Une belle-fille qui sait ce qu'elle veut 2
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-06-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Une belle-fille qui sait ce qu'elle veut 2
Justine retire sa main satisfaite de son exploit. Son beau-père la fusille du regard. Le bougre baigne comme on dit dans son jus. Jacques se lève et va à la toilette essuyer le liquide visqueux qui lui souille le slip. À son retour, il croise le regard vicieux de Justine qu'il lui fait un clin d'œil.
Pendant le repas, Justine fait du pied à son beau-père. Lui, pour ne pas faire de scandale, subit sans rien dire. Soudain le téléphone sonne, Myriame décroche, elle est appelée d'urgence à l'Hôpital, ou elle est infirmière au bloc opératoire. Elle enfile rapidement une veste et recommande à son mari et à sa fille de ranger la table et faire la vaisselle après le diner. Justine sourit en regardant Jacques, la coquine a déjà en tête une idée malsaine.
Le repas terminé, les deux débarrassent la table, Jacques se place face à l'évier et commence à laver les assiettes. Soudain, sa belle-fille l'enlace et se plaque contre ses fesses. Jacques pousse un gros soupir en disant :
-Mais tu es incorrigible Justine, je suis le mari de ta maman, pas ton copain !
Justine passe ses mains sur le ventre de son beau-père et commence à lui presser la verge. En souriant, elle lui dit :
-Tu as bien déchargé tout à l'heure mon cochon, avoue, que tu aimes lorsque je joue avec ta bite hein !
La coquine caresse au travers du pantalon la verge qui peu à peu se durcit. Jacques reste accroché à l'évier, en poussant de nombreux soupirs. Avec une adresse incroyable, Justine extirpe du pantalon la queue qui est secouée par de constants soubresauts. Exaspéré, Jacques se retourne, Justine se laisse tomber à genoux, son visage est très près de la verge tendue. Elle sourit en voyant quelques gouttes s'échapper du gland.
Jacques est face à sa belle-fille, sa respiration s'accélère, son souffle devient court. Soudain la coquine, empoigne la verge et commence à l'agiter sans quitter des yeux son beau-père. Le bougre entre souffle parvient à dire :
-On peut dire que tu es une sacrée salope-toi, tu as le diable au corps !
Jacques ne la repousse pas, sa queue et douloureuse tellement elle est gonflée, il dit en se laissant masturber :
-Oh toi, toi, salope, salope, salope, tu me rends dingue !
Justine ne répond pas, elle branle encore plus vite la bite de son beau-père qui commence à geindre de plaisir. Elle prend plaisir à décalotter le gland à chaque coup de poignet. Jacques s'agrippe à elle et sans avertir envoie plusieurs giclées de sperme. Justine se cabre, le repousse et lui dit d'un air furax :
-Oh gros cochon, tu as déchargé sur mon peignoir, lèche-le maintenant, vas-y, lèche, nettoie le sperme qui souille mon peignoir !
Jacques reste sans réagir, il semble tétanisé. Justine se redresse et ôte son peignoir, elle présente à la bouche de l'éjaculateur, le tissu englué. Sans savoir pourquoi, Jacques, donne quelques coups de langue, les grosses taches de sperme. Justine est souriante, elle se dit que son beau-père est à point pour faire de lui, ce qu'elle veut. Elle jette le peignoir sur une chaise et dégrafe la ceinture, de Jacques qui ne réagit pas. Elle baisse le pantalon en entrainant avec le slip. Une fois les vêtements sur le sol, elle saisit le slip et le porte à son nez, le hume fortement, et dit en riant :
-Il sent bon l'amour ton slip, tu dois être un bon amant vieux cochon, viens dans ma chambre. Elle le prend par la main, il la suit comme un automate. En cours de route, la verge, toujours tendue, sème quelques gouttes de sperme.
Elle bascule son beau-père sur le lit et s'agenouille face à lui, elle décalotte le gland et le gobe. Jacques se cabre, en geignant. Malgré sa jeunesse, Justine et une bonne suceuse. Sa langue voyage sur le gland et la hampe épaisse, elle titille le frein et agace le gland. Tout cela suivis par des aspirations terribles. Jacques se cabre, sa belle-fille et pire qu'une professionnelle du sexe. Elle lui bouffe la bite comme une vorace.
Il ne peut retenir son sperme, qui gicle dans la bouche de la suceuse. Qui dit entre deux succions :
- Donne tout, donne tout !
La bougresse ce gargarisme avec le sperme abondant de son beau-père, avant de l'avaler. Jacques saisit brutalement Justine, la couche sur ses genoux et commence par lui donner une bonne fessée. Les coups pleuvent, sa peau cuisante rougit. Justine serre les dents, elle grogne en se cabrant à chaque coup, mais ne se dérobe pas. Jacques cesse la correction et disant :
-C'est tout ce que les filles salopes comme toi méritent !
Il remarque qu'il a été trop loin, et comme pour se faire pardonner, caresse les marques rouges qui strient les fesses. Justine pousse de nombreux soupirs en disant :
-Tu es un monstre, tu m'as fait mal !
Jacques donne quelques baisers sur les rougeurs, puis automatiquement, se met à les lécher. Justine défaille, elle se cambre pour que la langue de son bourreau, fasse son office. La langue rapeuse glisse dans le large sillon, frôle l'anus qui se contracte rapidement, à chaque passage, c'est le même effet qui se produit. Jacques écarte avec ses mains les deux lobes et pose sa langue sur l'œillet ridé. Le beau-père lèche, de longues minutes, l'anneau rectal, en faisant geindre de plaisir sa belle-fille.
Enfin, il la retourne sur le dos, automatiquement, Justine ouvre les jambes. Jacques admire la chatte juvénile, garnie d'une fine toison. Il passe ses doigts sûrs à fente qui suinte énormément, et accroche le clito avec deux doigts. Il branle la petite boule avec douceur, plus il la branle, plus, elle grossit. Justine s'agite sur sa couche, elle pousse de gros soupirs de bonheur en disant :
-Oh comme c'est bon, continue, n'arrête pas Jacques !
Mais il ne l'écoute pas, il se met à malaxer les petits seins, qui ressemblent à deux œufs sur le plat. Elle roule entre ses doigts les mamelons qui étrangement sont très épais. Il les étire, les presse doucement pour faire geindre sa proie, avant de les gober à tour de rôle. Les aspirations et les succions sont redoutables, Justine défaille, elle se cambre en gémissant. Les bouts sont devenus très sensibles et méconnaissables.
Jacques les délaisse, et embrasse chaque parcelle de peau, en descendant vers le puits d'amour. Lorsque la bouche se pose sur son clito, Justine se cabre en poussant gémissement terrible. Le beau-père suce et tète en ne se posant plus de questions, c'est elle qui l'a cherchée. La bouche efficace fait jouir une première fois la jeune salope. Il enfonce sa langue dans le puits qui déborde de jus, le fouille si bien que Justine gémit en jouissant une seconde fois. Son corps ne cesse de trembler, il est parcouru de frissons incontrôlables.
Le beau-père, amant, bande comme un cheval, il prend place entre les cuisses de la jeune provocatrice chaudasse et, lui plante sa verge au plus profond du vagin. Justine se cabre en poussant un long râle. La pénétration puissante la fait grogner comme un animal. Elle s'accroche à son amant qui commence un pilonnage terrible. Sa queue en faisant un va-et-vient prend de la vitesse. C'est avec aisance que la verge coulisse dans la gaine abondamment lubrifiée par la cyprine. Plus elle voyage dans le ventre, plus la tension monte. Quelques coups de reins bien dosés, font hurler de plaisir Justine. D'un coup, le corps se cambre fortement, une violente secousse de jouissance lui arrache des gémissements terribles.
Pendant le repas, Justine fait du pied à son beau-père. Lui, pour ne pas faire de scandale, subit sans rien dire. Soudain le téléphone sonne, Myriame décroche, elle est appelée d'urgence à l'Hôpital, ou elle est infirmière au bloc opératoire. Elle enfile rapidement une veste et recommande à son mari et à sa fille de ranger la table et faire la vaisselle après le diner. Justine sourit en regardant Jacques, la coquine a déjà en tête une idée malsaine.
Le repas terminé, les deux débarrassent la table, Jacques se place face à l'évier et commence à laver les assiettes. Soudain, sa belle-fille l'enlace et se plaque contre ses fesses. Jacques pousse un gros soupir en disant :
-Mais tu es incorrigible Justine, je suis le mari de ta maman, pas ton copain !
Justine passe ses mains sur le ventre de son beau-père et commence à lui presser la verge. En souriant, elle lui dit :
-Tu as bien déchargé tout à l'heure mon cochon, avoue, que tu aimes lorsque je joue avec ta bite hein !
La coquine caresse au travers du pantalon la verge qui peu à peu se durcit. Jacques reste accroché à l'évier, en poussant de nombreux soupirs. Avec une adresse incroyable, Justine extirpe du pantalon la queue qui est secouée par de constants soubresauts. Exaspéré, Jacques se retourne, Justine se laisse tomber à genoux, son visage est très près de la verge tendue. Elle sourit en voyant quelques gouttes s'échapper du gland.
Jacques est face à sa belle-fille, sa respiration s'accélère, son souffle devient court. Soudain la coquine, empoigne la verge et commence à l'agiter sans quitter des yeux son beau-père. Le bougre entre souffle parvient à dire :
-On peut dire que tu es une sacrée salope-toi, tu as le diable au corps !
Jacques ne la repousse pas, sa queue et douloureuse tellement elle est gonflée, il dit en se laissant masturber :
-Oh toi, toi, salope, salope, salope, tu me rends dingue !
Justine ne répond pas, elle branle encore plus vite la bite de son beau-père qui commence à geindre de plaisir. Elle prend plaisir à décalotter le gland à chaque coup de poignet. Jacques s'agrippe à elle et sans avertir envoie plusieurs giclées de sperme. Justine se cabre, le repousse et lui dit d'un air furax :
-Oh gros cochon, tu as déchargé sur mon peignoir, lèche-le maintenant, vas-y, lèche, nettoie le sperme qui souille mon peignoir !
Jacques reste sans réagir, il semble tétanisé. Justine se redresse et ôte son peignoir, elle présente à la bouche de l'éjaculateur, le tissu englué. Sans savoir pourquoi, Jacques, donne quelques coups de langue, les grosses taches de sperme. Justine est souriante, elle se dit que son beau-père est à point pour faire de lui, ce qu'elle veut. Elle jette le peignoir sur une chaise et dégrafe la ceinture, de Jacques qui ne réagit pas. Elle baisse le pantalon en entrainant avec le slip. Une fois les vêtements sur le sol, elle saisit le slip et le porte à son nez, le hume fortement, et dit en riant :
-Il sent bon l'amour ton slip, tu dois être un bon amant vieux cochon, viens dans ma chambre. Elle le prend par la main, il la suit comme un automate. En cours de route, la verge, toujours tendue, sème quelques gouttes de sperme.
Elle bascule son beau-père sur le lit et s'agenouille face à lui, elle décalotte le gland et le gobe. Jacques se cabre, en geignant. Malgré sa jeunesse, Justine et une bonne suceuse. Sa langue voyage sur le gland et la hampe épaisse, elle titille le frein et agace le gland. Tout cela suivis par des aspirations terribles. Jacques se cabre, sa belle-fille et pire qu'une professionnelle du sexe. Elle lui bouffe la bite comme une vorace.
Il ne peut retenir son sperme, qui gicle dans la bouche de la suceuse. Qui dit entre deux succions :
- Donne tout, donne tout !
La bougresse ce gargarisme avec le sperme abondant de son beau-père, avant de l'avaler. Jacques saisit brutalement Justine, la couche sur ses genoux et commence par lui donner une bonne fessée. Les coups pleuvent, sa peau cuisante rougit. Justine serre les dents, elle grogne en se cabrant à chaque coup, mais ne se dérobe pas. Jacques cesse la correction et disant :
-C'est tout ce que les filles salopes comme toi méritent !
Il remarque qu'il a été trop loin, et comme pour se faire pardonner, caresse les marques rouges qui strient les fesses. Justine pousse de nombreux soupirs en disant :
-Tu es un monstre, tu m'as fait mal !
Jacques donne quelques baisers sur les rougeurs, puis automatiquement, se met à les lécher. Justine défaille, elle se cambre pour que la langue de son bourreau, fasse son office. La langue rapeuse glisse dans le large sillon, frôle l'anus qui se contracte rapidement, à chaque passage, c'est le même effet qui se produit. Jacques écarte avec ses mains les deux lobes et pose sa langue sur l'œillet ridé. Le beau-père lèche, de longues minutes, l'anneau rectal, en faisant geindre de plaisir sa belle-fille.
Enfin, il la retourne sur le dos, automatiquement, Justine ouvre les jambes. Jacques admire la chatte juvénile, garnie d'une fine toison. Il passe ses doigts sûrs à fente qui suinte énormément, et accroche le clito avec deux doigts. Il branle la petite boule avec douceur, plus il la branle, plus, elle grossit. Justine s'agite sur sa couche, elle pousse de gros soupirs de bonheur en disant :
-Oh comme c'est bon, continue, n'arrête pas Jacques !
Mais il ne l'écoute pas, il se met à malaxer les petits seins, qui ressemblent à deux œufs sur le plat. Elle roule entre ses doigts les mamelons qui étrangement sont très épais. Il les étire, les presse doucement pour faire geindre sa proie, avant de les gober à tour de rôle. Les aspirations et les succions sont redoutables, Justine défaille, elle se cambre en gémissant. Les bouts sont devenus très sensibles et méconnaissables.
Jacques les délaisse, et embrasse chaque parcelle de peau, en descendant vers le puits d'amour. Lorsque la bouche se pose sur son clito, Justine se cabre en poussant gémissement terrible. Le beau-père suce et tète en ne se posant plus de questions, c'est elle qui l'a cherchée. La bouche efficace fait jouir une première fois la jeune salope. Il enfonce sa langue dans le puits qui déborde de jus, le fouille si bien que Justine gémit en jouissant une seconde fois. Son corps ne cesse de trembler, il est parcouru de frissons incontrôlables.
Le beau-père, amant, bande comme un cheval, il prend place entre les cuisses de la jeune provocatrice chaudasse et, lui plante sa verge au plus profond du vagin. Justine se cabre en poussant un long râle. La pénétration puissante la fait grogner comme un animal. Elle s'accroche à son amant qui commence un pilonnage terrible. Sa queue en faisant un va-et-vient prend de la vitesse. C'est avec aisance que la verge coulisse dans la gaine abondamment lubrifiée par la cyprine. Plus elle voyage dans le ventre, plus la tension monte. Quelques coups de reins bien dosés, font hurler de plaisir Justine. D'un coup, le corps se cambre fortement, une violente secousse de jouissance lui arrache des gémissements terribles.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Y aura-t-il des lendemains ?? Belle première fois !!
Jolie histoire c’est difficile de résister à une belle femme. Merci pour ce moment partagé.