Une consultation peu ordinaire - histoire érotique

Depuis 2 semaines, assez souvent, quand je vais uriner j’ai mal à la queue. J’ai l’impression qu’il y a comme des mini cailloux qui sortent avec mon urine.
Ce matin, je sors des toilettes et j’ai eu à nouveau mal. Pourtant je n’ai rien fait de spécial surtout depuis que je suis séparé de ma femme je n’ai eu que 2 aventures alors ça serait vraiment pas de chance que j’ai chopé une maladie. Bon c’est décidé j’appelle mon médecin. Il me suit depuis que j’ai 15 ans alors aucune honte de lui raconte mes « soucis intimes ».
J’ai sa secrétaire au téléphone, je lui explique que j’ai mal depuis un moment quand j’urine, elle me rajoute après le dernier rendez vous du lendemain fin de matinée. Je partirai 15 minutes avant la pose de midi, c’est parfait pour moi.

Le matin à mon réveil, j’ai à nouveau mal en urinant. Je file sous la douche pour bien me laver. Je me lave tellement bien que même si la veille, avant de m’endormir je me suis branlé, je m’astique à nouveau en me savonnant!
11h43, j’éteins mon ordinateur et je me prépare pour mon rendez vous.
12h08 j’arrive chez le médecin, j’ai pris 5 min pour discuter avec la comptable de la boite. Enfin j’ai plutôt passer 5 min à lorgner sur sa poitrine, il faudrait que je me décide à l’inviter à prendre un verre!

La salle d’attente est vide, je ne devrais pas attendre longtemps. Je feuillette un magazine. Moins de 5 minutes après la porte du docteur s’ouvre. Une patiente en ressort une ordonnance et une feuille de soin à la main. J’attends qu’il vienne me chercher et quand enfin je vois enfin le docteur dans l’encadrement de la porte il y a un petit problème. Dr Viai, un homme d’une soixantaine d’années avec une calvitie plus que naissante et une barbe s’est transformé en une femme brune d’environ 35 ans, d’1m75, avec de magnifique yeux verts et une poitrine très généreuse, sa blouse ne dévoile que la naissance de ses seins mais je suis que ce qu’elle cache est magnifique. Je n’avais pas prévu de parler de ça avec une femme et encore moins de devoir lui montre ma queue. Apres lui avoir serré la main, je la précède pour rentrer dans le cabinet et je vais m’assoir en face du bureau, mais je ne sais pas quoi faire. J’ose quand même demander: 
« Le docteur Viai n’est pas la? »
« Non, il a du s’absenter pour des obsèques et m’a demandé de le remplacer pour la journée. Je suis le docteur Fiesta, comment je peux vous aider? »
« Euhh! En fait… j’avais pris rendez vous avec le docteur parce que… j’ai mal »
« C’est souvent le cas quand on vient nous voir. Vous avez mal où? »
Je ne sais vraiment pas quoi faire, même si je me dis que c’est un médecin, qu’elle a du avoir a faire a des situations bien plus gênantes, je n’ose pas…
« Je vous écoute …»
Alors qu’elle baisse la tête pour regarder des papiers sur son bureau, je me lance:
« En fait j’ai mal à… j’ai mal à la… gorge! » C’est pas grave je prendrai un rendez vous quand docteur Viai sera de retour. Mais je l’entends rigoler et me dire:
« C’est marrant Mr Alain mais je vois là que vous avez dit à la secrétaire que vous aviez mal quand vous urinez! »
Je sens ma température intérieur monter, je dois être tout rouge. Je baisse la tête et marmonne: « Oui… ça aussi », j’ose à peine relever la tête.
« Alors on va voir ces 2 problèmes! »
Elle me sourit et me demande de passer derrière le paravent et de me mettre en slip et de l’attendre assis sur la table d’auscultation. Je porte un boxer noir bien moulant, je suis assez bien monté (17cm). Je m’assoies sur la table et place une main devant ma queue. Le docteur Fiesta me demande depuis quand j’ai mal à la gorge, qu’est ce que je restent exactement quand j’avale… tout en m’auscultant la gorge, dommage qu’elle porte des gants j’adore le contact de la main d’une femme sur ma peau. Puis me dit: « Bon je sens ni ne vois rien, je ne vois même pas une petite irritation. Si ça persiste VRAIMENT (elle n’avait pas besoin d’insister sur le vraiment!) prenez des pastilles. Bon maintenant vous êtes prêt a parler de votre autre douleur? »
Je rougis un peu et fais oui de la tête.
« Depuis quand vous avez mal »
« Environ 2 semaines »
« Vous sentez quoi quand vous urinez? »
« J’ai l’impression que de petits cailloux passent dans mon canal urinaire »
« Vous avez cette impression uniquement en urinant ou tout le temps »
« Uniquement en urinant »
« A chaque fois que vous urinez »
« Non »
« Ok, je vois. Vous avez déjà eu des calculs rénaux? »
« Oui une fois, j’y ai pensé mais les douleurs sont différentes et je n’ai pas du tout une mal aux reins »
« Est ce que vous eu des rapports non protégés » elle regarde ma main, je porte toujours mon alliance, « à part avec votre femme évidement? »
« Je suis séparé depuis 6 mois, depuis je n’ai eu que des rapports protégés. »
Sur un ton tout aussi sérieux elle continue « Très bien. Vous vous masturbez? »
Aucun doute je suis encore plus rouge qu’une tomate. Elle le voit et me dit « Vous n’avez pas à rougir, c’est naturel. On le fait tous »
J’ai bien entendu???? J’ai l’impression que tout le sang qui m’était monté au visage et en train de redescendre vers ma bitte. Je me dis intérieurement « Ne l’imagine pas en train de se masturber, ne l’imagine pas en train de se masturber, ne l’imagine…. »
Quand je suis interrompu par une nouvelle question. « Vous avez déjà fait contrôler votre prostate? »
« Euh non! »
« Bon on va regarder tout ça. Enlever votre caleçon et allongez vous »
Bon pas d’autres choix, le seul problème c’est que dans mon caleçon ce n’est pas totalement mou puisque à chaque fois que mon docteur se penche je peux admirer sa belle poitrine. En enlevant mon caleçon avec 2 doigts je fais pression sur le coté de ma bite pour dégonfler un peu et me cache quand même le sexe.
« Vous savez j’ai l’habitude, mais vous n’avez pas de honte à avoir. Ne vous stressez si vous bander, tout d’abord c’est normal vu la zone que je vais ausculter mais aussi c’est plus facile pour moi d’atteindre toutes les zones. Donc maintenant si vous pouvez enlever vos mains s’il vous plait! » puis elle ajoute un beau sourire, je pense pour me décontracter mais ça a l’effet inverse, je me contracte au niveau de la queue. Mais bon pas le choix je place mes mains le long de mes hanches!
Elle regarde mon sexe et avant de commencer elle ajoute « Mais si vous bandez alors que je n’ai même pas commencer à vous toucher, c’est tout simplement flatteur pour moi! » (je rêve???). Puis en posant ses doigts sur ma verge, elle ajoute « dites moi si je vous fait mal ou que vous avez une sensation anormale ».

Elle commence par faire des points de pressions sur toute la longueur de ma bitte, ce qui me fait encore plus gonfler. Elle remonte ses doigts jusqu’à mon gland et me décalotte. Là je regrette encore plus qu’elle porte toujours ses gants.
Ensuite elle me la tient droite avec sa main gauche et fait un point de pression, avec son pousse, sur mon frein. De sa main gauche, elle m’ausculte une couille puis l’autre…
Ce n’est pas la première fois que je me fais ausculter à ce niveau là mais par contre c’est la première fois que j’ai plus l’impression d’être masturber qu’ausculter! Mais vu le minois et le corps de mon médecin je ne vais pas me plaindre. Par contre il ne faudrait pas que ce traitement ne dure trop longtemps sinon je vais éjaculer.

Heureusement elle me fait revenir sur terre avec une nouvelle question mais tout en continuant « son examen ».
« Les douleurs se situent uniquement au niveau de la verge? »
Je me concentre pour lui répondre normalement malgré mon avis de gémir et de me lâcher: « des fois j’ai aussi l’impression d’avoir mal derrière mes testicules »
Elle abandonne mon costume trois pièces et en changeant ses gants elle me dit: « Ecoutez je ne vois rien mais j’aimerai quand même vérifier votre prostate. Il est possible que vous ayez une inflammation »
Sans même attendre, je me mets à 4 pattes, j’écarte les jambes et penche la tête pour l’observer derrière ma bitte qui est toujours autant tendue. Elle se retourne, me vois dans cette position et fait sauter un bouton de sa blouse qui me dévoile encore plus sa poitrine. En enduisant ses doigt de gel, elle me dit qu’elle va y aller doucement et que je devrais pas avoir mal. Je ne vais tout de même pas lui avouer que j’ai l’habitude. J’aime me faire doigter dans le cul pendant que je me fais branler ou sucer. Quand elle approche je me cambre bien et je l’entend me dire « Apparement vous avez l’habitude de prendre cette position. C’est très bien mais d’abord finissons cet examen! (je ne peux pas halluciner pour la troisième fois!!!) Ecartez au maximum les jambes et ramenez votre verge et vos testicules avec une de vos mains, s’il vous plait »
Je m’exécute. Puis je sens 2 doigts très froid se poser sur ma raie et partir à la recherche de mon trou. Une fois leur objectif atteint, elle les fait tourner autour de mon trou en augmentant à chaque fois la pression et en resserrant le diamètre du cercle. Trop facilement ma résistance s’aide et les doigts rentrent. Elle enfonce tout doucement ses doigts au plus profond de moi, je la sens les courber. Je pense qu’elle a atteint ma prostate parce que ma queue est encore plus gonflée. Apres quelques minutes, elle retire tout aussi doucement ses doigts. Tout ça est tellement bon que je sens un peu de liquide sortir de mon méat.

Une fois entièrement sorti de moi elle me dit: « Votre prostate est parfaite, d’après moi quand vous éjaculez vous n’évacuez pas tout le sperme et c’est ça qui vous fait mal quand vous urinez. Remettez vous sur le ventre. » Je me retourne. Elle enlève ses gants. Attrape des étriers. Les fixe sur la table. Et me dis d’un ton sévère: « Les pieds dans les étriers ». J’obéis.
Elle revient vers la table, le pot de gel à la main. Dans cette position je lui expose non seulement mon sexe et mes couilles mais aussi une vue plongeante sur mon cul qui est encore un peu ouvert.
D’un ton encore plus sévère que précédemment elle me dit « Maintenant je vais te montrer comment bien te vider ». Plus aucun doute. Elle est passée directement au tutoiement et en plus elle est directive, j’adore ça. Après avoir mis du gel sur ses mains (elle ne porte plus de gants, enfin!) elle attrape à 2 mains ma queue, toujours aussi tendu, à la base et remonte doucement ses doigts jusqu’a mon gland et répète l’opération une dizaine de fois. Mais à des rythmes et avec des pressions différents à chaque fois.
Je suis tellement excité que j’ai à nouveau du liquide qui coule de mon méat. Elle laisse sa main gauche continuer les aller retour et avec 2 doigts de sa main droite elle rattrape mon liquide en remontant jusqu’à mon urètre. Elle avance ses doigt vers mon visage. J’ouvre la bouche. Elle introduit ses doigt dans ma bouche et me dis « Tu ne jouis pas avant que je t’autorise, c’est clair »
Elle enlève ses doigts de ma bouche et me donne 3 petites claques sur la joue gauche.
« Oui, maitresse! »
«  Je ne suis pas ta maitresse mais ton docteur! » et me donne une fessée très sèche.
« Pardon docteur »
« Je préfère »
Elle se rassoies, et fait passer ma queue dans sa main droite. Elle me griffe le frein avec l’ongle de son pouce. Je gémis. Sans aucune précaution elle m’enfonce 2 doigts dans le cul en me disant « Qui t’a permis de gémir? » et me sodomise avec ses doigt, en faisant des allers retours plus ou moins rapide, tout en continuant à me griffer le frein et en serrant et desserrant ses autres doigts autour de ma bitte.
« Pardon docteur. »
Heureusement que je me suis branler ce matin sinon j’aurai joui depuis longtemps.
Au bout de 5 minutes je suis quand même obliger de lui dire: « Pardonnez moi, docteur, mais je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps avec un tel traitement ».
« Tu te retiens un point c’est tout ». Elle n’a vraiment pas l’intention de m’aider puisqu’elle se penche sur ma queue et me lèche le gland. Passe sa langue tout autour de la base de mon champignon, remonte en rond jusqu’à mon urètre qu’elle essaye de pénétrer avec sa langue tout en continuant à me sodomiser avec ses doigts. Elle continue ainsi pendant quelques minutes. Je suis oblige de penser à mes factures, mon ex belle mère… pour me retenir. Quand elle retire mon gland de sa bouche et me dis « Tu as de la chance que je n’ai plus le temps, sinon ce petit jeu aurait duré encore longtemps».
Elle lâche un instant ma queue pour entièrement ouvrir sa blouse et avec sa main gauche introduis un troisième doigts en moi.
La salope ne porte pas de soutient gorge, ses seins sont aussi tendu que ma bitte! Elle dirige mon gland vers sa poitrine et accélère le rythme de ses 2 mains. Je n’en peux plus, je lâche 4 grandes giclées qui viennent s’écraser sur sa gorge et ses seins. Elle enfonce encore plus ses doigts en moi et pose ma queue, qui continue de couler, directement sur ses seins. Une fois que je me suis entièrement vider, elle retire brusquement ses 3 doigts. la douleur et le plaisir se mélangent. Elle repenche vers moi et aspire ma queue comme si elle essayait d’aspirer du venin, tout en mettant ses doigts, tout droit sortis de mon cul, dans ma bouche.
Quand elle retire ses doigts de ma bouche, tout en recrachent ma bitte, elle m’attrape par les cheveux et colle mon visage à sa poitrine en m’ordonnant de tout lécher. Je ne me fais pas prier surtout qu’il m’est souvent arriver d’avaler mon sperme après m’être branler (ça évite de salir les draps!). Ma langue et mes lèvres passent sur chaque millimètre de cette poitrine qui m’excite depuis la première fois que je l’ai vu, et avale chaque goutte de sperme que j’ai déposé.
Une fois ses seins entièrement nettoyer, elle se lève et en reboutonnant sa blouse elle me dit:
« Maintenant allez uriner, vous avez un toilette derrière cette porte. »
Même si elle est repassée au vouvoiement je m’exécute.
A mon retour des toilettes, elle est derrière sont bureau en train de prendre des notes comme à la fin d’une consultation « normale », et me dit:
« A chaque fois que vous éjaculer, vous devez faire remonter le liquide bloqué dans le canal avec vos doigts, comme j’ai fait lorsque votre sexe était contre ma poitrine, et aller uriner assez rapidement après afin d’évacuer le sperme qui n’est pas sorti de votre canal urinaire. Si vous respectez bien ça vous devriez ne plus avoir de douleurs »
Une fois ses notes terminés, elle lève la tête vers moi, et se retient de rire et me dit:
« Tu es un bon soumis qui attend ses ordres! Pour te récompenser je t’attends ce soir à mon cabinet a 19h, je veux vérifier si maintenant tu sais bien te vider comme il faut. Maintenant vas t’habiller! »
« Oui docteur », en disant ces mots, mon érection redémarre, elle le remarque et ajoute que j’ai l’interdiction de me branler jusqu’à mon retour dans son cabinet.
Etant très obéissant j’étais de retour dans la salle d’attente à 18h50 sans mettre masturbé bien que j’ai passé l’après midi en éréction à force de repenser à cette consultation peu ordinaire et mais aussi en imaginant ce qui aller se passer à partir de 19h.