Une chouette copine
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-01-2018 dans la catégorie Pour la première fois
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Une chouette copine
Elle flottait dans les eaux chaudes de la Pointe aux Chevaux entre varech et brindilles. Son maillot ivoire une pièce débordait à l’aine de ses luxuriances blondes. Sa frimousse ronde riait et ses boucles claires lui donnait allure d’ange.
You look like an angel chantait alors Elvis et nous on bandait devant notre ange à nous en ce maillot léger qui ne cachait rien de sa chatte velue. Et de sa tête claire de blonde potelée rieuse et chaleureuse qui nous aimait de tout cœur, nous ses copains.
Elle disait, en faisant la planche dans l’eau sombre et calme à l’étal devant la Poussinière, regardez je suis la baleine. Et elle pissait fort et dru, écartant le gousset du maillot, son jet clair montant haut comme respiration de cétacé.
Et nous tous, ses copains, on bandait dans les eaux chaudes du Bassin. En pensant, quand je serai grand, je la mènerai au pare-feu du Truc Vert et je l’aimerai à fond de mon bitos tendu. Ou alors derrière le blockhaus sur la dune. Ou même peut être à la Forestière au milieu des chardons, dans le sable chaud comme un lit.
Je ne savais pas, moi, que ce serait dans le champ pétrolier du Cap, sous les torchères, que l’an d’après je me retrouverais avec elle à jouer Amours de jeunesse, mes fesses nues à bronzer dans la nuit des chaleurs de gaz de pétrole enflammés éclairant rouge et jaune fasseillant la nuit et les pins noirs des Landes.
Elle était fille de parqueur, comme on dit ici pour ostréiculteur. Intelligente, elle et son frère faisaient études brillantes de médecine à Bordeaux. Elle serait gynéco ou otorhino un jour à la ville.
Moi je bichais pour ses cuisses pleines, ses seins de madone et surtout son entrejambe velu et charnu qui pulsait sous ma main en giclées poisseuses.
Elle était bonne et moi je me régalais sans vraie conscience du bonheur qui était le mien. Bonheur simple de nos seize ans de nos dix huit ans de nos vingt ans...
On était alors en ces temps-là en adolescence et c’était bon.
Elle vaquait de garçon en garçon. Sa seule constance était qu’elle n’aimait que les garçons. Les garçons, oui, mais tous les garçons. De Cassis, même Taussat jusqu’au bout de la Pointe, pas un gars dans nos âges qu’elle n’ait tenu dans ses bras, serré de ses cuisses.
Elle chantait des airs de Johnny et son ventre disait Retiens la Nuit ou Pour moi la Vie va commencer et nous, ses copains on passait des nuits torrides solitaires à rêver d’elle et de son corps potelé puissant et lourd dans nos bras et de ses cuisses qui nous faisaient prisonnier de sa désirade.
Elle vit encore aujourd’hui et habite la Dune Blanche, une belle villa de bois clair. Elle est mariée à un étranger d’Amérique. Canadien. Un type qu’on veut pas connaître. Va savoir pourquoi.
Hier, devant sa pinasse et mon quat’vingt, plus ou moins échoués de concert sur un banc de sable mou et clair, elle a dit à ma fille de quarante ans, va gamine, ton papa, je l’ai bien connu. Attention, si tu veux pas te pourrir les pieds de vase, reste bien dans l’estey.
Et ma fille m’a dit, papa, l’est drôlement chouette ta copine.
Qu’est-ce qu’elle avait raison, ma fille...
You look like an angel chantait alors Elvis et nous on bandait devant notre ange à nous en ce maillot léger qui ne cachait rien de sa chatte velue. Et de sa tête claire de blonde potelée rieuse et chaleureuse qui nous aimait de tout cœur, nous ses copains.
Elle disait, en faisant la planche dans l’eau sombre et calme à l’étal devant la Poussinière, regardez je suis la baleine. Et elle pissait fort et dru, écartant le gousset du maillot, son jet clair montant haut comme respiration de cétacé.
Et nous tous, ses copains, on bandait dans les eaux chaudes du Bassin. En pensant, quand je serai grand, je la mènerai au pare-feu du Truc Vert et je l’aimerai à fond de mon bitos tendu. Ou alors derrière le blockhaus sur la dune. Ou même peut être à la Forestière au milieu des chardons, dans le sable chaud comme un lit.
Je ne savais pas, moi, que ce serait dans le champ pétrolier du Cap, sous les torchères, que l’an d’après je me retrouverais avec elle à jouer Amours de jeunesse, mes fesses nues à bronzer dans la nuit des chaleurs de gaz de pétrole enflammés éclairant rouge et jaune fasseillant la nuit et les pins noirs des Landes.
Elle était fille de parqueur, comme on dit ici pour ostréiculteur. Intelligente, elle et son frère faisaient études brillantes de médecine à Bordeaux. Elle serait gynéco ou otorhino un jour à la ville.
Moi je bichais pour ses cuisses pleines, ses seins de madone et surtout son entrejambe velu et charnu qui pulsait sous ma main en giclées poisseuses.
Elle était bonne et moi je me régalais sans vraie conscience du bonheur qui était le mien. Bonheur simple de nos seize ans de nos dix huit ans de nos vingt ans...
On était alors en ces temps-là en adolescence et c’était bon.
Elle vaquait de garçon en garçon. Sa seule constance était qu’elle n’aimait que les garçons. Les garçons, oui, mais tous les garçons. De Cassis, même Taussat jusqu’au bout de la Pointe, pas un gars dans nos âges qu’elle n’ait tenu dans ses bras, serré de ses cuisses.
Elle chantait des airs de Johnny et son ventre disait Retiens la Nuit ou Pour moi la Vie va commencer et nous, ses copains on passait des nuits torrides solitaires à rêver d’elle et de son corps potelé puissant et lourd dans nos bras et de ses cuisses qui nous faisaient prisonnier de sa désirade.
Elle vit encore aujourd’hui et habite la Dune Blanche, une belle villa de bois clair. Elle est mariée à un étranger d’Amérique. Canadien. Un type qu’on veut pas connaître. Va savoir pourquoi.
Hier, devant sa pinasse et mon quat’vingt, plus ou moins échoués de concert sur un banc de sable mou et clair, elle a dit à ma fille de quarante ans, va gamine, ton papa, je l’ai bien connu. Attention, si tu veux pas te pourrir les pieds de vase, reste bien dans l’estey.
Et ma fille m’a dit, papa, l’est drôlement chouette ta copine.
Qu’est-ce qu’elle avait raison, ma fille...
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Jpj sait avec ses mots nous raconter ses histoire « Nos Histoires » d'adolescence à nous les mecs sans âge. Merci-Merci