Une chambre d'hôte...particulière 2
Récit érotique écrit par Trial [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-05-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une chambre d'hôte...particulière 2
Pour ceux qui n’auraient pas lu la première partie allez sur auteurs et cherchez trial
Elle s’est allongée sur la table. Elle est toute à moi et j’ai envie de la gâter. Je commence mon massage ultra doucement, qu’elle prenne confiance en mes mains. Je suis à nouveau surpris par la douceur de sa peau, mes mouvements glissent facilement sur son corps… mes yeux aussi d’ailleurs. Je me positionne à la tète du lit et pose mes mains sur sa nuque, un des trois point d’entrée d’un massage car c’est un endroit ou les tensions se concentrent. Curieusement c’est celui que le public connaît le mieux or c’est de loin, le plus difficile à libérer, mais je ne voulais attaquer ni les lombaires, ni l’appendice xiphoïde tout deux trop près des zones érogènes principales. La nuque est fine et longue ce qui laisse heureusement de la place pour mes grosses pattes pleines de doigts ! Le massage est léger, mes doigts suivent les muscles du cou de la base du crane jusqu’aux clavicules, puis du crane vers les épaules, mes pulpes exercées ressentent le battement calme de ses artères. Je suis toujours à sa tête. Je sais qu’elle pourrait voir mes jambes par le trou du visage, peut-être même ma queue, mais je ne bande pas, je veux donner ! La pression se fait un peu plus forte tandis que mes mains s’aplatissent et filent vers les épaules. Elle soupire profondément. Mes pouces descendent à présent le long de la colonne. La lenteur compense la profondeur du massage et je la sens se liquéfier sous mes doigts. Sa bouche est béatement ouverte, son souffle est accordé à mes gestes. Lorsque mes pouces atteignent le bas de la colonne je ralentis encore, mes doigts épousent étroitement le creux des reins, remontent sur le sacrum et s’écartent sur le haut des fesses. Un soupir s’échappe encore tandis que je remonte sur ses flans, gaine sa taille, effleure la base des seins pour me repositionner sur sa nuque. Je replonge inlassablement entre les omoplates, pétri le filet mignon, elle se cambre davantage lorsque je remonte sur le haut des fesses, mes poignets s’inclinent vers les hanches balayant et malaxant les muscles fessiers. J’empaume à nouveau la taille, les doigts remontent sur les côtes, j’arrive aux seins et laisse mes doigts en prendre le volume, je les sens déjà dur. Sa respiration saccadée m’indique qu’elle est prête à tout les excès. J’insiste à peine et elle part dans un premier orgasme. Je me déplace sur le côté pour m’attaquer aux fesses. C’est vrais que c’est chouette un cul de 20 ans, d’abord il n’y a plus de poils donc plus de piège à odeur puis surtout plus rien n’arrête le regard qui peu glisser du sillon des grandes lèvres au petit trou sans entrave. Chaque frémissement, chaque relâchement est visible. Des fesses de 20 ans c’est aussi très mobile. Ca passe d’une très agréable fermeté à un abandon total ; d’une douceur remarquable, à la chair de poule en une fraction de seconde. C’est aussi une génération qui a tout vu sur internet et qui ne s’offusque plus si un doigt s’égare. De ce point de vue Yoko à été bien ‘’éduquée’’ : jamais à mon époque une jeune fille, même très excitée, n’aurait écarté d’elle même ses cuisses lorsque mes doigts essayent d’atteindre le saint graal. Malgré cela si une main descend sans difficulté jusqu’à son sexe, j’ai beaucoup de peine à masser avec les deux pouces, il va falloir que j’attende qu’elle se tourne sur le dos… Mais elle a compris ma frustration et se recule jusqu’à s’agenouiller sur la table. La position est un symbole inconscient de totale soumission : le corps est ultra cambré. Le cul s’est avancé vers moi et est basculé vers l’avant. Les fesses son écartées. L’anus est sans protection aucune. Le vagin incite à la fouille. J’ai l’impression que mon sexe a la taille de celui d’un acteur porno. Je glisse deux doigts dans le portefeuille, je les lasse descendre, se courber, se séparer, s’unir, prendre leur rythme, accélérer. Elle vibre comme un diapason. Le son s’amplifie pour devenir un râle continu. Mon autre majeur, bien enduit de crème, se pose sur la rondelle. Aucune contraction réflexe. Mon crochet de chair s’enfonce alors dans la faille ce qui lui déclenche un orgasme violent, bruyant, magnifique… Elle s’effondre sur la table, anéantie. C’est alors que je vois des jets de sperme zébrer son corps, j’ai jouis moi aussi… sans me toucher ! Après lui avoir laissé reprendre ses esprits je lui demande si elle veut se tourner sur le dos pour masser l’avant du corps. - Non pas tout de suite…mais si tu as envie…Cette phrase inachevée m’interpelle. Si j’en ai envie je peux continuer le massage ? Elle me propose une pipe ? Où elle aimerait que je la prenne ? le silence se prolonge. -Tu fais aussi des massages en dehors de la chambre d’hôte, je veux dire que si je te téléphone je pourrais venir me faire masser ? –Très volontiers, j’ai trouvé ce massage très fusionnel. –Moi aussi j’ai vraiment adoré…le problème c’est que Christopher contrôle toutes nos dépenses, mais si tu es d’accord tu pourras faire de mon corps tout ce que tu veux. Opportuniste ma petite asiatique, mais dès la semaine prochaine j’aurai une femme que j’adore, mais qui n’a plus trop d’envie et une maitresse insatiable !
Enfin quand je dit plus trop d’envie, c’est avec moi car plus tard elle m’a raconté que pendant ce temps là………..
Lorsqu’elle est rentrée dans le sauna avec Christopher elle a discrètement coupé le chauffage, de toute façon la chaleur va diminuer progressivement et il ne s’apercevra de rien. Mais contrairement à la veille mon poussin s’est couché sur le ventre rendant le sexe beaucoup plus inaccessible. Elle voulait jouer avec lui. Il a essayé de lui écarter les cuisses de force mais elle ne s’est pas laissée faire. Elle voulait qu’il la mette d’abord en condition. Il s’est rapproché, lui a demandé si elle n’avait plus envie. Comme il n’a pas eu de réponse, il a eu un moment d’hésitation puis a commencé à lui caresser la nuque et les épaules, il est descendu sur le le dos, la taille, les fesses. Il lui a embrassé la nuque, je sais que c’est son point faible mais pas lui bien sur. Il a laissé glisser sa langue le long de la colonne insistant sur les reins. C’est exactement ce qu’elle attendait et elle a baissé sa garde. Aussitôt, il a glissé sa main entre les cuisses et s’est introduit dans le vagin. Et il savait y faire le bougre ! Elle allait atteindre l’orgasme…lorsqu’il a forcé son pouce dans le petit trou. Elle s’est crispée, mais lui semble pas s‘être aperçu qu’il était à deux doigts de la faire jouir et que trop pressé il l’a loupé! Elle s’est tournée sur le côté, a vu à portée de main, son sexe en semi érection. Le temps qu’elle l’amène à sa bouche, l’engin était en pleine forme ! Ah ces jeunes ils ne savent pas la chance qu’ils ont. Mon épouse a commencé par lui lécher longuement les couilles lisses. Dès qu’elle le sentait venir elle plongeait la main dans la seille d’eau fraiche du sauna et l’appliquait sur le scrotum. Ensuite elle a bu un peu d’eau à la bouteille mais sans l’avaler. Elle a gobé les couilles jouant de la langue avec les boules dans sa cavité bien fraiche. Dès qu’elle l’a à nouveau senti venir elle a tout recraché couilles et eau ! Elle a alors sorti un préservatif d’un replis de sa serviette. Il a compris tout de suite et a eu un sourire de vainqueur. Elle lui a mis la capote, un peu péniblement semble-t-il car on n’a pas l’habitude, a écarté les cuisses et lui a laissé l’initiative. Il s’est montré fougueux, voir même un peu brutal, mais mon poussin apprécie ça de temps à autre. Il a eu la délicatesse de ne pas jouir trop vite laissant à mon épouse le temps d’arriver à température. Il l’a pris de différentes façons, et même si parfois c’était un peu trop acrobatique, elle a fini par avoir beaucoup de plaisir. Au final elle a bien apprécié même si elle n’a pas atteint le nirvana escompté.
Ils sont rentrés chez eux en fin d’après-midi et j’ai commencé le montage vidéo. Ca m’a pris deux soirs à repérer les moments croustillants d’abord, ensuite choisir la camera qui offre le meilleur angle et l’alterner avec des plans du visage pour mieux faire ressentir les émotions. Je suis assez fier du résultat mais pour les prochains je vais changer un des zoom pour cadrer plus serré. Lors du visionnage final j’ai vu ressortir le caractère de chacun : lui est assez macho l’utilisant selon son bon plaisir, comme vide-couille. En plus il est insatiable, la rebaisant chaque fois que son érection revient. Il aime particulièrement lui passer les menottes et la sodomiser ce qui n’a pas l’air de lui déplaire, et si elle crie et se débat c’est apparemment plus pour lui faire plaisir. Par contre elle n’aime apparemment pas trop la fellation et comme il s’en est aperçu, souvent il lui tient la tête lui imposant une gorge profonde.
Yoko est plus habile, comme le sont souvent les femmes. Elle adore visiblement faire l’amour. Prenant souvent l’initiative elle amène son partenaire à la faire jouir comme elle le désire. Et là c’est grand, elle s’abandonne totalement, libère son joli corps qui se tord sous l’orgasme, et laisse s’exprimer sans complexe sa jouissance…
Je leur ai bien sur envoyé le dvd et quelques jours plus tard ils m’ont téléphoné pour me remercier chaleureusement, me confirmant encore combien ils ont apprécié le séjour
Elle s’est allongée sur la table. Elle est toute à moi et j’ai envie de la gâter. Je commence mon massage ultra doucement, qu’elle prenne confiance en mes mains. Je suis à nouveau surpris par la douceur de sa peau, mes mouvements glissent facilement sur son corps… mes yeux aussi d’ailleurs. Je me positionne à la tète du lit et pose mes mains sur sa nuque, un des trois point d’entrée d’un massage car c’est un endroit ou les tensions se concentrent. Curieusement c’est celui que le public connaît le mieux or c’est de loin, le plus difficile à libérer, mais je ne voulais attaquer ni les lombaires, ni l’appendice xiphoïde tout deux trop près des zones érogènes principales. La nuque est fine et longue ce qui laisse heureusement de la place pour mes grosses pattes pleines de doigts ! Le massage est léger, mes doigts suivent les muscles du cou de la base du crane jusqu’aux clavicules, puis du crane vers les épaules, mes pulpes exercées ressentent le battement calme de ses artères. Je suis toujours à sa tête. Je sais qu’elle pourrait voir mes jambes par le trou du visage, peut-être même ma queue, mais je ne bande pas, je veux donner ! La pression se fait un peu plus forte tandis que mes mains s’aplatissent et filent vers les épaules. Elle soupire profondément. Mes pouces descendent à présent le long de la colonne. La lenteur compense la profondeur du massage et je la sens se liquéfier sous mes doigts. Sa bouche est béatement ouverte, son souffle est accordé à mes gestes. Lorsque mes pouces atteignent le bas de la colonne je ralentis encore, mes doigts épousent étroitement le creux des reins, remontent sur le sacrum et s’écartent sur le haut des fesses. Un soupir s’échappe encore tandis que je remonte sur ses flans, gaine sa taille, effleure la base des seins pour me repositionner sur sa nuque. Je replonge inlassablement entre les omoplates, pétri le filet mignon, elle se cambre davantage lorsque je remonte sur le haut des fesses, mes poignets s’inclinent vers les hanches balayant et malaxant les muscles fessiers. J’empaume à nouveau la taille, les doigts remontent sur les côtes, j’arrive aux seins et laisse mes doigts en prendre le volume, je les sens déjà dur. Sa respiration saccadée m’indique qu’elle est prête à tout les excès. J’insiste à peine et elle part dans un premier orgasme. Je me déplace sur le côté pour m’attaquer aux fesses. C’est vrais que c’est chouette un cul de 20 ans, d’abord il n’y a plus de poils donc plus de piège à odeur puis surtout plus rien n’arrête le regard qui peu glisser du sillon des grandes lèvres au petit trou sans entrave. Chaque frémissement, chaque relâchement est visible. Des fesses de 20 ans c’est aussi très mobile. Ca passe d’une très agréable fermeté à un abandon total ; d’une douceur remarquable, à la chair de poule en une fraction de seconde. C’est aussi une génération qui a tout vu sur internet et qui ne s’offusque plus si un doigt s’égare. De ce point de vue Yoko à été bien ‘’éduquée’’ : jamais à mon époque une jeune fille, même très excitée, n’aurait écarté d’elle même ses cuisses lorsque mes doigts essayent d’atteindre le saint graal. Malgré cela si une main descend sans difficulté jusqu’à son sexe, j’ai beaucoup de peine à masser avec les deux pouces, il va falloir que j’attende qu’elle se tourne sur le dos… Mais elle a compris ma frustration et se recule jusqu’à s’agenouiller sur la table. La position est un symbole inconscient de totale soumission : le corps est ultra cambré. Le cul s’est avancé vers moi et est basculé vers l’avant. Les fesses son écartées. L’anus est sans protection aucune. Le vagin incite à la fouille. J’ai l’impression que mon sexe a la taille de celui d’un acteur porno. Je glisse deux doigts dans le portefeuille, je les lasse descendre, se courber, se séparer, s’unir, prendre leur rythme, accélérer. Elle vibre comme un diapason. Le son s’amplifie pour devenir un râle continu. Mon autre majeur, bien enduit de crème, se pose sur la rondelle. Aucune contraction réflexe. Mon crochet de chair s’enfonce alors dans la faille ce qui lui déclenche un orgasme violent, bruyant, magnifique… Elle s’effondre sur la table, anéantie. C’est alors que je vois des jets de sperme zébrer son corps, j’ai jouis moi aussi… sans me toucher ! Après lui avoir laissé reprendre ses esprits je lui demande si elle veut se tourner sur le dos pour masser l’avant du corps. - Non pas tout de suite…mais si tu as envie…Cette phrase inachevée m’interpelle. Si j’en ai envie je peux continuer le massage ? Elle me propose une pipe ? Où elle aimerait que je la prenne ? le silence se prolonge. -Tu fais aussi des massages en dehors de la chambre d’hôte, je veux dire que si je te téléphone je pourrais venir me faire masser ? –Très volontiers, j’ai trouvé ce massage très fusionnel. –Moi aussi j’ai vraiment adoré…le problème c’est que Christopher contrôle toutes nos dépenses, mais si tu es d’accord tu pourras faire de mon corps tout ce que tu veux. Opportuniste ma petite asiatique, mais dès la semaine prochaine j’aurai une femme que j’adore, mais qui n’a plus trop d’envie et une maitresse insatiable !
Enfin quand je dit plus trop d’envie, c’est avec moi car plus tard elle m’a raconté que pendant ce temps là………..
Lorsqu’elle est rentrée dans le sauna avec Christopher elle a discrètement coupé le chauffage, de toute façon la chaleur va diminuer progressivement et il ne s’apercevra de rien. Mais contrairement à la veille mon poussin s’est couché sur le ventre rendant le sexe beaucoup plus inaccessible. Elle voulait jouer avec lui. Il a essayé de lui écarter les cuisses de force mais elle ne s’est pas laissée faire. Elle voulait qu’il la mette d’abord en condition. Il s’est rapproché, lui a demandé si elle n’avait plus envie. Comme il n’a pas eu de réponse, il a eu un moment d’hésitation puis a commencé à lui caresser la nuque et les épaules, il est descendu sur le le dos, la taille, les fesses. Il lui a embrassé la nuque, je sais que c’est son point faible mais pas lui bien sur. Il a laissé glisser sa langue le long de la colonne insistant sur les reins. C’est exactement ce qu’elle attendait et elle a baissé sa garde. Aussitôt, il a glissé sa main entre les cuisses et s’est introduit dans le vagin. Et il savait y faire le bougre ! Elle allait atteindre l’orgasme…lorsqu’il a forcé son pouce dans le petit trou. Elle s’est crispée, mais lui semble pas s‘être aperçu qu’il était à deux doigts de la faire jouir et que trop pressé il l’a loupé! Elle s’est tournée sur le côté, a vu à portée de main, son sexe en semi érection. Le temps qu’elle l’amène à sa bouche, l’engin était en pleine forme ! Ah ces jeunes ils ne savent pas la chance qu’ils ont. Mon épouse a commencé par lui lécher longuement les couilles lisses. Dès qu’elle le sentait venir elle plongeait la main dans la seille d’eau fraiche du sauna et l’appliquait sur le scrotum. Ensuite elle a bu un peu d’eau à la bouteille mais sans l’avaler. Elle a gobé les couilles jouant de la langue avec les boules dans sa cavité bien fraiche. Dès qu’elle l’a à nouveau senti venir elle a tout recraché couilles et eau ! Elle a alors sorti un préservatif d’un replis de sa serviette. Il a compris tout de suite et a eu un sourire de vainqueur. Elle lui a mis la capote, un peu péniblement semble-t-il car on n’a pas l’habitude, a écarté les cuisses et lui a laissé l’initiative. Il s’est montré fougueux, voir même un peu brutal, mais mon poussin apprécie ça de temps à autre. Il a eu la délicatesse de ne pas jouir trop vite laissant à mon épouse le temps d’arriver à température. Il l’a pris de différentes façons, et même si parfois c’était un peu trop acrobatique, elle a fini par avoir beaucoup de plaisir. Au final elle a bien apprécié même si elle n’a pas atteint le nirvana escompté.
Ils sont rentrés chez eux en fin d’après-midi et j’ai commencé le montage vidéo. Ca m’a pris deux soirs à repérer les moments croustillants d’abord, ensuite choisir la camera qui offre le meilleur angle et l’alterner avec des plans du visage pour mieux faire ressentir les émotions. Je suis assez fier du résultat mais pour les prochains je vais changer un des zoom pour cadrer plus serré. Lors du visionnage final j’ai vu ressortir le caractère de chacun : lui est assez macho l’utilisant selon son bon plaisir, comme vide-couille. En plus il est insatiable, la rebaisant chaque fois que son érection revient. Il aime particulièrement lui passer les menottes et la sodomiser ce qui n’a pas l’air de lui déplaire, et si elle crie et se débat c’est apparemment plus pour lui faire plaisir. Par contre elle n’aime apparemment pas trop la fellation et comme il s’en est aperçu, souvent il lui tient la tête lui imposant une gorge profonde.
Yoko est plus habile, comme le sont souvent les femmes. Elle adore visiblement faire l’amour. Prenant souvent l’initiative elle amène son partenaire à la faire jouir comme elle le désire. Et là c’est grand, elle s’abandonne totalement, libère son joli corps qui se tord sous l’orgasme, et laisse s’exprimer sans complexe sa jouissance…
Je leur ai bien sur envoyé le dvd et quelques jours plus tard ils m’ont téléphoné pour me remercier chaleureusement, me confirmant encore combien ils ont apprécié le séjour
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