UNE BLONDE ALLUMEUSE

- Par l'auteur HDS ERIC64 -
Récit érotique écrit par ERIC64 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : UNE BLONDE ALLUMEUSE Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-12-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
UNE BLONDE ALLUMEUSE
Mec seul, la cinquantaine.
Un dimanche matin j’accompagne mon voisin à la gare. Je le laisse sur le quai et sort du hall pour regagner ma voiture. J’aperçois alors, qui avance dans ma direction, une superbe fille. Elle est blonde, cheveux longs, une veste noire fermée à cause du froid et bizarrement par cette fraîcheur de fin novembre une mini jupe noire. Elle a de longues jambes blanches et je suppose des bas, ou collants, couleur chair. Elle semble jeune.
Je reste planté devant l’entrée et attend son passage. A son approche j’ai confirmation de son âge et de sa beauté. Elle a des cuisses sublimes, bien en chair sans être grosses, vraiment canon la petite. Elle passe tout près de moi et j’entends le frottement de ses bas. Elle me lance un regard un peu hautin du style « tu t’es bien rincé l’œil, vieux cochon ». Je ne suis pas très fier de moi, mais ne peut m’empêcher de me retourner pour la voir encore. Elle se retourne aussi, comme pour s’assurer qu’elle me fait de l’effet, et disparaît dans la gare.
J’ai envie d’elle et entre dans le hall, sans oser l’aborder. L’idéal serait qu’elle vienne à moi, savoir ce que je veux, mais il ne faut pas rêver.
Elle regarde les panneaux d’affichage, va à l’accueil et ressort. Je la suis discrètement, elle semble contrariée et ne s’inquiète plus de moi. Elle se dirige vers les bus, et monte dans le premier. Il y a un attroupement autour de son bus, des voix qui s’élèvent, et je reste par curiosité. Des gens redescendent du car, dont ma belle inconnue. Elle récupère son bagage dans la soute et vient s’asseoir sur un banc devant la gare. Elle sort son portable et le range d’un air rageur.
Je m’en veux de ne pas avoir eu le courage de lui parler et ne veux pas laisser passer une deuxième chance. Je l’approche en espérant qu’elle ne remarque pas la bosse dans mon pantalon, tellement elle est bandante :
- Bonjour. Je vous demande de m’excuser si je vous importune, mais il me semble que vous avez quelques soucis. Si je peux vous aider !
J’ai peur qu’elle ne m’envoie promener, mais elle est toute douce et se confie à moi. Son train a été annulé, le bus de remplacement prévu ne peut emmener tout le monde et elle ne fait pas partie des personnes prioritaires. Pour comble son portable est déchargé, et elle doit attendre plus de trois heures pour le prochain train. La ville où elle doit se rendre est à moins de deux heures en voiture, je n’ai rien à faire et lui propose de l’y conduire.
- Et vous feriez ça juste pour mes beaux yeux ?
- C’est vrai qu’ils sont beaux, mais à vrai dire ce n’est pas ce que j’ai remarqué en premier.
- Et c’est quoi ?
- Une jolie blonde en mini jupe, d’après vous ?
- C’est bien ce qu’il me semblait. Et vous espérez vous la faire la jolie blonde ?
- Si elle est d’accord, oui. Sinon elle ne risque rien. Alors c’est oui ?
- Ok, je n’espère ne pas le regretter.
Je prends sa valise et elle me suit. Elle est assise à mes côtés, sa mini jupe remonte sur ses cuisses, ras la moule. J’ai des bouffées de chaleur et bande dur. Je lui pose des questions parfois personnelles, et elle y répond gentiment. Elle a 22 ans, est étudiante en géographie, a largué son copain il y a 3 mois, et vit seule. Les minutes passent, ses cuisses semblent me dire « alors, tu te décides », et je dois passer aux choses sérieuses :
- Vous vous habillez toujours ainsi pour prendre le train.
- En hiver, oui. J’aime mon corps et ne veut pas le cacher.
- Et en été, c’est plus chaud.
- N’y pensez pas, vous allez vous faire du mal.
- Et les voyageurs, ça leur fait quoi ?
- Tous des salauds. J’aime les allumer, leur faire tirer la langue au sol et dresser la queue au plafond.
- Vous n’avez jamais eu d’ennuis ?
- Non, malheureusement. Il y a trop de monde dans les trains pour une aventure coquine.
- On est plus tranquille en voiture.
Je pose ma main sur sa cuisse, et elle me laisse faire. Je lui caresse le dessus, glisse vers l’intérieur. Elle s’ouvre, je remonte jusqu’à son entre jambes que je masse à travers collants
et culotte. On ne parle plus et je l’entends soupirer de plaisir. Il y a une aire de repos et je m’y engage :
- Qu’est ce que vous faîtes ?
- Je n’en peux plus, salope. Ce n’est pas tout d’allumer les mecs, il faut ensuite éteindre le feu. Tu vas me faire une bonne petite pipe.
- Ca ne va pas, non !
- Oh si ça va, même très bien. Je bande comme un âne, et tu as une bouche prometteuse. Tu dois pomper à merveille.
- Mais je ………………….
- Fermes là, on est arrivé, et garde ton souffle pour sucer.
On descend, l’aire est déserte, et je l’emmène aux toilettes hommes. Les wc ne sont pas reluisants, et on s’installe à l’entrée, pouvant ainsi surveiller les venues. Je baisse mon froc et déballe mon sceptre au mieux de sa forme. Elle ouvre de grands yeux :
- Elle te plait ?
- Elle est énorme.
- N’exagères pas, elle est belle mais il y a beaucoup mieux. Mais on n’est pas là pour discuter. A genoux salope, et suce.
Elle s’accroupit et sa chaude bouche me gobe le gland sur lequel passent ses lèvres et sa langue gourmande.
- Oh putain que c’est bon. Dès que je t’ai vu j’ai su que tu étais une chaude. Prends la toute, je veux jouir dans ta gorge.
Elle se retire :
- Ah non ! Je suce à fonds, mais je n’avale pas.
- Il faut un début à tout chérie, et je te jure que tu vas avaler.
Je tiens sa tête à deux mains et engage mon manche jusqu’à la racine. Elle manque suffoquer et me repousse.
- Tu choisis : ou tu me suces comme je veux, ou je te baise la bouche.
J’enfile à nouveau à queue, et libère mes mains. Elle est docile, soumise, et me fait une turlutte délice. Une voiture arrive et elle veut se relever. Je la maintiens en place et lui ordonne de continuer à me faire reluire la queue.
C’est un homme, seul, 35 ans. Il s’arrête, stupéfait par la scène, puis va aux urinoirs. Il nous regarde, bande trop pour pisser, et se masturbe.
- Dépêche-toi de me faire jouir salope, tu as une queue encore plus belle qui t’attend.
Elle est à fonds dans sa fellation, et me fait dégorger le poireau pour mon plus grand soulagement. Je lui sers de longues rasades qu’elle engloutît avec application. Elle me nettoie, je la relève et lui roule une longue pelle à laquelle elle s’abandonne après un semblant de rébellion.
- Géniale chérie, c’est une de mes meilleures pipes. Va voir le mec, il a un beau sucre d’orge à t’offrir.
Elle s’approche de lui et se met en position. Il me regarde comme pour me demander mon accord et je lui fais un signe complice. Elle le prend, et il lui administre une baise buccale comme je n’ai osé le faire. Elle se débat pour se défaire de son emprise, puis abandonne, baisse les bras, et il se sert d’elle comme d’une poupée gonflable. Il hanhanne comme une bête et jouis à flots dans sa bouche qui bouffe tout.
On repart à la voiture, le laisse enfin pisser et il nous rejoint. Il me laisse une carte de visite pour le prévenir si on repasse.
On reprend la route, et elle fait la gueule :
- Tu es fâchée ?
- Vous êtes vraiment un salaud.
- Je sais que ce n’est pas facile, mais mets toi à ma place. Je n’aurais jamais pareille occasion.
Et puis j’étais sûr que tu aimais sucer.
- Oui j’aime, mais vous n’aviez pas à m’offrir à un autre comme une pute.
- C’est vrai, tu as raison. Mais toute queue qui bande n’a pas de raison, et tu m’as fait disjoncter. Je te demande pardon.
- C’est un peu facile.
- Je suis sincère. On va chez toi et je te laisse te venger. Je te bouffe la chatte, le cul, te lèche de la tête aux pieds, tout ce que tu veux.
Elle s’adoucit, reconnaît qu’elle a apprécié de nous sucer et avaler nos semences, reconnaît qu’elle l’a cherché, et me pardonne. Il nous reste une heure de trajet. Je replace ma main dans son entre cuisses dégoulinant et l’interroge sur sa vie sexuelle.
Finalement elle n’est pas si salope qu’elle le paraît. Elle n’a connu que deux mecs, et une fille lors d’une soirée trop arrosée. Elle suce, baise, mas ne pratique pas la sodomie. Des copines lui en ont vanté les avantages, mais elle reste bloquée tout en y pensant. Elle ne s’est faîte léchée que par cette fille, et jamais par ses deux amants passés.
On arrive enfin chez elle.

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