Une collègue mariée très hésitante

- Par l'auteur HDS Romainro -
Récit érotique écrit par Romainro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Une collègue mariée très hésitante Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-12-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une collègue mariée très hésitante
Au milieu de tous les commerciaux de ma société, il y a très peu de femmes, en tout cas dans ceux que je côtoie, elles ne sont que 4 commerciales. Delphine a déjà une sacrée réputation, presque tout le monde lui est passé dessus, je n’en fais pas partie. Christine et Isabelle sont mariées par contre j’ai eu plusieurs relations avec la première pendant des séminaires.

Manon ferme ce quatuor, c’est une grande et fine femme très élégante. Elle est très sérieuse, même dans ses tenues mais tous ses clients remplissent le bon de commande grâce à son charme. En plus elle est magnifique, c’est une brune aux yeux verts avec une peau légèrement halée. Son seul défaut, elle met pas assez sa poitrine en valeur.

Avant la période des vacances, nous avons fait un pot de départ à la retraite pour un de nos collègues. Pendant cette soirée je me suis focalisé sur Manon pour un peu mieux la connaitre mais aussi voir si quelque chose est possible. Elle me parle de travaille mais je coupe la conversation en lui disant qu’on est là pour se détendre alors je la branche sur sa famille.

Elle me parle d’abord de ses 2 garçons qui sont déjà à la fac, je l’imaginais plus jeune que moi. J’ose lui poser la question, en lui disant que je n’en reviens qu’elle est des enfants de cette âge. Elle les a eu très jeune, Manon a 41 ans et j’en ai 3 de moins. J’ose lui demander si elle vit toujours avec leur père, elle me répond qu’elle est marié depuis qu’elle est tombé enceinte et ne divorcera jamais.

Je vois un air triste sur son visage alors je lui ressers du vin, elle vide le verre d’un trait alors je la resserre à nouveau. Nous continuons à discuter alors qu’elle boit, l’alcool aidant j’apprends qu’elle n’est plus heureuse avec lui. Elle ne peut pas envisager de le quitter parce que pour elle le mariage c’est pour la vie. Je la resserre en vin pour la quatrième fois et j’ose lui demander:« Tu t’amuses à côté au moins? »
Comme seul réponse elle devient de plus en plus rouge. Je ne sais pas si je suis plus gêné pour elle ou choqué. J’ai bien compris entre ses propos et sa croix autour du cou qu’elle est religieuse, mais quand même! Après un moment de silence elle me demande un peu mal à l’aise:« Tu es infidèle? »
Vu que l’on est dans les confidences je lui dit que ça dépend dans quel genre de couple je suis. Si je suis amoureux je suis fidèle après soit je pars soit je fais durer le couple en allant voir ailleurs seul ou à deux. Elle croyait me piéger mais en fin de compte c’est le contraire. Elle me dit qu’elle n’arrive pas à savoir si son mari la trompe.

J’allais lui répondre que s’il ne couche plus ensemble depuis un moment il y a de forte chance mais elle ne me laisse pas répondre. Elle me dit qu’elle est de plus en plus triste alors elle veut changer de discussion. J’essaye de la faire rire mais je la sens qu’elle se ferme. Je pose nos verres, je l’attrape par la main et je l’amène jusqu’à ma voiture.

Elle me demande où je l’emmène alors je lui dit que dans à peine quelques minutes, elle le saura. Je me gare sur un point de vue que m’avait fait découvrir une ex, on voit tout le bassin d’Annecy, son lac et ses montagnes. En plus on arrive au bon moment parce que le soleil se couche. Elle regarde le paysage et un sourire commence à pointer.

Je la laisse admirer un bon moment puis elle tourne la tête vers moi, me dépose un bisou sur la joue, me remercie et pose sa tête sur mon épaule. Intérieurement je souris et me dis que la première manche est gagnée. Je pose ma tête sur la sienne et je me laisse emporter par le panorama. Nous restons un long moment comme ça.

La nuit tombe de plus en plus, je sens la tête de Manon bouger, je dégage la mienne et me tourne vers elle pour savoir si elle veut qu’on rentre. Son visage se trouve à quelques centimètres du mien, j’ai très envie de me pencher et l’embrasser mais je préfère laisser planer une certaine tension entre nous.

Je me penche un peu, me rapproche de sa bouche, elle ne bouge pas ce qui veut sûrement dire qu’elle accepterai mon baiser. Juste avant que mes lèvres effleurent les siennes, je dévie ma trajectoire et embrasse sa joue en lui murmurant:« De rien! »Je replonge mes yeux dans son regard vert un moment et je rajoute en démarrant le moteur:« Je te ramène ou tu veux faire autre chose? »
J’ai l’impression qu’elle est déçu et me demande de la ramener. Sur le trajet, elle me remercie encore une fois et me dit que non seulement je lui ai fait découvrir un endroit qu’elle ne connait pas mais surtout ça fait longtemps que personne ne lui a fait autant plaisir. Je lui réponds simplement un:« Tant mieux! »
Quand nous arrivons sur le parking de la société, il ne reste plus que deux voitures à part celle de Manon. Je me gare juste à côte de la sienne, je coupe le moteur et je plonge mon regard dans le sien. Je me penche vers elle, je pose ma main sur ses cheveux que je caresse. Nous restons un bon moment sans bouger, comme suspendu par le temps.

Je brise ce moment en lui embrassant sensuellement le cou et lui souhaitant une bonne soirée. Elle détache fébrilement sa ceinture, me remercie encore pour ce moment et ouvre sa portière. En sortant elle m’informe que ces congés commencent et me souhaite de bonnes vacances. Je la remercie et lui dit:« Ca va être long tout ce temps sans te voir! »
Uniquement à la lumière de la loupiote de la voiture, je vois son visage rougir. Elle me souhaite encore une fois bonnes vacances, claque la portière et ouvre sa voiture. Je ne regarde pas dans sa direction mais j’attends qu’elle démarre pour partir. Je n’entends pas de moteur tourner mais la portière passager de ma voiture s’ouvre, je tourne la tête.

Manon rentre dans ma voiture la tête la première, se met à 4 pattes sur le siège à côté du mien et ses lèvres se posent sur les miennes. Nos bouches s’entrelace un moment, je caresse son visage. Mes lèvres s’ouvrent et ma langue sort à la recherche de la sienne mais la bouche de ma collègue reste fermé.

Je fais durer ce baiser le plus longtemps possible puis elle se décolle, referme ma porte et rentre dans sa voiture. Elle démarre immédiatement et s’enfuit vu la vitesse à laquelle Manon quitte le parking. Je n’ai pas le temps d’arriver à la maison que je reçois un message de ma collègue qui dit:« Désolée, je n’aurai pas dû. Bonnes vacances. »Une fois installé sur mon canapé je lui réponds:« Je ne suis pas désolé, bien au contraire. »
De la commence entre nous un échange qui dure toutes ses vacances et aussi les miennes. Les messages sont tantôt amicaux, tantôt taquins, tantôt coquin (surtout les miens) et tantôt des confidences. Quand je rentre de mes congés Manon a déjà repris le travail mais il me reste quelques jours avant de retourner au boulot.

Le lendemain de mon arrivée je reçois le message suivant:« On se retrouve à 15 heures chez moi, je t’attends dans le jardin derrière la maison. »Je suis intrigué et impatient d’y être. Je me rase prends une bonne douche, je m’habille en jean et t-shirt et je sors le petit cadeau que je lui ai ramené (une boule de neige, je sais qu’elle les collectionne). J’arrive devant chez elle 5 minutes en avance, sa voiture et là mais je patiente un bon quart d’heure pour me faire désirer.

Je passe le portique, contourne la maison et je vois Manon au fond du jardin, en tailleur jupe noir très stricte, faire les cents pas. Dès qu’elle me voit, elle marche dans ma direction. Plus elle se rapproche plus elle avance vite. Une fois en face de moi elle se jette dans mes bras et m’embrasse à pleine bouche et directement sa langue vient danser avec la mienne.

Nos lèvres restent scellées un bon moment, quand nos corps se décollent je veux lui demander pourquoi se revirement mais elle pose son doigts sur ma bouche puis retire mon t-shirt. Ses mains se posent sur mon torse et le parcours alors que sa langue puis elle vient me titiller les tétons. Elle joue avec le gauche, puis le droit pendant un moment.

Je l’attrape par dessous les bras et je la fait remonter pour l’embrasser à nouveau. Je pose mes mains sur son dos, toujours enfermé dans son tailleur, et je la caresse en descendant stratégiquement vers ses fesses. Ses mains se glisse entre nous et s’attelle immédiatement a ouvrir mon pantalon. Quand elle le fait tomber à terre, Manon pose ses deux mains à l’intérieur de mes cuisses et les remonte tout doucement vers mon sexe.

Quand elle est dessus, sa langue s’immobilise et j’ai l’impression que ses doigts prennent la mesure de ma queue. Nos bouches se séparent rapidement et je n’ai pas le temps de réagir qu’elle est déjà à genoux devant moi et baisse mon boxer. Elle reste un moment à faire le contour de mon costume 3 pièces alors qu’elle est toujours complètement habillé.

J’essaye de la lever pour la déshabiller à son tour mais elle reste planter dans le sol. Sa langue me lèche le gland un bon moment et descend parcourir ma tige alors qu’elle déboutonne sa veste avant de l’enlever. Elle avale mon champignon et pose ses lèvres sur mon frein pendant que les mains dans le dos elle ouvre sa jupe.

Elle ne me prend qu’à moitié en bouche et fait coulisser ses lèvres en tournoyant sa langue autour de ma bite alors qu’elle déboutonne maintenant son chemiser et quand elle le retire je découvre ses petits seins fermes directement à l’air libre. Elle recrache mon sexe et le parcours avec les paumes de ses deux mains alors qu’elle se relève pour faire glisser sa jupe et se retrouver dans un petit string en dentelles rouges.

Quand nos visages sont l’un en face de l’autre, elle m’embrasse furtivement la bouche puis se penche vers mon oreille gauche qu’elle se met à lécher avant de me susurrer à l’oreille:« J’adore ton pénis! »Je suis d’abord étonné qu’elle choisisse ce nom, ensuite je sais que j’ai une belle bite mais j’en ai vu des biens plus grosse!

J’essaye de rattraper sa bouche mais elle s’agenouille de nouveau et se met à me sucer goulument. Ses lèvres glissent de plus en plus le long de mon mat, ses mains me malaxe les couilles séparément ou ensemble. Plus elle accélère le rythme de ses allers retours plus elle m’enfonce profondément. Rapidement je commence à taper sa glotte et je sens sa salive couler jusqu’à mes couilles.

Quand elle recrache ma queue, elle est recouverte de bave. Manon se relève, m’attrape par la main et m’amène sous une pergola. Après avoir retiré son string, elle vient s’assoir et commence à glisser pour avoir le bas du dos sur la banquette. Puis elle relève ses jambes et les maintient avec ses mains et se cambre le plus possible.

Je bandais déjà comme un âne mais de voir ma collègue « religieuse » dans cette position j’ai l’impression d’encore plus gonfler. Je me jette entre ses cuisses et je vais directement lui laper les grandes lèvres avant de remonter sur son clito. Avec mon index je fais le tour de sa vulve et je le reproche à chaque fois un peu plus de l’entrée de sa grotte.

Alors que je masse maintenant ses petites lèvres, ma bouche aspire son petit bouton qui gonfle de plus en plus et ma langue le remue dans tous les sens. Elle gémit avec de longs soupirs très compréhensibles. Quand je commence à rentrer mon doigt dans sa chatte, je la sens se crisper mais sous mes massages elle se détend rapidement.

Mon majeur rentre dans la danse alors que je commence à mordiller son clito. Ses soupirs sont devenues des ronronnement et sa grotte dégouline encore plus que ma queue en sortant de sa bouche. Quand il commence à rentrer en elle, Manon se crispe à nouveau mais se détend rapidement. Je la ramone très lentement avec mes deux doigts que je remue en elle pendant que ma bouche s’occupe toujours du sommet de son mont de Vénus.

J’allais faire intervenir mon annulaire mais ma collègue me stop dans mon élan et me dit:« J’ai envie de ta verge maintenant! »Je suis encore une fois étonné par le choix de son vocabulaire, je lui donne encore quelques coups de langues et je me relève.

Elle prend une position assise, se remet à me sucer en essayant le plus possible de me faire des gorges profonde mais elle a du mal. Quand ma bite quitte ses lèvres, elle crache dessus et me branle pour bien étalé toute sa salive. Une fois qu’elle est satisfaite du résultat elle reprend sa position précédente et écarte encore plus les cuisses à l’aide de ses mains.

Je me glisse le plus proche possible d’elle, j’enjoigne ma bite et du bout du gland je caresse ses lèvres intimes. J’ai l’impression que Manon se crispe à nouveau alors je lui demande si tout va bien. Elle me dit que oui mais qu’elle a un peu peur d’avoir mal, je lui malaxe délicatement l’entrée de sa grotte pour la détendre.

Les gémissements reprennent mais elle rajoute quand même:« Ca fait très longtemps et en plus mon mari en a une plus petite que toi! »(Plus tard j’apprends que ça fait presque deux ans qu’ils n’ont pas fait l’amour et que la bite de son homme fait 14 cm, j’en ai 4 de plus.)Je lui dit de se détendre et souffler et qu’elle s’inquiète pas, elle ne va ressentir que du plaisir. Alors que je remplace mes doigts par mon gland entre ses lèvres intimes je la sens encore un peu tendue.

Je décide de la détendre le plus possible en continuant à faire balader mon champignon gonflé de sang sur tout son sexe. Quand je remonte sur son clito je sens qu’elle est mieux. Je redescend entre ses lèvres, j’imbibe bien mon gland de son nectar et je remonte sur son petit bouton. Je lui masse toute la zone pendant une bonne dizaine de minute quand je me lance.

Je me glisse entre ses deux paires de lèvres intimes, je pose mon pouce sur son clito pour continuer à la stimuler et je m’enfonce tout doucement par de petits allers retours. Une fois mon gland passé je la masturbe plus énergiquement et continue de la pénétrer délicatement. Je fixe son visage, il se crispe une fois alors j’accentue les caresses de mon pouce et elle se détend rapidement.

Une fois que je suis au fond, je m’immobilise un instant puis je commence des petits vas et viens. Elle y est très réceptive alors j’augmente rapidement le rythme et l’amplitude. Rapidement elle vire ma main, du coup j’attrape ses jambes par les chevilles et je la baise de plus en plus sauvagement. Cela fait à peine 5 minutes que je la pénètre quand je sens en même temps sa main s’excite et ses muscles vaginaux se contracter autour de moi.

J’accélère encore le tempo pour lui donner le plus de plaisir possible. Son corps se cambre, j’ai même l’impression qu’elle convulse. J’espère que la maison est vide et les voisins absents parce que ses gémissements sont très rapidement devenus des cris. Elle descend sa deuxième main entre nos jambes et saisit mes couilles.

Je n’ai pas d’autre choix que de m’enfoncer le plus profondément possible en elle. Je sens ses muscles qui continuent de jouer avec mon excitation alors que sa main serre de plus belles mes couilles. C’est celle sur son clito qui se calme en premier puis lâche enfin l’étreinte de mes couilles. Je recommence à la limer mais elle rabaisse ses jambes et me fait ressortir.

Manon se lève et me pousse sauvagement sur le canapé, je me retrouve allongé sur le dos. Elle m’enjambe et me chevauche, elle empoigne ma queue et se plante directement dans le sexe. Il y a quelques semaines elle n’envisager pas l’adultère mais maintenant c’est elle qui donne le rythme, en plus elle en redemande encore.

Je vois ma bite disparaitre entre ses lèvres intimes à un rythme plutôt soutenu. Dans cette position aussi j’attends facilement son clito alors je ne me prive pas de le masser, le faire rouler, le pincer… Elle se remet a gémir de plus en plus fort j’ai l’impression qu’un deuxième orgasme arrive. J’accélère la pression avec mon doigt, elle ses mouvements et je sens encore une fois son sexe serrer ma queue.

Une fois que ma collègue à repris ses esprits, je la fais se soulever. Je l’installe à genoux sur l’assise du canapé alors que son corps se repose sur le dossier. En levrette, j’ai une superbe vue sur sa croupe, ses fesses me donnent très envie mais je ne préfère pas l’attaquer immédiatement même si une de mes mains ne peux s’empêcher de les caresser.

De l’autre j’empoigne ma queue pour lui caresser ses lèvres intimes avant de m’introduire d’un coup sec en elle. Manon ronronne de plaisir alors que je l’attrape par la taille et que je commence à la limer de plus en plus vite. Notre étreinte devient de plus en plus sauvage et bestial surtout que dans cette position je la possède encore plus profondément.

Les petits cris qu’elle pousse me donne le feu vert pour continuer mon assaut. Je l’attrape encore plus fermement par la taille et je pilonne sa petite chatte. Au bout d’à peine 5 minutes je sens que son corps est en transe, son sexe se contracte une nouvelle fois autour du mien. Je me demande si Manon jouit toujours aussi rapidement ou si elle ne fait que rattraper les deux ans d’abstinence.

Ma collègue me contracte tellement que je n’arrive presque plus à bouger en elle. Quand le chemin s’élargit un peu je reprends mes vas et viens mais elle me demande rapidement d’arrêter parce qu’elle a:« Le sexe en feu »A regret je fais encore un aller retour et je me retire tout doucement de cette moule bien serrée qui me donne tant de plaisir.

Elle se retourne et s’assoit sur le canapé, elle empoigne ma queue et commence à me branler, aidé de ses sécrétions, en collant mon gland contre son clito. Je la laisse me finir comme ça et je penche sur elle pour l’embrasser à pleine bouche. Alors que nos langues dansent entre ses lèvres je sens mes couilles remonter, mes veines se gonfler et je me répands sur son sexe ce qui lui arrache de nouveaux gémissements.

Je m’affale sur elle un moment alors que nous continuons à nous embrasser. Une fois que la tension est redescendue je m’assois à côté d’elle mais Manon se lève rapidement, elle m’attrape le bras et me dit:« Il faut qu‘on se rince, qu’il n’y ait plus de preuves ».
Elle m’amène à un tuyau d’arrosage qu’elle me tend alors qu’elle règle le jet pas trop fort.

Une fois que je suis rincé je lui tend le tuyau d’arrosage, elle le place sous sa chatte et fait rentrer l’eau en elle pendant que je me sèche au soleil. Une fois qu’elle estime que son entrejambe est assez propre elle retourne vers la pergola, je la suis. Elle attrape sa culotte pour s’essuyer et commence à marmonner.

Elle n’arrête pas de dire que ce n’est pas bien ce que l’on vient de faire. Alors qu’elle est quasiment rhabillée mais moi seulement en boxer et chaussettes, je la prends dans mes bras pour la calmer. Au début elle me repousse un peu et ensuite se calme alors je lui dit:« De ce que j’ai senti c’était pas si mal! »Elle me répond qu’elle ne parle pas de ça mais de la trahison. Je lui dit que ça restera notre secret et qu’en plus vu sa vie maritale ce n’est pas vraiment une trahison.

Ca ne la rassure pas vraiment, elle me demande de partir rapidement alors je m’exécute. J’ai essayé de continuer nos échanges par texto mais elle n’a pas suivi. Par contre deux mois plus tard elle me contact pour m’annoncer qu’elle veut se séparer de son mari et que maintenant elle est prête à repasser du temps avec moi…

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