Une de mes journées de tapin...

- Par l'auteur HDS Denisa -
Récit érotique écrit par Denisa [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Une de mes journées de tapin... Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-10-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une de mes journées de tapin...
Je m'appelle Denisa. Je suis une jeune femme originaire de Roumanie et j'ai 29 ans aujourd'hui. Je ne vais pas revenir sur les circonstances et les événements qui m'ont conduit à me prostituer, si ce n'est que je suis née dans une famille très pauvre avec des parents absents et partis à l'étranger. Pour moi, le fait que j'ai un beau physique était probablement un des seuls moyens de faire obtenir une vie confortable sans devenir le jouet d'un mari potentiellement alcoolique ou violent comme mon village d'origine en était plein. J'ai commencé très vite à perdre ma virginité et faire l'amour avec des garçons de la régions, sans trop me rendre compte. Comme sexuellement, je suis devenue très active et que j'ai trouvé l'activité agréable, je n'étais pas une fille trop difficile, surtout vu mon absence d'environnement familial ou de réputation à défendre. En plus, je dois avouer que je dois avoir une prédisposition naturelle pour le sexe car, lors de la première pipe que j'ai faite à un mec, j'ai tout avaler sans me poser de question, c'était presque un réflexe. De même, mes premières années d'adolescence furent marquées par une prépondérance du sexe anal. D'ailleurs, j'ai perdu ma virginité du cul longtemps avant de perdre celle de ma chatte, principalement de peur de tomber enceinte, les méthodes contraceptives étant inaccessibles à l'époque dans ma région. La aussi, j'ai dû profiter d'une excellente disposition naturelle, car je jouissais du cul comme une folle et sans difficulté la où toutes mes copines trouvaient cela douloureux ou répugnant... Petit à petit, surtout après que mon pays soit entré dans l'Union Européenne, quelques hommes qui sont partis à l'ouest pour travailler ont commencé à revenir au pays l'été, les poches pleines. Inutile de vous dire que je suis devenue rapidement leur "vide-couille" à presque tous. C'était une situation qui s'est installée presque naturellement, sans douleur, une baise en copain contre des cadeaux. J'en ai aussi profité pour parfaire un peu l'éducation nullissime que j'avais reçu dans mon enfance via une école sans aucun moyen et complètement dépassée. J'ai appris certaines langues, notamment le Français que je trouve superbe, car on me disait que c'était la langue de l'amour et cela m'a rendu curieuse, et aussi un peu d'anglais et d'italien. Au bout d'un moment, il n'était plus possible pour moi de rester au village, car mon comportement était devenu connu et l'acceptation des filles comme moi dans cet univers était nul. J'ai donc quitté mes pauvres grand-parents pour m'installer en ville assez rapidement, grâce notamment à mon cul qui m'a tout payé, j'avais à peine dix-huit ans...

Un ou deux ans, j'ai fréquenté quelques étrangers, notamment des des étudiants arabes et français, et je me suis dit que ce serait une bonne idée d'aller voir ailleurs. J'ai donc voyagé un peu, et j'ai décider de me fixer un peu en France, pas en permanence mais comme base d'attache, car la tolérance sur place par rapport à mon style de vie et mes exigences personnelles y était supérieur. Je me suis fixé dans une ville moyenne de province, parce que la vie y est moins cher et la sécurité plus grande... Paris ou Grenoble, brrrr... Et comme je n'ai pas envie de tomber dans les mains d'un "mac" qui me bouffera la moitié de mes entrées, c'est la règle dans les grandes villes, c'était la meilleure décision pour ma liberté comme pour ma qualité de vie.

Ce que je veux vous raconter, de manière directe et sans détour, sans mensonge, est une de mes journée de "travail". J'ai un peu romancé pour que celle-ci soit représentative de ma clientèle diversifiée, mais tous les événements que je relate se sont produit réellement un jour et de la manière dont je l'écris.
Alors, tout d'abord, je vais me décrire... J'ai 29 ans, je suis de petite taille, environ 1,60m, brune, avec le corps bien proportionné. J'ai une peau bronzée naturellement, un peu halée, bien que je ne sois pas gitane, et j'ai des yeux bleus que les hommes apprécient. Mes seins sont une des parties de mon anatomie qui m'est le plus complimenté, j'ai une belle poitrine moyenne de bonnet C qui ne tombe pas. Je fait pas mal de sport pour m'entretenir et cela se voit aussi pour mes fesses et mes jambes, longues pour ma taille, dont j'ai une grande fierté. Je ne sais pas si les organes sexuels vraiment s'usent en les utilisants, mais je pense que non car ma chatte ne s'est pas "écartelée" comme prétendent certains mecs (surtout des cons, je le reconnais) et j'ai toujours du plaisir à me faire baiser par une bite petite que je sens bien en moi, indifféremment du nombre de grosses queues qui m'ont baisé la chatte, et il y en a eu pas mal... Évidemment, je reconnais, il y a des mecs qui vraiment ont des bites microscopique, pas plus grandes qu'un petit pouce, et la tu dois forcément simuler, mais en général je n'ai pas trop ce problème. Pour moi, une bonne queue bien bandée de taille moyenne c'est ce qu'il y a de meilleur... Un bite trop longue et pas trop large, c'est vrai, ça fait parfois mal au fond de la chatte, mais mon cul va l'accueillir jusqu'au fond sans problème... Une bine bien large et plutôt courte, avec un peu d'exercice pour se dilater comme il faut, aucun problème pour ma petite chatte, elle va l'avaler superbement... Parfois, j'ai vu des organes monstrueux, des bites vraiment énormes... Il y a certains mecs qui viennent me voir sur recommandation, parce que je prends un peu plus les "hors gabarits" que les autres filles, mais des fois, c'est impossible... J'en ai vu certain avec des bites de 40 centimètres de long réel et une largeur énorme, la, il n'y a pas de miracle, j'essaie de bien les branler et les lécher, mais ça ne passera pas, je les plains et je leur recommande d'aller faire un casting porno car ils peuvent transformer leur "infirmité" en avantage. J'ai fais un peu de porno, pas trop parce que j'aime la discrétion, souvent masquée, mais ce que je n'aime pas surtout dans ce milieu c'est que tout est du "chiqué", le filles sont bourrées d'antidouleurs et les mecs pleins de viagra, moi je n'aime pas ça même si ça paie bien. J'aime bien passer un bon moment naturel, me faire bien baiser de manière normale, c'est ce qui me plait...

Alors, comme je vous le disait, je vis actuellement principalement dans une moyenne ville de province française, je loue un appartement où je vis dans un quartier familial et un studio près de la gare, ou je travaille... Mes matinées commencent tard, vers 10 ou 11 heures, parce que, avec ou sans activité, je me couche toujours très tard le soir. Ce matin la, je me suis rendue vers 10h dans mon studio, car j'avais un client qui avait pris rendez-vous pour une heure à 10H30. Il s'agit d'un vieux militaire, il se fait appeler le colonel, mais je pense pas qu'il ait été autre chose qu'un simple sous-officier, enfin moi je m'en fous, si ça lui fait plaisir de rêver un peu en lui demandant de l'appeler colonel, c'est mon job. C'est un homme qui va sur ses 70 ans, un peu plus grand que moi, toujours coiffé court avec des cheveux blancs qui deviennent rares avec les années, il commence clairement à perdre ses muscles et son taux de testostérone n'est plus ce qu'il était. Il vient me voit depuis 4 ans environ, une fois par mois, sans doute après avoir encaissé sa retraite. Au début, il était "normal" comme client, mais sa libido est devenue de plus en plus en molle, mais je me débrouille pour qu'il passe un bon moment à chaque fois.

Donc j'arrive à mon studio, je prends un douche et je me parfume le corps, tout en me maquillant de manière hyper voyante et vulgaire, je sais que le Colonel aime ce style. Je mets un joli porte-jarretière noir avec des sous-vêtements de dentelles rouge et un simple peignoir de soie par dessus, il n'aime pas trop de complications. Comme une horloge, j'entends l'alarme à 10:30 exacte qui sonne à l'interphone. Je lui ouvre, quelques minutes après, il est à ma porte.
Il est un peu essoufflé mais entre d'un pas sûr un peu forcé en me lançant un "Salut Den' !" assourdissant. Je prends son pardessus et l'invite à s'asseoir et boire un café, c'est la coutume entre lui et moi. La conversation commence :
- ça va ma belle ?
- Oui, colonel, et vous ?
- Je me fais vieux, bientôt je risque de ne plus pouvoir venir te voir... La tuyauterie devient rouillée.
- Ne dites pas cela, vous qui avez tellement combattu et tellement sauté de belles dans votre vie, vous tenez encore bien le coup.
- Heureusement, tu me comprends toi, t'es vraiment un belle pute, et j'en ai connu pas mal...
Il est toujours cru et déprimé, mais il s'illumine quand je laisse tomber mon peignoir sur le sol et me dévoile à lui. Il laisse expirer un "ffffuuu" qui est un peu un code entre nous comme un mélange de contentement et d'admiration.
Je m'approche du fauteuil où il s'est assit et je commence à le caresser lentement en lui déboutonnant la chemise. Son torse est couverts de longs poils gris et sa peau commence commence à se couvrir de tâches, mais il a encore quelques muscles, ils fondent mais sont encore là.
J'approche ma bouche de son oreille et je commence à la lui mordiller pendant que ma main carresse se mamelons tout en faisant tomber sa chemise et deplace son maillot de corps.
Je fini petit à petit par me rapprocher de sa bouche pour l'embrasser... Pas trop profondément car l'haleine de tabac doublée de colle à dentier est forte et vraiment puante, c'est une des horreur de mon métier parfois, mais pour les clients âgés c'est relativement courant. Comme le Colonel est un homme qui aime aller directement au but, je m'agenouille devant lui sitôt qu'il est torse nu et je commence à lui défaire sa ceinture et défaire sa braguette... Après un petit effort, je tire le pantalon vers le bas tout en accrochant son caleçon également. Il a fait un bel effort d'hygiène aujourd'hui, bien que sa prostate laisse écouler quelques gouttes de liquide sur le devant de son pénis. Je sors ma langue pour en lécher le bout sans le décalotter, et je lui dis :
- Salut paupaul !!!
Le colonel me réponds alors :
- T'es vraiment une sacrée pute Den' !
- Tu viendrais pas me voir depuis si longtemps sinon, n'est-ce pas ?
- Sûr... t'es un bordel entier à toi toute seule, je me souviens d'une fois...
Je l'interromps en décalottant brutalement son gland, pas le temps ni l'envie de vieux souvenir d'il y a 30 ans...
Je commence alors tout délicatement à lui lécher le frein, tout en caressant ses couilles avec la main gauche et tenant sa queue à la base avec la main droite...
Il est un peu excité mais elle est très molle. Je ne perds pas trop de temps en préliminaire, je sais qu'avec lui elle peut retomber et ne plus remonter, je m'attelle...
Je glisse alors son pénis tout entier dans ma bouche en le posant sur ma langue, je ne pompe pas trop fort, juste ce qu'il faut, pour ne pas qu'il ait une douleur.
Je commence alors à jouer avec ma langue sur son gland et je vois que me doigts qui triturent ses boules sont efficace, le petit escargot prend un peu de vigueur... Une fois bien bandé, enfin, autant que faire que peux, moyennement dûr disons car il n'ira pas plus loin pour l'instant... Je l'invite à se coucher sur le lit, lequel est juste à côté.
Le colonel s'étend bien à l'horizontale, et je me libère alors les seins pour le caresser sur le corps avec ma poitrine... Il adore ça. Petit à petit, je m'étend à l'inverse à côté de lui et je recommence à lui sucer la bite, cette fois avec un peu plus de vigueur mais pas trop... Lui me caresse la chatte avec ses grandes mains osseuses, il n'est pas trop mauvais, mais ses doigt manquent de muscle et la sensation n'est pas la meilleure, mais il sait bien jouer avec mon clito. Je mouille toutefois assez vite car je suis faite comme ça et la situation m'excite, la peur que la bite retombe me mets un pression que j'aime relever comme un défi. Je force un petit peu sur la succion, et le colonel me dit de diminuer, je sais qu'il a une limite. Mais sa bite est bien montée, une belle érection et j'ai l'impression que sa bourse, toute fripée il y a une quinzaine de minute a pris du volume. Je crois que le moment de la pénétration arrive...
Je lui dit alors :
- Je veux te sentir en moi.
Il acquiesce.
Je monte alors sur lui, les cuisses autour de ses cuisses en essayant de ne pas lui faire mal car je vois quelques escarres sur ses jambes maintenant vidé de muscles... Hmmm... sa bite n'est pas si mal à prendre en main, elle est presque dure comme celle d'un mec de 50 ans... Ma chatte mouille, et je me mets à frotter délicatement son gland contre ma chatte pour le lubrifier bien... Oui, cela marche bien, et je le sens qui glisse en moi...
Pour ceux qui vont me haïr ou dire du mal de moi, me traiter d'idiote ou d'inconsciente, je vous réponds que non, je ne lui ai pas mis de capote... Mon vieux client de 70 ans est dans mon ventre à cru. Et je répondrais tout simplement deux choses : 1. Essayer avec la plupart des messieurs andropausés de leur mettre un capote, c'est déjà bien quand ils bandent, les trois quarts débanderont. 2. Ceux qui ne débanderont pas ne jouiront probablement pas.
Ce n'est pas un grand secret, moi je prends les clients de cet âge la, c'est tout, qui voudra pourra me jeter la pierre.
Je commence à faire des aller-retour lent et profond, tout en lui caressant les couilles avec ma main droite et le bas ventre avec ma main gauche... Lui me touche les hanches et me caresse les seins. Je serre ma chatte au maximum afin que son gland arrive à mon col au fond de moi...
Lorsque je sens que le bout me touche au fond, je sens son membre qui se remplit d'un coup de sang et grossi un peu, cela ne dure pas trop mais son rythme cardiaque augmente... J'essaie de fixer mes aller-venue sur sa respiration, mais je sens que c'est dur... Après une vingtaine de minute, le rythme baisse... Je passe donc à l'envers sur lui rapidement, serrant mes cuisse avec son membre dans ma chatte... Je me penche bien pour que la pénétration soit la plus complète possible, tout en tendant le bout de mes doigt sous moi pour caresser de temps en temps ses boules avec mes ongles.
Petit à petit, je me penche bien et fait des aller-retours plus rapides avec mon bassin. Je m'accroche à ses chevilles...
Je sens que j'ai pris le bon rythme, il commence à me tirer sur les fesses, il me sent bien...
Au bout de quelques minute, je sens, son membre re-grossi un peu, il vibre... Je me cambre bien et diminue la vitesse. Deux ou trois ultime aller-retours, accompagné d'une explosion de chaleur en moi, et je sens la semence du colonel qui se libère en moi... Ce n'est pas une éjaculation puissance qui cogne contre mon col, mais un coup de jus chaud que je sens dans mon vagin...
Il grogne... J'arrête de bouger et je laisse sortir lentement son pénis de ma chatte... Lui a déjà bien débandé...
Me redressant, je me mets la main à la chatte, et je laisse un peu couler...
C'est un peu décevant, j'ai de la peine à faire la différence entre ma mouille et son sperme tellement il est aqueux. Mais je le félicite :
- Éh bien mon Colonel, tu m'as bien rempli mon salaud, je suis toute pleine...
Il me réponds calme et un peu tremblotant:
- Putain, je sais comment tu as pu tirer ça de moi, mais j'ai bien giclé trois bon coup dans ton trou... Quelle superbe salope tu es...
- Merci Colonel, tu veux rester encore un peu ?
- Non, non, le maximum a été donné... Ton enveloppe est dans ma poche gauche, tu gardes tout...
- Merci Colonel, reviens vite...
- Oui, oui...
Il reste allongé une dizaine de minutes puis se rhabille, et après avoir bu un verre d'eau que je lui ai amené, se dirige vers la porte ou, très élégamment, il me fait le baise main et me salue, sa voix très adoucie.
En ouvrant l'enveloppe, je me rends compte qu'il m'a laisser 20% de plus en pourboire... J'aime bien ce client, même si presque 50 minutes se sont écoulés sans que je réussisse à jouir moi-même de peur de me déconcentrer et que sa bandaison retombe. Il m'aurait laisser les sous, mais j'aime le travail qui se mérite.

Je vais alors dans ma petite salle de bain prendre une bonne douche et me parfumer le corps, j'en profite pour bien me laver la chatte avec un savon à ph neutre, afin de faire couler ce qui reste du colonel en moi...
Ensuite, une petite cigarette, et j'ouvre mon téléphone pour voir si j'ai reçu un message.
Pas mal de message sur la messagerie, mais pas grand chose qui parait sérieux, beaucoup de curieux ou de peureux... Certain qui demandent des photos et disparaissent. Quelques jeunes qui s'amusent.
Un routier m'envoie un message en anglais avec un numéro de république tchèque. Il va passer dans ma ville bientôt et me demande si je peux monter le faire dans le camion. Je lui réponds que oui, mais le tarif est un peu plus cher car je dois me déplacer vers l'aire de repos et elle est assez loin de mon appart. Il dit ok, qu'il sera la dans une heure et demie ou deux heures, je luis demande de m'écrire 45 minutes avant. Il dit "OK", qui sait si il m'écrira...
Un jeunot m'envoie un message... Il a fêté ses dix-huit ans hier et veux essayer une pro qui connait bien son taf... Sa copine ne fait pas bien l'amour selon lui...
Pourquoi pas ? Mais il n'a pas l'argent pour une heure. Ok, je lui propose qu'il vienne pour une pipe, on verra après. Je lui donne l'adresse, qu'il vienne avec sa carte d'identité, je ne veux pas de problème avec un mineur...
Un dizaine de minute après, mon interphone sonne... J'ouvre.
A ma porte apparaît un jeune homme grand, environ 1,85, maigre, avec quelques boutons et des cheveux court. Son visage est long comme son corps, il est vêtus de manière classique, pas le genre "streetwear", ce doit être un fils de famille qui vient se faire sucer avec son argent de poche... Un bon client pour l'avenir, il en aura pour son argent. Après avoir vérifié son âge, je me rends compte que c'est bien vrai qu'il a fêté ses dix-huit ans la veille... La petite salope que je suis va bien s'amuser, on va faire un effort pour lui. J'envoie vite un message au routier, peut être que j'aurais un peu de retard si il arrive dans 1 heure, il me réponds que pas de problème...
Je fais asseoir mon jeunot et je lui donne un coca. Je lui demande :
- Ca va ?
- Oui, madame, me dit-il en tremblotant et bégayant.
- Je suis Denisa, m'appelle pas madame, je ne suis pas assez vieille pour être ta mère.
- Je suis désolé, Denisa, pardon.
- Pas grave... Alors tu veux baiser un pro ? T'es sur que tu es pas mieux avec ta copine ?
- Euh... ma copine... non.. enfin. Il bégaye et ne sais plus que dire, ça m'amuse à fond...
- Ce que tu veux c'est pas très clair... Lui dis-je en souriant largement.
- Je sais pas. Me dit-il rougissant en regardant le sol.
- Eh bien moi je sais... Tu sais, je suis une pute, tu es pas le premier qui vient comme ça, tu sais ?
- Oui... Il me regarde les yeux littéralement écarquillés.
- Tu es sûr de ce que tu veux ?
- Oui, sûr... me dit-il, pas du tout assuré.
- Tu veux que je te suce ? Ou qu'on baise ?
- Euh... j'ai pas l'argent pour l'heure...
- Je sais. Lui dis-je assurer.
- ...
- Tu veux me baiser ?
- ...Euh...
- Tu ne sais pas ce que ça veut dire ?
- ...Oui... Me dit-il d'un air un peu énervé.
Sans doute que je m'amuse un peu trop avec lui, mais je me marre avec sa gêne.
- Alors dis-le.
- Je voudrais baiser avec vous. Dit-il un peu plus assurer.
- Ça c'est mieux... C'est plus facile quand tu dis les choses tu sais ?
- ...Oui... Dit-il de nouveau en perdant son assurance.
- Ok, alors tu vas me dire "je veux te baiser Denisa, ma pute", ok ? Je lui fait un clin d'oeil.
- ... je veux baiser avec toi Denisa... ma... dit-il hyper gêné.
- Ok, alors, je te connais pas, mais je vais te faire un cadeau d'anniversaire. Aujourd'hui, je vais te laisser me baiser après la pipe, pour le même prix... Mais je veux que tu me bourres et que tu me fasses jouir, tu peux faire ça ?
Le pauvre est tout rouge, écarlate, mais il sourit tout en transpirant... Il reste silencieux en me regardant mais tremble pas mal, je vois que ça bouge dans sa braguette...
Je reprends :
- Tu t'appelles comment ?
- ... Pierre... répond-t-il.
- Alors Pierre, je crois que tu as un problème dans ta braguette...
- Euh... Il me regarde fixement ne sachant quoi dire.
En douceur, je me déshabille de mon peignoir, je suis entièrement nue devant lui... Je me retourne un peu sur moi-même et je me remonte les sein et relance mes cheveux en arrière...
Je le regarde dans les yeux :
- Je te plait, Pierre ?
- Vous êtes superbe, me dit-il étonnamment sûr de lui.
Ça veut dire que je lui plait vraiment, sinon il serait toujours gourd et je l'aurais viré. Mais la, ça vaut le coup que je fasse un effort.
- Ok, mets-toi debout, lui dis-je assez sévèrement...
Il s'exécute...
Doucement mais surement, je m'approche de lui et je commence à le déshabiller rapidement...
Je le laisse debout devant moi, juste en slip... Je vois sa bite qui force sur le tissu et une belle tache humide...
Je me mets face à lui et je commence à lui lécher la gorge tout en caressant très délicatement son pénis et ses couilles à travers son slip.
Je frotte mes seins contre son torse, il tressaille... Et je me mets à lui mordiller et lui lécher le bout des tétons.
C'est un beau jeune homme, il n'est pas très musclé ni très poilu, mais son corps et ses membres sont bien dessinés... Il a de grand pieds, c'est sur, mais ses abdos ne sont pas mal pour son âge, il doit faire pas mal de sport, sans doute de la bicyclette car ses jambes sont bien plus musclées que ses bras..
Je descends lentement en promenant ma langue sur son nombril et en mordillant un peu la peau de son ventre...
Je m'accroupi devant lui, et tire son slip en bas d'un coup sec...
Devant moi jailli une belle bite, fine et avec le gland large qui se dessine sous la peau de son prépuce. Mais la taille n'est pas mal, il fait un bon 18 centimètre je dirais et son gland est anormalement large par rapport à sa verge. J'ai de quoi m'amuser un peu...
Il a de belles couilles grosse dans une belle bourse lisse... Sa pilosité est châtain claire, presque blonde, et il y a une jolie touffe soyeuse au dessus de son sexe.
Il sent bon les hormones jeunes... J'aime bien ça...
Je mets ma lange entre ses cuisse et je commence à lui lécher le dessous des couilles... Il tressaille à chaque coup de langue...
Je remonte petit à petit vers le bout de sa verge avec le bout de ma langue... Je la glisse juste sous la peau un petit peu, pour faire couler le liquide gluant sur ma langue...
Je remonte vers lui, et je l'embrasse à pleine bouche en me mettant sur la point des pieds... Ma main gauche empoigne son membre pendant que nos langue se caressent et je le décalotte tranquillement mais en serrant fermement...
Je regarde en bas, son gland est large et rouge... sympa... comme un petit champignon... Et de son trou coule un large fil de liquide séminal... Mon jeune mec mouille à fond...
Je le pousse vers le fauteuil et je l'assois... Rapidement je me mets à genoux entre ses grande jambe écartées et, tout en lui tenant la verge de la main droite, je lui relève les couilles et je commence à lui lécher à plein langue le périnée et les testicules...
Je sens que mon pauvre jeune n'en peux plus... Son expérience doit être hyper limitée...
Je remonte alors avec ma langue le long sa verge et je commence à enfourner très lentement son pénis en le tenant décalotté au maximum avec ma main droite à la base...
Je vais essayer à la "langue velours"... Sans le branler, sinon il va jouir trop vite... J'immobilise donc la peau de son prépuce à la base avec son gland décalotté au maximum. J'ouvre la bouche en grand et je fais glisser son prépuce sur ma langue jusqu'au fond de ma gorge... Quand je le sens au fond, je lui serre fort les testicules que je tiens dans ma main gauche, puis j'éloigne tout doucement la bite dans ma bouche en faisant une succion légère comme une ventouse... J'amène le gland jusqu'à mes lèvres et j'embrasse le bout avant de le reprendre en bouche tout en serrant mes lèvres sur son gland... Et je recommence l'opération, profondément, je respire par la bouche...
J'entend mon pauvre jeunot qui gémit... Eh oui, une bouche à bite comme la mienne, il n'est pas venu pour rien...
Mais je continue mon opération... Son gland vibre et remplit ma bouche de liquide séminal à chaque frottement contre ma langue...
J'augmente un peu la pression de la succion et je déglutit quand je sens le gland au fond de ma gorge...
Je souffle un peu, mes yeux pleurent, mais je reste concentrée...
Je commence à sentir la bite très gonflée dans ma bouche... Les battements de son coeur me tapent au fond de la gorge et sur mes lèvres autour de sa verge...
Ses testicules se tendent dans ses bourses, je suis au même rythme que lui, je sens qu'il va jouir...
Je pousse sa bite au fond de ma gorge et j'avale le premier jet d'un sperme plein et gras, salé et picant à la fois...
J'aspire en déglutissant un coup encore...
I gicle encore un bon coup... Je lui serre les couilles jusqu'à lui faire presque mal... Il gémit très fort...
Il gicle un troisième bon coup, plus liquide mais plus salé, il me remplit la bouche le salaud...
Ça y est, dernier spasme mais presque sans liquide...
Je pompe encore un petit peu et ramène mes doigts serrés jusqu'à la base du gland, un dernier filet de sperme s'écoule dans ma bouche...
Je dégluti pour avaler ce qui reste dans ma bouche et laisse sortir la belle bite qui maintenant dégonfle légèrement...
Je me redresse et regarde mon jeunot, affalé et ébêté, le regard dans le vide... Béat...
On m'a toujours dit que j'étais une super suceuse, et je crois que c'est bien vrai... J'en suis fière...
Mon pauvre jeunot est toujours dans les vappes... Je lui demande :
- Alors, Pierre ? T'as aimés ?
Il lève le regard sur moi et ouvre la bouche lentement...
- Oua... c'était vraiment... oua... t'es vraiment une bonne... je sais pas...
Je le coup et lui répond :
- Oui, je sais...
Viens t'étendre.
Il s'étend doucement sur le lit et je lui sers un verre d'eau.
Je lui laisse pas beaucoup de temps de répit et je lui monte dessus, asseyant ma chatte sur sa figure... Il est surprit mais ne résiste pas...
Je lui dit : "Allez, lèche ta pute, Pierre"...
Il commence à sortir sa langue sur ma chatte et me lèche assez maladroitement...
Je l'encourage en lui disant de la mettre dedans, de me sucer le clito, mais il est un peu gourd au début... Pas trop facile de me faire jouir comme ça, mais je suis déjà bien mouillée de l'avoir bien sucé.
Il travaille avec sa langue dans ma chatte depuis une bonne dizaine de minute quand je vois son champignon commencer à se redresser un petit peu...
Je tends ma main et je commence a caresser sa bite... Elle remonte doucement...
Je suis bien mouillée, je coule... Avec ma main gauche j'attrape une capote sur l'étagère au mur...
J'ouvre le sachet et je pince bien le bout avec mes doigts... Je me penche et décalotte bien son gland tout en déroulant la capote de tout son long sur sa bite...
Je me redresse et monte sur lui, violemment, et faisant d'un coup rentrer sa bite dans ma chatte...
Il cogne tout de suite au fond de ma chatte sur mon col uterin, pas mal monté le jeunot...
Je le sens bien, je sens son sang battre au fond de moi par sa bite.
Je le regarde dans les yeux, il rougit et détourne le regard...
Je lui donne une gifle légère et je lui dit : "regarde moi".
Il me regarde...
- Regarde mes seins Pierre !
Il les empoigne avec ses main chaudes et moites.
- Regarde, t'es en moi Pierre, regarde comme tu bouges en moi...
Il baisse les yeux et regarde le spectacle de sa bite bien bandée qui glisse dans ma chatte coulante...
- Ça te plait d'être dans une pute ?
Il détourne le regard et ne répond pas...
Je lui redonne un gifle...
- Alors, ça te plait ?
- Oui, répond-t-il énervé un petit peu...
- Bon, alors monte sur moi et baise moi vraiment !
Je sors alors sa bite de ma chatte et je m'étend sur le dos devant lui en écartant mes deux jambes en l'air le plus large possible.
Je lui ordonne alors :
"Allez, met-la toi dans ta pute !"
Il prend alors son membre en main et la glisse dans mon vagin... Je resserre alors me jambe autour de lui et je le tire vers moi...
Avant de l'embrasser baveusement, je lui glisse à l'oreille : "Baise ta pute, Pierre".
Il commence alors à faire des aller retour en moi... Je le sens qui cogne, qui bouge, qui m'écarte...
Je l'encourage, "Vas-y, plus fort !", "Mets la moi bien profond !".
Il s'active... Ma chatte commence à être en feu... Je lève mes jambes en l'air pour les mettre sur ses épaule...
- Vas-y, Pierre, pousses ! Sens ma chatte... Tu sens ma chatte ?
- Oui...
- Réponds, tu sens ma chatte de pute ?
- Oui... Je sens ta chatte...
- Ah oui ? Et ça te plait d'être dans ma chatte de pute ? Réponds, putain !!
- Oui, j'adore ta chatte de pute... dit-il toujours un peu timide.
- Alors vas-y, laboure moi à fond, comme la pute que je suis... Montre que ta bite est la bonne... Vas-y...
- Oui...
Je tends alors mes jambes le plus possible et je serre ma chatte à fond... À ma surprise, il dit spontanément :
- T'es vraiment bonne...
Satisfaite de moi et excitée, je lui réponds :
- Alors vas-y profite de ta pute... dis-le moi.
- Oui, t'es bonne...
- T'es bonne qui ?
- T'es bonne ma pute, dit-il tout doucement...
- T'arrêtes pas, tape a à fond, hurlais-je tont en serrant la chatte et tendant les jambes à fond.
Je le sens qui grogne et qui transpire. Moi-même je coule à fond... Je ne suis pas loin de venir aussi...
- Alors, tu me baises ? Tu baises ta pute ?
- Oui...
- Allez, salaud, plus fort... Tu vas me faire jouir, tu vas faire jouir ta pute...tu veux faire jouir ta pute ?
- Oui... Je veux.
Il commence à me labourer à fond, je commence à sentir le moindre millimètre de sa longue verge au gland gonflé me frotter dans mon vagin, je le sens y compris contre ma vessie...
Il me baise bien ce jeunot...
Quelque aller-retour encore, ça y est, je pète de la chatte et je mouille un bon coup, il m'a fait jouir ce con...
Je lui crie maintenant :
- Allez, viens dans ta pute... Je te veux...
Je replie les jambes et je le retire contre moi en l'embrassant de nouveau à pleine langue.
Je le sens tout suant tout contre moi. Mais il bouge toujours aussi vite...
Je l'encourage car je sens son pouls a fond dans ma chatte.
-Allez, crie que tu veux ta pute...
- J'te veux...
- Allez, viens, jouis en moi Pierre...
Pas besoin de lui en dire trop. En quelques secondes je le sens tressaillir dans ma chatte et je sens le réservoir du préservatif qui se gonfle en moi...
Il reste tendu quelques secondes au dessus de moi et moi, puis il s'effondre sur mon épaule...
Je le laisse au repos un minute, puis je glisse doucement ma main sur sa verge.
La, je le renverse de côté. et je retire le préservatif depuis la base en tenant le réservoir plein au bout...
La capote est bien pleine, un beau liquide blanc et consistent, surprenant quand on sait combien je l'ai fait juté juste avant la baise.
Il me regarde en silence, un peu hébété... Puis je verse doucement le sperme de la capote sur mes seins et je masse mon corps et mon ventre avec. Puis, je retourne le préservatif avec mon doigt à l'intérieur et je le suce avec ma bouche, nettoyant ce qui reste dans la capote avec ma langue.
Je descend alors vers mon jeunot qui me regarde en silence, je prends sa bite dans ma bouche pour bien la nettoyer et je la recalotte délicatement.
Il reste quelques minutes comme ça avant d'aller faire une douche, puis il s'habille rapidement sans trop me parler...
Vers la fin, je lui demande : "Alors ?"
Il me regarde dans les yeux et me dit :
"... C'était vraiment super".
Il me donne la somme convenue pour une pipe en ajoutant quelques billets qui lui restait et me dis :
"c'est tout ce que j'ai... mais tout ce que tu fais ça vaut plus".
Ahaha... Je suis contente de moi, en voila un qui reviendra.
Je lui réponds :
- Merci ! Bon anniversaire Pierre.
- Merci Denisa !
Un dernier petit regard caché et il passe la porte et s'en va.

Rapidement, je fonce vers mon téléphone... Je suis restée plus de temps que prévu avec le jeunot. Presque une heure trente...
Le routier m'a écrit, il est arrivé à l'aire de repos, il me dit qu'il va faire une sieste.
Je lui écrit vite que je suis prête, il me réponds qu'il est toujours d'accord. Je lui annonce que dans 30 - 45 minute, je suis la-bas.
Il me dit qu'il m'attend, un camion jaune avec une cabine et une immatriculation tchèque.

Je vais vite faire une douche et me parfumer.
Je me maquille de manière voyante, mais sans exagération. Je met vitre une robe serrée d'élastane noir, c'est la meilleure des combinaisons pour une fille comme moi. Un string noir. Je sors sans soutif, mes seins seront moulés par la robe si j'ai envie d'attirer la tension. Je mets des bottine avec des chaussettes en dentelle et hop, mon manteau de cuir noir par dessus... Je suis tout en noir, seule mon rouge à lèvre rouge vif ressort et mes pommettes que je me suis poudrée rosé.
Je me mets en marche vers l'aire de repos. C'est une aire sympa, elle est reliée au parc municipal d'à coté, cela me fait du bien de marcher un peu.
L'aire a un grand parking visible, voiture et camion séparé mais côte à côte. Les WC publics sont propres et commodes, avec un banc devant, entrée séparée pour les hommes et les femmes de part et d'autre d'une zone de pic-nic.

Personne sur l'aire de repos. Je m'approche du camion jaune que je reconnais tout de suite, c'est le seul véhicule. Je frappe à la porte.
Un barbu noiraud aux yeux verts apparait par la fenêtre. Il me dit dans un mauvais anglais :
- C'est toi Denisa ? D'un air sec...
- Oui.
- Montre-toi un peu, je veux voir si tu corresponds aux photos.
Ok...
J'enlève mon manteau et je tourne sur moi-même en remontant ma robe au niveau des fesses.
Le routier siffle et m'adresse :
- Belle fille... je suis d'accord mais je te préviens, je veux ni refus de ce qu'on a discuté ni augmentation de tarif. Ok ?
- C'est un deal, mec. Je reviens jamais dessus.
Je monte dans le camion, c'est un grand camion avec une grande cabine.
Le routier tire les rideaux, me tend la somme convenue et allume le plafonnier.
J'enlève ma robe d'un coup, restant face au routier en string et bottines. Le gros mec siffle de nouveau :
- Putain, belle poitrine, t'es de la bombe toi...
- Oui coco, tu vois c'est pas du faux...
Le gros camionneur sentait la transpiration mais avait l'air relativement propre sur lui. Mis a part qu'il devait faire au moins 150 kilos, et semblait aussi poilu qu'un singe, de gros bras larges, de grosses jambes, et un sourire sympathique. Il me regarda puis me dit tout d'un coup :
- Ok, on fait ça sur mon siège ici, c'est ok pour toi, je peux le reculer et le faire pivoter, ça marche ?
J'observais avec attention, la cabine semblait très large et une odeur de rance venait de la couchette, le siège du chauffeur semblait large et serait tout aussi bien.
- Oui, ça ira sans problème. Lui répondis-je.
- Et je veux ton cul, ok ? Pas de refus...
- Je t'ai dit qu'un deal était un deal.
Le chauffeur commença a défaire sa ceinture et sa braguette pendant que j'enlevait mon string et commençais à me caresser de manière érotique devant lui...
Il sorti alors finalement une très longue bite relativement large qui sortait d'une énorme touffe de poils noirs et frisés
Le chauffeur était bien monté, mais son poids, notamment son énorme bide qui sortait de sous son t-shirt cassait son physique... Cela ne me rebutait pas, j'étais assez émoustillée de voir ce membre large et long au gland presque plat et écrasé au bout, il me faisait vraiment penser à un cylindre... J'espérais juste que la largeur ne serait pas problématique pour mon petit cul, mais cela ne me faisait pas peur. Le gros camionneur me regardait en se branlant, je voyais son gros cylindre devenir de plus en plus droit et couler au bout... Cela m'excitait terriblement... Tout d'un coup, il me lança :
- Montre moi ton te petit trou... Tu es ici pour ça, c'est mon kif...
Je me retourna doucement et écarta mes deux fesse avec mes mains pour lui laisser bien voir mon trou rond et brun...
- Superbe petit trou ma belle... tu es sûre que tu feras face à ma matraque ? me demanda le chauffeur.
- J'ai mes techniques, tu vas voir, je suis pas une débutante...
- Je m'en doute, me dit le camionneur en rigolant...
Je me pencha vers mon manteau et je sorti un paquet de capote, un tube de lubrifiant, et ma petite poire gonflable...
Le camionneur, ricanant, me lança : "je vois que tu es bien équipée... On peut oublier la capote ?"
Je lui répondis immédiatement : "Non, désolé, je sais pas où tu traines ton gros bazar".
Intérieurement, je savais bien que ce serait difficile de venir à bout de ce grand membre dans une capote, laquelle risquait d'ailleurs de casser à deux chances sur trois. Le camionneur me regarda et leva la tête, puis il me dit : "Je suis clean".
Je lui répondis immédiatement : "moi aussi, mais tu peux le prouver ?"
Il me dit "Oui, je peux...".
Il sorti alors sont téléphone et me montra une analyse HIV du mois précédent, laquelle lui avait été ordonnée par son docteur dans le cadre d'un contrôle général de sang. Je sortis alors aussi mon smartphone et lui montra mes dernières analyses qui étaient du mois dernier. En bonne commerçante de mon cul, je me lui demanda : "Puisque le deal a changé et que tu n'en as pas parlé avant, tu me dois un bonus, sinon je m'en vais et je te laisse comme ça"...
La camionneur dépité me regardait les yeux injectés de sang et sa grosse bite en main toute gluante... Il poussa un soupir et me répondit :
- Tu veux combien petit cul ?
- Le double, lui dis-je du tac au tac...
- Non, 50% de plus, ok ?
- J'acquiesçais...
50% de plus étaient et bien venus et bien mérités, car faire jouir ce mec obèse avec mon cul alors qu'il était pratiquement paralysé sur son siège de conduite ne serait pas une chose facile et j'allait devoir bien jouer du cul...
Je repris alors ma danse érotique... Puis, mettant un genou sur la banquette et laissant une jambe à terre, je montrais bien mon cul au camionneur... Lequel continuait de se branler en bavant devant le spectacle que je lui offrait. Je pris un air facétieux en lui disant :
- Te branle pas trop vite... je veux que tu dures un peu... Moi aussi je veux jouir.
Il rigola un bon coup et arrêta de se branler pour se caresser plus lentement...
Je commença alors à verser un peu de lubrifiant sur mon index et à le glisser dans mon cul toujours présenté au camionneur... Je glissa mon autre main entre mes jambes par dessous mon ventre et commença à me branler le clito en même temps... Ma chatte coulait terriblement de ma stimulation anale car, pour être honnête avec vous, j'adore ça... Je continua quelques minutes avant que mon petit cul commença à être suffisamment dilaté, je m'interrompis un instant pour lubrifier ma poire gonflable et l'introduire dans mon cul... Je repris alors ma position sur la banquette, le cul bien au vue du camionneur et le tube de la pompe de ma poire dans ma main droite, en reprenant ma branlette de mon autre main... Doucement le glonflait la poire puis appuyait sur la valve pour la dégonfler... Au bout de quelques minutes, je senti mon cul bien dilaté à l'intérieur et j'entrepris de dilater mon sphincter avec la poire en la tirant un petit peu vers l'extérieur...
Encore quelque minute et je retirais la poire en laissant mon cul bien béant ouvert à la vue de mon camionneur...
- Superbe, me lança-t-il tout baveux...
J'injecta encore un peu de lubrifiant dans mon cul, et j'entrepris de m'accroupir et m'approcher de la grosse bite du camionneur... Penchée en avant, je pris la grosse bite en main en tendant ma main sous mon ventre, puis je guidais la grosse queue vers mon trou préparé...
Même bien dilatée et lubrifiée, mon cul était à la limite et devait se dilater d'avantage... Je poussa donc très progressivement pour ne pas forcer mon sphincter...
La bite entra en moi avec un peu de résistance... Je poussa encore un peu... Puis encore un peu... Jusqu'à engloutir les trois quarts de la grosse bite dans mon cul avant de me redresser progressivement... Je répéta la procédure jusqu'à sentir mon sphincter suffisamment relaxé pour pouvoir commencer à augmenter le rythme...
Mon camionneur grognait et me pelotait les fesses et les hanches... Il me complimentait ou me traitais de pute dans sa langue, je ne parlais pas tchèque, mais je comprenais ce qu'il voulait dire...
Je commença à pousser plus profondément... Jusqu'au point où je sentis les os du bassin de mon camionneur contre mes fesses... J'étais littéralement assise sur la queue qui m'occupait tout le rectum... J'étais très satisfaite d'avoir tout pu prendre dans mon cul, car par expérience, si il avait eu 1 centimètre de plus, j'aurais senti une douleur et je n'aurais pas pu l'engloutir en entier, ce qui aurait compliqué les choses et diminué considérablement mon propre plaisir...
Mon camionneur me complimenta : "Je sens ton fond ma belle... tu as vraiment un cul fait pour la baise".
Heureusement que je m'étais fait un lavement juste avant de venir... Certains clients n'annoncent pas qu'ils veulent l'anal et cela interdit la situation. Une pénétration aussi profonde et complète est impossible si on a de la merde dans le rectum...
Je commença à aller et venir sur sa bite avec mon cul comme sur un pieu, tout en me caressant la clito avec mon autre main...
Je m'asseyais littéralement sur lui, mon cul pétait et coulait de liquide, mélange de sécrétions, lubrifiant et liquide séminal...
Je commençais à avoir le cul brûlant et chaud, ma chatte coulait aussi comme une rivière et je gouttais sur le tapis du camion...
Tout d'un coup, je fus prise d'une convulsion soudaine et je me raidis en sentant mon cul se contracter tout d'un coup sur la grosse bite de mon camionneur...
Lui grogna et haleta en me disant : "Tu jouis vraiment tu cul salope ! J'y crois pas"
Je ne fis pas trop attention à ce qu'il me dit car mon premier orgasme avait été très fort, je poussa un cri puis je me mis à gémir tout en augmentant la fréquence avec laquelle je me masturbais le clitoris avec ma main d'en face...
Cela ne dura pas longtemps jusqu'à ce que je me conduise vers un second orgasme, plus fort que le premier...
Quel bonheur ! Nous les femmes sommes vraiment supérieurs aux hommes, notamment au niveau orgasmique, nous sommes beaucoup moins limitées...
Mon cul serra de nouveau la bite de mon camionneur qui commença à haleter et gémissant, à la limite d'une espèce de pleur... Je senti tout d'un coup sa grosse bite se raidir d'un seul coup en envoyer une énorme vibration, puis je senti une immense chaleur brûlante m'envahir le bas ventre littéralement comme une flamme, il s'agissait du sperme de mon camionneur qui se vidait en moi... Cette sensation me provoca immédiatement un orgasme sublime et une terrible contraction anale qui fit un bruit aqueux qui claque lorsque je me contracta sur la bite de mon camionneur au moment précis de son deuxième jet alors qu'il me tira sur lui avec ses grandes mains comme pour pousser son membre au plus profond de moi... Il me maintint empalée sur lui de toutes ses forces afin de m'empêcher de bouger au moment où il terminait son éjaculation.
J'était un peu énervée qu'il m'ait bloqué dans mon mouvement alors que me venait un troisième orgasme d'affilée, cela me fit donc venir une idée en tête et je recommença à me branler le clitoris lentement, malgré le fait qu'il était maintenant douloureux...
Je resta une bonne demi-seconde sur mon camionneur avec sa bite empalée au fond de moi sans bouger afin de lui offrir un peu de répit pour ce qui allait suivre...
Puis, juste avant de sentir que sa bite débandait trop, je me pencha en avant en me pliant en deux les mains sur les cuisses et je commença à le faire aller et venir dans mon cul à toute vitesse... Mon cul me brulait, je pétais et je coulais, mais je me chauffais comme une folle. Au bout de quelques minutes, j'entendis mon camionneur pousser toutes sortes de cris déformer tout en essayant de limiter mes mouvements sans véritablement réussissant à me ralentir tant il avait été prit par surprise...
La vitesse et la profondeur de mon mouvement était tellement haletante qu'il ne dura pas longtemps que mon camionneur se redressa carrément de son siège pour éjaculer à nouveau au fond de mon cul... Je jouis à nouveau également en sentant le flot brûlant, certes moins abondant mais tout aussi bon, se déverser au fond de moi. Il retomba sur son siège en m'agrippant par le ventre comme un jouet et me faisant retomber sur lui...
Nous sommes resté épuisés et sans bouger l'un contre l'autre un temps indéterminé puis je me redressa en laissant échapper de mon trou béant et brûlant un espèce de liquide qui ressemblait à une mousse de crème de sperme et autre...
Le gros camionneur pris une cigarette dans son paquet et m'en offrit une pendant que je m'essuyais avec des serviettes humides que j'avais dans la poche intérieure de mon manteau. J'accepta et nous avons échangés quelques plaisanteries avant que mon camionneur me complimente sur le fait qu'il n'avait jamais eu une partie de sodomie aussi bonne... Était-ce la vérité ou un compliment de complaisance ? Je me plais à penser qu'il m'a dit la vérité, d'autant plus qu'il me donna le double de la somme prévue, donc le triple de ce qui avait été prévu au tout début.
Je le salua alors que je descendis du camion après m'être rhabillée, lui me promit qu'il me recommanderait à des collègues à lui qui passaient dans la région.
Il n'était pas si tard dans la journée, mais l'intensité m'interdisait de continuer, mon cul ne se refermant pas probablement avant plusieurs heures... J'étais cassée et je marchais comme un canard, mais le plaisir que j'avais pris en valait la peine... Je décida de rentrer chez moi, mais non sans me décrasser un tout petit peu plus à l'eau claire dans les toilettes de l'aire de repos.
Je ne sais pas pourquoi, j'entrais dans les toilettes des hommes... Je fais ça souvent, car j'ai l'impression de ne pas être à l'aise dans les toilettes des femmes, leur regard me transperce alors que celui des hommes me déshabille, ce qui est beaucoup plus agréable. De toute manière, la station était déserte, je commença donc à me nettoyer en mouillant mon mouchoir de poche, notamment de mon maquillage qui avait coulé.
Un homme entra tout d'un coup... C'était un beur, un copain à moi... Il avait déjà été plusieurs fois mon client, un mec sympa. Il me contempla et, après m'avoir saluer, il me lança :
- Eh bien Denisa, tu as l'air d'avoir eu un sacré coup... Tu chômes pas toi.
Je rigola et lui répondis:
- Tu sais que j'aime le travail bien fait, mais la j'ai un peu exagéré... J'ai le cul pété pendant un moment... Il était pas petit le client.
La c'est lui qui rigola et il me répondit:
- Ça se voit, t'es à l'angle-droit. Dommage, je t'aurais bien tiré un coup...
Je souris et lui répondu :
- Pas ce soir Malik, peut être demain...
- Aller, je te ramène chez toi, ma BMW est à côté et je pense que tu rentres pas à ton studio.
Sincèrement, j'étais super contente de l'offre... Je ne me voyais pas prenant le bus dans mon état et ça me faisait chier d'appeler un taxi.
- Ce serait super, tu es un chou.
Malik me conduit à sa BMW, un véhicule ancien mais très confortable que j'avais déjà pris une fois. On était presque à mi-chemin de mon appart quand Malik s'arrêta dans son quartier, il descendit de la voiture et me dit d'attendre quelques minutes...
Dix minutes plus tard, il revint avec un paquet. C'était un kebab royal. En me souriant, il me dit : "J'pense que tu fras pas les courses ce soir".
Je rigola un bon coup, puis je lui dit : "t'es cool Malik, mais t'es en manque, parce que le style gentleman c'est pas vraiment toi, c'est vrai ?"
Il me regarda d'un air dépité puis il me dit : "Mais non ma puce, je te kif c'est tout"
Je fis la maligne et je lui dit ingénument : "Alors si je te propose de te vider, tu vas refuser ?"
Il rigola fort et me répondit :"Jamais de la vie, comment jpeux te rfuser une chose ?".
Je rigola à mon tour et je lui dit "Ok, arrête ta voiture dans un coin discret, tu vas me donner une bonne sauce pour mon kebab, et ça c'est cadeau de ma part..."
Il me regarda sérieusement et me dis :" t'es sérieuse la ?"
Immédiatement je lui fis un clin d'oeil en lui disant :" À ton avis ? Mais je te le dis tout de suite... Je te vidange juste, ce sera pas un coup artistique... ok ?"
Il me répondit :" c'est cool ma belle".
Malik gara sa voiture à l'entrée d'un garage de bureau, il n'y avait personne à cette heure-ci... On passa tous les deux sur le siège arrière...
Je me déshabilla facilement et rapidement et je vis Malik rigoler puis il me dit :
- Wouaaaa, il t'a bien démonté celui la... T'as pas un courant entre ton cul et tes oreilles ?
Je pouffa de rire... puis je me pencha vers lui pour lui baisser son pantalon et son slip.
Je vis apparaitre la bite de Malik, j'en avais l'habitude... Elle était assez bizarre, courbée vers le bas un peu, et pas mal de fille le refusait parce qu'elles trouvaient ça bizarre, moi ça ne me dérangeait, je le montais souvent à l'envers car il cognait mon point G et j'aimais bien ça... Mais ce soir, j'étais trop fatiguée...
Je pris vite son beau gland bronzé dans ma bouche, il avait un très beau gland olivâtre au bout de sa superbe bite circoncise. Je commença à tourner ma langue autour de son gland comme je savais qu'il aimait... Il bandait bien dur, je lui frottais le gland contre mes seins, et il me sourit en me complimentant. Malik était le genre de mec qui parlait sans arrêt, mais je l'aimais bien car lui et sa bande de copains m'avaient souvent aidé quand j'avais eu des soucis avec des malades qui faisait une fixation sur moi, en plus ils étaient assez propres, ils buvaient pas et il ne se droguaient pas, au grand maximum un joint de temps en temps, des mecs clean quoi. C'était tous des clients fidèles, ils venaient me voir parfois séparément, parfois ensemble et je connaissais certains de leurs petits secrets...
Je connaissais bien le faible de Malik, c'est pourquoi je lui remonta le couilles et commença à lui lécher l'oeillet tout en lui caressant le gland entre mon pouce et mon index droit... D'un oeil, je vis qu'il regardait en l'air, il savait bien ce que j'allais faire... Je mouillais bien mon doigt et lui glissa légèrement dans le cul, jusqu'à sentir sa prostate, sans faire de va-et-viens... Je commença alors à reprendre sa bite en bouche et le branler avec ma main droite pendant que mon majeur gauche lui appuyait sur la prostate. Je faisais tourner ma langue autour de son gland... Peu de temps passa puis je senti Malik se tendre, j'arrêta donc de tourner ma langue autour de son gland pour me mettre à faire succion avec mes lèvres autour de son bout tout en continuant à masturber et presser sur la prostate... Malik ne tarda pas a gicler un premier coup dans ma bouche juste sur ma langue, puis un second coup, puis je pressa fort sa prostate et il se vida encore une fois... Je lui ouvrit ma bouche grande pour lui faire voir tout ce qu'il s'était vidé en moi... Il me dit que j'étais vraiment la meilleure... Puis je referma ma bouche et avala tout avant de lui rouvrir la bouche vide.
Malik me sourit encore en me remerciant, puis nous partagèrent une cigarette avant de reprendre la route...
Malik me déposa chez moi et pris un bon bain avant de profiter d'un bon kebab offert de bon coeur...

Les avis des lecteurs

Très très bien écrit. Ca donne envie de partager d'autres journées à vos côtés et pourquoi pas en partager une ensemble ;)

Une bonne journée qui me rappelle mes débuts dans le métier

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Témoignage assez incroyable mais très intéressant.
Vous avez l’air de quelqu’un de bien. Faites attention à vous !



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