Une coloc corps à corps
Récit érotique écrit par Albin Thai [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-07-2016 dans la catégorie A dormir debout
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Une coloc corps à corps
L'annonce était laconique. "Propriétaire cherche co-locataires". Ce n'était pas très clair. Un propriétaire, en général recherche des locataires, pas des colocs. Et puis, pas d'autres renseignements, pas de prix, pas de surface, rien.
Intrigué, je me suis rendu sur les lieux. Arrivé à mon tour, on m'a accompagné dans une pièce meublée de seulement une chaise. J'allais m'asseoir, quand une belle femme entra et m'en dissuada.
- Non, fit-elle. Ne vous asseyez pas.
Surpris, je demandai pourquoi.
- La location dépend de vos données corporelles !
- Pardon ?
- Vous m'avez bien entendue !
- Mais, qu'est-ce que ça veut dire ?
- Je vous répondrai si je que je vois me satisfait !
- Ecoutez, soit vous me laissez vous regarder, dans le cas inverse vous pouvez repartir.
- C'est pas normal !
- Et vous comptez faire quoi ? Vous êtes chez moi ! Si vous voulez cet appartement, vous faites ce que je vous demande, et on discute après ! C'est OK ?
- Bon, d'accord...mais, si vous me dites combien coûte le loyer, peut-être ça résoudra la question.
- Il n'y a pas de loyer. La location sera payée en nature !
- Avec quoi ?
- Votre corps ! Que pensez-vous du sexe ?
- Quel sexe ?
- Pardonnez-moi. Je me suis mal exprimée. Que pensez-vous de la sexualité ?
- Je ne sais pas trop...je ne comprend pas bien la question.
- Je cherche des colocataires qui soient bisexuels, parce que le loyer c'est ça. Etre disponible sexuellement. Baiser et se faire baiser. Donner sa bouche et son cul et prendre ceux des autres.
- Vous voulez organiser des orgies ?
- Précisement ! Mais, je n'ai pas le droit de le publier. D'où le sens un peu confus de l'annonce.
- Et qu'est-ce que vous vérifiez, pour me demander de rester debout ?
- Je regarde si ton cul me plait et si je peux voir ta queue !
J'ai vu que j'avais une chance, au moment où elle m'a tutoyé.
- Tu es interessé ?
- Pourquoi pas...
- Alors, à poil !
- Ici ?
- Ben oui !
Une fois nu, elle m'attrapa par la bite et me conduisit dans une pièce voisine. Là, se tenait une fille, à poil, avec un cul de rêve. Devant elle, un noir avec une bite deux fois plus longue et plus grosse que mienne.
- Avec ces deux-là, dit mon hôtesse, dans le sandwich, c'est toi, le jambon. Tu la baises, et lui te baise. Je regarde !
Elle m'attira vers la super nana, qui s'agenouilla immédiatement.
- Sans les mains ! dit l'hôtesse.
Les mains dans le dos, la beauté attrapa mon gland avec sa langue et fit glisser ses lèvres sur ma tige.
- C'est toi qui imprime le mouvement ! me dit-elle. Qu'est ce que tu préfères ? Sa chatte ou son cul ?
J'optais pour sa chatte. Le noir avait fait le tour pour s'approcher de nous. Quand il fut devant moi, il me tendit son gros membre.
- Il vaut mieux que tu mouilles bien, me dit-il. T'en a certainement pas pris de si grosse dans ton cul !
L'hôtesse avait relevé sa robe et se branlait, en salivant à l'idée du spectacle qui allait suivre.
La belle fille, écarta ses cuisses et je plongeai ma bite dans sa moule. Elle venait surement de servir, car ma queue glissa tout au fond, sans difficulté. Quand je fus à l'intérieur de sa chatte, la fille écarta mes fesses. Le noir quitta ma bouche pour s'enfoncer dans mon cul. J'ai gémi au moment où le gland a dépassé le passage étroit de l'anus. A mesure qu'il me pilonnait le cul, ma bite s'enfonçait plus loin dans la chatte de la belle gonzesse. Quand ce fut fini, tout le monde était enduit de sperme.
- Ici, fit l'hôtesse, il faut toujours que tous les trous des participants soient occupés. Tu auras toujours une bite dans le cul et une autre dans la bouche. Ainsi que ceux qui t'habitent. Eux aussi auront leurs orifices comblés. C'est la règle. Si tu veux habiter ici, ajouta-t-elle, tu baises et tu es baisé.
- Et l'argent ? fis-je.
- Quel argent ? T'as pas compris ?
- Si, mais les préservatifs, les lubrifiants, les médicaments ?
- Tout ça, c'est moi qui finance ! Toi tu baises et tu te fait baiser. Si tu as besoin d'aller ailleurs, c'est que tu n'as pas ton compte. On t'en donnera plus, tu ne seras jamais en manque. Tiens, je viens d'imaginer une variante spéciale pour toi. Maurice ? appela-t-elle. La 49 pour monsieur !
Trois autres hommes, aussi bien montés que le premier, firent leur apparition. Celui qui avait la plus longue bite, se coucha à terre. Deux de ses compères, me prirent par les mains et me conduisirent jusqu'a lui. Ils me firent l'enjamber et m'invitèrent à m'empaler sur le braquemart. Ils ont appuyé sur mes épaules, jusqu'à ce que le membre chevalin soit totalement enfoncè dans mon cul. Ils m'ont poussé en avant jusqu'à ce que mon torse épouse celui du gars qui me possédait. Un deuxième gars, s'agenouilla entre mes jambes et s'employa à faire rejoindre sa pine à l'autre, déjà enfoncée dans mon cul. Une fois les deux bite dans le cul, les deux mecs restants, vinrent se mettre à genoux, de part et d'autre de la tête de mes enculeurs, et collant leurs bites, l'une à l'autre, ils les présentèrent à mes lèvres. Les deux glands s'enfoncèrent lentement dans ma bouche. Je salivais un max. Les deux bites écartelèrent mes lèvres et bientôt, je ne pus plus respirer.
- Respire par le nez ! Fit l'hôtesse. Tu avaleras le sperme plus facilement.
Le sexe du mec, dans mon dos, sortit de mon cul, et le sperme se déversa sur mon dos.Celui resté à l'intérieur, inonda mon cul qui déborda. L'hôtesse était à côté et regardait. Elle se pencha vers moi, trempa ses doigts dans le sperme tombé de mon cul et me les tendis à lécher.
- Ici, on ne laisse rien ! Alors, tu n'as rien dit ! Tu acceptes la location, ou pas ?
La grosse bite du noir occupait toujours ma bouche.
- Je prends ce silence pour un oui ! Après le travail, tout le monde nettoie les instruments. Des autres s'entend ! Demain, on ira compléter ta garde robe. Tu dois toujours être prêt à donner ton cul ou à en prendre un !
Intrigué, je me suis rendu sur les lieux. Arrivé à mon tour, on m'a accompagné dans une pièce meublée de seulement une chaise. J'allais m'asseoir, quand une belle femme entra et m'en dissuada.
- Non, fit-elle. Ne vous asseyez pas.
Surpris, je demandai pourquoi.
- La location dépend de vos données corporelles !
- Pardon ?
- Vous m'avez bien entendue !
- Mais, qu'est-ce que ça veut dire ?
- Je vous répondrai si je que je vois me satisfait !
- Ecoutez, soit vous me laissez vous regarder, dans le cas inverse vous pouvez repartir.
- C'est pas normal !
- Et vous comptez faire quoi ? Vous êtes chez moi ! Si vous voulez cet appartement, vous faites ce que je vous demande, et on discute après ! C'est OK ?
- Bon, d'accord...mais, si vous me dites combien coûte le loyer, peut-être ça résoudra la question.
- Il n'y a pas de loyer. La location sera payée en nature !
- Avec quoi ?
- Votre corps ! Que pensez-vous du sexe ?
- Quel sexe ?
- Pardonnez-moi. Je me suis mal exprimée. Que pensez-vous de la sexualité ?
- Je ne sais pas trop...je ne comprend pas bien la question.
- Je cherche des colocataires qui soient bisexuels, parce que le loyer c'est ça. Etre disponible sexuellement. Baiser et se faire baiser. Donner sa bouche et son cul et prendre ceux des autres.
- Vous voulez organiser des orgies ?
- Précisement ! Mais, je n'ai pas le droit de le publier. D'où le sens un peu confus de l'annonce.
- Et qu'est-ce que vous vérifiez, pour me demander de rester debout ?
- Je regarde si ton cul me plait et si je peux voir ta queue !
J'ai vu que j'avais une chance, au moment où elle m'a tutoyé.
- Tu es interessé ?
- Pourquoi pas...
- Alors, à poil !
- Ici ?
- Ben oui !
Une fois nu, elle m'attrapa par la bite et me conduisit dans une pièce voisine. Là, se tenait une fille, à poil, avec un cul de rêve. Devant elle, un noir avec une bite deux fois plus longue et plus grosse que mienne.
- Avec ces deux-là, dit mon hôtesse, dans le sandwich, c'est toi, le jambon. Tu la baises, et lui te baise. Je regarde !
Elle m'attira vers la super nana, qui s'agenouilla immédiatement.
- Sans les mains ! dit l'hôtesse.
Les mains dans le dos, la beauté attrapa mon gland avec sa langue et fit glisser ses lèvres sur ma tige.
- C'est toi qui imprime le mouvement ! me dit-elle. Qu'est ce que tu préfères ? Sa chatte ou son cul ?
J'optais pour sa chatte. Le noir avait fait le tour pour s'approcher de nous. Quand il fut devant moi, il me tendit son gros membre.
- Il vaut mieux que tu mouilles bien, me dit-il. T'en a certainement pas pris de si grosse dans ton cul !
L'hôtesse avait relevé sa robe et se branlait, en salivant à l'idée du spectacle qui allait suivre.
La belle fille, écarta ses cuisses et je plongeai ma bite dans sa moule. Elle venait surement de servir, car ma queue glissa tout au fond, sans difficulté. Quand je fus à l'intérieur de sa chatte, la fille écarta mes fesses. Le noir quitta ma bouche pour s'enfoncer dans mon cul. J'ai gémi au moment où le gland a dépassé le passage étroit de l'anus. A mesure qu'il me pilonnait le cul, ma bite s'enfonçait plus loin dans la chatte de la belle gonzesse. Quand ce fut fini, tout le monde était enduit de sperme.
- Ici, fit l'hôtesse, il faut toujours que tous les trous des participants soient occupés. Tu auras toujours une bite dans le cul et une autre dans la bouche. Ainsi que ceux qui t'habitent. Eux aussi auront leurs orifices comblés. C'est la règle. Si tu veux habiter ici, ajouta-t-elle, tu baises et tu es baisé.
- Et l'argent ? fis-je.
- Quel argent ? T'as pas compris ?
- Si, mais les préservatifs, les lubrifiants, les médicaments ?
- Tout ça, c'est moi qui finance ! Toi tu baises et tu te fait baiser. Si tu as besoin d'aller ailleurs, c'est que tu n'as pas ton compte. On t'en donnera plus, tu ne seras jamais en manque. Tiens, je viens d'imaginer une variante spéciale pour toi. Maurice ? appela-t-elle. La 49 pour monsieur !
Trois autres hommes, aussi bien montés que le premier, firent leur apparition. Celui qui avait la plus longue bite, se coucha à terre. Deux de ses compères, me prirent par les mains et me conduisirent jusqu'a lui. Ils me firent l'enjamber et m'invitèrent à m'empaler sur le braquemart. Ils ont appuyé sur mes épaules, jusqu'à ce que le membre chevalin soit totalement enfoncè dans mon cul. Ils m'ont poussé en avant jusqu'à ce que mon torse épouse celui du gars qui me possédait. Un deuxième gars, s'agenouilla entre mes jambes et s'employa à faire rejoindre sa pine à l'autre, déjà enfoncée dans mon cul. Une fois les deux bite dans le cul, les deux mecs restants, vinrent se mettre à genoux, de part et d'autre de la tête de mes enculeurs, et collant leurs bites, l'une à l'autre, ils les présentèrent à mes lèvres. Les deux glands s'enfoncèrent lentement dans ma bouche. Je salivais un max. Les deux bites écartelèrent mes lèvres et bientôt, je ne pus plus respirer.
- Respire par le nez ! Fit l'hôtesse. Tu avaleras le sperme plus facilement.
Le sexe du mec, dans mon dos, sortit de mon cul, et le sperme se déversa sur mon dos.Celui resté à l'intérieur, inonda mon cul qui déborda. L'hôtesse était à côté et regardait. Elle se pencha vers moi, trempa ses doigts dans le sperme tombé de mon cul et me les tendis à lécher.
- Ici, on ne laisse rien ! Alors, tu n'as rien dit ! Tu acceptes la location, ou pas ?
La grosse bite du noir occupait toujours ma bouche.
- Je prends ce silence pour un oui ! Après le travail, tout le monde nettoie les instruments. Des autres s'entend ! Demain, on ira compléter ta garde robe. Tu dois toujours être prêt à donner ton cul ou à en prendre un !
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