Une bite, ça n'a pas d'épaules
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-07-2016 dans la catégorie En solitaire
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Une bite, ça n'a pas d'épaules
Un garçon quand c'est intéressé, ça bande.
Et quand ça bande un garçon, c'est bon, rudement bon.
Ça, moi, je peux vous le dire que ça fait bon quand on bande.
Les filles, c'est pas pour dire, mais c'est pas pareil
Les filles, on les sent pas vraiment convaincues
Leur émoi n'est pas un truc qui se voit
Enfin, pas directement, pas de l'extérieur, de loin.
Alors nous, les gars, on reste dans l'expectative à pas savoir si c'est oui ou si c'est pas oui...
Surtout qu'elles ne font rien pour être explicites
Elles disent, l'air de rien, moi je faisais juste que passer par là, moi je suis pas responsable...
Pas responsables peut être mais coupables assurément !
Ça me rappelle l'autre Georgina de la Chou, cuisses hautes dans la roulotte verte au milieu des roseaux fanés de fin de l'été. Manade Cacharel...
Vous savez pourquoi ils tiennent la guitare manche haut vertical les gitans ?
C'est parce que c'est diablement étroit, une roulotte. On y est serré, confiné quoi. Ben pour les cuisses des gonzesses, c'est pareil. Les filles de Camargue lèvent haut aussi. C'est bon de bon de leur chatouiller le col du bout du gland et de s'abuter sur le dur sur le rond pour décharger tout ce qu'on a à donner dans le creux en attente, dans le nid à faire germer les bébés.
Tout ça pour dire que quand ça bande, un garçon, c'est bon, rudement bon, là entre nos cuisses et dans notre tête aussi. Bander, c'est se sentir exister. Je bande donc je suis disait déjà Démosthène, le philosophe grec, 4 siècles avant notre ère. Et son copain ajoutait, ami ne parle donc pas la bouche pleine. Tais-toi et nage.
Le garçon bande. Il se sent. Il est heureux. La vie est belle et il pense à la fille là devant lui qui le bade de ses yeux innocents bleus aux pupilles noires dilatées immenses. Il sait que les pupilles des filles sont leur organe le plus sensible aux émotions. Organe capable de se contracter jusqu'à n'être plus qu'une tête d'épingle quand elles sont en indifférence, mais aussi de s'ouvrir largement dilaté à trois doigts ou plus quand elles sont vraiment amoureuses. Enfin, quand ça leur vient dans le ventre...
La fille se sent partir en liquidité. Elle serre les cuisses en réflexe pour ne pas laisser échapper d'entre ses villosités les onctuosités visqueuses qui descendent d'elle. Elle est en combat vis à vis de sa béance et voudrait se fermer lors que tout son être s'ouvre, se décontracte, s'épanouit, se répand. Elle tend le cou en arrière et plie les genoux cuisses hautes. Ses bras en croix cherchent loin le stretch, mains ouvertes. Elle sait que dès qu'elle aura été pénétrée elle lèvera les pieds, les mollets, les jambes au plus haut cuisses écartelées pour mieux être envahie et pour mieux appréhender le bitos seringue de vie et le traire de tout le jus qu'il a à donner.
Les garçons, c'est pas pareil, pas du tout.
Du tout.
Son engin est long, large, solide. La trique est là, impérieuse. Il en a plein les cuisses de ces roupes dures et surtout de ce manche qui concentre maintenant tout son être toute sa conscience toute son âme.
Le garçon n'est plus en tendresse, il est en rut. Le cerveau est déconnecté et les hormones qui rugissent dans son sang comme un feu de cheminée mènent ses gestes et son comportement.
L'os géant a sorti sa tête. Le prépuce a disparu happé par la tige sans cou, comme partie de celle-ci, retroussé par la longueur nouvelle comme pour l'habiller.
Le garçon sait que ce mandrin n'a que quelques minutes à vivre, qu'il est éphémère. Il sait que cette stature triomphale disparaîtra très vite après le feu d'artifice éjaculatoire. Et qu'il en sera marri. Post coïtum animal est triste.
Alors il ne veut pas perdre de temps, il lui faut profiter de la saillie immédiatement.
La fille, le garçon sont en concordance. On pourrait croire à les regarder qu'ils se prennent dans les bras l'un de l'autre, que leurs jambes s'emmêlent en tendresse. Non ! Juste les deux bassins se rejoignent et la bite avec son gland profilé comme museau de squale a plongé dans les villosités béantes qui l'attendaient, l'espéraient.
Et, vous savez ? Une bite ... ça n'a pas d'épaules.
Et quand ça bande un garçon, c'est bon, rudement bon.
Ça, moi, je peux vous le dire que ça fait bon quand on bande.
Les filles, c'est pas pour dire, mais c'est pas pareil
Les filles, on les sent pas vraiment convaincues
Leur émoi n'est pas un truc qui se voit
Enfin, pas directement, pas de l'extérieur, de loin.
Alors nous, les gars, on reste dans l'expectative à pas savoir si c'est oui ou si c'est pas oui...
Surtout qu'elles ne font rien pour être explicites
Elles disent, l'air de rien, moi je faisais juste que passer par là, moi je suis pas responsable...
Pas responsables peut être mais coupables assurément !
Ça me rappelle l'autre Georgina de la Chou, cuisses hautes dans la roulotte verte au milieu des roseaux fanés de fin de l'été. Manade Cacharel...
Vous savez pourquoi ils tiennent la guitare manche haut vertical les gitans ?
C'est parce que c'est diablement étroit, une roulotte. On y est serré, confiné quoi. Ben pour les cuisses des gonzesses, c'est pareil. Les filles de Camargue lèvent haut aussi. C'est bon de bon de leur chatouiller le col du bout du gland et de s'abuter sur le dur sur le rond pour décharger tout ce qu'on a à donner dans le creux en attente, dans le nid à faire germer les bébés.
Tout ça pour dire que quand ça bande, un garçon, c'est bon, rudement bon, là entre nos cuisses et dans notre tête aussi. Bander, c'est se sentir exister. Je bande donc je suis disait déjà Démosthène, le philosophe grec, 4 siècles avant notre ère. Et son copain ajoutait, ami ne parle donc pas la bouche pleine. Tais-toi et nage.
Le garçon bande. Il se sent. Il est heureux. La vie est belle et il pense à la fille là devant lui qui le bade de ses yeux innocents bleus aux pupilles noires dilatées immenses. Il sait que les pupilles des filles sont leur organe le plus sensible aux émotions. Organe capable de se contracter jusqu'à n'être plus qu'une tête d'épingle quand elles sont en indifférence, mais aussi de s'ouvrir largement dilaté à trois doigts ou plus quand elles sont vraiment amoureuses. Enfin, quand ça leur vient dans le ventre...
La fille se sent partir en liquidité. Elle serre les cuisses en réflexe pour ne pas laisser échapper d'entre ses villosités les onctuosités visqueuses qui descendent d'elle. Elle est en combat vis à vis de sa béance et voudrait se fermer lors que tout son être s'ouvre, se décontracte, s'épanouit, se répand. Elle tend le cou en arrière et plie les genoux cuisses hautes. Ses bras en croix cherchent loin le stretch, mains ouvertes. Elle sait que dès qu'elle aura été pénétrée elle lèvera les pieds, les mollets, les jambes au plus haut cuisses écartelées pour mieux être envahie et pour mieux appréhender le bitos seringue de vie et le traire de tout le jus qu'il a à donner.
Les garçons, c'est pas pareil, pas du tout.
Du tout.
Son engin est long, large, solide. La trique est là, impérieuse. Il en a plein les cuisses de ces roupes dures et surtout de ce manche qui concentre maintenant tout son être toute sa conscience toute son âme.
Le garçon n'est plus en tendresse, il est en rut. Le cerveau est déconnecté et les hormones qui rugissent dans son sang comme un feu de cheminée mènent ses gestes et son comportement.
L'os géant a sorti sa tête. Le prépuce a disparu happé par la tige sans cou, comme partie de celle-ci, retroussé par la longueur nouvelle comme pour l'habiller.
Le garçon sait que ce mandrin n'a que quelques minutes à vivre, qu'il est éphémère. Il sait que cette stature triomphale disparaîtra très vite après le feu d'artifice éjaculatoire. Et qu'il en sera marri. Post coïtum animal est triste.
Alors il ne veut pas perdre de temps, il lui faut profiter de la saillie immédiatement.
La fille, le garçon sont en concordance. On pourrait croire à les regarder qu'ils se prennent dans les bras l'un de l'autre, que leurs jambes s'emmêlent en tendresse. Non ! Juste les deux bassins se rejoignent et la bite avec son gland profilé comme museau de squale a plongé dans les villosités béantes qui l'attendaient, l'espéraient.
Et, vous savez ? Une bite ... ça n'a pas d'épaules.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Et toi tu peux y envoyer la main, les doigts à ta chatoune
Histoire de vérifier ce qui s'y passe
Mais les gars, nous en face, on peut pas...
Alors on se pose des questions, on rêve, on élubruque
Juste...
En fait, nous on sait jamais et c'est ça qui fait le charme
Nous, il nous faut oser, braver ... Pour savoir.
Histoire de vérifier ce qui s'y passe
Mais les gars, nous en face, on peut pas...
Alors on se pose des questions, on rêve, on élubruque
Juste...
En fait, nous on sait jamais et c'est ça qui fait le charme
Nous, il nous faut oser, braver ... Pour savoir.
Moi quand une fille me plait je bande aussi, je sens mon clito durcir, ma mouille commencer à couler de mes lèvres, absorbée par ma toison et il m'est bien difficile de ne pas envoyer ma main vérifier que je ne rêve pas.