Une demande spéciale
Récit érotique écrit par Momonique [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-07-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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Une demande spéciale
Je travaillais comme serveuse dans une boulangerie-pâtisserie qui avait un charme indéniable. Le magasin, situé dans un quartier élégant, était fréquenté par une clientèle raffinée. La patronne, exigeante quant à l’image de son établissement, avait des règles strictes pour les tenues des serveuses.
La tenue imposée était à la fois élégante et flatteuse. Je me souviens encore de chaque détail. Le haut noir, au décolleté carré bordé de blanc, mettait en valeur la naissance de ma poitrine opulente. La jupe, arrivant à mi-cuisse, soulignait la rondeur de mes hanches. Le tablier blanc, impeccablement noué autour de ma taille, ajoutait une touche de professionnalisme.
Chaque matin, j’enfilais cette tenue avec fierté. Je me sentais à la fois élégante et confiante, prête à accueillir les clients avec le même sourire qui illuminait mon visage. Les vêtements cintrés soulignaient mes courbes sans jamais être vulgaires. Je fondais parfaitement dans l’atmosphère chic du salon de thé.
Les heures passées à servir les clients, à porter des plateaux de délicieuses pâtisseries et à prendre les commandes étaient épuisantes, mais j’aimais chaque instant. Je me sentais partie intégrante de cet endroit, un maillon essentiel de l’expérience offerte aux clients. Même si j’était ronde, je savais que ma prestance et mon professionnalisme étaient bien plus importants que les apparences.
Ma silhouette ronde de Monique, captura l’attention de Paul dès son entrée dans la boulangerie-pâtisserie. Nouveau client, il était un homme distingué, et ses yeux ne pouvaient se détacher de Moi. Avec mon tablier blanc et mon sourire bienveillant, je lui servais chaque matin son croissant doré et son grand café fumant.
Au fil des jours, une complicité silencieuse s’installa entre nous. Mes gestes étaient empreints de délicatesse, et Paul appréciait cette attention discrète. Nous nous comprenions sans mots, nos regards se croisant au-dessus du comptoir. Avec mon savoir-faire, je savais exactement comment préparer le café de Paul, ni trop fort ni trop léger.
Un matin, Paul osa quelques mots. “Je suis VRP,” dit-il, “et je viens d’arriver dans la région.” Je lui souris, ravie de cette ouverture. Nous échangions des anecdotes sur les meilleures pâtisseries locales et sur les routes qu’il avait parcourues pour son travail. Nos conversations devinrent plus fréquentes. Paul partageait ses impressions sur la ville, et Moi je lui racontais les histoires des habitués de la boulangerie. Nous nous découvrions des goûts communs, des souvenirs d’enfance. La routine du matin se transforma en un rituel précieux, où le croissant et le café étaient bien plus que de simples aliments.
Paul m'invita à déjeuner. J'acceptai, mais avec une mise en garde : je lui dis que j'étais mariée. Pendant le repas, Paul m’ avoua qu’il avait un micro penis et qu’il avait un désir secret : Me voir faire pipi dans sa tenue de serveuse. Il aimait observer les femmes accroupies, et il souhaitait me voir dans ce contexte.
J’étais hésitante mais curieuse. J’acceptai finalement en lui précisant que mon mari était candauliste et que j’avais beaucoup d'aventures extraconjugales. Le lendemain après-midi, je me vêtis de ma tenue de serveuse et retrouvai Paul dans une champ. Auparavant, j’avais pris soin de boire un litre et demi d’eau pour bien remplir ma vessie. Pour éviter tout incident je mis un protège-slip . Il faisait beau, Paul m'amena par la main au milieu du champ et me dit : "Ici, ce sera parfait." J'acquiesçai en remarquant que c'était suffisamment discret., j’étais là, au milieu des brins d’herbe, a l’abri des regards. Je levai ma jupe, baissai ma culotte et m’accroupît. Ma culotte tendue entre ses chevilles à cause de l'écart de ses jambes , laissait voir des traces de pertes vaginales sur le fond de la protection.
Il se tenait debout devant moi, la main au dessus du pantalon se malaxant les couilles et sa micro bite.
J’écartais bien les lèvres de ma chatte pour qu’il puisse voir clairement avant de commencer. Un jet timide au départ, commençait a s’écouler, devenant de plus en plus abondant.
Il dit : « putain tu es magnifique » avant de pousser un soupir de soulagement. Il avait jouit dans son froc. Le bruit du pipi qui s’écoulait s’arrêta. Il me tendait un Kleenex pour que m’essuie le con. Je me séchais délicatement et lentement en le regardant. Il prit ma main avec le mouchoir et la dirigea vers son visage. Il sentit le mouchoir imprégné de mes odeurs"Tu sens trop bon," dit-il en fermant les yeux pour apprécier."J'ai une autre demande à te faire," dit-il. "Peux-tu porter ce tampon jusqu'à demain ?
Tu me le rendras discrètement au petit déjeuner. Par contre, je veux te l'appliquer."
Moi : Intriguée par cette relation étrange. "OK, mais tu es bizarre."
Paul : "La vie ne m'a pas bien pourvu. Je fais ce que je peux."
Moi : "Il y a d'autres façons de faire."
Paul : "Oui, mais c’est ma façon à moi."
Je m’allongeais dans l’herbe haute, et j’écartais bien les cuisses et mes grosses lèvres.
J'avais peur qu'il me blesse lorsqu'il appliquait le tampon. Il s'agenouilla et admira ma chatte longuement. Il approchait son visage de mon sexe je pensais qu’il allait me faire une minette. Son nez était sur mon clitoris , il reniflait tout les embruns de mon intimité.
Puis avec une grande habileté, d'une main il entrouvrit ma vulve pour en voir l'intérieur, tandis que de l'autre il positionna le tampon.
J'étais trempée de désir et il l’avait remarqué à quel point, car il avait réussi à l’introduire avec une grande facilité. Je pense qu’au début son intention, n’était pas de me lecher, mais vu toute l’humidité il fini par le faire avec gourmandise. Il commença par me mettre des coups de langue du bas vers le haut de ma raie, comme si j’étais un cornet glacé. Il devenait de plus en plus précis ne s’occupant plus que d mon clitoris.Je me cambrais de plaisir. Il ne fallut pas longtemps pour que je jouisses.
Je lui dis : « prends moi !
Paul : tu ne vas pas me sentir.
Moi: essayes
Paul : non , et je veux récupérer mon tampon demain il seras plus odorant. »
Ensuite, il se releva, me tendit la main pour m'aider à me relever, et je me rhabillai.Je cherchais désespérément un geste d'affection dans cette relation, mais il n'en fut rien. Il se contenta de me raccompagner jusqu'à ma voiture et de me dire : "À demain."
J’avais garder le tampon jusqu’au lendemain matin. Il avait gonflé certainement avec ma mouille et un peu de pertes vaginales.Je l'emballai dans un essuie-tout et le mis dans une poche plastique hermétique. Le lendemain, Paul vint au salon de thé, il commanda un grand café et un croissant, puis alla s'asseoir à une table. Je lui apportai sa commande et lui glissai discrètement le sac plastique. Il me remercia, prit ses consommations et s'en alla sans dire un mot. J’en restai abasourdie.
Ce n'est que dans la journée que je reçus un SMS de Paul. Il y avait ma photo volée de moi , tachée de sperme avec le tampon posé dessus.
Il était écrit "Merci, à demain 16 heures dans le champ, en jupe sans culotte ni soutien gorges" .
Intriguée par cette mystérieuse relation, je décidai d'exécuter ses volontés, car cela m'excitait aussi. Le matin même pour aller au travail je n’avais pas mis de soutif. On devinait mes tétons a travers le chemisier, ma poitrine lourde n’était pas maintenue et ballotait vers le bas. J'espérais qu'il viendrait à la boutique et verrait ce que j'avais fait pour lui ; mais rien de tel n'arriva, il ne vint pas ce matin-là. Seuls quelques clients observateurs avaient remarqué que je ne portais rien en dessous, certains attendant même que je me penche pour prendre un gâteau en vitrine, profitant du panorama.
Il était 15 heures trente, j avais hâte de le retrouver.
Je ressentais des papillons dans le ventre.Il m'attendait garé sur le côté du chemin en terre longeant le pré. Il me fit la bise tout en plaquant sa main sur ma poitrine.
Paul: « "Tu es obéissante. C’est bien
-Oui j ‘aime faire plaisir
-Tes seins sont bien gros et fermes , j’adore
-merci. »
Il me prit la main et m'amena derrière des buissons au milieu du champ. Je m'accroupis comme la veille, et il me dit:
« Ouvres ton chemisier.
Je m’exécutais, libérant mes seins, il baissa son pantalon et sorti son sexe .
Il se branlait en me regardant pisser.
Il bandait dur mais ne dépassait pas 10 centimètres. C’etait même disproportionner car il avait deux énormes couilles.
-Voilà je ne vais pas te faire jouir avec ça.
-tu devrais essayer pour voir.
Je m allongeais sur le plaid que j avais apporté, Paul mis un petit capuchon sur son petit sexe . Je l’attendais les cuisses ouverte, et il se coucha sur moi. Sa petite bite n’eu pas de mal à entrer en moi. Il me limait vaillamment, je ressentais son zizi comme si quelqu’un me pénétrait avec un doigt. Ce n’était pas désagréable, mais je doutais que cela me mène au nirvana.
Pour gratifier ses efforts , je gémissais pour l’encourager.
Il accélérait la cadence:
-Oh oui,oh oui mmmmmm.
-Tu va me faire jouir salope. Ahhhhhh
Je voyais dans son regard qu’il venait de lâcher la purée.
Il se retirait , je voyais avec stupéfaction qu’il avait rempli la capote et que du sperme avait couler en dehors. Sa petite queue n’avait pas réussi a remplir le préservatif ce qui ne l’avait pas rendu étanche. De plus ses grosses burnes fabriquaient indéniablement beaucoup de jus. J’étais sur ma faim.
-doigtes moi.
-salope je vais te faire jouir.
Il avait 3 doigts en moi et les agitaient rapidement, je le sentais frotter mon point G. Je mouillais de plus en plus, sa technique était parfaite. La tension montait en moi mon vagin se mit a faire des spasmes et a couler abondamment. Le salaud me faisait jouir, il sentait que j’etait a deux doigts de faire un jet. Il accélérât. Dans un crie de liberation je lâchais une gerbe de liquide vésical.
-tu es le premier qui a réussi, je viens de gicler de la chatte.
-ah, oui et bien j’en suis fier. Je pensais pas que j’y arriverais.
-tu vois, on a pas besoin d’avoir une grosse bite.
-ben non un peu de savoir faire.
Sa chemise avait été éclaboussée, et il en rigolait. Malgré ma jupe retroussée celle ci était aussi mouillée.
-je suis désolé ton mari va te voir rentrer dans cet état.
-Ne t’inquiète pas je serai rentrée avant lui.
-Je pense que tu as du avoir un peu de sperme en toi.
-on véra bien si je tombe enceinte.
Son visage s’assombrit .
-Ben non gros nigaud , j’ai un implant contraceptif.
-ouf j’ai eu peur.
-j’espère par contre ne pas choper une maladie.
-j’ai toujours eu des rapports protégés.
On se rhabillait tout en discutant.
Il restait encore une semaine pour son travail sur la région messine, et nous nous sommes revus tous les jours jusqu’à son départ. Le dernier jour il m’a prise a cru…..
La tenue imposée était à la fois élégante et flatteuse. Je me souviens encore de chaque détail. Le haut noir, au décolleté carré bordé de blanc, mettait en valeur la naissance de ma poitrine opulente. La jupe, arrivant à mi-cuisse, soulignait la rondeur de mes hanches. Le tablier blanc, impeccablement noué autour de ma taille, ajoutait une touche de professionnalisme.
Chaque matin, j’enfilais cette tenue avec fierté. Je me sentais à la fois élégante et confiante, prête à accueillir les clients avec le même sourire qui illuminait mon visage. Les vêtements cintrés soulignaient mes courbes sans jamais être vulgaires. Je fondais parfaitement dans l’atmosphère chic du salon de thé.
Les heures passées à servir les clients, à porter des plateaux de délicieuses pâtisseries et à prendre les commandes étaient épuisantes, mais j’aimais chaque instant. Je me sentais partie intégrante de cet endroit, un maillon essentiel de l’expérience offerte aux clients. Même si j’était ronde, je savais que ma prestance et mon professionnalisme étaient bien plus importants que les apparences.
Ma silhouette ronde de Monique, captura l’attention de Paul dès son entrée dans la boulangerie-pâtisserie. Nouveau client, il était un homme distingué, et ses yeux ne pouvaient se détacher de Moi. Avec mon tablier blanc et mon sourire bienveillant, je lui servais chaque matin son croissant doré et son grand café fumant.
Au fil des jours, une complicité silencieuse s’installa entre nous. Mes gestes étaient empreints de délicatesse, et Paul appréciait cette attention discrète. Nous nous comprenions sans mots, nos regards se croisant au-dessus du comptoir. Avec mon savoir-faire, je savais exactement comment préparer le café de Paul, ni trop fort ni trop léger.
Un matin, Paul osa quelques mots. “Je suis VRP,” dit-il, “et je viens d’arriver dans la région.” Je lui souris, ravie de cette ouverture. Nous échangions des anecdotes sur les meilleures pâtisseries locales et sur les routes qu’il avait parcourues pour son travail. Nos conversations devinrent plus fréquentes. Paul partageait ses impressions sur la ville, et Moi je lui racontais les histoires des habitués de la boulangerie. Nous nous découvrions des goûts communs, des souvenirs d’enfance. La routine du matin se transforma en un rituel précieux, où le croissant et le café étaient bien plus que de simples aliments.
Paul m'invita à déjeuner. J'acceptai, mais avec une mise en garde : je lui dis que j'étais mariée. Pendant le repas, Paul m’ avoua qu’il avait un micro penis et qu’il avait un désir secret : Me voir faire pipi dans sa tenue de serveuse. Il aimait observer les femmes accroupies, et il souhaitait me voir dans ce contexte.
J’étais hésitante mais curieuse. J’acceptai finalement en lui précisant que mon mari était candauliste et que j’avais beaucoup d'aventures extraconjugales. Le lendemain après-midi, je me vêtis de ma tenue de serveuse et retrouvai Paul dans une champ. Auparavant, j’avais pris soin de boire un litre et demi d’eau pour bien remplir ma vessie. Pour éviter tout incident je mis un protège-slip . Il faisait beau, Paul m'amena par la main au milieu du champ et me dit : "Ici, ce sera parfait." J'acquiesçai en remarquant que c'était suffisamment discret., j’étais là, au milieu des brins d’herbe, a l’abri des regards. Je levai ma jupe, baissai ma culotte et m’accroupît. Ma culotte tendue entre ses chevilles à cause de l'écart de ses jambes , laissait voir des traces de pertes vaginales sur le fond de la protection.
Il se tenait debout devant moi, la main au dessus du pantalon se malaxant les couilles et sa micro bite.
J’écartais bien les lèvres de ma chatte pour qu’il puisse voir clairement avant de commencer. Un jet timide au départ, commençait a s’écouler, devenant de plus en plus abondant.
Il dit : « putain tu es magnifique » avant de pousser un soupir de soulagement. Il avait jouit dans son froc. Le bruit du pipi qui s’écoulait s’arrêta. Il me tendait un Kleenex pour que m’essuie le con. Je me séchais délicatement et lentement en le regardant. Il prit ma main avec le mouchoir et la dirigea vers son visage. Il sentit le mouchoir imprégné de mes odeurs"Tu sens trop bon," dit-il en fermant les yeux pour apprécier."J'ai une autre demande à te faire," dit-il. "Peux-tu porter ce tampon jusqu'à demain ?
Tu me le rendras discrètement au petit déjeuner. Par contre, je veux te l'appliquer."
Moi : Intriguée par cette relation étrange. "OK, mais tu es bizarre."
Paul : "La vie ne m'a pas bien pourvu. Je fais ce que je peux."
Moi : "Il y a d'autres façons de faire."
Paul : "Oui, mais c’est ma façon à moi."
Je m’allongeais dans l’herbe haute, et j’écartais bien les cuisses et mes grosses lèvres.
J'avais peur qu'il me blesse lorsqu'il appliquait le tampon. Il s'agenouilla et admira ma chatte longuement. Il approchait son visage de mon sexe je pensais qu’il allait me faire une minette. Son nez était sur mon clitoris , il reniflait tout les embruns de mon intimité.
Puis avec une grande habileté, d'une main il entrouvrit ma vulve pour en voir l'intérieur, tandis que de l'autre il positionna le tampon.
J'étais trempée de désir et il l’avait remarqué à quel point, car il avait réussi à l’introduire avec une grande facilité. Je pense qu’au début son intention, n’était pas de me lecher, mais vu toute l’humidité il fini par le faire avec gourmandise. Il commença par me mettre des coups de langue du bas vers le haut de ma raie, comme si j’étais un cornet glacé. Il devenait de plus en plus précis ne s’occupant plus que d mon clitoris.Je me cambrais de plaisir. Il ne fallut pas longtemps pour que je jouisses.
Je lui dis : « prends moi !
Paul : tu ne vas pas me sentir.
Moi: essayes
Paul : non , et je veux récupérer mon tampon demain il seras plus odorant. »
Ensuite, il se releva, me tendit la main pour m'aider à me relever, et je me rhabillai.Je cherchais désespérément un geste d'affection dans cette relation, mais il n'en fut rien. Il se contenta de me raccompagner jusqu'à ma voiture et de me dire : "À demain."
J’avais garder le tampon jusqu’au lendemain matin. Il avait gonflé certainement avec ma mouille et un peu de pertes vaginales.Je l'emballai dans un essuie-tout et le mis dans une poche plastique hermétique. Le lendemain, Paul vint au salon de thé, il commanda un grand café et un croissant, puis alla s'asseoir à une table. Je lui apportai sa commande et lui glissai discrètement le sac plastique. Il me remercia, prit ses consommations et s'en alla sans dire un mot. J’en restai abasourdie.
Ce n'est que dans la journée que je reçus un SMS de Paul. Il y avait ma photo volée de moi , tachée de sperme avec le tampon posé dessus.
Il était écrit "Merci, à demain 16 heures dans le champ, en jupe sans culotte ni soutien gorges" .
Intriguée par cette mystérieuse relation, je décidai d'exécuter ses volontés, car cela m'excitait aussi. Le matin même pour aller au travail je n’avais pas mis de soutif. On devinait mes tétons a travers le chemisier, ma poitrine lourde n’était pas maintenue et ballotait vers le bas. J'espérais qu'il viendrait à la boutique et verrait ce que j'avais fait pour lui ; mais rien de tel n'arriva, il ne vint pas ce matin-là. Seuls quelques clients observateurs avaient remarqué que je ne portais rien en dessous, certains attendant même que je me penche pour prendre un gâteau en vitrine, profitant du panorama.
Il était 15 heures trente, j avais hâte de le retrouver.
Je ressentais des papillons dans le ventre.Il m'attendait garé sur le côté du chemin en terre longeant le pré. Il me fit la bise tout en plaquant sa main sur ma poitrine.
Paul: « "Tu es obéissante. C’est bien
-Oui j ‘aime faire plaisir
-Tes seins sont bien gros et fermes , j’adore
-merci. »
Il me prit la main et m'amena derrière des buissons au milieu du champ. Je m'accroupis comme la veille, et il me dit:
« Ouvres ton chemisier.
Je m’exécutais, libérant mes seins, il baissa son pantalon et sorti son sexe .
Il se branlait en me regardant pisser.
Il bandait dur mais ne dépassait pas 10 centimètres. C’etait même disproportionner car il avait deux énormes couilles.
-Voilà je ne vais pas te faire jouir avec ça.
-tu devrais essayer pour voir.
Je m allongeais sur le plaid que j avais apporté, Paul mis un petit capuchon sur son petit sexe . Je l’attendais les cuisses ouverte, et il se coucha sur moi. Sa petite bite n’eu pas de mal à entrer en moi. Il me limait vaillamment, je ressentais son zizi comme si quelqu’un me pénétrait avec un doigt. Ce n’était pas désagréable, mais je doutais que cela me mène au nirvana.
Pour gratifier ses efforts , je gémissais pour l’encourager.
Il accélérait la cadence:
-Oh oui,oh oui mmmmmm.
-Tu va me faire jouir salope. Ahhhhhh
Je voyais dans son regard qu’il venait de lâcher la purée.
Il se retirait , je voyais avec stupéfaction qu’il avait rempli la capote et que du sperme avait couler en dehors. Sa petite queue n’avait pas réussi a remplir le préservatif ce qui ne l’avait pas rendu étanche. De plus ses grosses burnes fabriquaient indéniablement beaucoup de jus. J’étais sur ma faim.
-doigtes moi.
-salope je vais te faire jouir.
Il avait 3 doigts en moi et les agitaient rapidement, je le sentais frotter mon point G. Je mouillais de plus en plus, sa technique était parfaite. La tension montait en moi mon vagin se mit a faire des spasmes et a couler abondamment. Le salaud me faisait jouir, il sentait que j’etait a deux doigts de faire un jet. Il accélérât. Dans un crie de liberation je lâchais une gerbe de liquide vésical.
-tu es le premier qui a réussi, je viens de gicler de la chatte.
-ah, oui et bien j’en suis fier. Je pensais pas que j’y arriverais.
-tu vois, on a pas besoin d’avoir une grosse bite.
-ben non un peu de savoir faire.
Sa chemise avait été éclaboussée, et il en rigolait. Malgré ma jupe retroussée celle ci était aussi mouillée.
-je suis désolé ton mari va te voir rentrer dans cet état.
-Ne t’inquiète pas je serai rentrée avant lui.
-Je pense que tu as du avoir un peu de sperme en toi.
-on véra bien si je tombe enceinte.
Son visage s’assombrit .
-Ben non gros nigaud , j’ai un implant contraceptif.
-ouf j’ai eu peur.
-j’espère par contre ne pas choper une maladie.
-j’ai toujours eu des rapports protégés.
On se rhabillait tout en discutant.
Il restait encore une semaine pour son travail sur la région messine, et nous nous sommes revus tous les jours jusqu’à son départ. Le dernier jour il m’a prise a cru…..
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
... histoire excitante..je vais découvrir la suite.
Merci Monique pour cette histoire très originale mais très excitante..
Cyrille
Cyrille
hum trop excitante j'aimerai beaucoup tz prendre j'adore jouir
Félicitations !!! Vous êtes très excitante Madame !!!!