Une belle leçon
Récit érotique écrit par Bimbim [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-07-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une belle leçon
"- Dispo demain 16h pour deux heures de leçon ?"
Après avoir posté des petites annonces un peu partout pour proposer des cours d'anglais, j'avais fini par recevoir ce sms. D'ordinaire je ne répondais pas à ce genre de sollicitation sans formule de politesse ni coordonnées. Mais on était déjà à la fin du mois et je n'avais presque plus un rond pour me payer de quoi manger. Au fil des échanges je finis par apprendre que la personne qui sollicitait mes services habitait dans les beaux quartiers de la capitale et qu'elle s'appelait Céline. Ce devait être une étudiante un peu nunuche qui ne regardait pas à la dépense et qui voulait avoir une bonne note pour faire plaisir à papa. Ce dernier ne manquerait pas de lui offrir des vacances à Mykonos pour la récompenser de ce dur labeur.
Arrivé à l'endroit indiqué, je vis tout de suite que je ne m'étais pas trompé sur le milieu social de cette fille. Elle habitait un vieil hôtel particulier ; derrière la porte d'entrée se trouvait un élégant tapis rouge qui montait aux étages.
A la porte, je fus reçu par une employée de maison tout à fait quelconque. Elle me fit assoir pendant qu'elle allait chercher "Madame". Au bout de dix minutes, je commençais à franchement m'impatienter. Me faire venir du jour au lendemain pour me faire poireauter dans l'entrée, ça doit être une belle personne, pensais-je. Finalement l'employée revint et me fit signe de la suivre. Au bout d'un long couloir, elle me fit signe d'entrer dans un bureau lumineux.
Ce n'était pas une étudiante qui me faisait face, mais une belle femme d'environ quarante ans. Elle était assise derrière un bureau. Ses cheveux blonds étaient attachés en queue de cheval et de ses yeux verts émeraude, elle regardait l'écran de son ordinateur en tapant avec ses mains parfaitement manucurés. Sans un regard, elle me fit signe de s'assoir sur la table de travail dans un coin de la pièce. L'employée nous laissa seuls en refermant derrière elle.
"- Juste un instant, je finis un mail.
- Prenez votre temps, dis-je agacé." Mais elle ne releva même pas l'ironie dans ma voix.
Elle vint s'assoir et m'expliqua la raison de sa venue. Dans un sourire lumineux, elle m'expliqua qu'elle avait un rendez-vous d'affaire à Londres la semaine prochaine et avait besoin de pratiquer un peu son anglais, de faire quelques exercices de grammaire. Nous nous mîmes au travail.
Assis à côté de moi, je pus observer les détails de son visage. Elle avait le nez fin et elle portait un rouge à lèvre très vif. En promenant mon regard, je ne pus m'empêcher de laisser dériver mes yeux. Son chemisier blanc moulait une poitrine ferme et rebondie. Les premiers boutons ouverts laissaient entrevoir son décolleté et sa peau bronzée. Penchée sur son exercice, il me semblait qu'elle me voyait l'observer du coin de l'oeil. Je fis mine de regarder ailleurs. La froideur qu'elle avait montrée au début s'effaçait peu à peu. Elle était très souriante et tactile. A la fin de chaque exercice, elle posait sa main sur la mienne pour me dire qu'elle avait terminé. Quand que je corrigeais ses exercices, je la voyais suçoter distraitement le bout de son crayon. Elle me souriait en notant docilement mes explications. En tordant ses mèches de cheveux, on aurait dit une jeune étudiante appliquée.
Quelques coups discrets sur la porte interrompit ma rêverie.
"- Entrez !"
C'était l'employée de maison qui apportait un plateau chargé de boissons et de pâtisseries. Elle le posa sur le coin de la table et disparut aussi vite qu'elle était venue.
"- Je ne peux pas m'en passer, fit-elle comme pour s'excuser." D'un œil gourmand elle scruta le plateau et prit un petit gâteau. D'un geste elle m'invita à me servir. Comme elle insistait, je pris un verre de limonade car ma gorge était très sèche. Je vis qu'elle me fixait de ses yeux de chat en buvant son verre et quelques gouttes vinrent perler au coin de ses lèvres. Elle passa rapidement la langue dessus et s'apprêta à me dire quelque chose quand une voix dans la pièce à côté se fit entendre.
Son expression changea du tout au tout et son visage redevint froid.
"- Quelque chose ne va pas ?"
- Rien... C'est juste mon connard de mari qui parle trop fort au téléphone."
Je ne savais pas trop quoi dire. Elle reprit
" - Je ne peux plus supporter sa voix depuis que j'ai appris qu'il m'a trompée.
- Je suis désolé, dis-je maladroitement.
Ses yeux se perdirent dans les miens et après quelques secondes elle rigola.
"- Qu'est-ce qu'il y a ?"
Elle hésita un instant puis lança :
"- J'étais en train de me dire que ça lui ferait une belle leçon si je me laissais prendre à 1 mètre de lui."
Ma gorge était plus sèche que jamais. L'idée de la prendre sur ce bureau ne me laissait pas indifférent. Je sentais mon sexe se tendre dans mon pantalon serré. Je tentais maladroitement de dissimuler ma gêne mais elle remarqua d'un regard rapide et étonné.
"- Je te fais tant d'effet que ça ? demanda t-elle.
Mon cœur cognait avec force dans ma cage thoracique.
Alors que j'essayais de bredouiller une réponse, elle me caressa la jambe en me fixant de ses prunelles. Nous vîmes tous les deux mon érection essayant de se dégager de sa prison de tissu. Sa main remonta lentement mon entre-jambe jusqu'à la bosse que formait ma queue. Elle s'approcha doucement et me tendit ses lèvres. Je l'embrassai doucement au début, puis avec de plus en plus d'ardeur. Je descendis sur son cou pour y promener ma bouche. Elle se mit à gémir quand je pris son sein dans ma main pour le presser. Alors que je commençai à déboutonner son chemisier, elle me prit la main, la reposa sur ma jambe et avec une grâce féline vint se lover sur les genoux, entre mes jambes. Lentement, elle ouvrit ma braguette et déboutonna mon pantalon. En tirant doucement sur mon caleçon, elle révéla ma queue tendue. Elle s'en saisit et le regarda avec la même gourmandise qu'elle avait eu pour les pâtisseries.
Je retins mon souffle. Dans le bureau d'à côté, le mari semblait avoir une discussion très animée. Il semblait faire des va-et-vient et par moment on avait l'impression qu'il était dans la même pièce.
Elle me prit alors en bouche. Je sentais sa langue experte se promener le long de mon sexe alors qu'elle me fixait de ses beaux yeux verts. Il n'y avait plus qu'elle et moi. Elle s'arrêtait seulement de me sucer pour prendre mes bourses en bouche tout en continuant à me branler. Quand elle me reprenait, j'étais à deux doigts d'éjaculer dans sa bouche avide. Elle semblait prendre un vrai plaisir à cette gâterie.
Je me redressai et déboutonna son chemisier pour dégrafer son soutien-gorge. Je pris ses seins lourds entre mes mains. Elle se redressa et s'assit sur le bureau. Du bout des doigts je jouai avec ses tétons durcis. Je tirai dessus doucement, puis de plus en plus fort car elle semblait apprécier cette violence sourde.
Je fis glisser sa culotte sur le sol et remonta sa jupe. Sa chatte était intégralement épilée. Avec ma main, je me mis à la caresser et me rendit compte qu'était déjà trempée. Cela me rendit fou alors je me mis à genoux et lui lécha avidement son sexe. En levant mes yeux, je vis son regard partir à la dérive alors qu'elle me caressait les cheveux.
N'en pouvant plus, je me dresse sur mes jambes pour chercher à rentrer en elle. Elle me retint d'une main et me dit dans le creux de l'oreille :
" - Non, je veux que tu me prennes comme une chienne."
Elle se retourna, prête à m'accueillir et je n'eus aucun mal à la prendre. Elle laissa échapper un petit cri qu'elle retint aussitôt en mettant une main devant sa bouche. Dans la pièce d'à-côté, le mari s'était tu. Cela me fit redoubler d'ardeur et je me mis à accélérer mes mouvements pour la faire crier. Elle tint bon jusqu'au moment ou je me saisis de sa queue-de-cheval pour la tirer. Elle tourna alors vers moi un regard suppliant et prit mon autre main pour la plaquer sur sa bouche. De la sienne, elle se caressait le clitoris. Et au bout de quelques instants, je la sentis parcouru d'un soubresaut alors qu'elle laissait échapper un son aigu.
Quand elle eut fini, je m'arrêtai. Impossible que son mari n'ait pas entendu ce cri. Je me rassis sur la chaise haletant. Elle se retourna d'un air intriguée. D'un signe de tête, je lui fis comprendre pourquoi j'avais arrêté. Elle me sourit et s'agenouilla devant moi. Sans précaution, elle prit mon chibre chaud dans sa bouche. Elle n'eut aucun mal à me faire jouir. Une fois fini, elle redressa sa tête et je vis quelques gouttes de semence au coin de sa bouche. Mon regard s'arrêta dessus et alors que je fis un geste pour l'essuyer, elle passa un rapide coup de langue dessus d'un air malicieux.
"- Merci pour cette belle leçon, me dit-elle en me laissant partir."
Après avoir posté des petites annonces un peu partout pour proposer des cours d'anglais, j'avais fini par recevoir ce sms. D'ordinaire je ne répondais pas à ce genre de sollicitation sans formule de politesse ni coordonnées. Mais on était déjà à la fin du mois et je n'avais presque plus un rond pour me payer de quoi manger. Au fil des échanges je finis par apprendre que la personne qui sollicitait mes services habitait dans les beaux quartiers de la capitale et qu'elle s'appelait Céline. Ce devait être une étudiante un peu nunuche qui ne regardait pas à la dépense et qui voulait avoir une bonne note pour faire plaisir à papa. Ce dernier ne manquerait pas de lui offrir des vacances à Mykonos pour la récompenser de ce dur labeur.
Arrivé à l'endroit indiqué, je vis tout de suite que je ne m'étais pas trompé sur le milieu social de cette fille. Elle habitait un vieil hôtel particulier ; derrière la porte d'entrée se trouvait un élégant tapis rouge qui montait aux étages.
A la porte, je fus reçu par une employée de maison tout à fait quelconque. Elle me fit assoir pendant qu'elle allait chercher "Madame". Au bout de dix minutes, je commençais à franchement m'impatienter. Me faire venir du jour au lendemain pour me faire poireauter dans l'entrée, ça doit être une belle personne, pensais-je. Finalement l'employée revint et me fit signe de la suivre. Au bout d'un long couloir, elle me fit signe d'entrer dans un bureau lumineux.
Ce n'était pas une étudiante qui me faisait face, mais une belle femme d'environ quarante ans. Elle était assise derrière un bureau. Ses cheveux blonds étaient attachés en queue de cheval et de ses yeux verts émeraude, elle regardait l'écran de son ordinateur en tapant avec ses mains parfaitement manucurés. Sans un regard, elle me fit signe de s'assoir sur la table de travail dans un coin de la pièce. L'employée nous laissa seuls en refermant derrière elle.
"- Juste un instant, je finis un mail.
- Prenez votre temps, dis-je agacé." Mais elle ne releva même pas l'ironie dans ma voix.
Elle vint s'assoir et m'expliqua la raison de sa venue. Dans un sourire lumineux, elle m'expliqua qu'elle avait un rendez-vous d'affaire à Londres la semaine prochaine et avait besoin de pratiquer un peu son anglais, de faire quelques exercices de grammaire. Nous nous mîmes au travail.
Assis à côté de moi, je pus observer les détails de son visage. Elle avait le nez fin et elle portait un rouge à lèvre très vif. En promenant mon regard, je ne pus m'empêcher de laisser dériver mes yeux. Son chemisier blanc moulait une poitrine ferme et rebondie. Les premiers boutons ouverts laissaient entrevoir son décolleté et sa peau bronzée. Penchée sur son exercice, il me semblait qu'elle me voyait l'observer du coin de l'oeil. Je fis mine de regarder ailleurs. La froideur qu'elle avait montrée au début s'effaçait peu à peu. Elle était très souriante et tactile. A la fin de chaque exercice, elle posait sa main sur la mienne pour me dire qu'elle avait terminé. Quand que je corrigeais ses exercices, je la voyais suçoter distraitement le bout de son crayon. Elle me souriait en notant docilement mes explications. En tordant ses mèches de cheveux, on aurait dit une jeune étudiante appliquée.
Quelques coups discrets sur la porte interrompit ma rêverie.
"- Entrez !"
C'était l'employée de maison qui apportait un plateau chargé de boissons et de pâtisseries. Elle le posa sur le coin de la table et disparut aussi vite qu'elle était venue.
"- Je ne peux pas m'en passer, fit-elle comme pour s'excuser." D'un œil gourmand elle scruta le plateau et prit un petit gâteau. D'un geste elle m'invita à me servir. Comme elle insistait, je pris un verre de limonade car ma gorge était très sèche. Je vis qu'elle me fixait de ses yeux de chat en buvant son verre et quelques gouttes vinrent perler au coin de ses lèvres. Elle passa rapidement la langue dessus et s'apprêta à me dire quelque chose quand une voix dans la pièce à côté se fit entendre.
Son expression changea du tout au tout et son visage redevint froid.
"- Quelque chose ne va pas ?"
- Rien... C'est juste mon connard de mari qui parle trop fort au téléphone."
Je ne savais pas trop quoi dire. Elle reprit
" - Je ne peux plus supporter sa voix depuis que j'ai appris qu'il m'a trompée.
- Je suis désolé, dis-je maladroitement.
Ses yeux se perdirent dans les miens et après quelques secondes elle rigola.
"- Qu'est-ce qu'il y a ?"
Elle hésita un instant puis lança :
"- J'étais en train de me dire que ça lui ferait une belle leçon si je me laissais prendre à 1 mètre de lui."
Ma gorge était plus sèche que jamais. L'idée de la prendre sur ce bureau ne me laissait pas indifférent. Je sentais mon sexe se tendre dans mon pantalon serré. Je tentais maladroitement de dissimuler ma gêne mais elle remarqua d'un regard rapide et étonné.
"- Je te fais tant d'effet que ça ? demanda t-elle.
Mon cœur cognait avec force dans ma cage thoracique.
Alors que j'essayais de bredouiller une réponse, elle me caressa la jambe en me fixant de ses prunelles. Nous vîmes tous les deux mon érection essayant de se dégager de sa prison de tissu. Sa main remonta lentement mon entre-jambe jusqu'à la bosse que formait ma queue. Elle s'approcha doucement et me tendit ses lèvres. Je l'embrassai doucement au début, puis avec de plus en plus d'ardeur. Je descendis sur son cou pour y promener ma bouche. Elle se mit à gémir quand je pris son sein dans ma main pour le presser. Alors que je commençai à déboutonner son chemisier, elle me prit la main, la reposa sur ma jambe et avec une grâce féline vint se lover sur les genoux, entre mes jambes. Lentement, elle ouvrit ma braguette et déboutonna mon pantalon. En tirant doucement sur mon caleçon, elle révéla ma queue tendue. Elle s'en saisit et le regarda avec la même gourmandise qu'elle avait eu pour les pâtisseries.
Je retins mon souffle. Dans le bureau d'à côté, le mari semblait avoir une discussion très animée. Il semblait faire des va-et-vient et par moment on avait l'impression qu'il était dans la même pièce.
Elle me prit alors en bouche. Je sentais sa langue experte se promener le long de mon sexe alors qu'elle me fixait de ses beaux yeux verts. Il n'y avait plus qu'elle et moi. Elle s'arrêtait seulement de me sucer pour prendre mes bourses en bouche tout en continuant à me branler. Quand elle me reprenait, j'étais à deux doigts d'éjaculer dans sa bouche avide. Elle semblait prendre un vrai plaisir à cette gâterie.
Je me redressai et déboutonna son chemisier pour dégrafer son soutien-gorge. Je pris ses seins lourds entre mes mains. Elle se redressa et s'assit sur le bureau. Du bout des doigts je jouai avec ses tétons durcis. Je tirai dessus doucement, puis de plus en plus fort car elle semblait apprécier cette violence sourde.
Je fis glisser sa culotte sur le sol et remonta sa jupe. Sa chatte était intégralement épilée. Avec ma main, je me mis à la caresser et me rendit compte qu'était déjà trempée. Cela me rendit fou alors je me mis à genoux et lui lécha avidement son sexe. En levant mes yeux, je vis son regard partir à la dérive alors qu'elle me caressait les cheveux.
N'en pouvant plus, je me dresse sur mes jambes pour chercher à rentrer en elle. Elle me retint d'une main et me dit dans le creux de l'oreille :
" - Non, je veux que tu me prennes comme une chienne."
Elle se retourna, prête à m'accueillir et je n'eus aucun mal à la prendre. Elle laissa échapper un petit cri qu'elle retint aussitôt en mettant une main devant sa bouche. Dans la pièce d'à-côté, le mari s'était tu. Cela me fit redoubler d'ardeur et je me mis à accélérer mes mouvements pour la faire crier. Elle tint bon jusqu'au moment ou je me saisis de sa queue-de-cheval pour la tirer. Elle tourna alors vers moi un regard suppliant et prit mon autre main pour la plaquer sur sa bouche. De la sienne, elle se caressait le clitoris. Et au bout de quelques instants, je la sentis parcouru d'un soubresaut alors qu'elle laissait échapper un son aigu.
Quand elle eut fini, je m'arrêtai. Impossible que son mari n'ait pas entendu ce cri. Je me rassis sur la chaise haletant. Elle se retourna d'un air intriguée. D'un signe de tête, je lui fis comprendre pourquoi j'avais arrêté. Elle me sourit et s'agenouilla devant moi. Sans précaution, elle prit mon chibre chaud dans sa bouche. Elle n'eut aucun mal à me faire jouir. Une fois fini, elle redressa sa tête et je vis quelques gouttes de semence au coin de sa bouche. Mon regard s'arrêta dessus et alors que je fis un geste pour l'essuyer, elle passa un rapide coup de langue dessus d'un air malicieux.
"- Merci pour cette belle leçon, me dit-elle en me laissant partir."
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Récit très réaliste et excitant, je me suis cru à la place du prof d'anglais. Ce n'est pas lui qui a eu un cours de langue !!!
La fin est un peu rapide à mon goût (littérairement parlant). Si c'est votre première histoire, je vous encourage à continuer.
La fin est un peu rapide à mon goût (littérairement parlant). Si c'est votre première histoire, je vous encourage à continuer.
Bravo pour ce récit joliment écrit et très excitant. Le mari était-il consentant, voyeur ou au moins écouteur, cocu à son insu?
Peut-être une suite pour le deouvrir...
Peut-être une suite pour le deouvrir...