Une belle expérience - histoire érotique

Sur un parking, Serge trouve un porte-document. Il l'ouvre et à l'intérieur, il y a un dossier. En fouillant il trouve l'identité d'une personne et une adresse. Comme ce n'est pas loin, il décide d'y aller.

C'est dans une cité résidentielle, il sonne à l'adresse indiquée. Un homme ouvre la porte. les deux se saluent et en voyant le porte-document. l'homme sursaute et appel sa femme :

-Louise ma chérie, il y a la un monsieur, qui a trouvé ta serviette !

Le femme se précipite. Serge en la voyant, est tétanisé par la beauté de cette femme, son cœur se met à battre fortement dans sa poitrine. Dans un état fébrile, il explique en béguant comment qu'il à trouvé le porte document.


La femme semble rassurée, elle salue Serge, et en tremblant prend la serviette. Elle est tellement heureuse, que pour le remercier elle l'invite à prendre un verre. Serge en bafouillant accepte. Une fois au salon, la femme souriante, explique qu'elle l'avait posé sur le toit de sa voiture et qu'elle a démarré en oubliant la serviette.


Les documents sembles être importants, elle les feuillettes en souriant, et remercie encore une fois Serge, qui a les yeux rivés sur elle.

Une fois le verre avalé, Serge prend congé. Mais, il est tellement troublé par cette femme, que ses pensées ne sont que pour elle. En rentrant chez lui, il se laisse tomber dans un fauteuil, et rêvasse. Sa femme Murielle, fronce les sourcils et lui demande :

-Serge qu'est-ce que tu as, il y a un problème !

Il ravale sa salive et répond :

-Je ne sais pas ce qui, m'arrive, j'ai trouvé un porte-document et je l'ai rapporté à sa propriétaire, lorsque j'ai vu cette femme, j'ai faillit avoir une attaque tellement je l'ai trouvé belle, depuis je ne pense qu'à elle !

Sa femme réplique :

-Oh mais cela ressemble à un coup de foudre, reprends-toi mon chéri ce n'est qu'une passade !

Il répond en soupirant :

-Tu as surement raison ma chérie, cela va passer !

Sa nuit fut agitée, c'est très tard qu'il trouve le sommeil. Obsédé par cette belle inconnue, il cherche à la revoir. En faisant semblant de se promener, il erre devant chez elle, mais en vain. Très tenace, il rode dans les parages. Jusqu'au jour ou, elle arrive en voiture. Il trésaille, et s'approche d'elle, il la salue. Etonner de le revoir, elle répond à son salut, en faisant une petite moue..


Serge prend son courage à deux mains et se lance :

-Excusez mon culot, je m'appelle Serge, depuis que je vous ai vu, je ne pense qu'à vous !

Louise se cabre, et en toisant son interlocuteur, dit :

-Je n'ai rien fais pour, vous en conviendrez, d'ailleurs comme vous l'avez constaté, je suis mariée !

En ravalant sa salive, Serge dit :

-Je voudrai vous inviter à prendre un verre, en tout bien toute honneur bien sur !

Louise réplique en riant:

-Je suis si importante à vos yeux, que vous ne pouvez plus vous passer de moi, je suppose que vous êtes marié aussi ?

Serge un peu confus répond :

-Oui je le suis, mais j'aimerai faire plus ample connaissance avec vous, cela permettra de faire le ménage dans ma tête !

La femme sourit et dit :

-Et si mon mari venait à l'apprendre, vous, vous rendez compte dans la situation dans laquelle, que je me trouverai !

En faisant une grosse moue, Serge répond :

-Donc, je dois prendre ça pour un non !

La femme en souriant répond :

-C'est tout à fait cela !

Elle prend congé de Serge, puis se dirige vers son entrée!

En soupirant de déception, il la regarde s'éloigner, ses yeux ne quittent pas le déhanchement félin de la femme, qui balance comme un métronome.

Louise, en souriant, raconte à son mari se qu'il vient de se passer. Son mari, en écartant doucement les rideaux de la fenêtre, regarde Serge et dit en souriant:

-Il est bel homme, et je reconnais qu'il a bon goût en, posant son dévolu sur toi!

Comme on dit Serge vient de prendre un râteau. Il retient le nom qui est écrit sur la sonnette. Comme un limier, les jours suivant, Serge même une enquête. D'après les renseignements recueillis, il apprend que le couple n'est pas si sage que cela, et s'adonne à des pratiques plurielles.

Serge revient devant la maison de louise, elle sort justement de chez elle. Il l'accoste, et insiste tellement qu'elle finit par accepter de prendre un verre avec lui. Une fois à table, Serge pose d'innombrables questions, Louise a réponse à tout. Petit à petit le vicieux dérape sur le sexe. Louise souriante, aborde elle aussi et sans complexe, la discussion sur le sexe.

Serge lui avoue qu'il à fait une petite enquête et lui révèle ce qu'il à apprit. Louise se racle la gorge et répond :

-Mon mari est moi, aimons le sexe, et j'avoue que nous, nous privons pas de ce plaisir !

Serge regarde intensément Louise, ses yeux pétillent. Il ose demander :

-Et avec moi, vous le ferez !

Louise réplique :

-Avec mon mari, c'est toujours avec des couples que nous échangeons, si cela vous tente, venez chez nous avec votre femme, voila mon numéro !

Un bon moment les deux discutent avant de se séparer. Une fois chez lui, Serge prend place au côté de sa femme sur le canapé. Il ne sait comment aborder le sujet avec elle. Il tente une stratégie, il commence par lui passer la main sous la jupe et lui caresser la cuisse. Murielle est une femme très chaude, elle écarte doucement les jambes. Mais lorsqu'il plaque sa main sur son bas-ventre elle pousse un petit soupir d'approbation.

La main voyage sur sa chatte plusieurs fois, la culotte rapidement devient humide. Il l'a chauffe tellement qu'elle dit :

-Oh mon chéri bouffe-moi ma chatte, tu sais si bien le faire !

Il se lève et délicatement retire la culotte de sa femme, il s'agenouille, avance sa tête entre les cuisses ouvertes et commence un broutage de chatte terrible. Une fois que sa langue a bien fouillée le conduit, il aspire le clito, le coquin est devenu monstrueux. Les succions qu'il pratique, sont terribles. Murielle défaille, se cabre et explose, sa jouissance est grandiose. Rapidement serge retire son pantalon et son slip, sa bite est raide comme un morceau de bois.

Il la place contre la chatte dégoulinante de Murielle et l'enfonce d'un seul coup, jusqu'aux couilles.
Sa femme se cabre en geignant comme une bête malade. Il lui laboure le ventre sans ménagement. Il ose enfin lui dit :

-Ma chérie, oh comme tu es bonne, si tu en faisais profiter d'autres, tu es si ardente, quel bonheur que tu leur apporterais, toi tu te serais défoncée par de grosses queues infatigables. Qu'est-ce que tu en penses ma chérie !

Accrochée à son mari, c'est en plein délire qu'elle répond :

- Oui, oui mon chéri, oui, oui, de grosses queues, je veux de grosses queues, baise-moi, baise-moi fort!

Serge satisfait de la réponse, lui démonte la chatte à grands coups de reins. Murielle jouit plusieurs fois avant que Serge ne lui remplisse le ventre de sperme. Enfin il se retire et dit en souriant :

-Tu sais ma chérie, j'ai revu la femme, elle et son mari, sont adeptes de l' amour pluriel, elle veut que l'on aille chez elle !

Murielle regarde son mari ses yeux sont encore vitreux, elle dit :

-Ah mon salaud, je comprends pourquoi tu m'as sauté, c'était pour que j'accepte ton deal avec elle hein !

Un peu honteux, Serge répond :

-Oui c'est vrai, je l'ai fait pour te demander ça. Si tu savais comme je veux la baiser. Je te signal que son mari est bel homme et taillé à la hache, tu ne perds rien au change !

En secouant la tête elle réplique :

-Mais tu es un vrai salaud, de m'avoir demander une chose pareille, tu as profité que j'étais excité, pour le faire !

Serge répond :

-C'est vrai j'ai honte de moi, je te demande pardon, oublie se que je t'ai demandé !

Murielle en fronçant les sourcils dit :

-D'après toi, il est susceptible de me plaire ce mec-là !

Serge reprend du poil de la bête, et dit :

-Il est beau comme un Adonis, je te l'assure !

En déglutissant Murielle confirme :

-Bon, et quand dois-je me faire éclater ?

Souriant Serge dit :

-Il suffit que je donne un coup de téléphone pour prendre rendez-vous !

Sa femme le regarde et dit :

-Alors qu'est-ce que tu attends, fais-le !

Une fois le rendez-vous pris, le jour J, arrive enfin. le couple se présente non sans avoir le cœur serré, devant la porte d'entrée de Louise. Ils sonnent, et attendent, bien que la porte s'ouvre rapidement pour le couple cela semble une éternité. Une fois à l'intérieur, les présentations se font. Le mari de Louise s'appelle Richard, il sert le verre de l'amitié pour faire plus ample connaissance.

Murielle, le regarde du pied à la tête, Serge avait raison c'est un bel homme. Le maitre des lieux semble être intéressé par l'invitée, il ne cesse de lui sourire.
Serge quant à lui, n'a d'yeux que pour Louise, la jupe légère qu'elle porte, et qui dévoile une bonne partie de ses cuisses, capte toute son attention, il déglutie constamment. En attendant impatiemment le moment de lui prouver sa virilité.

Après quelques verres avalés, il est temps de passer aux choses sérieuses. C'est Louise qui ouvre les hostilités, elle prend Murielle par la main et l'entraine vers un banc sans dossier bien matelassé. Les hôtes sembles bien équipés, sur une petite tables, quelques godes sont alignés du plus gros au plus petit. Murielle regarde les engins en écarquillant les yeux. Louise lui dit en souriant :

-Ma chérie, ils sont la pour remplacer nos amants défaillants. J'espère que tu es aussi chaude et gourmande que moi, tu verras ils nous seront très utiles !

Avec habileté, Louise effeuille Murielle, qui rougit c'est la première fois qu'elle va faire l'amour pluriel. Bien qu'elle a déjà pensée le faire avec une femme, cela la stresse. Mais Louise en experte, sait trouver les mots pour la décontracter. C'est avec un peu plus de confiance que Murielle, se laisse dévêtir. Tout en, lui caressant délicatement les seins elle lui dit :

-Comme ta peau est douce ma chérie, et tes formes attirantes, je suis sûre que nous deux nous allons aller très loin dans notre folie sexuelle, je sens que rien ne pourra nous arrêter !

Avec des gestes rapides, Louise ôte ses vêtements. Les deux femmes nues sont maintenant sur le même pied d'égalité. Murielle regarde le corps quasi parfait de cette inconnue. Elle soupire sans savoir que faire. Mais heureusement c'est Louise qui même l'ébat. Elle lui soupèse les lobes, avant de les malaxer. Bien qu'elle les pétrit délicatement, Murielle grimace, en poussant de nombreux soupirs.

Louis embrasse les seins, gobe un à un les mamelons et les suce avec de plus en plus de voracité. Murielle défaille elle se dit que cette femme c'est le démon en personne. Elle suce et tète les mâts de chair comme jamais personnes ne l'a fait, même pas son mari. Murielle gémit de plaisir, sous les succions répétées de Louise. Les deux hommes en position de voyeur, commencent à se dévêtir. Ils extirpent de leurs slips leurs membres qui dressent comme mat sur les bas-ventre.

Ils pressent place sur une chaise, expressément mise là pour la suite des événements. les deux hommes très patients, se caressent la verge en ne quittant pas du regard les deux amantes. Murielle de cabre en faisant une moue, Louise vient de lui saisir les mamelons et en les pressant, les roule entre ses longs doigts fins. De temps en temps, elle les étire en épiant la réaction de Murielle, qui ferme les yeux en soufflant fortement.

Avec douceur, elle la bascule sur le banc et commence à lui donner d'innombrables baisers sur tout les corps. Murielle frémit, la bouche avide, s'approche de plus en plus de sa vulve qui ne peut retenir son jus. Elle se cabre dés qu'elle se pose dessus. Louise connait son affaire, elle enfonce sa langue dans le puits d'amour et le fouille profondément pendant de longues minutes. Murielle croit mourir de plaisir, elle geint comme une bête blessée, sa respiration s'accélère. La bouche de Louise la fait délirer :

- Serge, Serge, elle me fait mourir, mon Dieu comme c'est bon !

Un jouissance monstrueuse fait hurler Murielle, sa chatte rejette un flot de cyprine, pour le plus grand bonheur de Louise qui dit :

-Oui ma chérie donne tout se que tu as, j'adore ton jus, encore, vas-y donne, donne-moi tout !

La bouche vorace, fouille de plus en plus rageusement le conduit détrempé. Murielle jouit une seconde fois, en poussant un cri terrible. rapidement Louise se positionne tête bêche sur son amante et lui offre sa chatte à brouter. Excitée comme jamais, Murielle plaque sa bouche sur le fruit trop mûr qui rejette son jus suave. Les deux femmes semblent avoir oubliées les deux mâles qui bandent comme des cerfs en ruts. Elles se dévorent mutuellement la chatte en se faisant gémir. de temps en temps la langue de Louise dérape sur l'anus de Murielle qui se cabre, en poussant un gros ouah.

La coquine reproduit les mêmes attouchements que lui fait Louise, elle passe sa langue sur l'anus très boursoufflé, intentant de le pénétrer. Louise adore ce genre d'attouchent, elle grogne :

-Enfonce ta langue, ma chérie, enfonce là, je vais te le faire aussi, c'est trop bon, vas-y, vas-y !

Murielle se cabre en poussant un long râle, la langue de Louise vient de pénétrer son anus et le fouille du mieux qu'elle peut. Jamais Murielle n'a subit un tel attouchement anal.
Plusieurs fois son mari lui a enfoncer un doigt voir deux dans le rectum mais jamais sa langue. Serge regarde sa femme défaillir sous les coups de langues de son amante.

En faisant un effort, Murielle parvient elle aussi à enfoncer sa langue dans le conduit anal de son amante. Les deux femmes sont en plein délire sexuel. C'est presque en même temps qu'elles jouissent du cul. Murielle n'a jamais connue un tel bonheur, elle se dit qu'elle a encore beaucoup de choses, à apprendre avec ses nouveaux amis. Enfin Louise se redresse, et délaisse Murielle qui haletante, a beaucoup de mal à reprendre ses esprits.

Louise en souriant s'approche de Serge. Elle se place à califourchon sur ses jambes et saisit sa verge tendue. Elle la frotte un instant contre sa chatte dégoulinante, et descend doucement son corps. Dès que le gland appuie sur ses grandes lèvres, elle se laisse tomber de tout son poids. La verge s'enfonce dans son ventre jusqu'aux couilles. Serge saisit Louise par les hanches et à chaque fois que elle remonte son bassin, il tire dessus pour l'empaler totalement.

Pour Louise c'est le bonheur, elle dit en soufflant comme un dragon :

-Oui mon chéri, empale-moi à fond, c'est si bon !



Elle agite son bassin comme une hystérique, ses gémissements sont bruyants.
Murielle se lève du banc, et s'approche de Richard, qui l'attenait queue dressée. Elle fait exactement la même chose que Louise. Elle tient son amant par le cou et s'agite comme une forcenée sur son pal.
Dans la pièce ce n'est que râles et gémissements. Les deux femmes se font défoncer monstrueusement par les deux bites puissantes. Avant que les deux hommes ne déversent leur semence dans le ventre de leurs maitresses, elles jouissent plusieurs fois en poussant des grognements des bêtes. Murielle reste blottit contre le torse de Richard, elle halète fortement. Louis descend de sa monture, et va se servir un verre.

Richard dit en regardant Serge :

-Viens prendre ta femme par le cul, je suis certain qu'elle ne connait pas cet accouplement !

Serge écarquille les yeux, il s'avance et passe plusieurs fois ses doigts sur l'anus de sa femme qui semble un peu tendue. Il lui souffle à l'oreille :

-Ma chérie tu vas recevoir ta première sodomie, et en même temps une première double pénétration, tu vas être gâtée a chérie, deux pour le pris d'un !

Il place son engin gluant contre l'anus frémissant, et en s'accrochant à sa femme pousse. Murielle grimace, la douleur est atroce, rapidement ses yeux s'emplissent de armes. Elle à l'impression que son cul va se déchirer, et que les deux membres sont dans le même orifice tellement la paroi qui les sépare est fine.

lentement Serge encule sa femme, qui grimace en serrant les dents. Louise sait qu'elle doit intervenir. Elle s'approche du trio et saisit le clito de Murielle. Elle commence à l'agiter de plus en plus férocement. La soumise s'agrippe à Richard comme un animal sur sa proie, en grognant de douleur. Mais le branlage et la tente pénétration semblent portent leurs fruits. Peu à peu la douleur s'estampe, elle s'habitue aux membres qui lui forent les entrailles. Les deux hommes peuvent agir à leur guise. Ils démontent Murielle comme des soudards. Louise agite le clito rapidement.

Murielle ne tarde pas à exploser, elle se cabre en poussant un gémissements terrible. Les deux mâles s'acharnent sur elle en la défonçant le plus sauvagement possible. Une nouvelle jouissance la fait cabrer. Elle reçoit dans son ventre un flot de sperme que Richard lui offre généreusement. Serge violente le fondement de sa femme en geignant :

-Oh putain, ce que ton cul est bon ma chérie, je regrette de ne pas l'avoir exploré avant, oh ça vient ça vient !

Il lui remplit l'intestin de plusieurs jets semence épaisse. Murielle s'agite sur les deux bites, elle cherche encore de nouvelles jouissances. Elle se cabre et en hurlant, gicle sur les couilles de Richard. Louis écrase le clito fortement, cela fait jouir encore plus fortement Murielle qui s'écroule sur le torse de Richard.


Serge satisfait de cette nouvelle expérience, offre aux lèvres charnues de Louise son gland. la coquine comme une affamée dévore le cèpe, jusqu'à ce qu'elle reçoit sa récompense. Une puissante gicler de sperme lui remplit la bouche. Louise avale la crème onctueuse, en se léchant les babines. Murielle descend des jambes de Richard avec beaucoup de difficulté, mais en imitant Louise, elle gobe la bite de son amant et la suce jusqu'à ce qui lui remplisse la gorge de sa semence.

Les deux épuisés, vont prendre un verre en s'enfonçant dans un profond fauteuil. Louis insatiable, demande à Murielle de continuer avec les godes. Pendant des heures, et des heures, les deux femmes se défoncent avec les bites en silicones. Elles ne comptent plus leurs jouissances. C'est exténuées qu'elles rejoignent les hommes pour trinquer avec eux.

Bien qu'épuisée et les yeux vitreux, Murielle a la force de dire :

-Serge mon chéri, c'est le plus beau jour de ma vie !

Elle s'approche de Louise et après l'avoir embrasser fougueusement lui dit.

-Merci à toi aussi de m'avoir initié au plaisir entre femme, c'était génial ma chérie, quant à toi Richard grâce à tes conseils j'ai jouir du cul et profitée d'une double pénétration, c'était merveilleux mes chéris !