plaisir et recueillir sa cyprine. Brigitte se penche pour que ma langue aille sur son clitoris qui attend sa part de caresses.
Ma langue tourne au tour et le fait bouger dans tous les sens. Les gémissements se font de plus en plus forts mais quand je lui mordille c'est un cri de plaisir qui sort de sa bouche et la fait se cabrer sous l'onde qui la secoue. J'en profite pour faire une feuille de rose sur son anus (caresse que je sais qu'elle aime aussi) avant de revenir sur son sexe trempé. « Je vais jouir » : me dit-elle, ma bouche s'ouvre en grand pour sucer ses petites lèvres et ma langue stimuler encore plus son clito. Un ouiiiiiiiiiii sort de sa gorge quand elle jouit et ma bouche boit sa jouissance. Je suis trempé du nez au menton de son plaisir, Elle s'écroule sur moi, son souffle chaud et rapide sur mon sexe ce qui ne fait qu'augmenter la raideur de celui-ci.
Après avoir repris chacun un peu notre souffle, elle prend mon sexe dans sa main et me masturbe doucement; sa langue vient recueillir sur mon gland les gouttes de mon plaisir. Ma langue, à son tour, reprend son activité sur son petit bouton. Mais elle m'arrête et me dit de ne pas bouger. Elle se lève, je la sens se placer au dessus-de mon sexe qu'elle prend à pleine main pour le mettre à la verticale qu'il entre en contact avec ses lèvres humides. Elle fait glisser mon gland du clito puis entre ses lèvres entrouvertes mais sans que je puisse m'y enfoncer, une vrai torture pour moi.
Sûrement pour elle aussi, car après quelques instants elle enfonce doucement mon sexe dans son vagin brûlant. Elle se penche sur moi nos lèvres s'unissent et nos langues se cherchent, nos sexes toujours soudés l'un à l'autre. Un baiser vorace nous uni, ni tenant plus mes mains vont sur ses fesses pour les empoigner, Brigitte m'ôte mon foulard et un grand sourire se trouve en face de mes yeux qui voient de nouveau la lumière. Elle se redresse, à genoux sur mon sexe. Elle prend mes mains et les posent sur ses seins et me dit : « Caresse-moi les et regarde moi jouir !!! ». Je dégage ses seins pour les prendre à pleine main et entre deux doigts tordre doucement les pointes toutes dures.
Brigitte commence une lente chevauchée sur mon sexe, elle se soulève doucement mais d'un mouvement brusque s'enfonce mon sexe au fond du sien. Sur son visage, je peux lire son plaisir, son bonheur, sa jouissance qui va bientôt de nouveau l'emporter; le bruit de nos sexes qui s'entrechoquent est de plus en plus fort. Un instant ma pensée va à Sophie : « Comme j'aimerai avoir cette cavalière sur moi en train de me monter comme Brigitte en ce moment ». Cette pensée et la caresse de son sexe sur le mien amène ma jouissance. Je lui dis et elle me dit : « Oui vient! Je jouis !!! », une puis plusieurs giclés de spermes viennent se mélanger au flot de cyprine de sa jouissance. Elle s'écroule sur moi hors d'haleine.
Après un long moment de câlin où nous reprenons doucement nos esprits, nous allons ensemble sous la douche. Là, l'un savonne l'autre et cherche à faire renaître le plaisir sur toutes les zones hétérogènes de l'autre. Après m'être occupé de ses seins et de ses fesses, mes doigts s'attaquent à ses lèvres; pour parfaire l'opération je me saisie du pommeau de la douche et dirige le jet directement entre ses lèvres que j'ai écarté ainsi que sur son bouton. Un « hummmm, nonnnn » répond à ma caresse et comme je suis à genou devant elle, Brigitte pose sa jambe sur mon épaule pour me signifier de ne surtout pas arrêter. Ses murmures de plaisirs sont font de plus en plus fort; mes doigts écartant au maximum les lèvres de son sexe pour permettre à l'eau de la caresser au fond de son ventre. Alors elle pose ses mains sur ma tête qu'elle approche de ses cuisses ouvertes. Je pose
la douchette et ma bouche prend sa place sur son clito. Le contact de ma langue et la succion que j'y applique lui provoque une nouvelle jouissance. Nous nous enlaçons et nos lèvres se cherchent dans nos bouches sous l'eau qui ruisselle. Après quelques instants sa main glisse sur mon sexe et le caresse d'un doux va et vient, il ne tarde pas de reprendre toute sa vigueur. Alors à son tour elle glisse le long de mon corps et sa bouche avale mon gland puis lentement le reste de mon membre.
Une de ses mains malaxe doucement mes testicules pendant que l'autre caresse mes fesses, mais elle insinue ses doigts entre et vient me caresser mon anus, mon sexe en fait un bond dans sa bouche. Je dois me tenir aux parois et faire des efforts pour ne pas jouir tout de suite dans sa bouche. Mais sa savante caresse buccale a vite fait de me faire rendre les armes et c'est avec un plaisir que je ne cherche pas à dissimuler qui je jouis dans sa bouche. Sa langue recueille toute ma semence blanche, puis elle remonte m'embrasser et partage avec moi le goût de mon plaisir.
Epuisés nous nous couchons enlacés et nous endormons presque aussitôt.
Ce jour-là, mon club organisait un concours et j'avais la charge de remettre certaines coupes et médailles. C'est là que je l'ai vu pour la première fois. Elle avait fini deuxième de sa catégorie et c'est moi qui étais chargé de remettre les médailles aux trois jeunes femmes. Lorsque le speakeur l'annonce, je m'approche d'elle et suis fasciné par sa beauté. Mais quand elle ôte son casque et laisse ses cheveux de feu (un superbe roux) s'écouler en cascade sur ses épaules, j'en perds mes moyens; c'est en balbutiant qui je lui glisse sa médaille au tour du coup et une décharge électrique nous surprend quand je lui fait la bise. Elle éclate de rire et moi je rougis.
Après la remise, je perd Sophie (j'ai juste retenue son prénom) de vue et ne la revoie pas de la journée, sauf l'une ou l'autre fois où j'entraperçois sa chevelure qui dans sous la brise légère de ce jour et sa silhouette pleine de grâce qui dans sous la brise légère de ce jour.
Cette nuit-là, je fais un rêve d'elle des plus héroïques et je me réveille le sexe en érection comme il l'est rarement après un rêve, Je jouis en fantasmant sur le corps de rêve de Sophie.
Les semaines qui suivirent furent remplies de son image que ce soit la nuit ou la journée où mon travail a perdu de son efficacité à cause d'une jeune femme que je ne reverrai peut-être jamais ou alors dans un an au même concours.
Mais le hasard fait parfois bien les choses... Un jour, alors que j'entre dans un magasin de lingerie pour acheter un nouvel ensemble pour ma maitresse, mon regard va vers les cabines d'essayage et j'ai la chance d'entrevoir par un rideau mal fermé une jeune femme dans des dessous sage à fleur (string et soutien-gorge) mais aussi de beaux cheveux roux. C'est ce qui me fait attendre sa sortie immobile l'ensemble en dentelle noir dans les mains. Quand elle sort, je la reconnais tout de suite mais quand elle m'aperçoit et me sourit, je me sens rougir et elle aussi puis part dans un fou rire. Elle vient vers moi pour me dire bonjour et nous commençons à parler de tout et de rien en allant à la caisse pour payer. Elle me complimente sur mon achat un string avec un bustier qui permettent de voir plus qu'ils ne cachent; mes joues en reprennent de la couleur.
En sortant du magasin, on se promène en discutant équitation et cheval notre passion commune et en passant devant un café, je l'invite à entrer et boire quelque chose. Par politesse, je la laisse entrer en première mais j'en profite pour admirer ses fesses superbement moulées dans son jeans serrés qu'elle met en valeur par un beau déhanchement. On va s'assoir au fond du bar dans un endroit discret et c'est avec un sourire plein de sous-entendus qu'elle s'assoie en face de moi. Après avoir commandé nous reprenons notre discussion mais j'en perds un peu le fil, la vision de ses fesses encore devant les yeux. Lorsque nous recevons nos boissons et qu'elle se met à siroter avec la paille sa boisson en me regardant dans les yeux avec malice. Puis elle me demande tout à coup : « Elles te plaisent mes fesses ? », je rougis mais ne peux répondre que : « Oui, beaucoup ». Sophie ayant lancé la conversation, j'ose lui dire que la vue était superbe avec le dessin de sa culotte sur ses courbes; elle me répond qu'elle est sûr que j'aura encore plus apprécié avec un string en dessous. Je lui fait un grand sourire pour toute réponse. Sophie s'excuse pour aller aux toilettes, je la suis bien sûr du regard son déhanchement. Avant de disparaître de ma vue, elle tourne la tête et me fait un petit signe et un grand sourire. En revenant s'assoir, elle se penche au-dessus de la table pour prendre place et par la même m'offre une vue sur sa poitrine où le chemisier c'est ouvert un peu plus pendant son absence et voyant le galbe de ses seins je suppose que le soutien-gorge a disparu, il doit être dans son sac qu'elle avait pris avec elle. Elle finit son verre puis me propose de continuer notre promenade.
Nous nous levons et je la laisse passer devant moi pour sortir. Mon regard doit s'y prendre à deux fois pour constater que la marque de sa culotte a disparu, il n'y a pas que son soutien-gorge qui a disparu pendant son séjour aux toilettes. Une fois sortie, elle s'approche de mon oreille et me murmure : « Tu préfères comme ça ? ». Ma main glisse dans son dos jusqu'à ses fesses et sentir la présence d'un string, je lui répond : « Tu veux me faire craquer on dirait ? ». Elle part dans un éclat de rire. Nous continuons notre ballade bras dessus bar dessous, ma main sur sa hanche et mes doigts cherchant de temps en temps le contact de sa peau. Puis ni tenant plus dans une rue peu fréquenté, je la serre contre moi pour un premier baiser brulant, un baiser qui ne s'arrête plus ! Mes mains caressent son dos et ses fesses puis remontent pour effleurer ses seins libres sous son chemisier dont je sens les pointes durcirent.
Hélas, nous devions nous quitter, j'avais rendez-vous avec ma copine du moment et elle pour sortir avec des copines le soir. Mais nous échangeons nos tél et nos emails avant de nous quitter avec un baiser plein de promesses et de désirs inassouvies.
Invité à diner en tête à tête chez ma amie, je m'y rend avec Sophie dans mes pensées. Au cours de l'apéro, je lui offre le cadeau que j'avais acheté quelques heures plutôt. Elle est ravie et souhaite l'essayer de suite, ce que j'accepte avec plaisir. Elle va dans sa chambre pour se changer et c'est après quelques minutes que je la vois réapparaitre toute de noir vêtue (ce qui est en grand mot).
Un haut qui ne couvrait rien au-dessus de sa poitrine et qui laissait entrevoir à travers la dentelle ses auréoles. Le bas était dans le même style la finesse de la dentelle permettait de voir sa toison de blonde et ses fesses étaient mises en valeur par le string. Elle avait rajouté des bas noirs et des talons aiguilles pour mettre en valeur ses jambes. Ce spectacle a réveillé mon désir de sexe. Je lui dis mon admiration devant son corps merveilleux et l'attire à moi pour l'enlacer. Mais avant que j'ai le temps d'explorer ses formes, elle me repousse et me dit : « Le diner d'abord !!! Mais je te servirai comme ça! »; Je ne peux refuser une telle offre. J'avoue ne plus avoir de souvenirs de ce que j'ai mangé mais celle très appétissante de ma serveuse et compagne du repas qui ne manquait pas un instant pour m'exciter toujours d'avantage soit par des déhanchements très évocateurs ou quand elle était assise en pied qui venait sur mon entre-jambe. Après avoir pris le dessert, elle me convie à m'installer sur le canapé pendant qu'elle finit de débarrasser la table, refusant mon aide. Je l'entend s'agiter puis venir derrière moi et elle me dit de ne pas bouger en me mettant un foulard sur les yeux; je ne vois plus rien mais mes oreilles se dressent pour écouter le moindre de ses mouvements, comme le crissement de ses bas. Elle pose sa main sur mon épaule et avec ses ongles elle passe d'un épaule à l'autre puis en faisant le tour du canapé pour se mettre en face de moi, ses doigts passent dans le col de ma chemise. Elle en ouvre un à un les boutons et écarte les deux pans de la chemise,
Après m'avoir sortie les bras de la chemise, Brigitte me demande de ne plus bouger sauf à sa demande et de ne rien tenter sinon elle me menace d'arrêter et de me laisser partir quelque soit l'état dans lequel je me trouve. Mais je lui affirme que je ne vais pas bouger, j'ai trop envie qu'elle continue. Brigitte pose alors ses mains sur mes épaules et avec ses ongles me fait des caresses griffures dans les poils de ma poitrine pour atteindre les pointes de mes seins qu'elle pince doucement entre ses ongles. Un frisson me parcourt et une plainte-plaisir sort de ma bouche.
Elle continue et descend sur mon ventre qui se crispe sous la caresse, mon corps se tend comme pour lui dire: « Encore plus bas ». Ses mains arrivent sur mon jeans. Lentement elle défait la boucle de ma ceinture pour ouvre un à un les boutons, ce qui révèle la bosse qui s'est former dans mon boxer. Elle empoigne mon jeans et mon boxer au niveau de mes hanches, je soulève mes fesses pour lui permettre d'ôter le tout. C'est un mouvement brusque qui me surprend qu'elle baisse tout sur mes chevilles. Un hummmmm de la part de Brigitte vient accueillir ma nudité. Elle écarte mes genoux et je sens son souffle sur mon sexe qui se dresse encore un peu plus. J'attend une caresse de sa bouche qui est tout près de moi mais la seule chose à laquelle j'ai droit c'est un : « Il va falloir que je te rase un jour ton sexe ! »; elle s'attaque à ôter mon pantalon. Me voilà entièrement nu et aveugle devant elle, à sa merci avec un plaisir que je ne peux pas dissimuler.
Après un moment où je n'entend plus que sa respiration, elle pose de nouveau sa main sur moi mais cette fois au niveau de mon sexe, elle me caresse doucement du bout des doigts tout le long de mon sexe qui devient dur et s'allonge sous la caresse, puis elle descend pour caresser les testicules pui mon périnée jusqu'à un ongle sur mon anus qui réagit tout comme mon sexe sous la caresse. Elle me demande d'ouvrir ma bouche et de sortir ma langue, hummmm je vais pouvoir m'occuper de ses seins. Mais non c'est un doigt parfumé et humide de son plaisir qui se pose sur ma langue, je le lèche et le suce avec plaisir, comme j'aimerai mettre mes doigts, ma langue ou mon sexe là où était son doigt. Mon sexe durcit encore devant ce plaisir auquel je vais avoir droit.
Brigitte me demande de me coucher sur le tapis devant le canapé, elle me laisse m'y glisse, puis reprendre sa caresse sur mon sexe. Tout à coup sa langue entre en contact avec mon sexe, sa bouche se ferme sur mon gland, mon sexe bondit dans sa bouche pendant que ses doigts caressent mes testicules, j'ai du mal à me retenir. Elle le remarque et m'abandonne brutalement. Un « Nonnnn, encore !!!!! » sort de ma bouche mais rien n'y fait; je l'entend bouger sans savoir ce qu'elle fait. Elle me dit alors : « Moi d'abord ! » et je la sens qui descend sur moi, les genoux autour de ma tête et ses lèvres qu'elle tient écartées viennent contre ma bouche qui s'ouvre pour la boire. Mes lèvres aspirent les siennes et ma langue s'insinue entre pour aller goûter la source de son plaisir et recueillir sa cyprine. Brigitte se penche pour que ma langue aille sur son clitoris qui attend sa part de caresses.
Ma langue tourne au tour et le fait bouger dans tous les sens. Les gémissements se font de plus en plus forts mais quand je lui mordille c'est un cri de plaisir qui sort de sa bouche et la fait se cabrer sous l'onde qui la secoue. J'en profite pour faire une feuille de rose sur son anus (caresse que je sais qu'elle aime aussi) avant de revenir sur son sexe trempé. « Je vais jouir » : me dit-elle, ma bouche s'ouvre en grand pour sucer ses petites lèvres et ma langue stimuler encore plus son clito. Un ouiiiiiiiiiii sort de sa gorge quand elle jouit et ma bouche boit sa jouissance. Je suis trempé du nez au menton de son plaisir, Elle s'écroule sur moi, son souffle chaud et rapide sur mon sexe ce qui ne fait qu'augmenter la raideur de celui-ci.
Après avoir repris chacun un peu notre souffle, elle prend mon sexe dans sa main et me masturbe doucement; sa langue vient recueillir sur mon gland les gouttes de mon plaisir. Ma langue, à son tour, reprend son activité sur son petit bouton. Mais elle m'arrête et me dit de ne pas bouger. Elle se lève, je la sens se placer au dessus-de mon sexe qu'elle prend à pleine main pour le mettre à la verticale qu'il entre en contact avec ses lèvres humides. Elle fait glisser mon gland du clito puis entre ses lèvres entrouvertes mais sans que je puisse m'y enfoncer, une vrai torture pour moi.
Sûrement pour elle aussi, car après quelques instants elle enfonce doucement mon sexe dans son vagin brûlant. Elle se penche sur moi nos lèvres s'unissent et nos langues se cherchent, nos sexes toujours soudés l'un à l'autre. Un baiser vorace nous uni, ni tenant plus mes mains vont sur ses fesses pour les empoigner, Brigitte m'ôte mon foulard et un grand sourire se trouve en face de mes yeux qui voient de nouveau la lumière. Elle se redresse, à genoux sur mon sexe. Elle prend mes mains et les posent sur ses seins et me dit : « Caresse-moi les et regarde moi jouir !!! ». Je dégage ses seins pour les prendre à pleine main et entre deux doigts tordre doucement les pointes toutes dures.
Brigitte commence une lente chevauchée sur mon sexe, elle se soulève doucement mais d'un mouvement brusque s'enfonce mon sexe au fond du sien. Sur son visage, je peux lire son plaisir, son bonheur, sa jouissance qui va bientôt de nouveau l'emporter; le bruit de nos sexes qui s'entrechoquent est de plus en plus fort. Un instant ma pensée va à Sophie : « Comme j'aimerai avoir cette cavalière sur moi en train de me monter comme Brigitte en ce moment ». Cette pensée et la caresse de son sexe sur le mien amène ma jouissance. Je lui dis et elle me dit : « Oui vient! Je jouis !!! », une puis plusieurs giclés de spermes viennent se mélanger au flot de cyprine de sa jouissance. Elle s'écroule sur moi hors d'haleine.
Après un long moment de câlin où nous reprenons doucement nos esprits, nous allons ensemble sous la douche. Là, l'un savonne l'autre et cherche à faire renaître le plaisir sur toutes les zones hétérogènes de l'autre. Après m'être occupé de ses seins et de ses fesses, mes doigts s'attaquent à ses lèvres; pour parfaire l'opération je me saisie du pommeau de la douche et dirige le jet directement entre ses lèvres que j'ai écarté ainsi que sur son bouton. Un « hummmm, nonnnn » répond à ma caresse et comme je suis à genou devant elle, Brigitte pose sa jambe sur mon épaule pour me signifier de ne surtout pas arrêter. Ses murmures de plaisirs sont font de plus en plus fort; mes doigts écartant au maximum les lèvres de son sexe pour permettre à l'eau de la caresser au fond de son ventre. Alors elle pose ses mains sur ma tête qu'elle approche de ses cuisses ouvertes. Je pose
la douchette et ma bouche prend sa place sur son clito. Le contact de ma langue et la succion que j'y applique lui provoque une nouvelle jouissance. Nous nous enlaçons et nos lèvres se cherchent dans nos bouches sous l'eau qui ruisselle. Après quelques instants sa main glisse sur mon sexe et le caresse d'un doux va et vient, il ne tarde pas de reprendre toute sa vigueur. Alors à son tour elle glisse le long de mon corps et sa bouche avale mon gland puis lentement le reste de mon membre.
Une de ses mains malaxe doucement mes testicules pendant que l'autre caresse mes fesses, mais elle insinue ses doigts entre et vient me caresser mon anus, mon sexe en fait un bond dans sa bouche. Je dois me tenir aux parois et faire des efforts pour ne pas jouir tout de suite dans sa bouche. Mais sa savante caresse buccale a vite fait de me faire rendre les armes et c'est avec un plaisir que je ne cherche pas à dissimuler qui je jouis dans sa bouche. Sa langue recueille toute ma semence blanche, puis elle remonte m'embrasser et partage avec moi le goût de mon plaisir.
Epuisés nous nous couchons enlacés et nous endormons presque aussitôt.
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