Une envie, une tante, encore des souvenirs
Récit érotique écrit par Helene2010 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-09-2010 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Une envie, une tante, encore des souvenirs
J'étais encore au lycée et ce dimanche-là, nous étions allés voir une de mes tantes. Ma mère avait dit qu'il fallait aller
la voir et qu'il ne fallait pas la laisser seule. Je ne me suis même pas demandé pourquoi elle avait précisé ça. Nous
avons pris le train, un bus et nous avons débarqué devant un immeuble.
- Votre tante habite là, a dit ma mère en observant l'immeuble puis nous sommes entrées et nous sommes montées
jusqu'au quatrième et ma mère a sonné à une porte. Une femme que je n'avais jamais vue, ma tante, a ouvert et en
voyant ma mère nous a dit d'entrer.
- Alors, c'est ça, a ajouté notre mère une fois que nous avons été à l'intérieur de l'appartement !
J'ai commencé à comprendre ce qui se passait parce que ma tante semblait enceinte. Elle était encore mince et
n'avait pas vraiment de poitrine mais son ventre laissait deviner son état.
- Suzanne, il n'est pas nécessaire que tu te fatigues, a encore ajouté ma mère ! Va t'asseoir dans le salon avec tes
nièces - moi et ma soeur - et je vais faire du thé !
J'ai suivi ma tante dans le salon et je me suis assise sur une chaise pendant que ma soeur regardait par la fenêtre.
Notre tante s'est assise sur un canapé. Je l'observais et elle nous observait elle aussi.
- Pourquoi on ne se connaissait pas, lui ai-je demandé ?
Ma tante m'a souri puis m'a dit qu'elle n'est pas comme ma mère et qu'elle n'a pas suivie la voie royale du mariage.
Je la regardais, étonnée tandis que ma soeur regardait obstinément par la fenêtre.
- Je suis une lesbienne, a ajouté ma tante Suzanne et forcément ça faisait tache ! Mais peut-être que l'une de vous
deux l'est aussi ?
J'ai rougi. Elle a insisté :
- Je n'ai jamais été attirée par les hommes et je n'en ai jamais eu honte ! Enfin, là, il a bien fallu que je m'accouple
avec...
Elle n'a pas terminé sa phrase. Elle s'était laissée aller en arrière et son ventre paraissait soudain bien plus gros.
- Ce n'est pas que ça me plaise, mais il n'y a pas d'autre moyen pour avoir un enfant, a continué ma tante !
- Tu vis avec une femme, a dit ma soeur en s'adressant à ma tante ? C'est dégoûtant !
- Oh, je ne chercherais pas à te convaincre, lui a répondu notre tante ! Je crois que je suis née comme ça et j'ai
toujours été attirée par les filles ou les femmes !
Je lui ai demandé quel âge elle avait. J'avais l'impression que j'avais vu une photo de notre mère avec elle et elles
devaient pas avoir dans les seize ans.
- J'en ai trente-quatre, m'a répondu ma tante !
Notre mère est arrivée avec le thé et nous les filles, n'avons plus rien dit. Maman s'inquiétait de savoir si sa soeur
avait de quoi subsister et notre tante l'a rassurée en lui disant qu'elle n'avait pas de problèmes et je n'ai plus écouté
ce qu'elles se disaient. Nous sommes reparties environ deux heures après être arrivées et nous avons repris le train
pour rentrer.
Quelques semaines plus tard et alors que j'avais presque oublié la tante Suzanne, m'a mère m'a dit qu'elle avait mis
une lettre pour moi dans ma chambre. Je n'en recevais jamais à mon nom et je me suis précipitée pour la lire. J'ai
ouvert l'enveloppe et il y avait une lettre et une photo et ça venait de ma tante Suzanne. C'était une jolie photo noir
et blanc et elle y posait en tailleur et le courrier disait à peu près ça :
"Ma chère Hélène, je regrette que les circonstances de la vie ne nous ait pas permises de nous connaître plus tôt. Je
comprends que j'ai pu t'effrayer, forcément, une femme qui aime les femmes et qui, comme tu peux sans doute le
comprendre fait l'amour avec, mais je peux t'assurer que c'est bien plus sensuel qu'avec un amant, même si je n'en
ai jamais eu !
"Peut-être accepteras-tu d'être plus qu'une nièce, une amie ? Je crois qu'on pourrait s'entendre très bien toutes les
deux, mais n'aie pas peur, je ne te ferais pas partager mon vice comme disaient tes grands-parents !
"J'aimerais aussi, puisque nous nous sommes déjà rencontrées une fois, qu'on se rencontre à nouveau.
"Ta tante Suzanne"
J'étais arrivée au bout de la lettre et ma première réaction a été que ma tante voulait faire de moi une lesbienne et
j'ai déchiré cette lettre et puis après j'ai aperçu la photo que j'avais posé sur le lit et je l'ai mieux regardée cette
photo de ma tante. Je ne sais si c'est parce qu'elle avait été prise avant qu'elle ne soit enceinte, mais elle était encore
plus belle que quand nous l'avions visitée. Vraiment une belle femme, plus belle encore que ne l'était ma mère. J'ai
recollé les morceaux de sa lettre et j'ai tout remis dans l'enveloppe que j'ai cachée dans mon cahier de français.
Pourquoi avais-je le coeur qui battait ? Maman m'a demandé qui m'avait écrit et je lui ai répondu que c'était Sylvie,
une amie que j'avais et qui précisément m'avait dite qu'elle était lesbienne elle aussi ! C'était mon amie mais parfois
elle me dégoûtait quand je la voyais qui s'embrassait sur la bouche avec une autre fille. Elles me dégoûtaient mais
elles me donnaient toujours envie de me masturber.
- Elle avait besoin de t'écrire, m'a demandé ma mère ? Tu la vois presque tous les jours !
J'ai répondu que mon amie était malade et que... Ma mère n'a pas insisté puis j'ai eu un doute. Si des fois ma mère
avait vu le cachet sur l'enveloppe... Je suis retournée dans ma chambre discrètement et j'ai sorti l'enveloppe et
heureusement, le tampon était à peine encré au point que le timbre pouvait resservir.
Dans les semaines qui ont suivi, je me suis demandée, alors que j'avais du mal à m'endormir malgré la masturbation,
si je pouvais être lesbienne. J'étais si timide que j'avais peur des garçons et aucun d'entre eux ne m'avait jamais fait
rêver et j'ai même imaginé dans un rêve que ma tante venait me chercher et me disait qu'elle m'avait choisie !
Ma tante Suzanne habitait à deux stations de la nôtre sur la ligne et un mercredi que j'étais seule sans ma soeur pour
toute la journée, j'ai pris le train et je suis allée voir ma tante en secret. J'avais surtout peur qu'elle ne fasse la leçon
pour être venue sans prévenir et je n'ai pu lui cacher mon secret après qu'elle m'eut accueillie si gentiment.
J'étais aussi intimidée parce que son ventre avait grossi depuis notre première visite. Nous étions assise toutes les
deux sur le canapé, côté à côte et je n'osais me tourner vers ma tante.
- Ça fait comment, ai-je fini par lui demander ?
- Ça ne fait rien, m'a répondu ma tante ! Ça pousse !
- Oui, mais ton ventre est bien plus gros que l'autre fois, ai-je objecté !
- Oh, il le sera encore plus quand je vais accoucher, m'a répondu ma tante ! Tu veux le voir ?
Je rougissais et elle insistait et je rougissais encore plus.
- J'espère que toi aussi tu auras des enfants, a ajouté ma tante en déboutonnant sa robe.
Enfin, c'était plus une blouse qu'une robe et il y avait d'innombrables boutons que ses doigts déboutonnaient un a
un et son ventre nu a commencé à apparaître et je l'ai trouvé beau. Il n'y a pas d'autre mot. Il était bien rond mais ce
n'était rien comparé à ce que j'ai pu voir car je suis allée voir ma tante jusqu'à la fin de sa grossesse.
Et son pubis était entièrement rasé. Rien ! Plus un poil ! Je voyais tout et surtout ses petites lèvres qui jaillissaient
d'entre les grandes lèvres. C'était magnifique. Ma tante a continué à déboutonner sa robe et j'ai vu ses seins. Des
seins en poire avec les aréoles presques noires et des mamelons comme des dés à coudre.
- Qu'est-ce que tu regardes, m'a demandé ma tante ?
- Tu te rases entièrement, ai-je fini par lui dire ?
- Oui, m'a répondu ma tante ! Mon amie n'aime pas les poils ! Enfin, c'est plutôt elle qui me rase parce que moi, je
ne suis pas trop habile avec un rasoir !
Je regardais ma tante et je me demandais ce qu'elle allait me dire encore et j'avais plutôt envie de poser ma main sur
son ventre.
- Tu ne sais pas ce que c'est que des lesbiennes, m'a demandé ma tante en me souriant ?
Je n'ai pas répondu. Je savais mais je ne savais pas trop non plus.
- Je vois bien que çà t'intrigue, a continué ma tante ! Je vais tâcher de t'expliquer !
Il était presque midi et ma tante m'a proposé de sortir et d'aller à un petit restaurant qu'elle aimait bien. Elle a
reboutonné sa robe et pris son sac à main et nous sommes sorties et nous sommes entrées dans un café et ma tante
est directement allée voir la femme qui était au comptoir et elle me l'a présentée comme son amie puis m'a
présentée moi comme sa nièce. J'ai regardé la femme. Elle semblait sévère avec son bustier qui maintenait sa forte
poitrine.
- On s'assoit là-bas, lui a dit ma tante !
Nous nous sommes assises à une table et la femme est venue prendre notre commande puis nous a servies. J'avais
l'impression qu'elle était jalouse de moi et qu'elle me voyait en rivale. En tout cas, entre elles deux, pas un geste qui
aurait pu les compromettre. Après le déjeuner, nous nous sommes levées et ma tante s'est éclipsée un moment dans
l'arrière salle avant de revenir me trouver. Elle était visiblement émue et avait des marques de baiser sur les joues au
coin de la bouche.
Nous avons marché un peu puis nous nous sommes assises sur un banc dans un parc.
- Tu vois, a commencé ma tante, c'est mon amie qui a tout organisé et je n'ai rien ressenti quand je me suis
accouplée avec cet homme et nous avions les yeux bandés pour ne pas pouvoir nous reconnaître ! Tu sais, c'est
comme une vache que le vétérinaire insémine ! C'est peut-être ça l'avenir, non ?
Je n'avais aucune idée de ce que je pouvais lui répondre mais je sentais bien qu'il fallait que je dise quelque chose :
- Elle a quel âge ton amie ?
- Cinquante et un, bientôt cinquante-deux, m'a répondu ma tante sans hésiter !
Qu'elle est vieille, ai-je pensé, mais ma tante a continué :
- Il y avait des jeunes de mon âge dans le club, mais c'est sur elle que j'ai flashé et elle a eu aussi le coup de foudre
pour moi !
- Un club de quoi, ai-je demandé à ma tante ?
- Un club pour lesbienne ! Qu'est-ce que tu crois qu'on nous tolère dans les autres établissements ?
- Tu en as connu beaucoup avant elle, lui ai-je demandé ?
- Je ne sais pas, m'a répondu ma tante ? Une cinquantaine peut-être depuis que j'ai quitté la maison ! Je suis partie
le jour de mes dix-huit ans et je suppose qu'on n'a plus jamais parlé de moi ? Enfin, j'espère que tu n'aurais pas
autant d'échecs avant de trouver chaussure à ton pied, a conclu ma tante !
- Qu'est-ce que tu fais avec elle, ai-je ensuite demandé à ma tante ?
- Oh, on vit chacun chez nous, m'a répondu Suzanne ! Elle voudrait bien que j'habtite avec elle, mais je préfère ma
liberté même si pour rien au monde je ne la quitterais !
Ma tante me regardait et elle a encore plus souri, un sourire complice et a ajouté :
- Oui, bien sûr, ce que tu veux savoir c'est si nous faisons l'amour ! Eh bien, oui ! Est-ce que tu te masturbes ?
J'ai avoué ce péché mignon et ma tante a continué :
- Eh bien, tu vois, je la masturbe et elle me masturbe ! Sans doute comme tu le fais toi, avec les doigts, mais on le
fait aussi avec de faux sexes. Enfin, c'est elle qui s'en sert et tu vois, on fait l'amour comme avec un homme ! Et puis
on fait des cunninlingus et j'aime lui faire ça !
Elle me regardait, encore plus amusée et continuait :
- Tu dois trouver ça horrible, non ? Pourquoi deux femmes ne pourraient pas s'aimer ?
Je ne savais plus si je trouvais ça horrible ou normal ou excitant.
- Tiens, elle ne te plairait pas, cette fille-là, m'a demandé ma tante en levant le menton vers une fille qui passait.
J'ai regardé la fille. Elle devait avoir mon âge et avait également une grosse paire de nichons !
- Décidément, ai-je dit à ma tante, tu aimes les gros nichons !
Elle m'a souri et m'a répondu qu'elle se contentait des siens mais que son amie disait parfois que c'était très
encombrant puis ma tante a regardé sa montre et m'a dit que je ferais mieux de prendre mon train et nous nous
sommes séparées.
Je ne suis revenue qu'un mois après. Ma tante en était dans son huitième mois et elle est allée au devant de ma
demande en me montrant son ventre nu. Ses seins avaient eux aussi pris du volume et elle a marché devant moi
pour que je l'admire.
- Ça va, lui ai-je demandé ?
- Parfait, m'a répondu ma tante ! Elle bouge ! Tu veux le sentir ?
Ma tante m'a pris la main et l'a posée sur son ventre. Le bébé donnait des coups de pied. J'ai demandé si c'était un
garçon mais elle m'a répondu que c'était une fille.
- Je suis fatiguée, m'a dit ma tante au bout d'un moment ! Tu viens dans la chambre ?
Je l'ai suivie dans sa chambre et elle s'est allongée, toujours nue, sur son lit.
- Viens là, m'a-t-elle dit ! Je ne vais pas te manger !
Je me suis assise sur le bord du lit mais ma tante m'a tirée vers elle et je me suis allongée moi aussi.
J'avais craint, après notre visite avec ma mère et ma soeur que ma tante ne m'attire dans ses griffes mais maintenant
je n'avais plus aucune crainte tellement j'étais heureuse d'être avec ma tante.
Elle était restée sur le dos mais elle se mettait sur le côté "à cause de son ventre" et nous nous sommes retrouvées
face à face. Elle m'a une fois de plus pris la main et l'a posée sur son ventre mais sans la lâcher et ma tante a guidé
mes caresses sur son ventre.
- Nous nous faisons aussi des fistings, m'a demandé ma tante ! Tu sais ce que c'est ?
Je ne savais pas et je le lui ai demandé. Elle m'a expliqué.
Quelques temps après, ma mère m'a appris que ma tante avait eu une petite fille.
- On va la voir, lui ai-je demandé ?
- Non, a fait ma mère ! Je me suis laissée tenter une fois mais pas deux !
C'était ferme et définitif et pourtant, j'y suis retournée seule. Ma tante m'a ouvert la porte. Elle était en train d'allaiter
ma petite-nièce et je suis entrée dans l'appartement. Ma tante a continué d'allaiter puis elle a remis son bébé dans le
berceau et quand elle est revenue dans le salon, elle était nue sous sa blouse et les seins en bataille et le ventre
encore un peu arrondi sur le bas duquel ses poils avaient commencé à repousser.
Je lui ai demandé si son amie était contente et ma tante s'est mise à pleurer.
- Qu'y a-t-il, lui ai-je demandé ?
- Tant que j'avais le gros ventre, m'a répondu ma tante, ça lui plaisait mais maintenant que j'ai accouché, elle ne veut
plus me toucher !
- Mais elle vient te voir, ai-je insisté ?
- Plus jamais, m'a répondu Suzanne tout en continuant à pleurer !
J'ai dit que ça allait s'arranger.
- Tu te souviens, m'a demandé ma tante, quand tu m'as tétée ? Je n'avais pas beaucoup de lait et maintenant, j'en ai
trop !
Je la regardais sans comprendre.
- Tu ne dois pas te souvenir si ta mère t'a allaitée, a continué ma tante ?
Effectivement, je n'en avais aucun souvenir et d'ailleurs comment aurais-je pu m'en souvenir et si ma fille se
souvient que je lui ai donné le sein c'est parce que j'en parles souvent parce que mes grossesses ont été les plus
beaux souvenirs de ma vie jusqu'ici encore que je le serais tout autant quand ma fille sera enceinte.
- Viens, m'a dit ma tante en s'asseyant sur la banquette !
Je devais faire des yeux tout ronds. Elle a insisté :
- Viens ! Je veux faire ça pour toi ! Rien que pour toi !
Je me suis assise à côté d'elle et ma tante m'a basculée sur ses genoux puis elle m'a enfoncé un mamelon dans la
bouche et m'a bloquée la tête.
- J'ai trop de lait, a ajouté Suzanne !
En même temps qu'elle me faisait téter son lait, ma tante me caressait la joue et elle m'a demandé si ça me rappelait
des souvenirs puis elle m'a changée de sein et j'ai tété à nouveau jusqu'à ce que ma tante n'ait plus de lait. Je n'en
avais jamais autant bu.
Quelques semaines plus tard, j'ai sonné à nouveau à sa porte. La voisine a ouvert sa porte et m'a appris que ma tante
avait déménagé. Jelui ai demandé si elle savait où elle était partie.
- A Toulon, je crois, m'a répondu la voisine ! Le camion du déménageur était immatriculé dans le Var !
Je lui ai demandé si par hasard, ma tante n'avait pas laissé un mot et la femme m'a demandé si j'étais Hélène et elle
m'a donné une enveloppe que j'ai ouverte dans le train :
"Ma chérie, je pars dans le midi pour commencer une autre vie ! Ne cherche pas à me retrouver ! Je t'écrirai ! Ta tante
Suzanne qui t'aime"
Plus tard, alors que j'étais mariée, j'ai reçu une autre lettre de ma tante. Elle avait été postée à Hambourg en
Allemagne et ça disait à peu près :
" Ma chérie, j'ai dû m'adapter pour continuer à vivre et élever ta petite-nièce. Je n'en suis pas fière mais je me
prostitue dans un Eros Center et s'il y a pas mal de femmes, il y a beaucoup d'hommes avec qui je dois tout de
même m'accoupler. C'est surtout ça qui me dégoûte et pas le métier que je fais. Ta tante Suzanne"
Je n'ai rien dit à personne car à priori il n'y avait personne d'autre au courant dans la famille mais il y a deux ans, une
femme est venue frapper à ma porte. Elle était accompagnée d'une femme beaucoup plus jeune, presque une jeune
fille.
- Tu ne me reconnais pas, m'a demandé la femme et j'ai alors reconnu ma tante.
- Toi, lui ai-je fait ! Qu'est-ce que tu fais par ici ?
- Nous partons en vacances en Espagne et je ne pouvais faire autrement que de passez par chez toi, a ajouté ma
tante ! Tu te souviens de ma fille Aurélie, ta petite-nièce ?
Je leur ai dit qu'elle avait beaucoup changé vu que la dernière fois ce n'était qu'un bébé puis je leur ai demandé ce
qu'elles faisaient.
- Oh, toujours la même chose, m'a répondu Suzanne en attrapant la main de sa fille ! Nous sommes installés à Berlin
où j'ai ouvert une maison ! Aurélie travaille avec moi !
J'ai tout à coup réalisé ce qu'elles faisaient toutes les deux. Je n'avais pas reconnu ma tante au début parce qu'elle
était outrageusement maquillée et ma petite-nièce, avec ses lèvres couvertes de rouge à lèvre... et j'ai pensé qu'elle
avait une bouche à faire des pipes, comme avait dit un jour un des copains de ma cadette !
Je réalisais que j'avais devant moi deux putains fières de l'être et comme elles avaient compris que j'avais compris,
ma tante a ajouté qu'elle commençait à être lasse de faire des passes, mais que sa fille était pleine d'entrain.
Après avoir bu quelque chose, et comme elles étaient pressées de partir, elles sont reparties et jusqu'à aujourd'hui je
ne les ai plus revues, mais j'ai reçu une carte d'Espagne. C'était en juillet 2010.
Hélène
la voir et qu'il ne fallait pas la laisser seule. Je ne me suis même pas demandé pourquoi elle avait précisé ça. Nous
avons pris le train, un bus et nous avons débarqué devant un immeuble.
- Votre tante habite là, a dit ma mère en observant l'immeuble puis nous sommes entrées et nous sommes montées
jusqu'au quatrième et ma mère a sonné à une porte. Une femme que je n'avais jamais vue, ma tante, a ouvert et en
voyant ma mère nous a dit d'entrer.
- Alors, c'est ça, a ajouté notre mère une fois que nous avons été à l'intérieur de l'appartement !
J'ai commencé à comprendre ce qui se passait parce que ma tante semblait enceinte. Elle était encore mince et
n'avait pas vraiment de poitrine mais son ventre laissait deviner son état.
- Suzanne, il n'est pas nécessaire que tu te fatigues, a encore ajouté ma mère ! Va t'asseoir dans le salon avec tes
nièces - moi et ma soeur - et je vais faire du thé !
J'ai suivi ma tante dans le salon et je me suis assise sur une chaise pendant que ma soeur regardait par la fenêtre.
Notre tante s'est assise sur un canapé. Je l'observais et elle nous observait elle aussi.
- Pourquoi on ne se connaissait pas, lui ai-je demandé ?
Ma tante m'a souri puis m'a dit qu'elle n'est pas comme ma mère et qu'elle n'a pas suivie la voie royale du mariage.
Je la regardais, étonnée tandis que ma soeur regardait obstinément par la fenêtre.
- Je suis une lesbienne, a ajouté ma tante Suzanne et forcément ça faisait tache ! Mais peut-être que l'une de vous
deux l'est aussi ?
J'ai rougi. Elle a insisté :
- Je n'ai jamais été attirée par les hommes et je n'en ai jamais eu honte ! Enfin, là, il a bien fallu que je m'accouple
avec...
Elle n'a pas terminé sa phrase. Elle s'était laissée aller en arrière et son ventre paraissait soudain bien plus gros.
- Ce n'est pas que ça me plaise, mais il n'y a pas d'autre moyen pour avoir un enfant, a continué ma tante !
- Tu vis avec une femme, a dit ma soeur en s'adressant à ma tante ? C'est dégoûtant !
- Oh, je ne chercherais pas à te convaincre, lui a répondu notre tante ! Je crois que je suis née comme ça et j'ai
toujours été attirée par les filles ou les femmes !
Je lui ai demandé quel âge elle avait. J'avais l'impression que j'avais vu une photo de notre mère avec elle et elles
devaient pas avoir dans les seize ans.
- J'en ai trente-quatre, m'a répondu ma tante !
Notre mère est arrivée avec le thé et nous les filles, n'avons plus rien dit. Maman s'inquiétait de savoir si sa soeur
avait de quoi subsister et notre tante l'a rassurée en lui disant qu'elle n'avait pas de problèmes et je n'ai plus écouté
ce qu'elles se disaient. Nous sommes reparties environ deux heures après être arrivées et nous avons repris le train
pour rentrer.
Quelques semaines plus tard et alors que j'avais presque oublié la tante Suzanne, m'a mère m'a dit qu'elle avait mis
une lettre pour moi dans ma chambre. Je n'en recevais jamais à mon nom et je me suis précipitée pour la lire. J'ai
ouvert l'enveloppe et il y avait une lettre et une photo et ça venait de ma tante Suzanne. C'était une jolie photo noir
et blanc et elle y posait en tailleur et le courrier disait à peu près ça :
"Ma chère Hélène, je regrette que les circonstances de la vie ne nous ait pas permises de nous connaître plus tôt. Je
comprends que j'ai pu t'effrayer, forcément, une femme qui aime les femmes et qui, comme tu peux sans doute le
comprendre fait l'amour avec, mais je peux t'assurer que c'est bien plus sensuel qu'avec un amant, même si je n'en
ai jamais eu !
"Peut-être accepteras-tu d'être plus qu'une nièce, une amie ? Je crois qu'on pourrait s'entendre très bien toutes les
deux, mais n'aie pas peur, je ne te ferais pas partager mon vice comme disaient tes grands-parents !
"J'aimerais aussi, puisque nous nous sommes déjà rencontrées une fois, qu'on se rencontre à nouveau.
"Ta tante Suzanne"
J'étais arrivée au bout de la lettre et ma première réaction a été que ma tante voulait faire de moi une lesbienne et
j'ai déchiré cette lettre et puis après j'ai aperçu la photo que j'avais posé sur le lit et je l'ai mieux regardée cette
photo de ma tante. Je ne sais si c'est parce qu'elle avait été prise avant qu'elle ne soit enceinte, mais elle était encore
plus belle que quand nous l'avions visitée. Vraiment une belle femme, plus belle encore que ne l'était ma mère. J'ai
recollé les morceaux de sa lettre et j'ai tout remis dans l'enveloppe que j'ai cachée dans mon cahier de français.
Pourquoi avais-je le coeur qui battait ? Maman m'a demandé qui m'avait écrit et je lui ai répondu que c'était Sylvie,
une amie que j'avais et qui précisément m'avait dite qu'elle était lesbienne elle aussi ! C'était mon amie mais parfois
elle me dégoûtait quand je la voyais qui s'embrassait sur la bouche avec une autre fille. Elles me dégoûtaient mais
elles me donnaient toujours envie de me masturber.
- Elle avait besoin de t'écrire, m'a demandé ma mère ? Tu la vois presque tous les jours !
J'ai répondu que mon amie était malade et que... Ma mère n'a pas insisté puis j'ai eu un doute. Si des fois ma mère
avait vu le cachet sur l'enveloppe... Je suis retournée dans ma chambre discrètement et j'ai sorti l'enveloppe et
heureusement, le tampon était à peine encré au point que le timbre pouvait resservir.
Dans les semaines qui ont suivi, je me suis demandée, alors que j'avais du mal à m'endormir malgré la masturbation,
si je pouvais être lesbienne. J'étais si timide que j'avais peur des garçons et aucun d'entre eux ne m'avait jamais fait
rêver et j'ai même imaginé dans un rêve que ma tante venait me chercher et me disait qu'elle m'avait choisie !
Ma tante Suzanne habitait à deux stations de la nôtre sur la ligne et un mercredi que j'étais seule sans ma soeur pour
toute la journée, j'ai pris le train et je suis allée voir ma tante en secret. J'avais surtout peur qu'elle ne fasse la leçon
pour être venue sans prévenir et je n'ai pu lui cacher mon secret après qu'elle m'eut accueillie si gentiment.
J'étais aussi intimidée parce que son ventre avait grossi depuis notre première visite. Nous étions assise toutes les
deux sur le canapé, côté à côte et je n'osais me tourner vers ma tante.
- Ça fait comment, ai-je fini par lui demander ?
- Ça ne fait rien, m'a répondu ma tante ! Ça pousse !
- Oui, mais ton ventre est bien plus gros que l'autre fois, ai-je objecté !
- Oh, il le sera encore plus quand je vais accoucher, m'a répondu ma tante ! Tu veux le voir ?
Je rougissais et elle insistait et je rougissais encore plus.
- J'espère que toi aussi tu auras des enfants, a ajouté ma tante en déboutonnant sa robe.
Enfin, c'était plus une blouse qu'une robe et il y avait d'innombrables boutons que ses doigts déboutonnaient un a
un et son ventre nu a commencé à apparaître et je l'ai trouvé beau. Il n'y a pas d'autre mot. Il était bien rond mais ce
n'était rien comparé à ce que j'ai pu voir car je suis allée voir ma tante jusqu'à la fin de sa grossesse.
Et son pubis était entièrement rasé. Rien ! Plus un poil ! Je voyais tout et surtout ses petites lèvres qui jaillissaient
d'entre les grandes lèvres. C'était magnifique. Ma tante a continué à déboutonner sa robe et j'ai vu ses seins. Des
seins en poire avec les aréoles presques noires et des mamelons comme des dés à coudre.
- Qu'est-ce que tu regardes, m'a demandé ma tante ?
- Tu te rases entièrement, ai-je fini par lui dire ?
- Oui, m'a répondu ma tante ! Mon amie n'aime pas les poils ! Enfin, c'est plutôt elle qui me rase parce que moi, je
ne suis pas trop habile avec un rasoir !
Je regardais ma tante et je me demandais ce qu'elle allait me dire encore et j'avais plutôt envie de poser ma main sur
son ventre.
- Tu ne sais pas ce que c'est que des lesbiennes, m'a demandé ma tante en me souriant ?
Je n'ai pas répondu. Je savais mais je ne savais pas trop non plus.
- Je vois bien que çà t'intrigue, a continué ma tante ! Je vais tâcher de t'expliquer !
Il était presque midi et ma tante m'a proposé de sortir et d'aller à un petit restaurant qu'elle aimait bien. Elle a
reboutonné sa robe et pris son sac à main et nous sommes sorties et nous sommes entrées dans un café et ma tante
est directement allée voir la femme qui était au comptoir et elle me l'a présentée comme son amie puis m'a
présentée moi comme sa nièce. J'ai regardé la femme. Elle semblait sévère avec son bustier qui maintenait sa forte
poitrine.
- On s'assoit là-bas, lui a dit ma tante !
Nous nous sommes assises à une table et la femme est venue prendre notre commande puis nous a servies. J'avais
l'impression qu'elle était jalouse de moi et qu'elle me voyait en rivale. En tout cas, entre elles deux, pas un geste qui
aurait pu les compromettre. Après le déjeuner, nous nous sommes levées et ma tante s'est éclipsée un moment dans
l'arrière salle avant de revenir me trouver. Elle était visiblement émue et avait des marques de baiser sur les joues au
coin de la bouche.
Nous avons marché un peu puis nous nous sommes assises sur un banc dans un parc.
- Tu vois, a commencé ma tante, c'est mon amie qui a tout organisé et je n'ai rien ressenti quand je me suis
accouplée avec cet homme et nous avions les yeux bandés pour ne pas pouvoir nous reconnaître ! Tu sais, c'est
comme une vache que le vétérinaire insémine ! C'est peut-être ça l'avenir, non ?
Je n'avais aucune idée de ce que je pouvais lui répondre mais je sentais bien qu'il fallait que je dise quelque chose :
- Elle a quel âge ton amie ?
- Cinquante et un, bientôt cinquante-deux, m'a répondu ma tante sans hésiter !
Qu'elle est vieille, ai-je pensé, mais ma tante a continué :
- Il y avait des jeunes de mon âge dans le club, mais c'est sur elle que j'ai flashé et elle a eu aussi le coup de foudre
pour moi !
- Un club de quoi, ai-je demandé à ma tante ?
- Un club pour lesbienne ! Qu'est-ce que tu crois qu'on nous tolère dans les autres établissements ?
- Tu en as connu beaucoup avant elle, lui ai-je demandé ?
- Je ne sais pas, m'a répondu ma tante ? Une cinquantaine peut-être depuis que j'ai quitté la maison ! Je suis partie
le jour de mes dix-huit ans et je suppose qu'on n'a plus jamais parlé de moi ? Enfin, j'espère que tu n'aurais pas
autant d'échecs avant de trouver chaussure à ton pied, a conclu ma tante !
- Qu'est-ce que tu fais avec elle, ai-je ensuite demandé à ma tante ?
- Oh, on vit chacun chez nous, m'a répondu Suzanne ! Elle voudrait bien que j'habtite avec elle, mais je préfère ma
liberté même si pour rien au monde je ne la quitterais !
Ma tante me regardait et elle a encore plus souri, un sourire complice et a ajouté :
- Oui, bien sûr, ce que tu veux savoir c'est si nous faisons l'amour ! Eh bien, oui ! Est-ce que tu te masturbes ?
J'ai avoué ce péché mignon et ma tante a continué :
- Eh bien, tu vois, je la masturbe et elle me masturbe ! Sans doute comme tu le fais toi, avec les doigts, mais on le
fait aussi avec de faux sexes. Enfin, c'est elle qui s'en sert et tu vois, on fait l'amour comme avec un homme ! Et puis
on fait des cunninlingus et j'aime lui faire ça !
Elle me regardait, encore plus amusée et continuait :
- Tu dois trouver ça horrible, non ? Pourquoi deux femmes ne pourraient pas s'aimer ?
Je ne savais plus si je trouvais ça horrible ou normal ou excitant.
- Tiens, elle ne te plairait pas, cette fille-là, m'a demandé ma tante en levant le menton vers une fille qui passait.
J'ai regardé la fille. Elle devait avoir mon âge et avait également une grosse paire de nichons !
- Décidément, ai-je dit à ma tante, tu aimes les gros nichons !
Elle m'a souri et m'a répondu qu'elle se contentait des siens mais que son amie disait parfois que c'était très
encombrant puis ma tante a regardé sa montre et m'a dit que je ferais mieux de prendre mon train et nous nous
sommes séparées.
Je ne suis revenue qu'un mois après. Ma tante en était dans son huitième mois et elle est allée au devant de ma
demande en me montrant son ventre nu. Ses seins avaient eux aussi pris du volume et elle a marché devant moi
pour que je l'admire.
- Ça va, lui ai-je demandé ?
- Parfait, m'a répondu ma tante ! Elle bouge ! Tu veux le sentir ?
Ma tante m'a pris la main et l'a posée sur son ventre. Le bébé donnait des coups de pied. J'ai demandé si c'était un
garçon mais elle m'a répondu que c'était une fille.
- Je suis fatiguée, m'a dit ma tante au bout d'un moment ! Tu viens dans la chambre ?
Je l'ai suivie dans sa chambre et elle s'est allongée, toujours nue, sur son lit.
- Viens là, m'a-t-elle dit ! Je ne vais pas te manger !
Je me suis assise sur le bord du lit mais ma tante m'a tirée vers elle et je me suis allongée moi aussi.
J'avais craint, après notre visite avec ma mère et ma soeur que ma tante ne m'attire dans ses griffes mais maintenant
je n'avais plus aucune crainte tellement j'étais heureuse d'être avec ma tante.
Elle était restée sur le dos mais elle se mettait sur le côté "à cause de son ventre" et nous nous sommes retrouvées
face à face. Elle m'a une fois de plus pris la main et l'a posée sur son ventre mais sans la lâcher et ma tante a guidé
mes caresses sur son ventre.
- Nous nous faisons aussi des fistings, m'a demandé ma tante ! Tu sais ce que c'est ?
Je ne savais pas et je le lui ai demandé. Elle m'a expliqué.
Quelques temps après, ma mère m'a appris que ma tante avait eu une petite fille.
- On va la voir, lui ai-je demandé ?
- Non, a fait ma mère ! Je me suis laissée tenter une fois mais pas deux !
C'était ferme et définitif et pourtant, j'y suis retournée seule. Ma tante m'a ouvert la porte. Elle était en train d'allaiter
ma petite-nièce et je suis entrée dans l'appartement. Ma tante a continué d'allaiter puis elle a remis son bébé dans le
berceau et quand elle est revenue dans le salon, elle était nue sous sa blouse et les seins en bataille et le ventre
encore un peu arrondi sur le bas duquel ses poils avaient commencé à repousser.
Je lui ai demandé si son amie était contente et ma tante s'est mise à pleurer.
- Qu'y a-t-il, lui ai-je demandé ?
- Tant que j'avais le gros ventre, m'a répondu ma tante, ça lui plaisait mais maintenant que j'ai accouché, elle ne veut
plus me toucher !
- Mais elle vient te voir, ai-je insisté ?
- Plus jamais, m'a répondu Suzanne tout en continuant à pleurer !
J'ai dit que ça allait s'arranger.
- Tu te souviens, m'a demandé ma tante, quand tu m'as tétée ? Je n'avais pas beaucoup de lait et maintenant, j'en ai
trop !
Je la regardais sans comprendre.
- Tu ne dois pas te souvenir si ta mère t'a allaitée, a continué ma tante ?
Effectivement, je n'en avais aucun souvenir et d'ailleurs comment aurais-je pu m'en souvenir et si ma fille se
souvient que je lui ai donné le sein c'est parce que j'en parles souvent parce que mes grossesses ont été les plus
beaux souvenirs de ma vie jusqu'ici encore que je le serais tout autant quand ma fille sera enceinte.
- Viens, m'a dit ma tante en s'asseyant sur la banquette !
Je devais faire des yeux tout ronds. Elle a insisté :
- Viens ! Je veux faire ça pour toi ! Rien que pour toi !
Je me suis assise à côté d'elle et ma tante m'a basculée sur ses genoux puis elle m'a enfoncé un mamelon dans la
bouche et m'a bloquée la tête.
- J'ai trop de lait, a ajouté Suzanne !
En même temps qu'elle me faisait téter son lait, ma tante me caressait la joue et elle m'a demandé si ça me rappelait
des souvenirs puis elle m'a changée de sein et j'ai tété à nouveau jusqu'à ce que ma tante n'ait plus de lait. Je n'en
avais jamais autant bu.
Quelques semaines plus tard, j'ai sonné à nouveau à sa porte. La voisine a ouvert sa porte et m'a appris que ma tante
avait déménagé. Jelui ai demandé si elle savait où elle était partie.
- A Toulon, je crois, m'a répondu la voisine ! Le camion du déménageur était immatriculé dans le Var !
Je lui ai demandé si par hasard, ma tante n'avait pas laissé un mot et la femme m'a demandé si j'étais Hélène et elle
m'a donné une enveloppe que j'ai ouverte dans le train :
"Ma chérie, je pars dans le midi pour commencer une autre vie ! Ne cherche pas à me retrouver ! Je t'écrirai ! Ta tante
Suzanne qui t'aime"
Plus tard, alors que j'étais mariée, j'ai reçu une autre lettre de ma tante. Elle avait été postée à Hambourg en
Allemagne et ça disait à peu près :
" Ma chérie, j'ai dû m'adapter pour continuer à vivre et élever ta petite-nièce. Je n'en suis pas fière mais je me
prostitue dans un Eros Center et s'il y a pas mal de femmes, il y a beaucoup d'hommes avec qui je dois tout de
même m'accoupler. C'est surtout ça qui me dégoûte et pas le métier que je fais. Ta tante Suzanne"
Je n'ai rien dit à personne car à priori il n'y avait personne d'autre au courant dans la famille mais il y a deux ans, une
femme est venue frapper à ma porte. Elle était accompagnée d'une femme beaucoup plus jeune, presque une jeune
fille.
- Tu ne me reconnais pas, m'a demandé la femme et j'ai alors reconnu ma tante.
- Toi, lui ai-je fait ! Qu'est-ce que tu fais par ici ?
- Nous partons en vacances en Espagne et je ne pouvais faire autrement que de passez par chez toi, a ajouté ma
tante ! Tu te souviens de ma fille Aurélie, ta petite-nièce ?
Je leur ai dit qu'elle avait beaucoup changé vu que la dernière fois ce n'était qu'un bébé puis je leur ai demandé ce
qu'elles faisaient.
- Oh, toujours la même chose, m'a répondu Suzanne en attrapant la main de sa fille ! Nous sommes installés à Berlin
où j'ai ouvert une maison ! Aurélie travaille avec moi !
J'ai tout à coup réalisé ce qu'elles faisaient toutes les deux. Je n'avais pas reconnu ma tante au début parce qu'elle
était outrageusement maquillée et ma petite-nièce, avec ses lèvres couvertes de rouge à lèvre... et j'ai pensé qu'elle
avait une bouche à faire des pipes, comme avait dit un jour un des copains de ma cadette !
Je réalisais que j'avais devant moi deux putains fières de l'être et comme elles avaient compris que j'avais compris,
ma tante a ajouté qu'elle commençait à être lasse de faire des passes, mais que sa fille était pleine d'entrain.
Après avoir bu quelque chose, et comme elles étaient pressées de partir, elles sont reparties et jusqu'à aujourd'hui je
ne les ai plus revues, mais j'ai reçu une carte d'Espagne. C'était en juillet 2010.
Hélène
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
moi ce qui m'interesse c'est le passage ou tu as teter......et c'est la mon malheur je
veut teter.....mais je voit que ca ne resteras q'un reve.....
veut teter.....mais je voit que ca ne resteras q'un reve.....
pas mal
super, Hélène tu es géniale !