Une dernière et si belle fois
Récit érotique écrit par AmantDesSens [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-01-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une dernière et si belle fois
Cela faisait presque un mois que je ne l'avais pas revue. Je la savais rentrée de vacances depuis quelques jours. Nous avions échangé quelques mails pour prendre de nos nouvelles. J'étais excité et à la fois anxieux de savoir comment notre relation avait passé cette coupure.
Nous avions alors finalement convenu de nous retrouver ce jeudi. Son mari n'était pas là, les enfants en vacances et chez des amis. Elle me proposa alors de passer chez elle. Comme cela devait être vers midi, c'était aussi l'occasion de venir manger.
Je ne tardai pas sur la route car j'étais impatient de la revoir. J'avais cependant toujours cette crainte lorsque je la voyais chez elle. La maison était un peu en retrait, mais il n'en restait pas moins qu'on voyait sans difficulté que quelqu'un était là.
J'avançai alors dans la petite allée, le plus neutre possible. Un bref coup d'œil en sortant, plus par réflexe qu'inquiétude toute de même. Je sonnais à la porte. De longues secondes interminables passèrent avant que la porte ne s'ouvre. Elle m'accueillit avec un immense sourire, en bonne maitresse de maison, la main posée sur le chambranle de la porte qui la dissimulait à moitié. L'été touchait à sa fin mais les journées étaient encore agréables. Elle portait une robe légère à pois.
- Bonjour, comment vas-tu ? annonça-t-elle d'un ton très neutre.
- Bonjour, bien merci !
- Entre donc.
Je ne me fis pas prier. Elle recula pour me laisser entrer, sans me quitter des yeux. Dès lors que j’eus passé le pas de la porte, elle la referma derrière moi. Son sourire s'intensifia. Elle passa les bras autour de mon cou.
- Bonjour vous, prononça-t-elle délicatement.
Puis elle pencha doucement la tête et s'approcha de mes lèvres pour gouter voluptueusement à ma bouche. Je posai les mains sur son dos puis descendis le long jusqu'à ses fesses, rondes et parfaites à souhait. Sa robe était si légère si douce que j'avais l'impression de caresser sa peau. Elle plongea la main dans mes cheveux tandis que sa langue s'enfonçait encore plus dans ma bouche.
Je pris sa robe dans les doigts et j'ai commencé à la relever. Arrivée en haut de sa cuisse, ma main s'aventura dessous. J'étais ravi de ce que je découvrais : elle portait des collants avec un merveilleux motif. Je descendis le long de sa poitrine et j'en profitai pour dégager son bas ventre. Je me suis régalé à le couvrir de baiser et à jouer de ma langue dans son nombril. Je l'entendais gémir doucement. J'abandonnai ce lieu délicieux pour dessiner des volutes du bout de la langue juste à l'intérieur de ses cuisses.
Mes doigts écartèrent sa culotte. Elle mouillait et ma bouche partit à la découverte de son sexe chaud. Elle restait droite, comme figée par mes caresses. Je fis tomber sa petite culotte sur ses chevilles pour pouvoir la dévorer plus facilement. Ma langue plongeait entre ses jambes le plus possibles pour remonter le long de ses lèvres.
Soudain, ses mains se pressèrent sur mes joues pour m'inviter à me relever. Nos rôles s'échangèrent. Nos visages se croisèrent pour s'échanger un baiser profond et gourmand. Elle s'accroupit et me porta un dernier regard. Elle eut vite raison de ma ceinture et de mon pantalon. Elle passa la main dans mon boxer pour en extraire ma queue. En fait, elle n'en sortit que la moitié qu'elle porta à la bouche. Une fois qu'elle l'eut consommée, elle abaissa la tête pour extraire le reste. Elle fit tourner sa main autour alors que sa bouche en suçait l'extrémité. Elle me rendait la monnaie de mes attentions intimes avec délicatesse et à la fois envie. Elle laissa échapper mon sexe de sa bouche, non sans lui donner une dernière caresse, puis se releva en remontant sa culotte. Elle tourna la tête pour regarder par la baie vitrée de son salon.
- Viens, dis elle en me tendant la main.
Je me laissai guider vers une porte, puis un couloir. Au bout, à droite, une petite pièce qui aurait pu être une chambre. Baignée dans la lumière douce d'une lampe halogène, elle était aménagée en pièce à musique. Sur la gauche un piano, des enceintes, et non loin de la fenêtre aux volets fermés, un étui à guitare. Sur la droite, un canapé clic-clac. Elle termina sa visite en s'en approchant. Elle fit volte-face et s'allongea dessus, négligemment : une jambe allongée, l'autre en partie dans le vide. Les bras le long de son corps, elle m'invitait à la rejoindre. Je me mis à genoux et je levai sa robe. Cette fois, je lui retirai définitivement sa culotte. Elle écarta un peu plus les jambes pour m'offrir son sexe. Sans hésitation, je plongeai sur lui pour le goûter encore mieux. De mes doigts, j'écartai ses lèvres pour dégager son petit clitoris que je pris entre mes lèvres. Ma langue l'abandonna et descendit le long de ce sillon rose vif. Sa chatte l'attendait et l'accueillit avec une abondante cyprine. Je plaquai ma bouche autant que ma position le permettait pour m'introduire en elle profondément. Par alternance, mes doigts entrèrent en elle pour la caresser tout au fond. Elle se cambrait, ondulait sur le canapé.
Je me redressai et elle s'assit. Elle défit les boutons de ma chemise qu'elle jeta sur une chaise. Elle embrassa ma poitrine nue, lécha mes tétons. Ses mains descendirent le long de mes hanches pour faire descendre mon pantalon et le boxer par la même occasion. Je m'assis à côté d'elle pour défaire rapidement mes chaussures sous son regard impatient. Puis elle me plaqua contre le canapé et se mit à quatre pattes à côté de moi. Elle reprit ma queue dans sa bouche, mais cette fois-ci, beaucoup plus frénétiquement. Je caressai son dos, sa poitrine. Ma queue rentrait avec délice dans sa bouche. Elle savait appliquer juste la pression nécessaire pour que je m'y sente bien. J'en profitais aussi pour caresser ses fesses sur lesquelles j'avais un très beau point de vue. Mais je savais comment lui donner du plaisir, ce qu'elle aimait. Je profitai d'un de ses baisers pour la repousser sur la canapé. Finalement, j'étais le seul à être nu et je n'avais pas l'intention d'entretenir cette inégalité ! Je n'eus pas beaucoup de difficulté à lui ôter sa robe.
A nouveau sur le dos, offerte, elle m'attendait. Le canapé n'était pas large, et elle dut passer une jambe entre le dossier et ma hanche pour m'accueillir. Elle comprit l'intérêt de cette position, et en pressant sa cheville contre ma fesse, m'attira en elle.
Sa chatte était chaude et délicieusement humide comme ma langue l'avait déjà découvert. Bien qu'elle ait initié le mouvement, elle parut surprise quand je me suis enfoncé en elle. Passé cet instant, elle bascula de plaisir la tête en arrière. J'étais en elle. A mon tour, pendant plusieurs minutes, j'ondulai du bassin pour explorer chaque recoin de son vagin. Puis, ses mains se crispèrent et je sentis ma queue entourée de chaleur. Elle redressa la tête, un peu confuse. Je me retirai. Elle se redressa également et en examinant le canapé, constata une grosse auréole.
- J'aurais dû mettre une serviette…
J'en souris, flatté du résultat de mes attentions. Je la savais parfois pudique, et je ne voulais pas que cet "incident" la gêne plus que cela.
Je décidai de changer de position. En même temps, je savais alors que si elle jouissait encore, les indices seraient moins flagrants.
Je pris alors sa place et elle vint sur moi. Pour une fois, elle avait détaché sa chevelure, magnifique. Elle, au quotidien, avec un look assez strict, prenait des airs délicieusement érotiques lorsqu'elle consentait à s'abandonner. Assise sur mes cuisses, elle s'avança en prenant ma queue entre les doigts. Elle la guida en se mordant les lèvres. Je la vis fermer les yeux alors qu'elle l'enfonçait en elle. Puis, elle réagit en commençant à bouger du bassin. Elle avait joui, certes, mais elle en voulait plus, pour elle comme pour moi. Elle savait y faire. J'avais beau embrasser sa poitrine, caresser ses cheveux, son corps, elle n'avait d'autre obsession que de nous faire jouir ensemble. J'allais m'avouer vaincu, quand elle accéléra le mouvement… seul son bassin bougeait d'avant en arrière, de plus en plus vite. A nouveau, je sentis ce liquide chaud qui coulait cette fois sur mon pubis. Son visage se crispa. D'un mouvement profond, je me retirai de cet écrin de plaisir. Elle se dressa un peu et plongea la main pour saisir ma queue. Elle la plaqua contre son bas ventre en la tenant serrée. Ma queue gonfla et éjecta un long et chaud jet. Je ne sus pas comment elle fit, mais en quelques secondes, par d'habiles manipulations, elle réussit à me faire jouir une seconde fois.
- C'est rare, tu sais, deux fois de suite !
J'avais été surpris, et je ne voulais pas en rester là. Je rentrai à nouveau en elle. Cette fois-ci, les mains sur ses hanches, je m'appliquai à lui faire apprécier toute la longueur de mon sexe. La position n'avait que trop duré. Je me suis redressé pour qu'elle s'allonge à ma place. Elle tourna juste le visage pour me voir et resta ainsi. C'était une invitation que je connaissais. Je me suis approché pour la prendre en levrette. Je savais alors que nous décuplerions notre plaisir. Avec autant d'ardeur, je m'enfonçai avec délectation en elle. Je butais contre ses cuisses à chaque fois, lui soutirant au passage, quelques petits cris de plaisir. Je la prenais aussi profondément que je le pouvais. Je voulais jouir à nouveau, encore, lui montrer combien j'étais bien avec elle. Je repensai alors en un éclair à tous nos jeux depuis tout à l'heure, à son visage, à sa cyprine qui coulait sur moi. Ces pensées ne tardèrent pas à avoir leur effet. Elle le sentit et s'accorda avec mes mouvements. Je me retirai au dernier moment pour jouir une dernière fois sur ses fesses.
Elle se tourna pour passer la main sur ma nuque et m'embrasser. Aussi intenses que pouvaient être nos étreintes, les caresses n'en étaient que plus douces et tendres.
Soudain, je sursautai. J'entendis le gravier du chemin crisser sous les roues d'une voiture. Nos regards pétrifiés se croisèrent. Elle bégaya quelques mots, incrédules. Aussitôt, elle saisit sa robe pour s'habiller rapidement. De mon côté j'en fis autant. Je pris la précaution de cacher sa culotte qu'elle n'avait pas prise, sous le canapé. Les chaussettes dans les poches, j'inspectais une dernière fois ma tenue et la pièce pour être sûr que rien ne trahisse ce qui venait de s'y passer.
Je pris une grande respiration pour tenter de dissimuler ma surprise ainsi que l'excitation qui avait été la mienne depuis plus d'une heure. Je m'attendais à tomber sur quelqu'un. Je m'avance dans le couloir et finalement, c'est elle qui surgit, aussi troublée que moi.
- Non, j'ai vérifié, il n'y a personne, affirma-t-elle, la main sur la poitrine, essoufflée.
Nous restons vigilants quelques minutes, stressés… Je pense qu'à ce moment-là, nos imaginations se sont emballées, songeant au pire, à tout… nous nous retrouvons finalement où tout a commencé, derrière la porte d'entrée. Je le prends dans les bras pour la rassurer. Le visage dans mes mains, je l'embrasse tendrement… puis, le baiser se fait plus insistant, et autant de sa part. Est-ce le retour de situation ou l'idée qu'elle est nue sous sa robe ? Mes mains s’emballent… Je dessine le pourtour de ses hanches, je la serre contre moi, je pétris ses fesses adorables, j'écarte le haut de sa robe pour saisir sa poitrine, je la dévore…
Du coin de l'œil, je vois le canapé à ma droite. Je la saisis par le bras et l'y guide. Elle s'appuie au dossier et je relève sa robe. Je n'ai finalement que mon pantalon à défaire. Je saisis ma queue que je laisse glisser entre ses jambes pour l'enduire de sa mouille. Elle m'attend… Je présente mon gland luisant juste à l'entrée de ses lèvres brillantes et j'entre en elle. Elle se plaque contre mes cuisses pour que j'entre profondément. Boosté par l'excitation engendrée par la crainte, frustré d'avoir été interrompu, je la prends. Elle aussi a encore plus envie de me sentir en elle. Elle se cramponne au canapé, elle vient me chercher de ses hanches. Bientôt, notre respiration haletante se mêle aux bruits de nos corps qui s'entrechoquent. Je m'accroupis un peu pour que ma queue aille heurter ce point qu'elle adore en elle… Elle est surprise, mais elle tend le bras en arrière pour venir poser la main sur ma cuisse. Elle la saisit et m'invite à recommencer. J'accélère le rythme… Elle sent que je vais jouir. Je me retire alors qu'elle se retourne. Accroupie devant moi, elle prend ma queue dans la main et la branle. Son regard guette les signes de mon visage qui marqueront le début de ma jouissance. Je ne veux pas la faire attendre plus longtemps : sa main se couvre de ma semence, dans un râle profond.
Elle se redresse pour venir m'embrasser. Mon dieu que j'ai mal dans les cuisses ! Elle s'absente quelques instants pour me rapporter une serviette. Comme à son habitude, elle inspecte le lieu pour s'assurer que rien ne pourrait trahir notre secret.
Comme finalement, il était convenu, nous passâmes ensuite à table. Nous avons discuté, de façon très neutre, comme deux amis, pendant plus d'une heure. Nous étions bien, détendu, heureux d'être ensembles.
Je devais partir. Sur le pas de la porte, un dernier baiser, qui n'avait rien à envier aux autres ! Puis, elle posa la main sur la poignée de la porte, esquissa un dernier sourire. Nous devions reprendre nos "masques".
- Merci d'être venu, c'était très gentil, lança-t-elle d'une voix ferme.
- Pas de soucis, si tu as besoin encore d'aide, appelle-moi.
Un petit geste discret depuis ma voiture et je partis.
Ce fut finalement la dernière fois que nous avons fait l'amour. Notre relation était allé bien au-delà de nos espérances. Pour elle, c'était difficile de jouer sur les deux tableaux. Nous nous sommes séparés quelques semaines plus tard. Je garde un souvenir merveilleux de la femme et de la maitresse, car elle a su allier tendresse, douceur, profondeur, spiritualité et érotisme.
Nous avions alors finalement convenu de nous retrouver ce jeudi. Son mari n'était pas là, les enfants en vacances et chez des amis. Elle me proposa alors de passer chez elle. Comme cela devait être vers midi, c'était aussi l'occasion de venir manger.
Je ne tardai pas sur la route car j'étais impatient de la revoir. J'avais cependant toujours cette crainte lorsque je la voyais chez elle. La maison était un peu en retrait, mais il n'en restait pas moins qu'on voyait sans difficulté que quelqu'un était là.
J'avançai alors dans la petite allée, le plus neutre possible. Un bref coup d'œil en sortant, plus par réflexe qu'inquiétude toute de même. Je sonnais à la porte. De longues secondes interminables passèrent avant que la porte ne s'ouvre. Elle m'accueillit avec un immense sourire, en bonne maitresse de maison, la main posée sur le chambranle de la porte qui la dissimulait à moitié. L'été touchait à sa fin mais les journées étaient encore agréables. Elle portait une robe légère à pois.
- Bonjour, comment vas-tu ? annonça-t-elle d'un ton très neutre.
- Bonjour, bien merci !
- Entre donc.
Je ne me fis pas prier. Elle recula pour me laisser entrer, sans me quitter des yeux. Dès lors que j’eus passé le pas de la porte, elle la referma derrière moi. Son sourire s'intensifia. Elle passa les bras autour de mon cou.
- Bonjour vous, prononça-t-elle délicatement.
Puis elle pencha doucement la tête et s'approcha de mes lèvres pour gouter voluptueusement à ma bouche. Je posai les mains sur son dos puis descendis le long jusqu'à ses fesses, rondes et parfaites à souhait. Sa robe était si légère si douce que j'avais l'impression de caresser sa peau. Elle plongea la main dans mes cheveux tandis que sa langue s'enfonçait encore plus dans ma bouche.
Je pris sa robe dans les doigts et j'ai commencé à la relever. Arrivée en haut de sa cuisse, ma main s'aventura dessous. J'étais ravi de ce que je découvrais : elle portait des collants avec un merveilleux motif. Je descendis le long de sa poitrine et j'en profitai pour dégager son bas ventre. Je me suis régalé à le couvrir de baiser et à jouer de ma langue dans son nombril. Je l'entendais gémir doucement. J'abandonnai ce lieu délicieux pour dessiner des volutes du bout de la langue juste à l'intérieur de ses cuisses.
Mes doigts écartèrent sa culotte. Elle mouillait et ma bouche partit à la découverte de son sexe chaud. Elle restait droite, comme figée par mes caresses. Je fis tomber sa petite culotte sur ses chevilles pour pouvoir la dévorer plus facilement. Ma langue plongeait entre ses jambes le plus possibles pour remonter le long de ses lèvres.
Soudain, ses mains se pressèrent sur mes joues pour m'inviter à me relever. Nos rôles s'échangèrent. Nos visages se croisèrent pour s'échanger un baiser profond et gourmand. Elle s'accroupit et me porta un dernier regard. Elle eut vite raison de ma ceinture et de mon pantalon. Elle passa la main dans mon boxer pour en extraire ma queue. En fait, elle n'en sortit que la moitié qu'elle porta à la bouche. Une fois qu'elle l'eut consommée, elle abaissa la tête pour extraire le reste. Elle fit tourner sa main autour alors que sa bouche en suçait l'extrémité. Elle me rendait la monnaie de mes attentions intimes avec délicatesse et à la fois envie. Elle laissa échapper mon sexe de sa bouche, non sans lui donner une dernière caresse, puis se releva en remontant sa culotte. Elle tourna la tête pour regarder par la baie vitrée de son salon.
- Viens, dis elle en me tendant la main.
Je me laissai guider vers une porte, puis un couloir. Au bout, à droite, une petite pièce qui aurait pu être une chambre. Baignée dans la lumière douce d'une lampe halogène, elle était aménagée en pièce à musique. Sur la gauche un piano, des enceintes, et non loin de la fenêtre aux volets fermés, un étui à guitare. Sur la droite, un canapé clic-clac. Elle termina sa visite en s'en approchant. Elle fit volte-face et s'allongea dessus, négligemment : une jambe allongée, l'autre en partie dans le vide. Les bras le long de son corps, elle m'invitait à la rejoindre. Je me mis à genoux et je levai sa robe. Cette fois, je lui retirai définitivement sa culotte. Elle écarta un peu plus les jambes pour m'offrir son sexe. Sans hésitation, je plongeai sur lui pour le goûter encore mieux. De mes doigts, j'écartai ses lèvres pour dégager son petit clitoris que je pris entre mes lèvres. Ma langue l'abandonna et descendit le long de ce sillon rose vif. Sa chatte l'attendait et l'accueillit avec une abondante cyprine. Je plaquai ma bouche autant que ma position le permettait pour m'introduire en elle profondément. Par alternance, mes doigts entrèrent en elle pour la caresser tout au fond. Elle se cambrait, ondulait sur le canapé.
Je me redressai et elle s'assit. Elle défit les boutons de ma chemise qu'elle jeta sur une chaise. Elle embrassa ma poitrine nue, lécha mes tétons. Ses mains descendirent le long de mes hanches pour faire descendre mon pantalon et le boxer par la même occasion. Je m'assis à côté d'elle pour défaire rapidement mes chaussures sous son regard impatient. Puis elle me plaqua contre le canapé et se mit à quatre pattes à côté de moi. Elle reprit ma queue dans sa bouche, mais cette fois-ci, beaucoup plus frénétiquement. Je caressai son dos, sa poitrine. Ma queue rentrait avec délice dans sa bouche. Elle savait appliquer juste la pression nécessaire pour que je m'y sente bien. J'en profitais aussi pour caresser ses fesses sur lesquelles j'avais un très beau point de vue. Mais je savais comment lui donner du plaisir, ce qu'elle aimait. Je profitai d'un de ses baisers pour la repousser sur la canapé. Finalement, j'étais le seul à être nu et je n'avais pas l'intention d'entretenir cette inégalité ! Je n'eus pas beaucoup de difficulté à lui ôter sa robe.
A nouveau sur le dos, offerte, elle m'attendait. Le canapé n'était pas large, et elle dut passer une jambe entre le dossier et ma hanche pour m'accueillir. Elle comprit l'intérêt de cette position, et en pressant sa cheville contre ma fesse, m'attira en elle.
Sa chatte était chaude et délicieusement humide comme ma langue l'avait déjà découvert. Bien qu'elle ait initié le mouvement, elle parut surprise quand je me suis enfoncé en elle. Passé cet instant, elle bascula de plaisir la tête en arrière. J'étais en elle. A mon tour, pendant plusieurs minutes, j'ondulai du bassin pour explorer chaque recoin de son vagin. Puis, ses mains se crispèrent et je sentis ma queue entourée de chaleur. Elle redressa la tête, un peu confuse. Je me retirai. Elle se redressa également et en examinant le canapé, constata une grosse auréole.
- J'aurais dû mettre une serviette…
J'en souris, flatté du résultat de mes attentions. Je la savais parfois pudique, et je ne voulais pas que cet "incident" la gêne plus que cela.
Je décidai de changer de position. En même temps, je savais alors que si elle jouissait encore, les indices seraient moins flagrants.
Je pris alors sa place et elle vint sur moi. Pour une fois, elle avait détaché sa chevelure, magnifique. Elle, au quotidien, avec un look assez strict, prenait des airs délicieusement érotiques lorsqu'elle consentait à s'abandonner. Assise sur mes cuisses, elle s'avança en prenant ma queue entre les doigts. Elle la guida en se mordant les lèvres. Je la vis fermer les yeux alors qu'elle l'enfonçait en elle. Puis, elle réagit en commençant à bouger du bassin. Elle avait joui, certes, mais elle en voulait plus, pour elle comme pour moi. Elle savait y faire. J'avais beau embrasser sa poitrine, caresser ses cheveux, son corps, elle n'avait d'autre obsession que de nous faire jouir ensemble. J'allais m'avouer vaincu, quand elle accéléra le mouvement… seul son bassin bougeait d'avant en arrière, de plus en plus vite. A nouveau, je sentis ce liquide chaud qui coulait cette fois sur mon pubis. Son visage se crispa. D'un mouvement profond, je me retirai de cet écrin de plaisir. Elle se dressa un peu et plongea la main pour saisir ma queue. Elle la plaqua contre son bas ventre en la tenant serrée. Ma queue gonfla et éjecta un long et chaud jet. Je ne sus pas comment elle fit, mais en quelques secondes, par d'habiles manipulations, elle réussit à me faire jouir une seconde fois.
- C'est rare, tu sais, deux fois de suite !
J'avais été surpris, et je ne voulais pas en rester là. Je rentrai à nouveau en elle. Cette fois-ci, les mains sur ses hanches, je m'appliquai à lui faire apprécier toute la longueur de mon sexe. La position n'avait que trop duré. Je me suis redressé pour qu'elle s'allonge à ma place. Elle tourna juste le visage pour me voir et resta ainsi. C'était une invitation que je connaissais. Je me suis approché pour la prendre en levrette. Je savais alors que nous décuplerions notre plaisir. Avec autant d'ardeur, je m'enfonçai avec délectation en elle. Je butais contre ses cuisses à chaque fois, lui soutirant au passage, quelques petits cris de plaisir. Je la prenais aussi profondément que je le pouvais. Je voulais jouir à nouveau, encore, lui montrer combien j'étais bien avec elle. Je repensai alors en un éclair à tous nos jeux depuis tout à l'heure, à son visage, à sa cyprine qui coulait sur moi. Ces pensées ne tardèrent pas à avoir leur effet. Elle le sentit et s'accorda avec mes mouvements. Je me retirai au dernier moment pour jouir une dernière fois sur ses fesses.
Elle se tourna pour passer la main sur ma nuque et m'embrasser. Aussi intenses que pouvaient être nos étreintes, les caresses n'en étaient que plus douces et tendres.
Soudain, je sursautai. J'entendis le gravier du chemin crisser sous les roues d'une voiture. Nos regards pétrifiés se croisèrent. Elle bégaya quelques mots, incrédules. Aussitôt, elle saisit sa robe pour s'habiller rapidement. De mon côté j'en fis autant. Je pris la précaution de cacher sa culotte qu'elle n'avait pas prise, sous le canapé. Les chaussettes dans les poches, j'inspectais une dernière fois ma tenue et la pièce pour être sûr que rien ne trahisse ce qui venait de s'y passer.
Je pris une grande respiration pour tenter de dissimuler ma surprise ainsi que l'excitation qui avait été la mienne depuis plus d'une heure. Je m'attendais à tomber sur quelqu'un. Je m'avance dans le couloir et finalement, c'est elle qui surgit, aussi troublée que moi.
- Non, j'ai vérifié, il n'y a personne, affirma-t-elle, la main sur la poitrine, essoufflée.
Nous restons vigilants quelques minutes, stressés… Je pense qu'à ce moment-là, nos imaginations se sont emballées, songeant au pire, à tout… nous nous retrouvons finalement où tout a commencé, derrière la porte d'entrée. Je le prends dans les bras pour la rassurer. Le visage dans mes mains, je l'embrasse tendrement… puis, le baiser se fait plus insistant, et autant de sa part. Est-ce le retour de situation ou l'idée qu'elle est nue sous sa robe ? Mes mains s’emballent… Je dessine le pourtour de ses hanches, je la serre contre moi, je pétris ses fesses adorables, j'écarte le haut de sa robe pour saisir sa poitrine, je la dévore…
Du coin de l'œil, je vois le canapé à ma droite. Je la saisis par le bras et l'y guide. Elle s'appuie au dossier et je relève sa robe. Je n'ai finalement que mon pantalon à défaire. Je saisis ma queue que je laisse glisser entre ses jambes pour l'enduire de sa mouille. Elle m'attend… Je présente mon gland luisant juste à l'entrée de ses lèvres brillantes et j'entre en elle. Elle se plaque contre mes cuisses pour que j'entre profondément. Boosté par l'excitation engendrée par la crainte, frustré d'avoir été interrompu, je la prends. Elle aussi a encore plus envie de me sentir en elle. Elle se cramponne au canapé, elle vient me chercher de ses hanches. Bientôt, notre respiration haletante se mêle aux bruits de nos corps qui s'entrechoquent. Je m'accroupis un peu pour que ma queue aille heurter ce point qu'elle adore en elle… Elle est surprise, mais elle tend le bras en arrière pour venir poser la main sur ma cuisse. Elle la saisit et m'invite à recommencer. J'accélère le rythme… Elle sent que je vais jouir. Je me retire alors qu'elle se retourne. Accroupie devant moi, elle prend ma queue dans la main et la branle. Son regard guette les signes de mon visage qui marqueront le début de ma jouissance. Je ne veux pas la faire attendre plus longtemps : sa main se couvre de ma semence, dans un râle profond.
Elle se redresse pour venir m'embrasser. Mon dieu que j'ai mal dans les cuisses ! Elle s'absente quelques instants pour me rapporter une serviette. Comme à son habitude, elle inspecte le lieu pour s'assurer que rien ne pourrait trahir notre secret.
Comme finalement, il était convenu, nous passâmes ensuite à table. Nous avons discuté, de façon très neutre, comme deux amis, pendant plus d'une heure. Nous étions bien, détendu, heureux d'être ensembles.
Je devais partir. Sur le pas de la porte, un dernier baiser, qui n'avait rien à envier aux autres ! Puis, elle posa la main sur la poignée de la porte, esquissa un dernier sourire. Nous devions reprendre nos "masques".
- Merci d'être venu, c'était très gentil, lança-t-elle d'une voix ferme.
- Pas de soucis, si tu as besoin encore d'aide, appelle-moi.
Un petit geste discret depuis ma voiture et je partis.
Ce fut finalement la dernière fois que nous avons fait l'amour. Notre relation était allé bien au-delà de nos espérances. Pour elle, c'était difficile de jouer sur les deux tableaux. Nous nous sommes séparés quelques semaines plus tard. Je garde un souvenir merveilleux de la femme et de la maitresse, car elle a su allier tendresse, douceur, profondeur, spiritualité et érotisme.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Une histoire apparamment simple, mais tellement équilibrée et honorant les sensations
féminines subtiles, que celà m'étonne que cette forme de plaisir n'est réservée qu'à
ds femmes réellement averties. L'auteur vaut toute une soirée de fellation, de boire
de la cyprine, de baisers suivies à mouille masculine. Oui, peut-être à trois, qui
sait ? signé : munard.
féminines subtiles, que celà m'étonne que cette forme de plaisir n'est réservée qu'à
ds femmes réellement averties. L'auteur vaut toute une soirée de fellation, de boire
de la cyprine, de baisers suivies à mouille masculine. Oui, peut-être à trois, qui
sait ? signé : munard.