Une enquête de l’agent Anna – Fuite de données (01)
Récit érotique écrit par Thma69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une enquête de l’agent Anna – Fuite de données (01)
Salut à toi qui va lire mon histoire. Tu vas aimer, ou pas. Quoi qu’il en soit j’espère qu’elle ne te laissera pas indifférent. Alors, je te remercie de laisser un commentaire ou une critique. Cela me permettra de progresser et de te proposer de nouveaux récits. Merci d’avance et bonne lecture en espérant que tu prennes autant de plaisir à lire que moi à écrire.
Je quitte la rame de métro à la station Vieux-Lyon et me dirige vers le funiculaire pour Fourvière. Il y a du monde, c’est l’été et les touristes ont envahi la ville. J’attends peu dans la foule et je suis portée par la foule dans le funiculaire. Nous sommes serrés mais la main sur mes fesses est bien trop entreprenante pour être là par hasard. Je tourne la tête, repère mon pervers qui a l’air d’être en plein extase. Je le parcours, repère son pied et y plante mon talon. Il pousse un cri et se penche en avant pour attraper son pied meurtri. Je le pousse fermement dans le dos et sa tête frappe violemment contre la barre de main courante, ça fait un gros « Bong » et il s’écroule. « Ho ! Je suis maladroite ! Désolée. Faites-lui de la place s’il vous plait ! ». Je m’accroupis et le fouille tandis que je le place en PLS. Je trouve son portefeuille et le glisse discrètement dans mon sac à main. « Toi mon coco, ta carrière de pervers est finie » me dis-je tandis que le funiculaire arrive à destination.
Je suis arrivée de la capitale à la gare Part-Dieu il y a à peine une heure et déjà je suis dans les embrouilles. Il va falloir que je me calme et que je fasse profil bas. La sécurité a pris mon relais auprès du « pauvre » homme et je sors de la gare. Je suis écrasée par la majesté de la basilique Notre-Dame de Fourvière. Je la laisse sur ma gauche et me dirige vers la terrasse d’observation. Mon contact est déjà là. Je m’accoude à la rambarde à ses côtés et me je perds dans la contemplation du panorama qui s’offre à moi. La vue sur la ville de Lyon et de ses environs, les montagnes en fond, est magnifique. C’est à peine si je remarque que mon contact vient de glisser une enveloppe dans mon sac et s’en va. Quelques secondes pour me voir assigner ma nouvelle mission, je reprends ma contemplation et me permets un moment de nostalgie.
Je suis née pas loin, dans l’Ain, à Bourg-en-Bresse, et j’ai vécu mon enfance et mon adolescence à Lyon avant que mes parents ne déménagent en région parisienne. Mes parents, un couple atypique, lui d’origines irlandaises, d’où mon nom, Murray et elle d’origines italiennes. Fille unique, j’ai pris des d’eux tant du caractère que du physique. J’ai un teint méditerranéen, la peau cuivrée, qui masque un peu mes taches de rousseur, les cheveux roux, et épais. Je les ai détestés une bonne partie de ma vie. Pour le caractère, imaginez la réunion de deux peuples forts et opposés. Je suis cela forte, explosive, passionnée et contradictoire. Je suis Anna, j’ai 28 ans et ma vie aurait été un enfer si je n’avais été sauvée par les services de enseignements. Après mon master 2 en droit pénal et sciences criminelles à ASSAS, j’ai pris une année sabbatique qui m’a fait dériver vers la prostitution. Le terme n’est pas le bon, il faut dire Escort, mais finalement, pour moi, c’est la même chose et j’en suis consciente.
Au cours de cette année sabbatique, je me suis lâchée, j’aimais rencontrer de nouveaux partenaires, j’aimais le sexe et les aventures rémunérées, je jouais un rôle qui me plaisait. Je vivais, aux travers de mes partenaires, dans le luxe et l’euphorie. L’alcool, la drogue, le sexe, je me noyais sans m’en rendre compte. Je fus demandée pour passer une semaine avec un homme à Bandol. Je devais être sa fiancée et l’accompagner lors de ses rendez-vous d’affaires et de ses soirées. Bien sûr il fallait prévoir le plus hors de ces moments publics. J’ai accepté pour le tarif proposé mais surtout pour le plaisir des soirées branchées de la côte d’azur et puis le mec, un peu âgé, était malgré tout bogoss. C’était un piège.
La semaine espérée de fêtes et de sorties en tout genre s’est transformée en un semaine de recrutement. L’homme qui devait être mon fiancé et mon amant était un recruteur d’une agence gouvernementale qui voulait me recruter en tant que contractuelle. Il a passé la semaine à essayer de me convaincre, j’ai passé la semaine à le séduire. J’ai tout essayé, les tenues les plus sexy aux plus strictes, rien n’y fit. Même mon maillot une pièce rose très échancré ne l’a pas fait dévier, bien que j’ai aperçu une légère bosse dans son pantalon et un regard appuyé. Tandis que je tentais de le séduire, il en faisait de même pour que je travaille pour la France.
J’ai perdu, il a gagné. Cette semaine de détox m’a permis de retrouver mes valeurs qui m’avaient poussées à faire du droit. Il me proposait de mettre à profit mes compétences universitaires associées à celles d’escort pour surveiller, voire infiltrer, le milieu du grand banditisme. J’ai accepté.
Le salaire proposé en tant que « consultante » était intéressant et il m’assura que tous les à côté seraient pour moi, je signais tous les contrats d’engagements et de confidentialité.
J’ai suivi une formation de 6 mois, combat au corps à corps, armes en tout genre. J’aime me sentir une arme de guerre. C’est ma première mission à Lyon, il ne faut pas que je me loupe.
En venant j’ai repéré un restaurant/bar à cocktail, je m’y dirige, m’installe en terrasse et commande le cocktail du jour.
- Bonjour. Magnifique la vue, non ? Vous visitez notre belle ville ?
Je me retourne vers cette voix qui me sort de mes rêveries et m’apprête à jeter l’importun mais il est beau gosse, la trentaine environ, bien bâti. J’ai envie de lui, là maintenant. Je me lève, lui prend la main et l’entraine vers les toilettes.
- Ne prenons pas de raccourcis, tu veux me baiser, je t’évite des frais de restaurant et autres.
Lui lançais je une fois arrivés. Je me jette sur sa bouche et il s’échauffe vite et sa langue pénètre ma bouche pour jouer avec ma langue. Ses mains trouvent très vite mes fesses et les caressent. Je trouve très vite sa ceinture, son bouton et sa braguette. Tout aussi vite je découvre un sexe déjà prometteur. Je le pousse et il tombe plus qu’il ne s’assoit sur les toilettes. Je m’agenouille entre ses jambes, voilà un des détails qui me font aimer les restaurants chics, les toilettes sont propres. Je libère son sexe, j’avais raison, très prometteur, et je l’avale avant qu’il ne puisse réagir. J’entends dans un murmure « Ho ! Salope ! » alors je le mors un peu, il sursaute mais ne bouge pas. Quand il commence à râler et que je l’ai bien lubrifié, je remonte sur lui, relève ma jupe, écarte mon string, le positionne et m’empale sur lui. C’est bon, tout mon ventre explose. S’il semble surpris que je lui donne mon cul plutôt que mon vagin, ça n’a pas l’air de le déranger. De toute façon je m’en fous, il me fait du bien. Je commence alors à aller et venir sur son sexe. Ses mains trouvent mes seins et les caressent. Je sens le feu monter dans mon bas ventre tandis que mes mouvements s’accélèrent. Son sexe m’écartèle les fesses, je le sens bien, chaque friction m’électrise un peu plus. Je gémis, il râle. Je luis plaque la tête entre mes seins alors que je me déchaine sur lui. Je sens l’orgasme arriver, je l’enfonce au plus profond de moi et mon corps explose dans un cri tandis que je l’entends pousser des râles profond, signe qu’il a jouit aussi. Je frissonne et je le sers plus fort contre la poitrine.
Je me sens mieux, rien de tel que le sexe pour évacuer les tensions. Les derniers spasmes de plaisir envolés, je me relève, sentant son sexe quitter mon antre. Je rajuste mon string et ma jupe. Et lui lance « Pas un mot, pas un bruit, casse-toi ! ». Il obtempère, je sens qu’il est blessé dans son amour propre de mâle mais il n’ose rien dire. Seule, je reprends mes esprits, je me sens décidemment beaucoup mieux. Je reprends mon maquillage et retourne sur la terrasse siroter mon cocktail qui m’attend.
Je quitte la rame de métro à la station Vieux-Lyon et me dirige vers le funiculaire pour Fourvière. Il y a du monde, c’est l’été et les touristes ont envahi la ville. J’attends peu dans la foule et je suis portée par la foule dans le funiculaire. Nous sommes serrés mais la main sur mes fesses est bien trop entreprenante pour être là par hasard. Je tourne la tête, repère mon pervers qui a l’air d’être en plein extase. Je le parcours, repère son pied et y plante mon talon. Il pousse un cri et se penche en avant pour attraper son pied meurtri. Je le pousse fermement dans le dos et sa tête frappe violemment contre la barre de main courante, ça fait un gros « Bong » et il s’écroule. « Ho ! Je suis maladroite ! Désolée. Faites-lui de la place s’il vous plait ! ». Je m’accroupis et le fouille tandis que je le place en PLS. Je trouve son portefeuille et le glisse discrètement dans mon sac à main. « Toi mon coco, ta carrière de pervers est finie » me dis-je tandis que le funiculaire arrive à destination.
Je suis arrivée de la capitale à la gare Part-Dieu il y a à peine une heure et déjà je suis dans les embrouilles. Il va falloir que je me calme et que je fasse profil bas. La sécurité a pris mon relais auprès du « pauvre » homme et je sors de la gare. Je suis écrasée par la majesté de la basilique Notre-Dame de Fourvière. Je la laisse sur ma gauche et me dirige vers la terrasse d’observation. Mon contact est déjà là. Je m’accoude à la rambarde à ses côtés et me je perds dans la contemplation du panorama qui s’offre à moi. La vue sur la ville de Lyon et de ses environs, les montagnes en fond, est magnifique. C’est à peine si je remarque que mon contact vient de glisser une enveloppe dans mon sac et s’en va. Quelques secondes pour me voir assigner ma nouvelle mission, je reprends ma contemplation et me permets un moment de nostalgie.
Je suis née pas loin, dans l’Ain, à Bourg-en-Bresse, et j’ai vécu mon enfance et mon adolescence à Lyon avant que mes parents ne déménagent en région parisienne. Mes parents, un couple atypique, lui d’origines irlandaises, d’où mon nom, Murray et elle d’origines italiennes. Fille unique, j’ai pris des d’eux tant du caractère que du physique. J’ai un teint méditerranéen, la peau cuivrée, qui masque un peu mes taches de rousseur, les cheveux roux, et épais. Je les ai détestés une bonne partie de ma vie. Pour le caractère, imaginez la réunion de deux peuples forts et opposés. Je suis cela forte, explosive, passionnée et contradictoire. Je suis Anna, j’ai 28 ans et ma vie aurait été un enfer si je n’avais été sauvée par les services de enseignements. Après mon master 2 en droit pénal et sciences criminelles à ASSAS, j’ai pris une année sabbatique qui m’a fait dériver vers la prostitution. Le terme n’est pas le bon, il faut dire Escort, mais finalement, pour moi, c’est la même chose et j’en suis consciente.
Au cours de cette année sabbatique, je me suis lâchée, j’aimais rencontrer de nouveaux partenaires, j’aimais le sexe et les aventures rémunérées, je jouais un rôle qui me plaisait. Je vivais, aux travers de mes partenaires, dans le luxe et l’euphorie. L’alcool, la drogue, le sexe, je me noyais sans m’en rendre compte. Je fus demandée pour passer une semaine avec un homme à Bandol. Je devais être sa fiancée et l’accompagner lors de ses rendez-vous d’affaires et de ses soirées. Bien sûr il fallait prévoir le plus hors de ces moments publics. J’ai accepté pour le tarif proposé mais surtout pour le plaisir des soirées branchées de la côte d’azur et puis le mec, un peu âgé, était malgré tout bogoss. C’était un piège.
La semaine espérée de fêtes et de sorties en tout genre s’est transformée en un semaine de recrutement. L’homme qui devait être mon fiancé et mon amant était un recruteur d’une agence gouvernementale qui voulait me recruter en tant que contractuelle. Il a passé la semaine à essayer de me convaincre, j’ai passé la semaine à le séduire. J’ai tout essayé, les tenues les plus sexy aux plus strictes, rien n’y fit. Même mon maillot une pièce rose très échancré ne l’a pas fait dévier, bien que j’ai aperçu une légère bosse dans son pantalon et un regard appuyé. Tandis que je tentais de le séduire, il en faisait de même pour que je travaille pour la France.
J’ai perdu, il a gagné. Cette semaine de détox m’a permis de retrouver mes valeurs qui m’avaient poussées à faire du droit. Il me proposait de mettre à profit mes compétences universitaires associées à celles d’escort pour surveiller, voire infiltrer, le milieu du grand banditisme. J’ai accepté.
Le salaire proposé en tant que « consultante » était intéressant et il m’assura que tous les à côté seraient pour moi, je signais tous les contrats d’engagements et de confidentialité.
J’ai suivi une formation de 6 mois, combat au corps à corps, armes en tout genre. J’aime me sentir une arme de guerre. C’est ma première mission à Lyon, il ne faut pas que je me loupe.
En venant j’ai repéré un restaurant/bar à cocktail, je m’y dirige, m’installe en terrasse et commande le cocktail du jour.
- Bonjour. Magnifique la vue, non ? Vous visitez notre belle ville ?
Je me retourne vers cette voix qui me sort de mes rêveries et m’apprête à jeter l’importun mais il est beau gosse, la trentaine environ, bien bâti. J’ai envie de lui, là maintenant. Je me lève, lui prend la main et l’entraine vers les toilettes.
- Ne prenons pas de raccourcis, tu veux me baiser, je t’évite des frais de restaurant et autres.
Lui lançais je une fois arrivés. Je me jette sur sa bouche et il s’échauffe vite et sa langue pénètre ma bouche pour jouer avec ma langue. Ses mains trouvent très vite mes fesses et les caressent. Je trouve très vite sa ceinture, son bouton et sa braguette. Tout aussi vite je découvre un sexe déjà prometteur. Je le pousse et il tombe plus qu’il ne s’assoit sur les toilettes. Je m’agenouille entre ses jambes, voilà un des détails qui me font aimer les restaurants chics, les toilettes sont propres. Je libère son sexe, j’avais raison, très prometteur, et je l’avale avant qu’il ne puisse réagir. J’entends dans un murmure « Ho ! Salope ! » alors je le mors un peu, il sursaute mais ne bouge pas. Quand il commence à râler et que je l’ai bien lubrifié, je remonte sur lui, relève ma jupe, écarte mon string, le positionne et m’empale sur lui. C’est bon, tout mon ventre explose. S’il semble surpris que je lui donne mon cul plutôt que mon vagin, ça n’a pas l’air de le déranger. De toute façon je m’en fous, il me fait du bien. Je commence alors à aller et venir sur son sexe. Ses mains trouvent mes seins et les caressent. Je sens le feu monter dans mon bas ventre tandis que mes mouvements s’accélèrent. Son sexe m’écartèle les fesses, je le sens bien, chaque friction m’électrise un peu plus. Je gémis, il râle. Je luis plaque la tête entre mes seins alors que je me déchaine sur lui. Je sens l’orgasme arriver, je l’enfonce au plus profond de moi et mon corps explose dans un cri tandis que je l’entends pousser des râles profond, signe qu’il a jouit aussi. Je frissonne et je le sers plus fort contre la poitrine.
Je me sens mieux, rien de tel que le sexe pour évacuer les tensions. Les derniers spasmes de plaisir envolés, je me relève, sentant son sexe quitter mon antre. Je rajuste mon string et ma jupe. Et lui lance « Pas un mot, pas un bruit, casse-toi ! ». Il obtempère, je sens qu’il est blessé dans son amour propre de mâle mais il n’ose rien dire. Seule, je reprends mes esprits, je me sens décidemment beaucoup mieux. Je reprends mon maquillage et retourne sur la terrasse siroter mon cocktail qui m’attend.
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