Une enquête de l’agent Anna – Fuite de données (02) - histoire érotique

Salut à toi qui va lire mon histoire. Tu vas aimer, ou pas. Quoi qu’il en soit j’espère qu’elle ne te laissera pas indifférent. Alors, je te remercie de laisser un commentaire ou une critique. Cela me permettra de progresser et de te proposer de nouveaux récits. Merci d’avance et bonne lecture en espérant que tu prennes autant de plaisir à lire que moi à écrire.

Je repense à mon beau male qui m’a fait tant de bien et je souris. Il n’a pas remarqué qu’au lieu d’un vagin j’ai une verge et des bourses. Je repense aux évènements qui m’ont amenée à être transgenre. C’est un accident d’avion qui en est à l’origine, j’y ai perdu mes parents et je suis morte aussi aux dire des médecins, quelques instants m’assurent ils. À 19 ans, mon corps fut brisé, j’ai été plongée dans un coma artificiel pendant près de 2 semaines. Mon réveil fut long et difficile. J’avais été opérée un peu partout et mon visage avait dû être refait. Lorsque je me découvris, je ne me reconnaissais pas, mon visage carré était aminci avec des pommettes hautes et une mâchoire et un menton plus fins, mon nez plus petit. Mon corps avait perdu sa masse musculaire et s’était affiné, il était entièrement épilé du fait des opérations. Non, décidemment, cette personne que je voyais dans la glace ne me rappelais personne, certainement pas Alessandro, moi. Le psychologue m’indiqua que mon corps avait été brisé, mon esprit aussi et qu’il allait falloir réparer les deux.

Ainsi débuta de longues séances de kiné qui remusclaient mon corps et de longues séances de psy qui ne m’aidaient pas. Mes muscles ne prenaient pas volume, mon système pileux était erratique et je m’épilais intégralement. Mes cheveux avaient poussé et je voyais plus une fille dans la glace que le garçon que j’étais. Lorsque le psy me conseilla un changement radical de vie pour en construire une nouvelle, j’ai eu le déclic et je décidais de tout changer y compris mon genre. Ainsi, en plus de mes cours de kiné, je pris un coach pour m’aider dans la transformation, ce fut long, traitements, opérations, mais le résultat fut là. Après un an d’efforts, j’avais un corps de femme, même si j’avais décidé de conserver mes bijoux de famille. Un beau corps même, mes exercices m’avaient fait de belles jambes fines et fermes, de belles fesses et l’opération de mes seins ne laissait qu’une fine cicatrice qu’il fallait trouver. J’avais même pris des hanches tandis que ma taille s’était resserrée. J’avais travaillé ma voix pour qu’elle soit rauque et un peu plus dans les aigus. J’étais devenue Anna.

J’ai déménagé à Brest, je n’y connaissais personne, et repris mes études. Je me suis fait des amies et des amis mais j’ai refusé de nombreuses avances. Pour mon master 2 je suis revenue à Paris, je me recréer un cercle d’amis et j’ai commencé à sortir avec des garçons de mon âge. C’était bizarre au début mais j’y ai pris gout mais tout a failli s’arrêter lorsque mon premier petit ami, alors que nous étions bien excités par nos baisers et nos caresses, a progressé entre mes cuisses et n’y a pas trouvé ce qu’il attendait. Il est devenu fou furieux et j’ai bien cru qu’il allait me frapper. Bien sur il a fait fuiter l’information et j’étais mortifiée. Je n’osais plus aller en cours mais j’ai reçu beaucoup de lettres de soutien et j’ai recommencé à vivre une vie normale.

J’ai rencontré un nouveau copain, je l’ai informé de la situation dès que j’ai senti qu’il se passait quelque chose entre nous et il m’a dit que ce n’était pas une question pour lui, que c’était moi qu’il aimait et pas mes différences. J’en ai pleuré et me suis jetées dans ses bras et quelques jours plus tard nous faisions l’amour et il prenait ma virginité. C’était un jour comme un autre, nous bossions sur nos partiels quand, au cours d’une pause, notre baiser s’est enflammé. Il y a eu comme un déclic, j’ai eu envie qu’il me fasse l’amour et je n’ai pas eu besoin de le lui demander, il a compris à mon baiser, au gout de ma salive, que j’étais prête. Alors nos mains ont caressé nos corps, partant à la découverte de l’autre. Après avoir caressé ma poitrine il est descendu sur mon ventre puis entre mes cuisses. J’ai eu un moment d’hésitation car le reste de ma virilité que j’avais conservé était très excité et la l’étroit dans mon jean. Il le trouva et le caressa, tout mon corps s’embrasa tandis que j’ai cru jouir de sa caresse. Son baiser se fit plus passionné tandis qu’il poursuivait de me caresser et que, sans m’en rendre compte, j’écartais les cuisses pour lui laisser de l’espace.

Il nous fit nous allonger sans que nos lèvres ne se quittent, j’étais sur le dos tandis qu’il était à mes côtés. Sa main me caressait tantôt la poitrine, tantôt le sexe. Elle trouva le bouton de mon jean le défit et glissa en direction de mon sexe qu’il trouva. Je fus électrisée et je poussais un gémissement de plaisir tandis que sa main allait et venait sur mon membre tendu. D’une main hésitante je trouvais le sien et le découvrait, il gémit alors je le caressais en rythme au travers de son pantalon. Sa main a quitté mon sexe et soulevé mon pull et mon tee-shirt et elle a tracé une ligne enflammée vers mes seins. Ils sont devenus hypersensibles quant elle les atteignit et mes tétons se dressèrent. Je me redégageais un peu pour me dévêtir, j’en profitais pour ôter mon soutien-gorge et je reprenais ma position. Sa main sur mes seins nus me fit frissonnée. Lorsqu’il joua avec mes tétons des décharges électrique s’en échappèrent, me parcourant le corps et m’arrachant un gémissement. Quand sa bouche quitta la mienne et que sa langue les titilla, la décharge fut plus forte et mon gémissement aussi.

Il les quitta pour descendre sur mon ventre, sa langue, telle une coulée de lave m’embrasait le bas ventre. Il me fit quitter mon jean et ma culotte, il me regarda et me dit « tu es belle Anna ». Alors il se pencha, me titilla le gland me faisant frissonner et gémir. Il poursuivit sa descente, parcourant mon sexe en éruption, passant sur mes bourses et, me relevant les jambes, il poursuivit entre mes fesses. Son passage sur mon anus me donna une violente décharge électrique qui me fit frissonner et pousser un nouveau gémissement. Lorsqu’il y revint, il s’y arrêta et le caressa de la langue. Mon bas ventre se transforma en super nova et lorsque je sentis sa langue en forcer l’entrée elle explosa libérant une onde de choc incroyable. Quand il commença à m’embrasser et à bouger sa bouche alors que sa langue jouait en moi, je gémissais sans discontinuer.

Il se releva, me mit les jambes sur ses épaules et présenta son sexe en remplacement de sa langue. Il me demanda si je voulais et j’acquiesçais. Il m’avait bien lubrifiée mais la pénétration fut difficile. Il forçait doucement, reculait puis recommençait. Tout à coup son gland est entré, j’ai eu mal et l’impression que quelque chose s’était déchiré. Il me caressa doucement les seins en me disant que ça allait passer, que tout allait bien. Il m’a demandé si je voulais arrêter, j’ai refusé. La douleur s’estompait et, quand il a commencé à bouger doucement en moi, elle s’est transformée en plaisir. Je le sentais progresser entre mes fesses à chaque mouvement. Le plaisir qui était retombé avec la douleur remontait doucement au rythme de ses pénétrations. Quand elles se firent plus amples et plus profondes elle remonta en flèche et le feu se ralluma dans mon ventre. Quand il accéléra le feu se transforma à nouveau en super nova et je gémissais à chaque assaut. Son rythme s’accéléra encore et dans une poussée profonde je le sentis se raidir et râler tandis que la super nova explosait me faisant frissonner tout le corps et pousser un cri de plaisir.

Je venais d’avoir mon premier orgasme. Il fut suivi de nombreux autres.

Je découvrais ma sexualité, je n’en avais plus peur et je commençais à aimer le regard des autres sur moi. Je prenais confiance et je n’avais plus peur alors j’osais la provocation par mes tenues, par mes regards et mes attitudes. Mon copain ne me comprenait plus et nous avons rompu. Je donnais alors libre court à ma sexualité, enchainant les conquêtes et les plans d’un soir. C’est là que les problèmes ont commencé et je suis bien heureuse d’en être sortie.