Une chaude soirée - histoire érotique

Coucou chers amis, voici une nouvelle histoire qui se passe dans un hôtel restaurant que nous avons loué pour l'anniversaire de mon Doudou, à charge de nos convives de régler leurs chambres, aucun risque routier en soirée.
Notre retour de Thaïlande, huit mois se sont passés depuis notre réservation pour la fête de ce soir. Nous avons célébré notre mariage dans cet établissement dirigé par Flo et Eric, libertins, mais n'avons jamais fait de sortie ensemble, nous avons une relation client fournisseur, tout mélangé n'est jamais bon.
À notre arrivée, Florence, nous accueille toujours aussi belle et gracieuse.
– Coucou les amis, comment allez-vous ?
– Très bien et toi ma belle ?
– Bien, nous aurons l'occasion d'en discuter ce weekend, comme vous avez pris toutes nos chambres sauf une dédiée à un consultant canadien depuis six mois, ce sera sa dernière nuit ce soir, il partira demain matin. Sa mission pour une entreprise du coin est terminée. Je vous ai placé dans la chambre à côté de la sienne, connaissant votre équipe de joyeux lurons, ce sera encore vous qui serez les moins bruyants.
– Tu es certaine de cela.
– Où se trouve Eric ?
– Il est en cuisine, il compte bien passer un bon moment avec vous, il prépare tout ce qu'il peut faire en avance.
– Nous espérons que vous pourrez vous joindre à nous le plus souvent possible.
Nous partons main dans la main saluer le maitre queue de la maison. J'ai pris un temps d'arrêt lorsque je vois Eric, il a pris au moins 10 kgs, ce qui ne lui va absolument pas. Alors, nous nous saluons, on s'embrasse, il nous présente Loïc, neveu de Flo, qu'ils embauchent en extra le weekend. Loïc se présente timidement, il a 21 ans et fait des études de médecine. Ainsi, je laisse les hommes ensemble et retourne voir Flo.
Flo me voit revenir, sourire en coin, elle attend une réflexion de ma part.
– Qu'arrive-t-il à Eric, il a grossi.
– Il fait beaucoup la bringue, encore plus que par le passé, nous vivons quasi séparément, si nous n'avions pas cet établissement à faire tourner, nous serions divorcé.
– Votre relation n'était pas au beau fixe lors de notre dernière venue, mais pas à ce point-là.
– Ce n'est pas si catastrophique, nous travaillons dans une bonne ambiance, une fois terminée chacun à sa chambre, de temps à autre un petit coup quand je n'ai rien à me mettre sous la dent.
– Tu es toujours aussi salope ma belle.
– Pas toi ?
– Tu sais, en Thaïlande, le libertinage n'existe pas, je suis un peu en manque. Heureusement que Doudou est toujours aussi performant, mais j'ai envie de me reprendre d'autres queues.
– Pourrais-tu ce soir invité le canadien à votre table pour sa dernière soirée ?
– Comment est-il ?
– Il va te plaire.
– Toi, tu te l'es tapé !
Un grand sourire éclaire son visage qui ne laisse aucun doute que cet homme l'a baisé.
Doudou et moi, faisons la mise en place de la salle, des décorations, Eric et Flo nous aident pour disposer les tables rondes. Je suis étonnée, car franchement s'ils ne laissent rien paraitre, Doudou est étonné quand je lui explique la situation.
Vers 17 heures, nos amis arrivent et prennent possession de leurs chambres et les retrouvailles sont chaleureuses. Nous ne les avons pas vus depuis janvier et nous sommes en octobre, à l'exception de quelques-uns.
Nous allons prendre une douche et nous changer, l'apéro étant fixé à 18 heures, plus un moment à perdre.
À ce moment de l'histoire, chers lecteurs, vous devez vous demander avec qui va-t-elle baiser ?
Les buffets de petits fours ont été préparés par nos hôtes, la tireuse à bière est en place et le picon est prêt, nous arrivons les premiers.
 L'apéro est en cours. Ainsi, je suis avec les femmes qui me demandent de leur raconter notre voyage. Doudou en fait de même, les hommes sont chauds vu à la vitesse que les verres descendent. Le champagne est bon et les femmes ne se font pas prier pour boire leurs verres et en reprendre un. Personne ne conduira ce soir, à nous la nuit.
Flo arrive accompagnée de son client, un grand black qui se nomme Harold, très élégant, 1,85 mètre, super beau. Je l'invite à passer la soirée avec nous, comme convenu, je le prends par le bras et fait le tour pour faire les présentations. Mon homme m'a fixé d'un regard amusé et m'a dit que c'était son anniversaire et non le mien, et donc pas de cadeau. Je lui réponds par un clin d'œil. 
 Nous nous retrouvons à table, le repas est agréable comme d'habitude, un de nos amis sort l'accordéon, tout le monde danse et l'ambiance est magnifique. Eric sort des digestifs et les hommes sont un peu imbibés, cela promet. Alors, j'en profite pour danser et me rapprocher de Harold, mais Flo fait barrière.
– Je te vois venir avec tes gros sabots, pour sa dernière nuit, il va s'occuper de moi.
– Je ne vois pas de quoi tu veux parler, je suis une femme mariée et fidèle.
Flo éclater de rire, j'ai un peu de mal à garder mon sérieux, et je finis par perdre celui-ci. Harold vient nous rejoindre.
– Vous savez les filles, quand il y en a pour une, il en a pour deux, je sais me partager.
Nous nous fixons en silence, je fais un petit clin d’œil et je pars faire le tour de nos invités. Il est déjà trois heures du matin, la salle se vide, on s'affère à donner un coup de main, à ranger la salle. Doudou est encore en forme, bien entendu un peu émécher, mais ça va, rien de plus normal pour son anniversaire. Tous nos amis sont ravis de cette soirée. Je finis de ranger les verres avec Flo, Eric a disparu.
– J'ai un marché à te proposer.
– Lequel ?
– Je viendrai te chercher dans ta chambre sous un prétexte quelconque, ton Doudou va s'endormir vite.
– Oui, il ne sera pas en mesure de se montrer efficacement ce soir à cause de l'alcool ingurgité.
– Nous irons rejoindre Harold pour le partager comme il nous en a fait la proposition.
– Je ne sais pas, je vais encore être puni si Doudou l'apprend. Je te ferai part de la punition qu'il m'a infligée pour avoir fait un petit extra sans lui dire (voir retour d'Espagne).
– J'ai une idée pour éviter cette situation.
– Tu commences sérieusement à m'intéresser.
– En contrepartie d'avoir pu profiter de sa queue, tu devras t'occuper de mon neveu, Loïc, il a 21 ans et encore puceau ce nigaud. Il va finir comme ma sœur, sa mère, qui n'a connu qu'un seul homme dans sa vie. J'ai envie que mon neveu en profite. De plus, je suis sa tante et je ne peux pas m'en occuper, il est plutôt bien monté.
– As-tu l'a vu ?
– Je l'ai surpris, s'astiquant le manche dans sa chambre.
– Tu veux que je joue la cougar.
– Cela te pose-t-il un problème ?
– Tu me mets en appétit.
Nous montons dans notre chambre, Doudou est euphorique, mais il retrouve ses esprits après une bonne douche. Une fois couché, je me blottis contre son épaule et je lui raconte la proposition de Flo, et merde, il s'est endormi, que faire.
On frappe à notre porte, je l'ouvre, Flo est là dans un petit déshabillé.
– Peux-tu venir, j'ai un petit souci ?
Doudou se retourne dans le lit, me disant "vas-y et arrêtez de faire du bruit", puis plus de son ni d'image, il dort.
Je suis nu, Flo m'attrape la main et me tire, malgré mes protestations, je finis par la suivre sans résistance.                                                                                               Nous allons rentrer dans la chambre de Harold, il est assis sur le fauteuil, un putain de beau membre en main. Flo me pousse sur le lit, se couche sur moi et m'embrasse en pleine bouche. Nos langues se mélangent, elle descend en m'embrassant, s'attardant sur chaque téton, pour finir sur ma chatte. Elle me titille le clito avec la pointe de sa langue, tout en enfilant deux doigts dans mon sexe déjà tout humide. Le gland que Harold vient de présenter sur mes lèvres est énorme. Je le prends en bouche et je le dévore tout en le masturbant afin d'apprécier toute cette longueur. Flo me mange comme une reine et me doigte, je sens que l'orgasme monte en moi. Je souhaiterais recevoir une bonne dose de foutre dans ma bouche tout en jouissant sous les coups de langue de mon amie, mais ce ne sera pas pour cette fois-ci, l'orgasme est là et me terrasse.                                                                Flo se relève, se positionnant en levrette, je me glisse sous elle, nous sommes dans une position de 69. Le gros membre de Harold se positionne derrière Flo, je le saisis et le guide vers sa grotte, toute ruisselante de cyprine. Je le vois s'enfoncer et disparaître complètement, ses couilles buttent contre sa fente, Flo recherche sa respiration, j'en profite pour venir aspirer les testicules de Harold, jouant avec ma langue. Flo m'aspire le clito et le mordille, Harold commence des va-et-vient. Dès qu'il butte au fond de sa chatte, flo sert les dents sur mon clito. Cette sensation mélangée de douleur et de plaisir est bonne. Je joue avec son clito, lui mordant à mon tour, elle desserre les dents, mais je continue. Nos efforts, conjugués avec Harold, propulsent Flo dans un orgasme violent.                                                  Je me dégage rapidement pour me placer en levrette, car je veux ma part de gâteau. Il a compris et sans aucun ménagement, il enfile sa grosse bite d'une traite au fond de ma chatte. Je crie de surprise et de bonheur sous cet assaut, tout en accélérant, me traitant de salope, il me défonce comme une bête. Putain que c'est bon, elle est vraiment grosse, je contracte mon vagin pour le sentir encore mieux, mais je me doute qu'il ne va pas tenir bien longtemps à cette cadence. Flo a bien compris, elle se situe à côté de moi, bouche ouverte, prête à tout recevoir dans sa petite gueule. Tu m'en laisseras un peu.                                                        Harold se retire de ma chatte, explose dans la bouche de Flo, je me retourne tel un félin pour aller chercher ma part. Comme deux femelles en rut, nous nous partageons le foutre de notre amant tout en mélangeant nos langues, s'effondrant ensuite sur le lit tous les trois pour reprendre nos esprits.               
– Tu vas nous laisser, je vais réanimer la bête pour en profiter encore un peu avant son départ. N'oublie pas de remplir ton contrat. Tu te rends au fond du couloir après le bar, sa chambre est juste à droite.                                                     
- J'y vais de ce pas, j'ai encore un peu faim, j'espère de ne pas tomber sur ton mari.         - Il ne passe jamais par là, et il est parti avec ton ami le pâtissier.                        Je vais dans cette chambre en pensant à Doudou, mais je dois respecter ma parole. En toute honnêteté, j'ai envie de me faire un petit puceau. En expliquant bien, mon mari comprendra et chatte qui a faim…                             
Je rentre par cette porte qui débouche sur une kitchenette, à ma droite la porte est ouverte, une télévision fonctionne et j'entends des gémissements, le petit salop regarde un film X.
Je rentre dans la chambre, Loïc est surpris, tire sur son drap pour cacher son anatomie qu'il avait en main. Il cherche sa télécommande pour arrêter le film, mais paniquer, il ne la trouve pas. Il est rouge comme une pivoine et dit des mots qui ne sont pas clairs.
Je m'approche et m'allonge sur son lit, à côté de lui. 
– Alors, mon cher Loïc, tu n'as pas encore commencé à dormir.
– Non, j'ai fini tard de tout ranger et je viens de me coucher.
– J'ai remarqué, en arrivant, que tu n'avais pas encore fini, tu astiquais la queue, mais pas celle de la casserole. Je vais te former au métier de maître queue, laisse-moi faire.
Je passe ma main sous le drap, saisis son sexe, et vient titiller son gland avec mes doigts.
– Tu as une belle bite, un gland comme je les aime, tout en poussant le drap vers le pied du lit.
La télévision est toujours allumée, une femme taille une pipe, l'homme est aux anges.
– Arrête-moi ton film.
– Voilà, c'est fait.
– Je vais m'occuper de ta bite comme la femme dans le film.
Je lui fais un petit bisou sur ces lèvres, je descends en déposant des baisers sur son corps, sans trop insister, je crains qu'il lâche les amarres trop vite. J'embouche son sexe, sa tante avait raison, il a une belle queue. Je ne fais pas semblant, directement une gorge profonde, le minet ne va pas tenir longtemps. Je remonte, titille son frein, enroule ma langue autour du gland, et recommence l'opération qui n'ira pas au bout. Sa bite tressaute et m'envoie une dose de foutre énorme que je m'applique à tout avaler. Il ne faut pas le décevoir pour sa première pipe. Je continue à le pomper, il se tortille et finit par m'éjecter pour sortir son sexe de ma bouche.  Il revient à lui, souriant, il me remercie.
– C'est meilleur que ta branlette.
– Oui, en rougissant.
– Viens me brouter le minou, je vais te guider.
Il ne se fait pas prier, vient se placer entre mes cuisses, et commence à me manger maladroitement.
– Doucement, aspire mon clito, passe ta langue dessus, voilà, c'est bien. Pince-le un peu avec tes dents tendrement. Continue, c'est bon, descend ta langue, entre la dans ma chatte comme une petite bite, vas-y comme cela. Remonte à mon clito. Oui, c'est bien, tu n'arrêtes pas, c'est trop bon. Redescends, va jusqu'à mon cul et fait rentrer ta langue dans ma rosette.
Mon élève apprend rapidement, il refait l'opération maintes fois en modifiant l'ordre et je lui appuie sur la tête lorsqu'il me suce le clitoris. Je lui demande de m'enfiler deux doigts dans la chatte, tout en me mangeant la chatte, il peine à coordonner ces mouvements. Je lui relève la tête, lui demande de m'enfiler un doigt dans le cul, et d'agiter les doigts dans ma chatte. Je me masturbe simultanément le clito.
– Ne t'arrête pas, bouge les doigts plus vite, oh putain ça monte, vient vite me manger.
Il se précipite pour prendre mon clito avec ses lèvres et s'acharne avec sa langue dessus, l'effet est immédiat, un orgasme dévastateur parcourt tout mon corps, celui-ci en tremble de plaisir. Je le tire vers moi, l'embrasse sur les lèvres et lèche son menton afin d'avoir un peu de mon jus en bouche. Je saisis sa queue, déjà bien bandé, en bouche pour finir de la rendre raide comme du bois. Il est important d'apprendre les bonnes règles du jeu à ces jeunes. Je le fais mettre sur le dos, je passe par-dessus, saisis son sexe pour le guider dans ma chatte. Je m'enfonce jusqu'à la garde et lui demande de gérer pour ne pas jouir trop vite et de me donner du plaisir.
Je commence à monter et à descendre sur son pieu, il est gros et je le sens bien. Je roule lentement mon bassin, pour ne pas trop le brusquer. Il me saisit par les hanches, et met de grands coups de rein, je sens son gland taper au fond. Le petit prend des initiatives, continue, tu vas me faire grimper au rideau, un petit orgasme surgit.
Je me dégage, en saisissant sa queue, et je la guide dans mon cul, tout en lui demandant de ne pas bouger. Je descends progressivement, ma rosette s'ouvre pour laisser passer le gland. Je remue, tout en m'enfonçant de plus en plus, jusqu'à que ses couilles touchent mon cul. Il comprend vite mon élève, il me reprend les hanches et me bourre le cul. Je jouis encore une fois, mais du cul cette foi-ci.
Souhaitant lui faire découvrir un maximum de choses, je n'insiste pas, afin d'économiser mon baiseur que je sens proche de la rupture. Je me place en levrette et l'invite à venir me prendre sans retenue, mais à ne pas éjaculer dans sa capote, je veux son jus sur mes seins.
Il me pénètre, je pose ma main sur son cul pour lui faire comprendre qu'il reste au fond sans remuer. 
– Vas-y bourre-moi, mon grand.
Loïc a perdu sa timidité, me tenant par les hanches, il me laboure comme une bête, je l'accompagne en me jetant en arrière à chaque pénétration, je miaule de plaisir.
Il se retire de ma chatte, je m'assois et je saisis sa queue tendue devant moi, trois aller-retour suffiront pour que son foutre vienne s'écraser sur mes seins. Je le prends en bouche pour recueillir les dernières gouttes et rendre le matériel propre. 
– Merci Loïc, tu as été un excellent élève et tu as su me faire jouir.
– Je te remercie, j'aimerais te revoir.
– Cela sera impossible, ta tante m'a demandé de te faire homme, j'ai accepté. Tu dois voler de tes propres ailes, tu as des atouts.
Bien entendu, je ne lui dis pas que le marché était de le dépuceler pour pouvoir profiter de la queue de Harold.
Je l'embrasse tendrement, il a compris que c'était une seule fois, je repars retrouver mon mari qui va vouloir me prendre à son tour, c'est un métier.
J'arrive à notre chambre, la porte est ouverte. Je passe la tête sans faire de bruit, Flo suce mon Doudou. Je regarde le spectacle, elle a remarqué ma présence, elle accélère sa fellation. Je vois mon mari lever son cul et saisir la tête de FLO, je devine qu'il lui envoie la purée bien au fond de sa gorge. Celle-ci avale tout.
– Regarde, dit-elle à Doudou, ta femme nous admire. Vient ma chérie, il en reste quelques gouttes.
Je m'approche, je saisis dame bûche, et je récolte quelques gouttes de foutre restante, puis nous nous roulons un patin avec Flo.
– Je t'avais promis que ton mari ne pourrait pas t'infliger une punition, vu ce que tu viens de voir.
– Mon bébé a eu une nuit agitée, quand je t'écoute Flo.  
– Elle a beaucoup de choses à nous raconter autour d'un petit déjeuner, venez. Il est huit heures.
– Mais je n'ai pas dormi.
Flo et Doudou m'ont répondu en chœur " il fallait y penser avant salope au lieu de te faire baiser", ils éclatent de rire en se tapant dans la main.
Personne ne m'aime, je suis fatiguée, qui vient me consoler !