Une bouleversante soirée
Récit érotique écrit par Akisoh [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-10-2020 dans la catégorie Plus on est
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Une bouleversante soirée
Petite introduction: en attendant d'écrire la suite de ma série, je vous livre un récit autobiographique.
Jean-Philippe dansait. Comme de temps à autres il aimait se rendre au bar-boite de sa petite ville. Non que ce soit un endroit exceptionnel mais il appréciait d'y croiser parfois des visages familiers. Il essayait surtout en permanence de paraitre détendu, de partager des danses avec de jolies jeunes femmes. Il avait toujours eu le sens du rythme et savait ne pas se prendre au sérieux. Son caractère débonnaire l'aidait toujours à partager quelques instants de complicité avec les membres de la gente féminines évoluant autour de lui. Mais sa constante et envahissante timidité, son manque de confiance en soi et en ses capacité de séduction, l'avait toujours bloqué, empêché d'aller plus loin. Il avait ainsi raté bon nombre d'occasions, que ce soit de construire une relation ou simplement de profiter de moments agréables.
Ainsi il dansait, sans grand espoir de pouvoir obtenir d'avantage que le plaisir de s'amuser sur une piste pleine de musique en prenant soin d'éviter les débordements liés à l'alcool. Bien entendu il n'hésitait pas à regarder les femmes qui l'entouraient mais ne pouvait pas lutter contre les nombreux dragueurs dont elles étaient entourées.
Jean-Philippe en repéra particulièrement deux, une blonde et une brune dansant côte à côte, se trémoussant lascivement aux sons qui étaient passés sur une thématique orientale. Jean se faufilant près de ce duo, il dansait en leur tournant le dos, leur sourit timidement avant de se retourner, n'osant intervenir davantage car étant chacun avec un partenaire assez entreprenant.
Soudainement, il sentit dans son dos une certaine agitation. Se retournant il vit la blonde éconduire son cavalier du moment qui semblait trop pressant, lequel se replia immédiatement, à la recherche d'une nouvelle partenaire plus docile. Le regard de la blonde croisa celui de Jean-Philippe, qui lui adressa un sourire qu'il sentit crispé. La blonde se rapprocha alors de lui et le regarda dans les yeux.
Même lui ne loupa pas cette invitation et il entama alors une danse auprès de sa cavalière du moment. Laquelle le regardait d'un air provocateur et semblait désormais onduler avec enthousiasme contre le jeune homme. Il avait déjà l'habitude de danser ce genre de rythme mais veillait toujours à se tenir à une certaine distance afin que son corps ne puisse le trahir ni incommoder sa partenaire.
Au bout de quelques minutes il prit conscience que non seulement sa partenaire ne semblait pas incommodée par son érection qui avait été déclenchée par la grande proximité de leurs hanches, mais qu'elle semblait volontairement accentuer ce contact contre son entrejambe, faisant onduler ostensiblement son bas-ventre puis ses fesses contre le sexe tendu d'un Jean-philippe partagé entre gêne et excitation.
Plus encore, elle n'hésitait pas à se saisir de ses mains pour les faire courir sur les hanches, les faisant remonter sur son corps en veillant à ce que les doigts du jeune homme effleurent la naissance de ses seins. Peu avant la fin de la série de danse, elle se retourna vers lui, maintenant toujours un contact appuyé contre le sexe de Jean-Philippe, lui lança un sourire audacieux puis s'approcha de lui et lui murmura.
• En voilà une réaction prometteuse.
• Je suis désolé, dit Jean-Philippe, assez embarrassé malgré le sourire satisfait qu'affichait alors sa partenaire.
• Aucun souci. Je te pardonne si tu me paies mon dernier verre.
Jean-Philippe acquiesça. Ils s'approchèrent ainsi du bar et Jean lui offrit sa consommation. Ils discutèrent un instant. Elle s'appelait Florence avait 38 ans et demanda son âge à son jeune cavalier qui répondit timidement lorsqu'il avoua ses 24 ans, ce qui fit sourire encore davantage la jolie blonde. Son amie revenue de la piste, cette dernière annonça qu'elle comptait rentrer et lui demanda si ce qu'elle comptait faire. Florence lui répondit à l'oreille pour que Jean-Philippe ne puisse entendre puis salua son amie qui, après un signe à Jean, prit congé.
Son verre vidé, Florence demanda à Jean s'il voulait bien la raccompagner chez elle ce qu'il accepta. Durant la trajet, Florence sortit un instant son téléphone puis indiqua au jeune homme le trajet, très court, qu'il lui restait à parcourir. Une fois arrivés devant chez elle, elle demanda à son jeune cavalier s'il souhaitait prendre un verre avec elle, ce que Jean-Philippe accepta immédiatement, bien qu'impressionné. Il avait tant de fois rêvé que cela lui arrive qu'il tremblait d'excitation. Il savait qu'il devait néanmoins tenter de se montrer entreprenant mais n'osait bouger. Il se laissa guider jusque dans le salon de Florence qui l'invita à s'asseoir puis lui servit un verre. Elle s'installa près de lui et ils discutèrent un instant du bar, de la musique, échangeant ce qui semblait des banalités mais qui semblait faire rire Florence qui s'approcha de lui, petit à petit, posant sa main sur la cuisse de Jean-Philippe. Le jeune homme tressaillit en sentant ce contact, ce qui amusa Florence.
• Tu es troublé juste par une main. Pourtant tu l'étais beaucoup moins tout à l'heure lorsque j'ai senti autre chose contre mes fesses, lui dit-elle en commençant doucement à masser la cuisse de Jean-Philippe.
• Ben, on dansait. Ça m'embêtait un peu mais comme vous souriiez …. Je n'ai rien dit.
• Alors d'abord, ça ne me gênait pas du tout. Jaime bien savoir que je fais de l'effet …. Et vu ce que je sentais je t'en faisais beaucoup. Ensuite ne me vouvoies pas, dit-elle en remontant le long de la cuisse du jeune homme qui ne savait plus du tout comment réagir. Ouah ……dis-moi tu encore aussi en forme que tout à l'heure. C'est très encourageant.
Sur ces mots elle embrassa le jeune homme tout en palpant la bosse de son entrejambe. Jean sentait son sexe tendu réagir au toucher de ses doigts qui massaient son membre. Ce dernier posa ses mains sur ses bras, tandis qu'elle se rapprocha. Elle prit sa main et la dirigea sur sa poitrine dont Jean put sentir son téton durci. Il passa ses doigts sur ce petit téton dressé et le titilla du bout des doigts, ce qui fit tendre la poitrine de la belle qui appuyait désormais franchement sur sa queue.
• Je veux voir ton bel engin. Je suis sûr que ça va te plaire.
Elle extirpa le sexe tendu du jeune homme de son pantalon et se mit à le caresser, doucement, le tenant avec fermeté tandis qu'elle encourageait Jean-Philippe à descendre vers sa poitrine qu'il embrassa, léchant les tétons, les suçant. Florence se mit à gémir, caressant la tête de son jeune amant tandis qu'elle le masturbait avec douceur, éprouvant la dureté de son gland gonflé d'où suintait des gouttes d'excitation.
Arès quelques minutes, elle encouragea Jean-Philippe à descendre davantage ses baisers tout en ôtant son pantalon et en écartant largement les jambes pour que le jeune homme puisse avoir accès à son intimité. Jean se rapprochait du sexe de Florence dont l'excitation avait déjà auréolé le fond de sa culotte sexy d'une tâche d'humidité.
• Lèche-moi maintenant. Fais-moi du bien. Tu vas voir comme je vais m'occuper de toi, lui intima-t-elle.
Le jeune homme se mit à lécher avec délectation, arrachant des soupirs et des petits gémissements à sa partenaire qui se tortillait et dont le sexe se mouillait de plus en plus. Il n'entendit pas la vibration du téléphone que cette dernière avait posé près d'elle. Il la vit cependant se pencher pour le regarder, sourire puis tapoter un message. Florence saisit le visage du jeune homme et lui sourit :• Il faut que je te dise : mon mari est à l'étage et il aimerait bien voir ce que tu me fais. Je lui ai dit de descendre. Ça ne te dérange pas j'espère.
• Euh …. Dit Jean-Philippe, pensant que la situation allait dégénérer.
• Ne t'en fais pas, on est très cool. On aime bien s'amuser à plusieurs. Ça ne te dérange pas je suis sûr.
• N'aie pas peur, dit une voix masculine. Il n'y a pas de souci. On aime bien s'amuser avec ma femme et un invité.
Le nouveau venu s'installa à côté de sa femme, l'embrassa et demanda à Jean-Philippe de continuer de la lécher. Ce dernier s'appliqua à cette tâche, trop soulagé de ne pas se trouver dans une situation délicate pour ne pas se plier à cette demande. Florence lui tendit un préservatif, et lui demanda de la prendre maintenant tandis qu'elle palpait désormais la queue déjà raide de son mari. Ce dernier libéra sa queue, trapue, que sa femme caressa avec envie. Christian se leva, mit sa queue à la hauteur du visage de sa femme qui le prit en bouche immédiatement, le suçant avec ardeur tandis que son jeune invité enfonçait sa queue en elle. Jean-Philippe ne savait pas ce qui lui arrivait et contemplait la femme sucer son mari tandis qu'il allait et venait en elle. Par réflexe il s'approcha de Florence pour l'embrasser. Elle sortit sa queue de sa bouche, l'embrassant avant de lécher à nouveau le sexe de son mari. Après quelques minutes, endurant lesquelles le jeune homme embrassait le cou de la blonde, il releva la tête et la regarda, désireux de l'embrasser à nouveau. Cette dernière sortit à nouveau la queue de sa bouche, le regarda, échangea un regard avec son mari puis dit à Jean-Philippe.
• Tu veux bien la sucer avec moi. Ça fait longtemps que je veux voir la queue de mon homme dans la bouche d'un autre mec. Suce là avec moi.
Jean-Philippe faillit partir mais il sentit la main de Christian pousser sur sa tête tandis que Florence approchait la bite de ses lèvres.
Jean-Philippe en sentit le contact, tiède, charnu de la bite encore humide de la salive de Florence.
• Allez, prend la dans ta bouche, ça va te plaire, dit-elle à nouveau.
Elle appuya le gland de son mari sur les lèvres du jeune homme qui ouvrit la bouche et accueillit la queue. Il la sentit pénétrer sur sa langue, et perdit toute volonté.
Il ferma les yeux, et se mit à sucer cette queue. Pour la première fois de sa vie il avait une bite dans la bouche …. Et il aimait ça. Il la prenait, faisant tourner sa langue contre le gland, sentant la queue se frotter à ses lèvres sur toute sa longueur. Quelques dizaines de secondes plus tard, Christian n'eut plus besoin d'imprimer le mouvement au jeune homme qui, tout en continuant de faire coulisser son sexe dans Florence, suçait désormais avec plaisir cette queue veinée, tendue. Il avait perdu toute volonté de lutter et s'appliquait à sentir ce membre coulisser entre ses lèvres. Sous les indications de Florence qui le regardait et l'encourageait, il n'était désormais plus qu'un instrument de plaisir, écoutant ses recommandations d'un langage qui devenait de plus en plus cru.
• Suce le bien. Met le tout entier dans ta bouche. ….. Avale bien, tu aimes ça une bonne queue dans ta bouche de cochon, hein. Elle te plait bien la grosse bite de mon homme. Dis-le que tu aimes sa bite. Dis-lui que tu aimes lui sucer sa grosse bite.
• Ou… oui, j'aime sucer sa … sa grosse bite.
• C'est bien mon cochon. Prend le tout entier, jusqu'à la garde comme une bonne grosse cochonne.
Tout en lui parlant, Florence devenait de plus en plus excitée et finit par jouir bruyamment tandis que Jean-Philippe continuait de s'affairer à s'occuper de la queue de son mari.
• Ah . il m'a bien pris le petit salaud. Et il n'a même pas encore joui. Tu sais quoi mon chéri. Je suis sûr qu'il lui faut plus pour jouir. Attend j'ai une idée.
Florence se retira de son jeune partenaire, et alla s'installer sur le canapé.
• Viens t'asseoir mon chéri. Et toi petit cochon tu vas continuer à le sucer. Je suis sûre que tu en as encore envie. Pas vrai ?
• Euh…. Oui.., dit timidement Jean-Philippe.
• Non, non, pas comme ça, dit Christian. Dis que tu veux me sucer ma grosse bite.
• Oui …. Oui je veux te sucer ta grosse bite….dit Jean tout bas.
• Plus fort, petit salaud…..
• Oui, je veux sucer ta grosse bite, je la veux dans ma bouche toute entière dit Jean-Philippe d'une voix forte.
• Bien mon cochon, maintenant suce bien!!!
• JE reviens, dit Florence. Ne t'arrête surtout pas petit salaud.
Jean-Philippe ne comprenait pas pourquoi il avait dit ça. Il ne comprenait pas pourquoi il avait autant envie de garder le sexe de cet homme dans sa bouche. Car il en avait envie, vraiment envie. Tout son corps se réjouissait de cette fellation. Sa queue bandait encore dur et des filaments de liquide séminal s'écoulait sans cesse de son gland. Il appréciait d'être à genou devant cet homme, penché au-dessus de son sexe, le suçant, le léchant, prenant plaisir à le sentir dur dans sa bouche. Il continuait donc de s'appliquait. Plusieurs fois il sentit le sexe de Christian devenir dur et gonfler encore. Il craignait l'imminence de son éjaculation mais craignait aussi de le dire. Il fut distrait par des bruits de pas derrière lui.
• Hé bien t'es un sacré suceur dis-donc. Je croyais que tu finirais par être fatigué. Je pense que tu es assez en forme pour mériter plus. ….Hein mon chéri. Tu pense qu'il mérite plus ?
• Oui, je crois bien. Il a une bonne bouche de suceur. On va lui donner ce qu'il mérite.
• Parfait. Allez continue petit salaud qui aime la bite.
Jean-Philippe se demandait ce qu'ils voulaient dire. Il ne se le demanda pas longtemps. Il sentit Florence s'approcher de lui et lui toucher les fesses avant de venir mettre ses doigts sur son anus.
• Hé … mais ….
• Tais-toi petit salaud. Tu vas voir. Tu adore sucer une belle bite alors attends de voir la suite.
Christian lui pris la tête et lui mis à nouveau sa queue dans la bouche tandis qu'il sentait Florence appliquer un liquide froid et visqueux sur son anus. Il sentit ses doigts le masser puis s'insérer doucement, suivit d'un second puis d'un troisième. Tout en le dilatant, en le lubrifiant, elle lui parlait de façon de plus en plus crue.
• Regarde mon chéri comme mes doigts rentrent bien. Je suis sûr qu'il a déjà joué avec son petit cul. Pas vrai petit salaud, répond!!!
• Non, je n'ai jamais rien fait par là.
• Pourtant ton cul est déjà ouvert comme une petite salope. C'est inné en fait. Tu es né pour être une petite salope qui aime la bite. Dis que tu aimes la bite, petite salope.
• Euh … je … oui …• Dis que tu es une salope qui aime avoir une bite dans sa bouche et qui vas aimer avoir une bite dans le cul, dis elle en lui tirant les cheveux.
• ou…. Oui, répondit Jean-Philippe. Je suis une salope qui aime la bite et …. Qui va aimer avoir une bite dans le cul.
• Tu vois chéri. Il ne faut pas faire attendre cette petite salope. Viens là et met lui.
Christian se leva tandis que Florence fit se cambrer le jeune homme. Quelques secondes plus tard il sentit le gland plonger entre ses fesses, d'abord doucement puis de plus en plus vite.
Jean-Philippe ne savait plus quoi penser mais il ne laissait faire. Il avait honte, mais il aimait ça. Les sensations qu'il ressentait en sentant ce membre en lui l'excitaient.
Christian le baisait maintenant franchement, faisant aller et venir sa queue sur toute sa longueur dans Jean-Philippe qui en éprouvait du plaisir. Jamais il n'aurait cru cela possible mais il était de plus en plus excité par ses va-et-vient. Il voulait que ça continue. Il savait que bientôt Christian irait au bout de son plaisir. Il voulait être leur salope à tous les deux.
Il sentit une nouvelle fois la queue de Christian devenir de plus en plus dure et et jouit alors, de longues giclées de sperme allant se perdre sur le sol.
• Ça y est, elle a joui la petite salope. J'étais sûre que ça lui plairait, dit Florence. Et toi mon chéri. Tu vas jouir, pas vrai ?
• Oui, je vais jouir !! Je vais lui donner à cette petite salope. Elle va tout prendre !!!
Sur ces mots il se retira et Florence fit se retourner Jean-Philippe, le maintenant à genoux.
• Allez ma salope, tu vas prendre son sperme. Tu vas bien déguster son jus.
Christian mis son sexe dans la bouche de Jean-Philippe qui le suça un instant avant de sentir la queue secouée de spasme tandis que le sperme lui giclait dans sa bouche, maculant ses lèvres, son menton, sa langue. Il fut envahi par ce gout à la fois âpre et pourtant si délicieux. Il recracha le sperme resté dans sa bouche tandis que Florence, tenant la queue de son mari, étalait les gouttes de jus finissant de s'écouler sur son visage.
Florence vint ensuite lui apporter une serviette et l'aida à s'essuyer.
• Tu as été parfait. Vraiment. Dès que je t'ai vue je me suis tout de suite dit que nous allions nous amuser. Tu as aimé ?
• Euh … oui, je crois…. Je n'avais même jamais imaginé qu'on puisse enfin que je puisse faire ça.
• En tout cas c'était délicieux, merci …. Jean-Philippe c'est ça ?
• Oui.
Tous deux le remercièrent et le raccompagnèrent. Il ne les revit que quelques fois puis ils partirent sans lui donner de nouvelles.
Jean-Philippe ne se posait plus de questions. Il aimait toujours les femmes et n'était pas gay. Mais il avait adoré prendre du plaisir avec la queue d'un homme comme il avait été ravi de donner du plaisir.
Jean-Philippe dansait. Comme de temps à autres il aimait se rendre au bar-boite de sa petite ville. Non que ce soit un endroit exceptionnel mais il appréciait d'y croiser parfois des visages familiers. Il essayait surtout en permanence de paraitre détendu, de partager des danses avec de jolies jeunes femmes. Il avait toujours eu le sens du rythme et savait ne pas se prendre au sérieux. Son caractère débonnaire l'aidait toujours à partager quelques instants de complicité avec les membres de la gente féminines évoluant autour de lui. Mais sa constante et envahissante timidité, son manque de confiance en soi et en ses capacité de séduction, l'avait toujours bloqué, empêché d'aller plus loin. Il avait ainsi raté bon nombre d'occasions, que ce soit de construire une relation ou simplement de profiter de moments agréables.
Ainsi il dansait, sans grand espoir de pouvoir obtenir d'avantage que le plaisir de s'amuser sur une piste pleine de musique en prenant soin d'éviter les débordements liés à l'alcool. Bien entendu il n'hésitait pas à regarder les femmes qui l'entouraient mais ne pouvait pas lutter contre les nombreux dragueurs dont elles étaient entourées.
Jean-Philippe en repéra particulièrement deux, une blonde et une brune dansant côte à côte, se trémoussant lascivement aux sons qui étaient passés sur une thématique orientale. Jean se faufilant près de ce duo, il dansait en leur tournant le dos, leur sourit timidement avant de se retourner, n'osant intervenir davantage car étant chacun avec un partenaire assez entreprenant.
Soudainement, il sentit dans son dos une certaine agitation. Se retournant il vit la blonde éconduire son cavalier du moment qui semblait trop pressant, lequel se replia immédiatement, à la recherche d'une nouvelle partenaire plus docile. Le regard de la blonde croisa celui de Jean-Philippe, qui lui adressa un sourire qu'il sentit crispé. La blonde se rapprocha alors de lui et le regarda dans les yeux.
Même lui ne loupa pas cette invitation et il entama alors une danse auprès de sa cavalière du moment. Laquelle le regardait d'un air provocateur et semblait désormais onduler avec enthousiasme contre le jeune homme. Il avait déjà l'habitude de danser ce genre de rythme mais veillait toujours à se tenir à une certaine distance afin que son corps ne puisse le trahir ni incommoder sa partenaire.
Au bout de quelques minutes il prit conscience que non seulement sa partenaire ne semblait pas incommodée par son érection qui avait été déclenchée par la grande proximité de leurs hanches, mais qu'elle semblait volontairement accentuer ce contact contre son entrejambe, faisant onduler ostensiblement son bas-ventre puis ses fesses contre le sexe tendu d'un Jean-philippe partagé entre gêne et excitation.
Plus encore, elle n'hésitait pas à se saisir de ses mains pour les faire courir sur les hanches, les faisant remonter sur son corps en veillant à ce que les doigts du jeune homme effleurent la naissance de ses seins. Peu avant la fin de la série de danse, elle se retourna vers lui, maintenant toujours un contact appuyé contre le sexe de Jean-Philippe, lui lança un sourire audacieux puis s'approcha de lui et lui murmura.
• En voilà une réaction prometteuse.
• Je suis désolé, dit Jean-Philippe, assez embarrassé malgré le sourire satisfait qu'affichait alors sa partenaire.
• Aucun souci. Je te pardonne si tu me paies mon dernier verre.
Jean-Philippe acquiesça. Ils s'approchèrent ainsi du bar et Jean lui offrit sa consommation. Ils discutèrent un instant. Elle s'appelait Florence avait 38 ans et demanda son âge à son jeune cavalier qui répondit timidement lorsqu'il avoua ses 24 ans, ce qui fit sourire encore davantage la jolie blonde. Son amie revenue de la piste, cette dernière annonça qu'elle comptait rentrer et lui demanda si ce qu'elle comptait faire. Florence lui répondit à l'oreille pour que Jean-Philippe ne puisse entendre puis salua son amie qui, après un signe à Jean, prit congé.
Son verre vidé, Florence demanda à Jean s'il voulait bien la raccompagner chez elle ce qu'il accepta. Durant la trajet, Florence sortit un instant son téléphone puis indiqua au jeune homme le trajet, très court, qu'il lui restait à parcourir. Une fois arrivés devant chez elle, elle demanda à son jeune cavalier s'il souhaitait prendre un verre avec elle, ce que Jean-Philippe accepta immédiatement, bien qu'impressionné. Il avait tant de fois rêvé que cela lui arrive qu'il tremblait d'excitation. Il savait qu'il devait néanmoins tenter de se montrer entreprenant mais n'osait bouger. Il se laissa guider jusque dans le salon de Florence qui l'invita à s'asseoir puis lui servit un verre. Elle s'installa près de lui et ils discutèrent un instant du bar, de la musique, échangeant ce qui semblait des banalités mais qui semblait faire rire Florence qui s'approcha de lui, petit à petit, posant sa main sur la cuisse de Jean-Philippe. Le jeune homme tressaillit en sentant ce contact, ce qui amusa Florence.
• Tu es troublé juste par une main. Pourtant tu l'étais beaucoup moins tout à l'heure lorsque j'ai senti autre chose contre mes fesses, lui dit-elle en commençant doucement à masser la cuisse de Jean-Philippe.
• Ben, on dansait. Ça m'embêtait un peu mais comme vous souriiez …. Je n'ai rien dit.
• Alors d'abord, ça ne me gênait pas du tout. Jaime bien savoir que je fais de l'effet …. Et vu ce que je sentais je t'en faisais beaucoup. Ensuite ne me vouvoies pas, dit-elle en remontant le long de la cuisse du jeune homme qui ne savait plus du tout comment réagir. Ouah ……dis-moi tu encore aussi en forme que tout à l'heure. C'est très encourageant.
Sur ces mots elle embrassa le jeune homme tout en palpant la bosse de son entrejambe. Jean sentait son sexe tendu réagir au toucher de ses doigts qui massaient son membre. Ce dernier posa ses mains sur ses bras, tandis qu'elle se rapprocha. Elle prit sa main et la dirigea sur sa poitrine dont Jean put sentir son téton durci. Il passa ses doigts sur ce petit téton dressé et le titilla du bout des doigts, ce qui fit tendre la poitrine de la belle qui appuyait désormais franchement sur sa queue.
• Je veux voir ton bel engin. Je suis sûr que ça va te plaire.
Elle extirpa le sexe tendu du jeune homme de son pantalon et se mit à le caresser, doucement, le tenant avec fermeté tandis qu'elle encourageait Jean-Philippe à descendre vers sa poitrine qu'il embrassa, léchant les tétons, les suçant. Florence se mit à gémir, caressant la tête de son jeune amant tandis qu'elle le masturbait avec douceur, éprouvant la dureté de son gland gonflé d'où suintait des gouttes d'excitation.
Arès quelques minutes, elle encouragea Jean-Philippe à descendre davantage ses baisers tout en ôtant son pantalon et en écartant largement les jambes pour que le jeune homme puisse avoir accès à son intimité. Jean se rapprochait du sexe de Florence dont l'excitation avait déjà auréolé le fond de sa culotte sexy d'une tâche d'humidité.
• Lèche-moi maintenant. Fais-moi du bien. Tu vas voir comme je vais m'occuper de toi, lui intima-t-elle.
Le jeune homme se mit à lécher avec délectation, arrachant des soupirs et des petits gémissements à sa partenaire qui se tortillait et dont le sexe se mouillait de plus en plus. Il n'entendit pas la vibration du téléphone que cette dernière avait posé près d'elle. Il la vit cependant se pencher pour le regarder, sourire puis tapoter un message. Florence saisit le visage du jeune homme et lui sourit :• Il faut que je te dise : mon mari est à l'étage et il aimerait bien voir ce que tu me fais. Je lui ai dit de descendre. Ça ne te dérange pas j'espère.
• Euh …. Dit Jean-Philippe, pensant que la situation allait dégénérer.
• Ne t'en fais pas, on est très cool. On aime bien s'amuser à plusieurs. Ça ne te dérange pas je suis sûr.
• N'aie pas peur, dit une voix masculine. Il n'y a pas de souci. On aime bien s'amuser avec ma femme et un invité.
Le nouveau venu s'installa à côté de sa femme, l'embrassa et demanda à Jean-Philippe de continuer de la lécher. Ce dernier s'appliqua à cette tâche, trop soulagé de ne pas se trouver dans une situation délicate pour ne pas se plier à cette demande. Florence lui tendit un préservatif, et lui demanda de la prendre maintenant tandis qu'elle palpait désormais la queue déjà raide de son mari. Ce dernier libéra sa queue, trapue, que sa femme caressa avec envie. Christian se leva, mit sa queue à la hauteur du visage de sa femme qui le prit en bouche immédiatement, le suçant avec ardeur tandis que son jeune invité enfonçait sa queue en elle. Jean-Philippe ne savait pas ce qui lui arrivait et contemplait la femme sucer son mari tandis qu'il allait et venait en elle. Par réflexe il s'approcha de Florence pour l'embrasser. Elle sortit sa queue de sa bouche, l'embrassant avant de lécher à nouveau le sexe de son mari. Après quelques minutes, endurant lesquelles le jeune homme embrassait le cou de la blonde, il releva la tête et la regarda, désireux de l'embrasser à nouveau. Cette dernière sortit à nouveau la queue de sa bouche, le regarda, échangea un regard avec son mari puis dit à Jean-Philippe.
• Tu veux bien la sucer avec moi. Ça fait longtemps que je veux voir la queue de mon homme dans la bouche d'un autre mec. Suce là avec moi.
Jean-Philippe faillit partir mais il sentit la main de Christian pousser sur sa tête tandis que Florence approchait la bite de ses lèvres.
Jean-Philippe en sentit le contact, tiède, charnu de la bite encore humide de la salive de Florence.
• Allez, prend la dans ta bouche, ça va te plaire, dit-elle à nouveau.
Elle appuya le gland de son mari sur les lèvres du jeune homme qui ouvrit la bouche et accueillit la queue. Il la sentit pénétrer sur sa langue, et perdit toute volonté.
Il ferma les yeux, et se mit à sucer cette queue. Pour la première fois de sa vie il avait une bite dans la bouche …. Et il aimait ça. Il la prenait, faisant tourner sa langue contre le gland, sentant la queue se frotter à ses lèvres sur toute sa longueur. Quelques dizaines de secondes plus tard, Christian n'eut plus besoin d'imprimer le mouvement au jeune homme qui, tout en continuant de faire coulisser son sexe dans Florence, suçait désormais avec plaisir cette queue veinée, tendue. Il avait perdu toute volonté de lutter et s'appliquait à sentir ce membre coulisser entre ses lèvres. Sous les indications de Florence qui le regardait et l'encourageait, il n'était désormais plus qu'un instrument de plaisir, écoutant ses recommandations d'un langage qui devenait de plus en plus cru.
• Suce le bien. Met le tout entier dans ta bouche. ….. Avale bien, tu aimes ça une bonne queue dans ta bouche de cochon, hein. Elle te plait bien la grosse bite de mon homme. Dis-le que tu aimes sa bite. Dis-lui que tu aimes lui sucer sa grosse bite.
• Ou… oui, j'aime sucer sa … sa grosse bite.
• C'est bien mon cochon. Prend le tout entier, jusqu'à la garde comme une bonne grosse cochonne.
Tout en lui parlant, Florence devenait de plus en plus excitée et finit par jouir bruyamment tandis que Jean-Philippe continuait de s'affairer à s'occuper de la queue de son mari.
• Ah . il m'a bien pris le petit salaud. Et il n'a même pas encore joui. Tu sais quoi mon chéri. Je suis sûr qu'il lui faut plus pour jouir. Attend j'ai une idée.
Florence se retira de son jeune partenaire, et alla s'installer sur le canapé.
• Viens t'asseoir mon chéri. Et toi petit cochon tu vas continuer à le sucer. Je suis sûre que tu en as encore envie. Pas vrai ?
• Euh…. Oui.., dit timidement Jean-Philippe.
• Non, non, pas comme ça, dit Christian. Dis que tu veux me sucer ma grosse bite.
• Oui …. Oui je veux te sucer ta grosse bite….dit Jean tout bas.
• Plus fort, petit salaud…..
• Oui, je veux sucer ta grosse bite, je la veux dans ma bouche toute entière dit Jean-Philippe d'une voix forte.
• Bien mon cochon, maintenant suce bien!!!
• JE reviens, dit Florence. Ne t'arrête surtout pas petit salaud.
Jean-Philippe ne comprenait pas pourquoi il avait dit ça. Il ne comprenait pas pourquoi il avait autant envie de garder le sexe de cet homme dans sa bouche. Car il en avait envie, vraiment envie. Tout son corps se réjouissait de cette fellation. Sa queue bandait encore dur et des filaments de liquide séminal s'écoulait sans cesse de son gland. Il appréciait d'être à genou devant cet homme, penché au-dessus de son sexe, le suçant, le léchant, prenant plaisir à le sentir dur dans sa bouche. Il continuait donc de s'appliquait. Plusieurs fois il sentit le sexe de Christian devenir dur et gonfler encore. Il craignait l'imminence de son éjaculation mais craignait aussi de le dire. Il fut distrait par des bruits de pas derrière lui.
• Hé bien t'es un sacré suceur dis-donc. Je croyais que tu finirais par être fatigué. Je pense que tu es assez en forme pour mériter plus. ….Hein mon chéri. Tu pense qu'il mérite plus ?
• Oui, je crois bien. Il a une bonne bouche de suceur. On va lui donner ce qu'il mérite.
• Parfait. Allez continue petit salaud qui aime la bite.
Jean-Philippe se demandait ce qu'ils voulaient dire. Il ne se le demanda pas longtemps. Il sentit Florence s'approcher de lui et lui toucher les fesses avant de venir mettre ses doigts sur son anus.
• Hé … mais ….
• Tais-toi petit salaud. Tu vas voir. Tu adore sucer une belle bite alors attends de voir la suite.
Christian lui pris la tête et lui mis à nouveau sa queue dans la bouche tandis qu'il sentait Florence appliquer un liquide froid et visqueux sur son anus. Il sentit ses doigts le masser puis s'insérer doucement, suivit d'un second puis d'un troisième. Tout en le dilatant, en le lubrifiant, elle lui parlait de façon de plus en plus crue.
• Regarde mon chéri comme mes doigts rentrent bien. Je suis sûr qu'il a déjà joué avec son petit cul. Pas vrai petit salaud, répond!!!
• Non, je n'ai jamais rien fait par là.
• Pourtant ton cul est déjà ouvert comme une petite salope. C'est inné en fait. Tu es né pour être une petite salope qui aime la bite. Dis que tu aimes la bite, petite salope.
• Euh … je … oui …• Dis que tu es une salope qui aime avoir une bite dans sa bouche et qui vas aimer avoir une bite dans le cul, dis elle en lui tirant les cheveux.
• ou…. Oui, répondit Jean-Philippe. Je suis une salope qui aime la bite et …. Qui va aimer avoir une bite dans le cul.
• Tu vois chéri. Il ne faut pas faire attendre cette petite salope. Viens là et met lui.
Christian se leva tandis que Florence fit se cambrer le jeune homme. Quelques secondes plus tard il sentit le gland plonger entre ses fesses, d'abord doucement puis de plus en plus vite.
Jean-Philippe ne savait plus quoi penser mais il ne laissait faire. Il avait honte, mais il aimait ça. Les sensations qu'il ressentait en sentant ce membre en lui l'excitaient.
Christian le baisait maintenant franchement, faisant aller et venir sa queue sur toute sa longueur dans Jean-Philippe qui en éprouvait du plaisir. Jamais il n'aurait cru cela possible mais il était de plus en plus excité par ses va-et-vient. Il voulait que ça continue. Il savait que bientôt Christian irait au bout de son plaisir. Il voulait être leur salope à tous les deux.
Il sentit une nouvelle fois la queue de Christian devenir de plus en plus dure et et jouit alors, de longues giclées de sperme allant se perdre sur le sol.
• Ça y est, elle a joui la petite salope. J'étais sûre que ça lui plairait, dit Florence. Et toi mon chéri. Tu vas jouir, pas vrai ?
• Oui, je vais jouir !! Je vais lui donner à cette petite salope. Elle va tout prendre !!!
Sur ces mots il se retira et Florence fit se retourner Jean-Philippe, le maintenant à genoux.
• Allez ma salope, tu vas prendre son sperme. Tu vas bien déguster son jus.
Christian mis son sexe dans la bouche de Jean-Philippe qui le suça un instant avant de sentir la queue secouée de spasme tandis que le sperme lui giclait dans sa bouche, maculant ses lèvres, son menton, sa langue. Il fut envahi par ce gout à la fois âpre et pourtant si délicieux. Il recracha le sperme resté dans sa bouche tandis que Florence, tenant la queue de son mari, étalait les gouttes de jus finissant de s'écouler sur son visage.
Florence vint ensuite lui apporter une serviette et l'aida à s'essuyer.
• Tu as été parfait. Vraiment. Dès que je t'ai vue je me suis tout de suite dit que nous allions nous amuser. Tu as aimé ?
• Euh … oui, je crois…. Je n'avais même jamais imaginé qu'on puisse enfin que je puisse faire ça.
• En tout cas c'était délicieux, merci …. Jean-Philippe c'est ça ?
• Oui.
Tous deux le remercièrent et le raccompagnèrent. Il ne les revit que quelques fois puis ils partirent sans lui donner de nouvelles.
Jean-Philippe ne se posait plus de questions. Il aimait toujours les femmes et n'était pas gay. Mais il avait adoré prendre du plaisir avec la queue d'un homme comme il avait été ravi de donner du plaisir.
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