Une colocation très chaude. 2 - histoire érotique

UNE COLOCATION TRES CHAUDE. 2

-you know i've never known a lover so prolix in fuck, that's ejaculation!
-J’ai compris à peu près mais que fait-on maintenant ? me demande Claude.
-Je n’aime pas rester sur ma fin, occupe-toi de moi, bel étalon !

SuiteJe le fais se relever, l’enlace et lui pelote le cul en l’embrassant dans le cou, frottant son sexe durci contre mon corps.
Je glisse une jambe entre ses cuisses et presse mes mains plus fort sur ses fesses, écrasant sa virilité sur mon ventre. Les événements prennent une tournure intéressante quand il glisse sa main entre mes cuisses et explore ma fente.

- Bien ! Très bien ! Dit-il avec un sourire carnassier. On dirait bien que vous êtes trempée.

Il écarte ma culotte souillée de ma mouille pour explorer ma petite chatte rose, couverte d’une fine toison noire.
Je lui susurre à l’oreille :
- it's up to you now to let me down ! (A toi maintenant de me lécher !)
Je me retourne, prends en main son engin et le guide vers ma chambre, bouillant intérieurement de cette situation inédite qui me rend totalement folle de désir. Je me couche sur le lit et ouvre le compas de mes cuisses. Il se met à genoux entre mes cuisses et de ses deux mains, il écarte mes fesses pour y coller sa bouche, bien décidé à me rendre le plaisir que je lui ai procuré, mais sait-il s’y prendre ?
Il entreprend de me lécher les lèvres, de titiller l'entrée de mon vagin avec sa langue qu’il me fourre ensuite autant que possible. Je halète déjà et l'encourage à approfondir son exploration.
Il remonte un peu plus haut et aspire mon clitoris qui grossit sous ses lèvres (quel délice !) tout en introduisant deux doigts dans ma fente. C’est divin !
Mais sa bouche descend le long de ma vulve, s’attardant sur le périnée, pour terminer par me chatouiller l'anus du bout de la langue tout en continuant à me doigter vigoureusement.
Il ne me laisse aucun répit, passant sans arrêt de mon clito à mes lèvres, ma fente, mon périnée, mon anus, bientôt recouverts d'un mélange de sa salive et de mon abondante mouille.
Je n'en peux plus et éclate dans une jouissance orgasmique qui secoue tout mon corps, surprise de sa puissance. Comment ce jeunot peut-il avoir une telle science, une telle connaissance du plaisir féminin ? Je crie tellement fort, espérons que l’épaisseur des murs étouffe mes hurlements et ne parvienne pas aux chambres de mes enfants.
Il replonge dans l’odeur de ma chatte ruisselante, goûtant ma cyprine sucrée et abondante…. Il me dévore littéralement la chatte !!!

- Ohh ouiiii !!! Comme ça ouiiiiii…… Nooonnn !

Il aspire mon clitoris gonflé et le titille de la pointe de sa langue puis le garde longuement dans sa bouche ….J’halète, je gémis, retirant mon soutif pour me pincer doucement le bout des seins.
Je le regarde replonger sa tête, enfouir presque entièrement son visage dans mon sexe, buvant ma liqueur. Puis il glisse de nouveau un doigt dans ma fente et aspire à nouveau mon petit bouton. Ma respiration s’accélère, je me cambre de plus en plus…
- Mange-moi mon chéri…. Ouuuiii ! Je jouiiiss !!!

Je ferme les yeux, profitant de cet instant. Je l’agrippe par les cheveux pour tirer sa tête en arrière…. Mon corps est animé de très violents spasmes. De me sucer la chatte et le cul, ce salaud me fait hurler de plaisir. Je replie mes jambes largement ouvertes, fixant comme médusée l'énorme bourgeon de chair. Claude se masturbe devant moi des deux mains, le gland rougeaud disparait et réapparait sous le prépuce mobile suivant les mouvements de va-et-vient de sa main.
Je suis tellement excitée par la vision de ce gros phallus tendu dans ma direction qui semble me narguer que je malaxe ma poitrine, pressant mes lourdes mamelles.
Puis il positionne sa bite devant ma chatte et y enfourne son gland bien plus gros et plus gonflé que ce que j’ai connu jusqu’à présent. Jamais tel engin ne s’est encore présenter aux portes de ma chatte.
Je n’ai d’yeux pour cette big cock qui va dans une fraction de seconde me perforer ma moule débordante de mouille. J’attends quelques secondes, m’impatientant mais il ne vient pas… Je n’en peux plus et lui lance un regard de désespoir, et c’est à ce moment qu’il s’enfonce en moi.
La sensation est inoubliable. Je sens les parois de ma chatte se distendre à l’avancement de cette bite hors-normes qui écartèle les parois de mon vagin, en épousant chaque millimètre carré avant de venir se loger tout au fond.
Il me pénètre d'un seul mouvement sur toute la longueur de ma chatte. Je pousse un grand cri, il commence un va et vient lent. Je me mets à gémir puis mes gémissements se transforment en petits cris d'encouragements.

Je n’aurais jamais dû... Il me retourne dans un élan bestial. Je me retrouve sur les genoux, les mains crispées dans les draps pendant qu’il me pilonne comme un fou, mes seins se mettent à rebondir sous ses coups de boutoir. C’est extraordinaire mais dur à supporter. J’halète, la sueur suinte entre mes seins. Mon plaisir monte, monte, monte, je n’ai jamais connu ça. Il ressort pratiquement en entier dans un mouvement ample et soutenu, et revient de la même manière. Cette sensation d’être aussi pleine est fantastique. La pression monte avant de se relâcher brutalement dans un orgasme irréel. Mais il continue à aller encore plus fort en moi.
Soudain je sens un liquide chaud se répandre au fond de ma chatte. Claude éjacule en moi, heureusement que je prends la pilule, en m’embrassant dans le creux du coup. Il ne bouge plus. Nous restons ainsi quelques secondes. Je crois qu’il va se retirer mais il repart de plus belle. Je sens son sperme si abondant, chassé de ma chatte, s’écouler le long de mes cuisses.
Jamais je n’aurais imaginé qu’une bite pareille puisse exister sur un corps si frêle, mais encore moins qu’un sexe d’une taille absolument hallucinante soit aussi courageux et prolixe. Son manche continue frénétiquement à me labourer la chatte tellement sensible que j’enchaîne les orgasmes. Je n’ai jamais connu ça… Il finit par se retirer et pose sa verge sur mon cul, ses mains appuyées sur mes fesses pour envoyer une troisième fois la purée. Son éjaculation est encore phénoménale, je sens plusieurs jets longs et puissants atterrir sur mon corps qui le couvre des cheveux au creux de mes reins. Si j’avais su que depuis deux mois, j’avais sous la main un tel « Géniteur » !!! Enfin… L’année est encore longue.
-Je te remercie pour ton dépannage et ton petit extra, Claude… Et j’espère pouvoir encore en connaître d’autres. Le petit baudet cache en vérité un sacré étalon !
Il se rhabille sans un mot, m’envoie un baiser de la main et s’en va, sûrement le sentiment du devoir accompli.

Claude :Ça part mal pour ma résolution mais comment faire pour résister à cette furie qui se jette sur ma teub après m’avoir ébouillanté. Encore une chance que je m’en tire sans trop de mal. Enfin… Avec Chelsea, je risque moins qu’elle raconte son aventure aux autres filles.
En parlant d’elles… Quand le chat n’est pas là, les souris dansent… Certains après-midi où elles n’ont pas cours, elles se retrouvent autour de la piscine pour se raconter les potins du jour… Ou de la nuit. La plupart sont en topless sauf la péruvienne en maillot une pièce et la chinoise avec un maillot qui ressemble à une combinaison de plongée. Différents pays, différents mœurs… Ce qui m’étonne, c’est que Tom, le jumeau de Shirley, soit présent sans que ça ne les dérangent le moins du monde.

A suivre…