Une belle-fille qui sait ce qu'elle veut 4
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-06-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Une belle-fille qui sait ce qu'elle veut 4
Le matin en se levant, Justine est rayonnante, elle porte une nuisette transparente ultra-courte qui cache que le haut de ses cuisses, à chacun de ses pas, on aperçoit sa culotte. Depuis qu'elle s'est fait défoncer par jacques avec le consentement de sa maman. Elle croit que tout lui est permis, elle fait les yeux doux à son beau-père, lui donne des baisers bruyants sur les lèvres. La chaudasse ne se cache même plus de sa maman, qui semble accepter cette situation scabreuse.
Justine est une vorace, elle ne pense qu'au sexe. À table, en prenant le petit déjeuner, devant sa maman, elle caresse l'entrejambe de son beau-père, qui se laisse faire en regardant du coin de l'œil sa femme. Myriame enroulée dans un peignoir léger, serre les poings, elle écarquille les yeux lorsque Justine sort du pyjama de son mari sa verge et commence un branlage parfait. Jacques se cabre, il se tend comme un arc. Sa belle-fille lui décalotte le gland et brutalement le gobe. Les fortes aspirations que la coquine produit sur le champignon épais, font geindre l'homme soumis.
Myriame se lève de sa chaise pour mieux voir, elle découvre que sa fille est une nymphomane avérée, elle déglutit bruyamment sans perdre une image. La bouche experte de sa fille, fait des effets monstrueux sur le membre dressé. Jacques semble en trans, son corps secoué de tremblements constant, lui donne la chair de poule. Soudain Justine reprend en main la verge et la branle comme une sauvage. Elle jubile devant le gland qu'elle découvre à chaque descente de son poignet.
Une puissante giclée est expulsée de la hampe gonflée, qui retombe sur le ventre dénudé du beau-père, qui geint comme une bête blessée. Myriame yeux écarquillés, regarde les grandes traces blanches qui souillent le ventre de son mari.
Justine lâche la verge qui est prise de soubresauts, à chaque secousse, quelques gouttes de sperme sont projetées sur le ventre poisseux de jacques. Justine enjambe son beau-père et s'empale brutalement sur la queue vigoureuse pleine de vie. Elle commence à s'agiter, jusqu'à ce qu'elle jouisse. Myriame reste sans voix. Sa chatte suinte énormément, elle serre les cuisses, souffle comme un bœuf et disparait dans la salle de bain.
Nue sous son peignoir, elle l'ouvre, et s'assied sur le tabouret qui se trouve devant le miroir. Elle est tellement excitée, qu'elle est dans l'obligation de se masturber. Ses doigts fébriles s'activent sur sa chatte, maltraitée, son clito qui est prêt à la faire exploser. De sa main libre, elle s'enfonce trois doigts le plus profondément possible dans son vagin, et commence un ramonage d'enfer. Elle serre les dents, s'écrase plusieurs fois le clito puis, en se cabrant, ne peut retenir un cri de jouissance. Myriame reprend peu à peu ses esprits en se caressant doucement la fente humide.
Elle prend sa douche, ses mains tremblantes, caressent son corps plein de fièvre. Elle revoit le corps de sa fille chevaucher son mari, une soudaine envie de se masturber lui prend, elle s'enfonce le flacon de gel douche dans la chatte et se défonce jusqu'à ce que son corps saturé de jouissances successives, demande grâce. Elle ressort de la salle de bain et monte s'habiller dans sa chambre. Justine, insatiable, invite son beau-père à prendre la douche avec elle. De sa chambre, Myriame entend les gémissements et les cris des deux amants qui se font l'amour comme des bêtes.
Pendant la préparation du déjeuner, Myriame, annonce à sa fille :
-Comme tu es une accro au sexe, je t'annonce que le frère de Jacques et sa femme sont invités, pas seulement pour déjeuner, mais aussi pour que tu fasses défoncer par eux !
Justine regarde sa maman, elle fait une petite moue suivie d'un large sourire et répond :
-Mais maman, tu me gâtes, je vais me faire baiser par les deux frères en même temps, et peut-être subir une première relation lesbienne avec Georgette, je suppose qu'elle ne vient pas en spectatrice la coquine, hum, je mouille déjà ma petite maman !
Myriame stresse, elle est nerveuse pendant toute la préparation du repas. Elle se demande si elle n'est pas comme sa fille aussi accro au sexe. Car elle sent son corps s'embrasser rien qu'en pensant à ce qui va se passer après le déjeuner. Elle ne peut empêcher sa chatte de suinter. Enfin les invités arrivent, comme ils ne se voient pas souvent, les embrassades sont interminables. Lucas regarde le corps de Justine, qu'il devra asservir. Quant à Justine, elle regarde sous toutes les coutures le corps plantureux de Georgette. Les deux se sourient, en s'embrassant longuement, leurs lèvres volontairement ou non, se frôlent.
Le repas, quoi qu'un peu arrosé, se passe très bien. La discution s'engage naturellement sur la soif de sexe de Justine, Myriame semble gêner, c'est son mari qui enfonce le clou, il dit :
-Justine est une bombe sexuelle, malgré son âge, c'est une sacrée salope sans scrupules, elle demande même la sodomie la cochonne, la coquine m'épuise, j'ai du mal à suivre le rythme qu'elle impose. Mais heureusement, vous êtes là, je vous demande de ne pas la ménager, surtout toi Georgette, fais la hurler !
Après le digestif, il est temps de passer à l'action. C'est Lucas qui prend la parole en souriant :
-Aller à poil, nous avons un travail à accomplir et une grosse salope à assouvir !
Les vêtements s'empilent, sur une chaise. Justine est la première nue, Jacques, Georgette et Lucas suivent l'exemple. Lucas et Georgette sont étonnés que Myriame ne se dévêt pas.
Elle débarrasse la petite table basse du salon, car elle sait qu'elle va servir aux ébatteurs. Lucas dit en regardant sa femme :
-À toi ma chérie d'ouvrir le bal !
Justine s'allonge sur la table et ouvre largement les jambes. Georgette s'agenouille face à sa proie, elle regarde un instant la fine toison ou déjà quelques perles de rosées glissent sur les poils duveteux. Elle avance sa main entre les cuisses, et commence une douce caresse sur la fente humide. Dès le contact des doigts sur sa vulve, Justine se cabre. Georgette dit en souriant :
-Oh la vache ce qu'elle est sensible, je sens que l'on va bien s'amuser avec elle, mes cochons !
Lentement, elle fait glisser deux doigts entre les grandes lèvres et s'amuse à les faire monter et descendre très lentement. De temps en temps, elle appuie sur le petit clito qui peine à sortir de son écrin. Elle le prend entre son pouce et son index, le presse fortement. Justine se cabre en gémissant de douleur. Georgette se met à branler énergiquement la boule magique qui rapidement double de volume. Les trois regardent les doigts agiles agiter le clito qui augment sans cesse de volume.
Georgette ne ménage pas ses efforts, tout en branlant le clito, elle le presse de temps en temps. Ce traitement spécial, porte rapidement ses fruits, Justine se cabre fortement et Jouit une première fois en gémissant, tout en sachant que ce ne sera pas la dernière. Un liquide laiteux s'échappe de la chatte qui ne cesse de se contracter. Georgette plaque sa bouche sur le volcan qui lâche sa lave et aspire le précieux liquide. Chaque aspiration sur son mont de venus fait gémir Justine.
Justine est une vorace, elle ne pense qu'au sexe. À table, en prenant le petit déjeuner, devant sa maman, elle caresse l'entrejambe de son beau-père, qui se laisse faire en regardant du coin de l'œil sa femme. Myriame enroulée dans un peignoir léger, serre les poings, elle écarquille les yeux lorsque Justine sort du pyjama de son mari sa verge et commence un branlage parfait. Jacques se cabre, il se tend comme un arc. Sa belle-fille lui décalotte le gland et brutalement le gobe. Les fortes aspirations que la coquine produit sur le champignon épais, font geindre l'homme soumis.
Myriame se lève de sa chaise pour mieux voir, elle découvre que sa fille est une nymphomane avérée, elle déglutit bruyamment sans perdre une image. La bouche experte de sa fille, fait des effets monstrueux sur le membre dressé. Jacques semble en trans, son corps secoué de tremblements constant, lui donne la chair de poule. Soudain Justine reprend en main la verge et la branle comme une sauvage. Elle jubile devant le gland qu'elle découvre à chaque descente de son poignet.
Une puissante giclée est expulsée de la hampe gonflée, qui retombe sur le ventre dénudé du beau-père, qui geint comme une bête blessée. Myriame yeux écarquillés, regarde les grandes traces blanches qui souillent le ventre de son mari.
Justine lâche la verge qui est prise de soubresauts, à chaque secousse, quelques gouttes de sperme sont projetées sur le ventre poisseux de jacques. Justine enjambe son beau-père et s'empale brutalement sur la queue vigoureuse pleine de vie. Elle commence à s'agiter, jusqu'à ce qu'elle jouisse. Myriame reste sans voix. Sa chatte suinte énormément, elle serre les cuisses, souffle comme un bœuf et disparait dans la salle de bain.
Nue sous son peignoir, elle l'ouvre, et s'assied sur le tabouret qui se trouve devant le miroir. Elle est tellement excitée, qu'elle est dans l'obligation de se masturber. Ses doigts fébriles s'activent sur sa chatte, maltraitée, son clito qui est prêt à la faire exploser. De sa main libre, elle s'enfonce trois doigts le plus profondément possible dans son vagin, et commence un ramonage d'enfer. Elle serre les dents, s'écrase plusieurs fois le clito puis, en se cabrant, ne peut retenir un cri de jouissance. Myriame reprend peu à peu ses esprits en se caressant doucement la fente humide.
Elle prend sa douche, ses mains tremblantes, caressent son corps plein de fièvre. Elle revoit le corps de sa fille chevaucher son mari, une soudaine envie de se masturber lui prend, elle s'enfonce le flacon de gel douche dans la chatte et se défonce jusqu'à ce que son corps saturé de jouissances successives, demande grâce. Elle ressort de la salle de bain et monte s'habiller dans sa chambre. Justine, insatiable, invite son beau-père à prendre la douche avec elle. De sa chambre, Myriame entend les gémissements et les cris des deux amants qui se font l'amour comme des bêtes.
Pendant la préparation du déjeuner, Myriame, annonce à sa fille :
-Comme tu es une accro au sexe, je t'annonce que le frère de Jacques et sa femme sont invités, pas seulement pour déjeuner, mais aussi pour que tu fasses défoncer par eux !
Justine regarde sa maman, elle fait une petite moue suivie d'un large sourire et répond :
-Mais maman, tu me gâtes, je vais me faire baiser par les deux frères en même temps, et peut-être subir une première relation lesbienne avec Georgette, je suppose qu'elle ne vient pas en spectatrice la coquine, hum, je mouille déjà ma petite maman !
Myriame stresse, elle est nerveuse pendant toute la préparation du repas. Elle se demande si elle n'est pas comme sa fille aussi accro au sexe. Car elle sent son corps s'embrasser rien qu'en pensant à ce qui va se passer après le déjeuner. Elle ne peut empêcher sa chatte de suinter. Enfin les invités arrivent, comme ils ne se voient pas souvent, les embrassades sont interminables. Lucas regarde le corps de Justine, qu'il devra asservir. Quant à Justine, elle regarde sous toutes les coutures le corps plantureux de Georgette. Les deux se sourient, en s'embrassant longuement, leurs lèvres volontairement ou non, se frôlent.
Le repas, quoi qu'un peu arrosé, se passe très bien. La discution s'engage naturellement sur la soif de sexe de Justine, Myriame semble gêner, c'est son mari qui enfonce le clou, il dit :
-Justine est une bombe sexuelle, malgré son âge, c'est une sacrée salope sans scrupules, elle demande même la sodomie la cochonne, la coquine m'épuise, j'ai du mal à suivre le rythme qu'elle impose. Mais heureusement, vous êtes là, je vous demande de ne pas la ménager, surtout toi Georgette, fais la hurler !
Après le digestif, il est temps de passer à l'action. C'est Lucas qui prend la parole en souriant :
-Aller à poil, nous avons un travail à accomplir et une grosse salope à assouvir !
Les vêtements s'empilent, sur une chaise. Justine est la première nue, Jacques, Georgette et Lucas suivent l'exemple. Lucas et Georgette sont étonnés que Myriame ne se dévêt pas.
Elle débarrasse la petite table basse du salon, car elle sait qu'elle va servir aux ébatteurs. Lucas dit en regardant sa femme :
-À toi ma chérie d'ouvrir le bal !
Justine s'allonge sur la table et ouvre largement les jambes. Georgette s'agenouille face à sa proie, elle regarde un instant la fine toison ou déjà quelques perles de rosées glissent sur les poils duveteux. Elle avance sa main entre les cuisses, et commence une douce caresse sur la fente humide. Dès le contact des doigts sur sa vulve, Justine se cabre. Georgette dit en souriant :
-Oh la vache ce qu'elle est sensible, je sens que l'on va bien s'amuser avec elle, mes cochons !
Lentement, elle fait glisser deux doigts entre les grandes lèvres et s'amuse à les faire monter et descendre très lentement. De temps en temps, elle appuie sur le petit clito qui peine à sortir de son écrin. Elle le prend entre son pouce et son index, le presse fortement. Justine se cabre en gémissant de douleur. Georgette se met à branler énergiquement la boule magique qui rapidement double de volume. Les trois regardent les doigts agiles agiter le clito qui augment sans cesse de volume.
Georgette ne ménage pas ses efforts, tout en branlant le clito, elle le presse de temps en temps. Ce traitement spécial, porte rapidement ses fruits, Justine se cabre fortement et Jouit une première fois en gémissant, tout en sachant que ce ne sera pas la dernière. Un liquide laiteux s'échappe de la chatte qui ne cesse de se contracter. Georgette plaque sa bouche sur le volcan qui lâche sa lave et aspire le précieux liquide. Chaque aspiration sur son mont de venus fait gémir Justine.
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Ah une bonne partouze j’attend la suite.