Une drôle d’amoureuse - 4ème épisode
Récit érotique écrit par Zootman [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-08-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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Une drôle d’amoureuse - 4ème épisode
(Toujours un grand merci pour les commentaires…)
Enfin, nous arrivons à la maison. Le gardien vient prendre nos bagages, qu’il installe dans nos chambres, puis il vient à côté de Luc. Je vois alors mes amis se dévêtir et remettre leurs habits au gardien.
- Marcel, prenez également les habits de Monsieur Steve.
Il me regarde, impassible mais avec néanmoins un très léger sourire au coin des lèvres. Il doit avoir l’habitude des « invités de Monsieur et Madame ». Bien sûr, je me désape aussi, et me retrouve à poil.
- Bien, nous allons te faire visiter la maison, me dit Camille.
Et les voilà qui me précèdent, passant du hall d’entrée au salon, puis dans un boudoir, puis dans une salle à manger, puis dans la cuisine, ou j’aperçois une cuisinière qui prépare le repas et qui nous salue, non sans mater mon sexe pour l’évaluer. Suis-je dans la norme, ai-je une grosse bite, une petite ? Son regard ne me renseigne pas.
Puis nous montons à l’étage, et de voir le cul de Camille se dandiner devant moi commence à me donner des idées. Mon sexe, bien que restant mou, s’allonge un peu.
Nous visitons les cinq chambres, chacune avec salle de bain. La mienne est contigüe à celle de mes hôtes, avec même une porte entre elles.
- Ainsi, je t’aurai sous la main, me sourit Luc.
- Il y a aussi un petit appartement de service au deuxième étage. C’est là que logent Marcel et Virginie, la cuisinière, sa femme.
Une fois la visite finie, nous redescendons.
Un apéritif nous attend.
Nous nous asseyons, mes amis dans le canapé, et moi sur un fauteuil face à eux.
Tout en sirotant, Camille me couve de ses yeux adorables, et écarte régulièrement les cuisses pour que j’aperçoive sa chatte. Je la reluque avec avidité, sachant le bon goût qu’elle a quand elle mouille.
Tout à coup, Luc dit :
- A genoux, Camille, et viens me sucer.
Elle obtempère et va emboucher le sexe mou de son mari. Elle sait qu’elle ne le fera pas bander, mais elle aime le sucer, lui montrer qu’elle l’aime malgré son handicap, que sa queue l’attire. Elle serre fort la bouche sur le sexe, et des bruits de succion se font entendre.
- Montre ton cul à Steve pendant ce temps, dit Luc.
Et elle le tourne vers moi, qui commence à bander légèrement.
- Viens lui lécher la raie, m’intime Luc, je veux la voir se trémousser.
Je ne me fais pas prier, m’agenouille derrière Camille, et ma langue commence sa course de haut en bas. Vous l’ai-je déjà dit ? Camille a un cul somptueux ! Ferme, rond, la raie un peu écartée qui permet de voir son petit trou frémissant. Je le lèche lui aussi, au passage, et tente d’insinuer ma langue.
- Chéri, il essaye de m’enculer avec sa langue, minaude Camille.
- Quel cochon ! je ne lui en ai pas donné l’ordre me semble-t-il. Steve, premier et dernier avertissement ! Aucune initiative sans que je ne t’y autorise.
- Oui, Luc, répond-je penaud. Et je me contente de lécher la raie du cul de Camille, ce qui n’est tout de même pas désagréable.
Camille se tortille sous ma langue, et Luc apprécie.
- Mouille lui bien la raie, après tu pourras coulisser dessus avec ta queue. Encore un peu, là, allez, vas-y, pose ta bite sur son cul et remue dessus.
Mon gourdin bien dressé maintenant, je vais et viens sur ces fesses appétissantes. Luc me regarde avec intérêt.
- Baise là maintenant, et jouis dès que tu peux !
J’introduis ma queue dans le con de Camille, et la lime de plus en plus vite, quand je sens qu’elle réclame plus de fermeté dans mon action en se tendant vers moi. Et rapidement, je lui remplis la vulve de mon jus.
- Ca y est, chéri, il a joui, dit Camille.
- Bien, maintenant, tu t’allonge sur le dos, Steve, et toi, Camille, tu lui fais boire son jus. Tu as le droit de la lécher, Steve.
Aie, je me demandais quand ils allaient devenir un peu pervers. Je n’ai jamais goûté mon sperme, mais je réfrène vite mon léger dégoût de principe quand je vois Camille s’accroupir au-dessus de moi et venir poser sa belle chatte sur ma bouche, contracter ses parois intimes pour faire sortir ma semence. J’aspire sa cyprine et mon sperme, et suis enivré du goût délicieux de ce mélange. Et je commence à laper sa chatte ouverte, et lui attrape le clito entre mes lèvres. Je le garde en bouche, l’aspirant, le léchant, et je vois que cela augmente son flot de mouille qui me dégouline dessus.
Bientôt, elle jouit dans ma bouche, et son nectar m’inonde, je suis le plus heureux des hommes.
- Bien, l’apéritif étant fini, passons à table dit Luc en faisant tinter une petite cloche.
Virginie arrive avec l’entrée, et là, je reste bouche bée. Elle s’est habillée en soubrette, ses énormes nichons à peine retenus par un corsage blanc magnifique, et sa jupette « à ras la touffe » laissant deviner le haut du porte-jarretelle tenant ses bas noirs.
Mes amis sourient devant mon étonnement.
- Mais Steve, ne crois-tu pas que les gens à notre service ne nous ressemblent pas un peu ? me taquine Luc.
Virginie s’approche pour servir Luc, et il en profite pour passer une main sous la jupe de Virginie.
- Pas de culotte, et bien rasée, Virginie, je vous félicite pour votre délicatesse à mon égard.
- C’est un plaisir de servir Monsieur, et vos doigts fins me font beaucoup de bien, mais risquent de me détourner de mon service, lui répond-elle d’un rire mutin.
- Pose ce plat sur la table, et penchez-vous un peu, dit Luc.
Virginie obéit, et Luc lui remonte sa jupe, s’accroupit et à son tour lui humidifie le cul.
- J’aime terminer l’apéro par le goût de votre cul, Virginie, vous le savez ! dit-il en se rasseyant.
- A votre service Monsieur, et elle sert Camille et moi.
Nous mangeons l’entrée en parlant des mérites physiques de Virginie, retournée à la cuisine.
- C’est une belle cochonne, elle aime vraiment le sexe, tu t’en rendras compte, Steve.
- Elle a une paire de seins incroyable, si je peux y goûter, j’en serai ravi, dis-je.
- Hé là, n’oublie pas que tu es MON amant attitré, couine Camille. Tu ne la goûteras que si tu m’as comblée avant !
- Oui, ma belle, je te le promets.
Le dîner continue, entrecoupé de passages de Virginie, qui se fait peloter par Luc. Une fois, il lui sort les seins de son corsage et les tête, une autre il l’assoit sur la table et lui lèche la chatte.
Camille ne dit rien, visiblement habituée aux gestes de son mari envers Virginie. Elle sourit même, l’œil coquin. Et je comprends pourquoi bientôt.
Au moment du café, C’est vers Camille que Virginie se dirige. Camille rayonne, recule un peu sa chaise, anticipant :
- Si Madame me le permet…
et elle s’agenouille devant Camille, qui a écarté les jambes, colle sa bouche sur sa vulve et lui fait un cunnilingus de toute beauté, tendre et efficace. Camille se tend en arrière sur sa chaise, en extase.
- La chatte de Madame à toujours aussi bon goût se réjoui la cuisinière. Votre ami à bien de la chance de pouvoir y goûter, peut-être pourrons-nous le faire ensemble ?
- Virginie, Monsieur Steve est maintenant mon amant officiel. Tu ne peux le traiter comme les autres invités passés. Mais je te sais gourmande, et s’il est sage, nous pourrons peut-être en profiter à deux.
Virginie lui lance un regard concupiscent, puis vrille son regard dans le mien.
- Je suis sûr que Monsieur Steve sera obéissant, ce serait dommage… Mais je sais par expérience que certains résistent, Madame, n’est-ce pas ?
- Allons Virginie, n’inquiétez-pas notre ami, il sait que Monsieur Luc dirige les opérations, et nous avons confiance dans ses capacités. Retournez à la cuisine et demandez à Marcel de nous apporter le digestif sur la terrasse s’il vous plait.
Que trament-ils, quels sont ces jeux auxquels « certains résistent » ?
Tous mes sens sont exacerbés par cette ambiance de sexe, et je prends mon pied vraiment souvent par rapport à mes habitudes. Toutefois, j’ai bien compris que la danse ne fait que commencer. Aie aie aie.
Enfin, nous arrivons à la maison. Le gardien vient prendre nos bagages, qu’il installe dans nos chambres, puis il vient à côté de Luc. Je vois alors mes amis se dévêtir et remettre leurs habits au gardien.
- Marcel, prenez également les habits de Monsieur Steve.
Il me regarde, impassible mais avec néanmoins un très léger sourire au coin des lèvres. Il doit avoir l’habitude des « invités de Monsieur et Madame ». Bien sûr, je me désape aussi, et me retrouve à poil.
- Bien, nous allons te faire visiter la maison, me dit Camille.
Et les voilà qui me précèdent, passant du hall d’entrée au salon, puis dans un boudoir, puis dans une salle à manger, puis dans la cuisine, ou j’aperçois une cuisinière qui prépare le repas et qui nous salue, non sans mater mon sexe pour l’évaluer. Suis-je dans la norme, ai-je une grosse bite, une petite ? Son regard ne me renseigne pas.
Puis nous montons à l’étage, et de voir le cul de Camille se dandiner devant moi commence à me donner des idées. Mon sexe, bien que restant mou, s’allonge un peu.
Nous visitons les cinq chambres, chacune avec salle de bain. La mienne est contigüe à celle de mes hôtes, avec même une porte entre elles.
- Ainsi, je t’aurai sous la main, me sourit Luc.
- Il y a aussi un petit appartement de service au deuxième étage. C’est là que logent Marcel et Virginie, la cuisinière, sa femme.
Une fois la visite finie, nous redescendons.
Un apéritif nous attend.
Nous nous asseyons, mes amis dans le canapé, et moi sur un fauteuil face à eux.
Tout en sirotant, Camille me couve de ses yeux adorables, et écarte régulièrement les cuisses pour que j’aperçoive sa chatte. Je la reluque avec avidité, sachant le bon goût qu’elle a quand elle mouille.
Tout à coup, Luc dit :
- A genoux, Camille, et viens me sucer.
Elle obtempère et va emboucher le sexe mou de son mari. Elle sait qu’elle ne le fera pas bander, mais elle aime le sucer, lui montrer qu’elle l’aime malgré son handicap, que sa queue l’attire. Elle serre fort la bouche sur le sexe, et des bruits de succion se font entendre.
- Montre ton cul à Steve pendant ce temps, dit Luc.
Et elle le tourne vers moi, qui commence à bander légèrement.
- Viens lui lécher la raie, m’intime Luc, je veux la voir se trémousser.
Je ne me fais pas prier, m’agenouille derrière Camille, et ma langue commence sa course de haut en bas. Vous l’ai-je déjà dit ? Camille a un cul somptueux ! Ferme, rond, la raie un peu écartée qui permet de voir son petit trou frémissant. Je le lèche lui aussi, au passage, et tente d’insinuer ma langue.
- Chéri, il essaye de m’enculer avec sa langue, minaude Camille.
- Quel cochon ! je ne lui en ai pas donné l’ordre me semble-t-il. Steve, premier et dernier avertissement ! Aucune initiative sans que je ne t’y autorise.
- Oui, Luc, répond-je penaud. Et je me contente de lécher la raie du cul de Camille, ce qui n’est tout de même pas désagréable.
Camille se tortille sous ma langue, et Luc apprécie.
- Mouille lui bien la raie, après tu pourras coulisser dessus avec ta queue. Encore un peu, là, allez, vas-y, pose ta bite sur son cul et remue dessus.
Mon gourdin bien dressé maintenant, je vais et viens sur ces fesses appétissantes. Luc me regarde avec intérêt.
- Baise là maintenant, et jouis dès que tu peux !
J’introduis ma queue dans le con de Camille, et la lime de plus en plus vite, quand je sens qu’elle réclame plus de fermeté dans mon action en se tendant vers moi. Et rapidement, je lui remplis la vulve de mon jus.
- Ca y est, chéri, il a joui, dit Camille.
- Bien, maintenant, tu t’allonge sur le dos, Steve, et toi, Camille, tu lui fais boire son jus. Tu as le droit de la lécher, Steve.
Aie, je me demandais quand ils allaient devenir un peu pervers. Je n’ai jamais goûté mon sperme, mais je réfrène vite mon léger dégoût de principe quand je vois Camille s’accroupir au-dessus de moi et venir poser sa belle chatte sur ma bouche, contracter ses parois intimes pour faire sortir ma semence. J’aspire sa cyprine et mon sperme, et suis enivré du goût délicieux de ce mélange. Et je commence à laper sa chatte ouverte, et lui attrape le clito entre mes lèvres. Je le garde en bouche, l’aspirant, le léchant, et je vois que cela augmente son flot de mouille qui me dégouline dessus.
Bientôt, elle jouit dans ma bouche, et son nectar m’inonde, je suis le plus heureux des hommes.
- Bien, l’apéritif étant fini, passons à table dit Luc en faisant tinter une petite cloche.
Virginie arrive avec l’entrée, et là, je reste bouche bée. Elle s’est habillée en soubrette, ses énormes nichons à peine retenus par un corsage blanc magnifique, et sa jupette « à ras la touffe » laissant deviner le haut du porte-jarretelle tenant ses bas noirs.
Mes amis sourient devant mon étonnement.
- Mais Steve, ne crois-tu pas que les gens à notre service ne nous ressemblent pas un peu ? me taquine Luc.
Virginie s’approche pour servir Luc, et il en profite pour passer une main sous la jupe de Virginie.
- Pas de culotte, et bien rasée, Virginie, je vous félicite pour votre délicatesse à mon égard.
- C’est un plaisir de servir Monsieur, et vos doigts fins me font beaucoup de bien, mais risquent de me détourner de mon service, lui répond-elle d’un rire mutin.
- Pose ce plat sur la table, et penchez-vous un peu, dit Luc.
Virginie obéit, et Luc lui remonte sa jupe, s’accroupit et à son tour lui humidifie le cul.
- J’aime terminer l’apéro par le goût de votre cul, Virginie, vous le savez ! dit-il en se rasseyant.
- A votre service Monsieur, et elle sert Camille et moi.
Nous mangeons l’entrée en parlant des mérites physiques de Virginie, retournée à la cuisine.
- C’est une belle cochonne, elle aime vraiment le sexe, tu t’en rendras compte, Steve.
- Elle a une paire de seins incroyable, si je peux y goûter, j’en serai ravi, dis-je.
- Hé là, n’oublie pas que tu es MON amant attitré, couine Camille. Tu ne la goûteras que si tu m’as comblée avant !
- Oui, ma belle, je te le promets.
Le dîner continue, entrecoupé de passages de Virginie, qui se fait peloter par Luc. Une fois, il lui sort les seins de son corsage et les tête, une autre il l’assoit sur la table et lui lèche la chatte.
Camille ne dit rien, visiblement habituée aux gestes de son mari envers Virginie. Elle sourit même, l’œil coquin. Et je comprends pourquoi bientôt.
Au moment du café, C’est vers Camille que Virginie se dirige. Camille rayonne, recule un peu sa chaise, anticipant :
- Si Madame me le permet…
et elle s’agenouille devant Camille, qui a écarté les jambes, colle sa bouche sur sa vulve et lui fait un cunnilingus de toute beauté, tendre et efficace. Camille se tend en arrière sur sa chaise, en extase.
- La chatte de Madame à toujours aussi bon goût se réjoui la cuisinière. Votre ami à bien de la chance de pouvoir y goûter, peut-être pourrons-nous le faire ensemble ?
- Virginie, Monsieur Steve est maintenant mon amant officiel. Tu ne peux le traiter comme les autres invités passés. Mais je te sais gourmande, et s’il est sage, nous pourrons peut-être en profiter à deux.
Virginie lui lance un regard concupiscent, puis vrille son regard dans le mien.
- Je suis sûr que Monsieur Steve sera obéissant, ce serait dommage… Mais je sais par expérience que certains résistent, Madame, n’est-ce pas ?
- Allons Virginie, n’inquiétez-pas notre ami, il sait que Monsieur Luc dirige les opérations, et nous avons confiance dans ses capacités. Retournez à la cuisine et demandez à Marcel de nous apporter le digestif sur la terrasse s’il vous plait.
Que trament-ils, quels sont ces jeux auxquels « certains résistent » ?
Tous mes sens sont exacerbés par cette ambiance de sexe, et je prends mon pied vraiment souvent par rapport à mes habitudes. Toutefois, j’ai bien compris que la danse ne fait que commencer. Aie aie aie.
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