Une belle-mère, cede à son beau fils.
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-08-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
Une belle-mère, cede à son beau fils.
Marc, veuf depuis de nombreuses années, décide de se remarier avec Juliette, son fils Hugo, né d'un premier mariage, voit cela d'un mauvais œil. Une étrangère à la maison, cela ne l'emballe pas, les deux hommes ont leurs habitudes, cette union va certainement tout changer, les jeux sont faits, il doit accepter le choix de son père. Le jeune de 22 ans s'accroche souvent avec Juliette, qui pourtant est une femme mûre très ouverte d'esprit. Mais le bougre, un peu faux cul, s'en prend à Juliette chaque fois que son père est absent.
Elle subit les attaques injustifiées d'Hugo qui la rabaisse sans cesse, lui fait des reproches infondés. Cela fait des mois que cela dure, un jour la femme courtoise jusqu'à présent hausse le ton. Elle s'assoit face à son beau-fils et lui sort tout ce qu'elle a sur le cœur. Lui, très surpris par ce geste de révolte, reste sans voix.
Son regard ne quitte pas les cuisses, que la blousse, mal boutonnée, découvre largement. Juliette la porte pour faire le ménage. Une fois la mise au point faite, Juliette reprend son ouvrage. Hugo presque
Abasourdit, la regarde, il observe, le déhanchement naturel de félin de Juliette, il admire en soupirant le fessier bien rebondit. Il se lève, Juliette qui frotte un meuble, ne l'entend pas vernir. Il l'enlace, Juliette, sursaute, il la serre très fort contre lui, et lui murmure :
-Je te demande pardon, je suis un idiot d'avoir agi comme je l'ai fait jusqu'à présent, je te promet d'être plus sociable maintenant !
Il lui donne plusieurs baisers sur le cou et sur la nuque. Juliette se retourne, lui sourit et répond :
-Je ne demande que cela Hugo formant une famille unit !
Il l'enlace, se plaque, conte, elle et se met à sangloter sur son épaule, elle lui passe sa main dans les cheveux, en le consolant comme elle peut. Hugo culpabilise, il ne cesse de renifler. Elle lui relève le menton avec deux doigts et lape les perles de rosée salées qui coulent sur le visage. Elle dit émue :
-Clame-toi mon chéri, reprends-toi, c'est deja oubliée, je te pardonne !
Il sent contre son torse l'opulente poitrine de sa belle-mère, il appuie encore un peu plus son bas-ventre contre le sien en répétant :
-Qu'est-ce que je peux être con, mais con alors !
Elle lui donne une multitude de baisers sur le visage, avec un petit dérapage incontrôlé sur les lèvres du jeune homme éploré. Le coquin frotte son bassin contre le sien, elle s'agrippant à ses hanches. Juliette sent le danger, elle se dégage habilement en trouvant un prétexte. Pendant le diner, il ne cesse de dévisager Juliette, elle sent le regard pesant de son beau-fils, cela la trouble énormément. Elle cherche à éviter le plus possible le regard lourd d'Hugo. Marc remarque un flottement, il parle de sa journée, pour détendre l'atmosphère. Le diner ne se passe pas trop mal. Après une bouche, Hugo en boxer, s'assoit sur le canapé, il est rejoint par son père qui a enfilé son pyjama, et sa belle-mère qui arrive en nuisette, avec un peignoir ouvert. Hugo la regarde comme si c'était la sainte vierge, il n'avait jamais remarqué la beauté de sa belle-mère avant aujourd'hui. Il est tard, les paupières deviennent lourdes. Juliette et Marc rejoignent leur nid d'amour, Hugo lui son lit.
De sa chambre, Hugo entend les gémissements de Juliette, il imagine sa belle-mère soumise aux assauts de son père. Hugo rumine, il donne des coups de poings dans l'oreiller, se met sur le dos, le bougre bande comme un taureau. Il baisse son boxer, saisit sa bite et la branle en grimaçant
. Un gémissement plus fort que les autres le fait sursauter, il se dit, Juliette vient de jouir. Il redouble ses coups de poignets, de sa main libre, il se presse les couilles en grommelant, soudain, il se cabre et éjacule abondamment, plusieurs jets de sperme sont expulsés de sa bite, et retombent sur son boxer et ses doigts. Le gredin continue de masturber, il veut encore jouir en pensant surement à Juliette. Il se branle tellement fort que sa bite devient douloureuse, il grimace en serrant les dents, et jouit encore une fois. Il retire son boxer, s'essuie avec et en enfile un nouveau. Sa nuit est agitée, il ne s'endort qu'au petit matin.
Elle subit les attaques injustifiées d'Hugo qui la rabaisse sans cesse, lui fait des reproches infondés. Cela fait des mois que cela dure, un jour la femme courtoise jusqu'à présent hausse le ton. Elle s'assoit face à son beau-fils et lui sort tout ce qu'elle a sur le cœur. Lui, très surpris par ce geste de révolte, reste sans voix.
Son regard ne quitte pas les cuisses, que la blousse, mal boutonnée, découvre largement. Juliette la porte pour faire le ménage. Une fois la mise au point faite, Juliette reprend son ouvrage. Hugo presque
Abasourdit, la regarde, il observe, le déhanchement naturel de félin de Juliette, il admire en soupirant le fessier bien rebondit. Il se lève, Juliette qui frotte un meuble, ne l'entend pas vernir. Il l'enlace, Juliette, sursaute, il la serre très fort contre lui, et lui murmure :
-Je te demande pardon, je suis un idiot d'avoir agi comme je l'ai fait jusqu'à présent, je te promet d'être plus sociable maintenant !
Il lui donne plusieurs baisers sur le cou et sur la nuque. Juliette se retourne, lui sourit et répond :
-Je ne demande que cela Hugo formant une famille unit !
Il l'enlace, se plaque, conte, elle et se met à sangloter sur son épaule, elle lui passe sa main dans les cheveux, en le consolant comme elle peut. Hugo culpabilise, il ne cesse de renifler. Elle lui relève le menton avec deux doigts et lape les perles de rosée salées qui coulent sur le visage. Elle dit émue :
-Clame-toi mon chéri, reprends-toi, c'est deja oubliée, je te pardonne !
Il sent contre son torse l'opulente poitrine de sa belle-mère, il appuie encore un peu plus son bas-ventre contre le sien en répétant :
-Qu'est-ce que je peux être con, mais con alors !
Elle lui donne une multitude de baisers sur le visage, avec un petit dérapage incontrôlé sur les lèvres du jeune homme éploré. Le coquin frotte son bassin contre le sien, elle s'agrippant à ses hanches. Juliette sent le danger, elle se dégage habilement en trouvant un prétexte. Pendant le diner, il ne cesse de dévisager Juliette, elle sent le regard pesant de son beau-fils, cela la trouble énormément. Elle cherche à éviter le plus possible le regard lourd d'Hugo. Marc remarque un flottement, il parle de sa journée, pour détendre l'atmosphère. Le diner ne se passe pas trop mal. Après une bouche, Hugo en boxer, s'assoit sur le canapé, il est rejoint par son père qui a enfilé son pyjama, et sa belle-mère qui arrive en nuisette, avec un peignoir ouvert. Hugo la regarde comme si c'était la sainte vierge, il n'avait jamais remarqué la beauté de sa belle-mère avant aujourd'hui. Il est tard, les paupières deviennent lourdes. Juliette et Marc rejoignent leur nid d'amour, Hugo lui son lit.
De sa chambre, Hugo entend les gémissements de Juliette, il imagine sa belle-mère soumise aux assauts de son père. Hugo rumine, il donne des coups de poings dans l'oreiller, se met sur le dos, le bougre bande comme un taureau. Il baisse son boxer, saisit sa bite et la branle en grimaçant
. Un gémissement plus fort que les autres le fait sursauter, il se dit, Juliette vient de jouir. Il redouble ses coups de poignets, de sa main libre, il se presse les couilles en grommelant, soudain, il se cabre et éjacule abondamment, plusieurs jets de sperme sont expulsés de sa bite, et retombent sur son boxer et ses doigts. Le gredin continue de masturber, il veut encore jouir en pensant surement à Juliette. Il se branle tellement fort que sa bite devient douloureuse, il grimace en serrant les dents, et jouit encore une fois. Il retire son boxer, s'essuie avec et en enfile un nouveau. Sa nuit est agitée, il ne s'endort qu'au petit matin.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
banal sans interet
Y aura t il une suite ?