Une bonne douche - histoire érotique

Ce matin-là, Eric fut réveillé par un bruit d’eau qui coule. Il mit quelques instants avant d’émerger, puis de réaliser et de comprendre ce que c’était : le bruit de la douche, juste à côté de sa chambre.
C’était inhabituel le matin, car Samir prenait sa douche le soir, très rarement le matin, sauf quand il faisait très chaud, et il est vrai que cette nuit avait été particulièrement chaude.
Excité par l’idée que Samir devait être à poil sous la douche, et l’envie de mater, Eric se leva, et pénétra dans leur salle de bains commune, chaque chambre, située de part et d’autre, y donnant accès.

Et, en effet, Samir était bien sous la douche, de dos, en train de se frictionner le devant du corps sous le pommeau.
Eric avait vu directe, et imprenable, sur le corps de son ami, ses jambes, son dos, et, au milieu, et surtout, ses fesses, dont, à chaque fois, la simple vue le troublait et l’excitait au plus haut point... c’était la partie du corps de l’homme qu’il préférait, encore plus s’agissant de son mec, qui pour lui avait le plus beau cul du monde.
Il avait aussi une vue directe, et imprenable, sur la peau brune-marron de Samir, sur cette peau lisse et cuivrée, totalement imberbe, des pieds à la tête, dont le contact, si doux, l’enivrait.

Eric était totalement amoureux de Samir, et raide dingue de son corps, qu’il trouvait magnifique, hyper bien proportionné.
Le temps passant ne changeait rien à l’affaire, et ne faisait que renforcer ses sentiments, son désir, son attirance, ses pulsions même.
Depuis leur plan à trois avec Arnaud, et surtout ce qui avait suivi, leurs rapports sexuels, qui sombraient alors dans une forme de routine, avaient considérablement évolué. Déjà, ils étaient devenus plus fréquents, plus intenses. Leurs pratiques aussi avaient changé ; elles s’étaient élargies, équilibrées, puisqu’Eric avait (enfin) baisé Samir (une fois, mais le tabou était tombé), que Samir avait sucé Eric, et que les deux hommes s’étaient enfin roulé des pelles.
Ils étaient aussi devenus plus à l’aise l’un avec l’autre, avec le corps de l’autre. Ils savaient qu’ils pouvaient tout se dire, tout se faire, et leur relation, déjà très forte, s’en était trouvée renforcée, grandie et approfondie.

Eric resta un moment immobile, dans la direction de la douche et du corps de Samir, qui s’offrait à lui, nu et de dos. Son regard se fixa sur ses fesses, qu’il aimait tant. Il s’imaginait les bouffer, et même y foutre sa bite, tellement il avait aimé la dernière (et seule) fois où il l’avait fait. Il ne rêvait que de recommencer.
Vêtu d’un caleçon et d’un tee-shirt, il se mit la main au paquet, et commença à se toucher la bite, qu’il sentait légèrement en érection. Il s’approcha de la douche et de sa porte vitrée coulissante, que Samir avait laissée entrouverte. Le bruit de l’eau qui coulait l’empêchait sans doute de l’entendre.
Arrivé devant cette porte Eric ôta son tee-shirt et son caleçon, qu’il posa au sol.
Samir avait dû sentir sa présence, car il tourna la tête dans sa direction, au moment où il était en train de baisser son caleçon et de se foutre à poil.
Samir ne dit rien, ne manifesta rien, pas même une réaction de surprise, et, d’ailleurs, il tourna à nouveau la tête vers le mur carrelé de la douche, tout en continuant de se frictionner l’avant du corps.

Eric s’approcha de la porte vitrée de la douche, plus exactement de l’endroit, que n’avait pas refermé Samir, et qui permettait un passage.
Celui-ci s’était à nouveau retourné et, toujours sans rien dire, Eric vit qu’il le matait au niveau du sexe.
Tout en regardant vers le bas, Samir s’approcha et même sortit de la douche, dont le sol était au niveau du reste de la pièce.
Eric s’arrêta d’avancer, Samir releva la tête et le regarda, le visage exprimant le désir qu’il ressentait pour son compagnon qui venait agrémenter sa douche du matin.
Eric avança son bras droit et vint le positionner au niveau de l’épaule gauche de Samir, qui prit alors la bite d’Eric avec sa main droite.
Eric fit de même, et vint poser sa tête sur l’épaule droite de Samir, puis avec sa bouche l’embrassa et lui lécha la joue puis l’oreille droite.

Samir vint blottir sa tête dans le creux de l’épaule droite d’Eric qui posa sa main au niveau de sa nuque, puis la descendit vers le cou et le haut du dos.
Samir se redressa alors, prit la tête d’Eric avec sa main gauche, Eric se rapprocha, entra dans la douche, poussa Samir, et colla son corps contre le sien.
Les deux hommes pivotèrent, et vinrent se positionner sous le pommeau de douche, Eric arrêta l’eau et resta un moment ainsi, dans les bras de Samir.
Il descendit alors sa tête, embrassa et lécha tout le torse de Samir, de haut en bas, s’attardant sur les tétons, puis le nombril, et finit par arriver à hauteur de son sexe.
Il se mit à genoux, releva la tête pour regarder Samir, qui l’avait suivi des yeux, il empoigna son sexe, encore mou, et le mit en bouche.

Il le sentit assez vite durcir, et savoura ce moment de plaisir intense ; il ferma les yeux, pensa au moment présent, et à celui à venir ; il empoigna la bite de Samir et commença à la sucer en s’appliquant, et en enveloppant le membre de sa langue et de sa salive. Samir de son côté avait posé sa main gauche sur son crâne, et appuyait légèrement. Il pivota légèrement pour coller Eric sur le coin de la douche, il releva la tête, et émit un soupir rauque. Samir aimait vraiment se faire sucer, et adorait que ce soit Eric qui le lui fasse. D’abord, il suçait très bien, et puis, c’était pas qu’une bouche, c’était celle de son mec.
Il bandait maintenant bien à fond, Eric la sentit dure dans sa bouche, il avait cessé de l’empoigner et, toujours les yeux fermés, il la faisait coulisser à travers ses lèvres. C’est Samir qui désormais l’avait entourée de ses deux mains positionnées à la base, pour mieux faire ressortir l’érection.

Eric continua à pomper, et revint la prendre avec sa main gauche, c’était un vrai régal. Samir ne disait pas un mot, savourait lui aussi ce moment, il avait empoigné l’arrière de la tête d’Eric, accompagnant ainsi ses mouvements, et, de temps à autre, ne pouvait contenir un gémissement.
Eric suça de plus belle. Cette fois Samir avait mis les deux mains à l’arrière de sa tête, et il la faisait aller d’arrière en avant, tandis qu’Eric, avec sa main gauche, avait repris possession de la base de sa bite.
Pour la première fois depuis le début de cette fellation, Eric la sortit de sa bouche, et se mit à la lécher, du gland à la base, puis de la base au gland. Il dégagea complètement son visage, et, tout en la gardant en main, releva la tête et chercha du regard celui de Samir.
- Tu kiffes ?
- ouais, grave...
- hum... ça fait du bien de bon matin, ça m’excite...

Samir pencha la tête en avant et amena sa bouche au contact de la joue droite d’Eric, qu’il embrassa et lécha. Eric ouvrit la bouche et se mit à gémir, le contact de la langue de son ami avec le lobe de son oreille lui ayant procuré un plaisir soudain, et particulièrement agréable et excitant. Décidément, Samir se mettait de plus en plus à s’occuper de lui, de son plaisir, et cette pensée le ravissait.
Tout en gémissant il prit la tête de Samir, qui continuait à le lécher, avec sa main droite. Il redressa la tête, sa bouche vint au contact de celle de son ami, et ils échangèrent un baiser long et langoureux.
Dans le même temps, Samir se branlait légèrement et Eric avait passé ses mains derrière ses fesses, ce qui lui permettait de les caresser et de les pétrir.

Les deux hommes restèrent longtemps ainsi, et faisaient durer le plaisir en frottant leur langue l’une à l’autre, leurs bouches, grandes ouvertes, collées. Eric avait enlevé ses mains des fesses de Samir et était venu appliquer sa main gauche sur son visage, pour bien le maintenir collé à lui.
Les deux amants échangèrent alors des smacks, avant, à nouveau, de se rouler une bonne pelle.
Après ce long moment Samir se redressa et approcha sa bite de la bouche d’Eric qui ne se fit pas prier pour l’engloutir. Il l’empoigna cette fois de la main droite, elle était toujours aussi dure, et il recommença ses allées et venues dans sa bouche, de façon plus saccadée que tout à l’heure, ce qui re-déclencha les gémissements de Samir.

Eric ralentit le mouvement et, tout en continuant à l’empoigner, recula son visage et la regarda quelques instants.
Il revint alors pour la reprendre en bouche, et alterna ainsi les moments où elle était dedans, et les moments où elle était dehors.
Il reprit ensuite un mouvement plus régulier de va et vient, la main droite empoignant la base de la bite et englobant les couilles, qui, du fait de l’eau, étaient devenues à la fois plus petites, et plus compactes. Ça lui donna envie de les lécher, ce qu’il fit tout en gardant le reste du manche bien en main.
Samir, qui adorait se faire lécher les boules, se recula et vint s’appuyer sur le mur de la douche, pour bien savourer l’instant.
Eric prit alors son temps, et les lécha tout doucement, ce qui, il le savait, plaisait énormément à Samir.
Lui aussi aimait ça, mais pas autant que la bite, qu’il reprit en bouche et qu’il continua à sucer goulûment, et pendant un long moment.
L’excitation et le désir entre les deux hommes étaient alors à leur comble, et il leur fallait, sous peine de jouir assez rapidement, faire une légère pause. Pour mieux repartir, et aller plus loin.
Samir releva Eric, et le fit pivoter de façon à ce que l’avant de son corps soit en direction du mur de la douche.
Il se mit derrière lui, et se mit à lui malaxer le cul, qu’Eric cambra du mieux qu’il put.
Tout en se branlant, il se pencha et apposa des baisers sur le haut de la cuisse droite d’Eric, puis sur ses fesses.
Il se mit ensuite carrément à genoux, et vint comme gober chacune des fesses de son ami, qui de son côté commença à se toucher et à se branler.
Samir, la bouche grande ouverte, sortit la langue, et cette fois lécha les fesses d’Eric, il les mordilla aussi, puis les empoigna à nouveau de ses deux mains, les malaxa, les pétrit, leur donna de petites tapes, avant de les écarter.

Très excité par ce qu’il lui faisait, Eric se retourna, regarda son ami, et lui posa la main droite sur la tête.
Samir écarta bien ses fesses, et vint poser son visage entre elles. Il sortit sa langue, et commença à lécher la rondelle, pour bien la préparer.
- Ouais, s’écria Eric, particulièrement sensible à ce qui était en train de se passer, et à l’idée aussi de ce qui allait se passer. Il ressentait en effet au plus profond de lui l’envie de se faire remplir le cul.
Samir n’était pas resté très longtemps la langue au contact de la rondelle, mais il continua à embrasser les fesses, et l’arrière des cuisses d’Eric, avant de se relever et de passer sa main droite dans sa raie

- Ouais, vas-y, l’encouragea Eric, qui ressentait une envie de plus en plus forte d’une présence dans son orifice.
Samir s’était reculé un instant, reprit sa bite en main et se branla légèrement.
Avec sa main gauche cette fois, il reprit possession des fesses d’Eric, et commença à le doigter, un doigt, deux doigts, très vite trois, Eric mouillait de désir, et fut soulagé de se sentir enfin pénétré.
Il s’agrippa à la tringle qui était fixée au mur et supportait le pommeau de douche, et il cambra au maximum ses fesses en arrière.
Samir continua à le doigter de sa main gauche, tout en se branlant de la droite, et en pembrassant ses fesses. Il retira sa main de sa queue, et lui tapa avec sa fesse droite. Il sentait en lui monter le désir d’enculer, ce qui était son Graal à lui : enculer un mec, et, là en plus, c’était SON mec.

- oh... gémit Eric, qui n’en pouvait plus de désir ... hum... ah... baise-moi, s’il te plaît.
Samir recommença à bien le doigter, et entreprit des mouvements de va-et-vient avec sa main gauche, dont les quatre doigts, hors le pouce, étaient rentrés.
Eric gémissait de plus belle, Samir aussi poussait de petits cris, de sa voix grave. Eric commença à se dandiner, n’ayant qu’une envie : sentir la bonne bite de Samir, plutôt que ses doigts, pénétrer ses entrailles.
Il sentait que c’était une question de secondes car Samir vint se positionner derrière lui, il continua de se dandiner du fion, et sentit la bite de son ami au contact de ses fesses.
L’intromission était imminente, Eric n’en pouvait plus, et, enfin, il sentit le sexe de Samir transpercer son orifice.
Hum... trop bon... Eric savourait le moment où la bite de son homme était en lui. Déjà, ça lui faisait du bien physiquement (ça y est, il avait désormais bien pris la bite rude...), ensuite il avait l’impression, pendant quelques instants, de ne faire qu’un avec lui, et aussi de lui appartenir.
Eric aimait cette idée d’appartenir à Samir. Il ferma les yeux et se laissa totalement faire.

De son côté Samir juste après avoir introduit sa queue avait entamé des mouvements de va-et-vient, debout, juste derrière Eric, qui s’était penché contre le mur.
Samir était là dans sa position favorite quand il enculait un mec : par derrière, et debout. C’est celle dans laquelle il était le plus à l’aise, la queue rentrait facilement, les mouvements étaient aisés, et c’est la position qui donnait le plus de puissance à ses coups de butoir.
Eric se pencha encore plus en avant et mis son dos à l’horizontale, tout en soupirant bruyamment en même temps qu’il encaissait le pilonnage de Samir. Il sentait sa queue bien raide en lui, et en percevait tous les mouvements.
Samir adorait ces moments où il baisait un mec, il savourait chaque allée et venue de sa bite, et appréciait d’autant plus que ce n’était pas à un inconnu, mais c’était à Eric, son homme, qu’il était en train de faire l’amour.

Ce coït anal dura un long moment, Eric penché en avant, le dos à l’horizontale, Samir, debout derrière lui, la bite dans son cul, les mains empoignant son bassin pour que la pénétration aille le plus loin possible. Les mouvements de va-et-vient de Samir étaient réguliers, lui aussi avait fermé les yeux et prenait un pied d’enfer.
Eric s’était complètement abandonné, il se laissait totalement faire, dans une position passive qui le comblait. Il sentait chaque mouvement de la queue de Samir en lui et à chaque avancée poussait un soupir plus ou moins grave, plus ou moins aigu.

Après cinq bonnes minutes de pilonnage intensif et régulier Samir ralentit la cadence, Eric se pencha encore plus, et sentit la bite de son ami au plus profond de ses entrailles. L’avant des jambes de Samir claquait sur ses fesses. De la main droite il avait empoigné sa bite et ses couilles qu’il touchait sans trop branler de peur de jouir. De sa main gauche il se caressait le torse et se pinçait les seins.
Samir sentait la sauce monter mais il s’efforçait de repousser le moment où il allait jouir, pour que ce soit encore meilleur, encore plus fort, encore plus intense.
Eric gueulait de plus en plus, tellement c’était bon.
Samir alternait les mouvements lents, puis, soudain, nettement plus rapides. A certains moments il s’arrêtait totalement, ce qui permettait à Eric de souffler.

Samir, sans plus trop bouger sa bite, vint se pencher pour coller son torse au dos d’Eric, tout en l’enserrant de ses mains au niveau du bas-ventre.
Ils restèrent quelques secondes ainsi, avant que Samir ne se relève et reprenne son pilonnage, qu’il rythmait en donnant des claques sur le côté de la fesse droite d’Eric.
Cette fois, ce fut Samir qui se mit à émettre des gémissements rauques en accentuant de plus belle les mouvements de sa queue dans le cul de son amant.
Il n’en pouvait plus de se retenir, il sentait que ça venait, il finit par s’abandonner complètement, et, dans un cri de bête, il largua la purée dans tout le fondement d’Eric.
Samir n’avait jamais autant gueulé en jouissant, ses giclées étaient puissantes et abondantes, Eric eut l’impression d’être totalement inondé.
Tout le corps de Samir fut parcouru de spasmes, au point qu’Eric, qui sentait toujours sa bite en lui, en était soulevé du sol.

Enfin Samir s’arrêta de gueuler, et se retira, la bite toute engluée de sperme.
Eric se retourna, le regarda, son visage n’avait pas tout à fait repris son apparence normale et grimaçait encore sous l’effet de cette éjaculation venue d’ailleurs.
Eric s’appuya contre le mur, et commença à se branler. Samir était debout à coté de lui, lui caressait le dos, et lui tapotait les fesses.
Il regardait le corps de Samir , son torse magnifique et sa bite, qui était loin d’avoir débandé.
Assez vite il sentit venir l’éjaculation, et se mit à cracher de façon puissante et abondante.
Il mit quelques instants à reprendre ses esprits.
Samir approcha son visage du sien, et vint l’embrasser sur la bouche.

Les deux hommes savourèrent ce moment de communion et d’apaisement, juste après une baise, imprévue, mais bien chaude.
Ils firent à nouveau couler l’eau et prirent une bonne douche, bien savonneuse.
C’était un dimanche matin, une journée qui avait bien commencé.