Une épouse exemplaire 3
Récit érotique écrit par Lamiche31 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-05-2020 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Une épouse exemplaire 3
Après ma liaison avec Patrice mon dernier amant entrecoupée de nos trios avec lui et Jean-François mon mari, j'ai repris un rythme plus en accord avec mon statut d'épouse exemplaire aux yeux de ma famille. Suite à nos retrouvailles, on avait repris une relation amicale avec Sylvie et Richard son mari. Ayant eu toutes les deux Patrice comme amant à un an d'intervalle, une grande complicité s'était établie entre Sylvie et moi, elle était étonnée que Jean-François n'accorde une complète liberté sexuelle voire même l'encourage.
Un jour, au bord de leur piscine où nous n’étions toutes les deux, allongées chacune sur un matelas posé près de l'autre, je lui ai même raconté nos trios avec mon mari et mon amant, elle a exigé des détails, je me suis amusée à les lui donner. Nous étions toutes les deux excitées par mes histoires, elle s'est rapprochée pour me demander si les deux hommes avaient eu des relations ensemble, s’ils s'étaient embrassés comme ça, et à ce moment, elle posa ses lèvres sur les miennes. Le premier baiser fut sage, elle s'est penchée à nouveau et son baiser est devenu un vrai beau et intense baiser, nos langues jouaient ensemble, elle s'est approchée de moi, une main dans son dos pour dégrafer son soutien-gorge puis le même geste pour enlever le mien.
Je découvrais le baiser lesbien que je trouvais fort agréable, on se caressait les seins, on se les léchait, en même temps, chacune passa la main dans le slip de bain de l'autre, en se marrant, chacune à enlevé celui de l'autre. On s'est regardée, on a ri, on s'est embrassée à nouveau et on a commencé a caresser le minou de l’autre, Sylvie mouillait autan que moi. C'est elle qui se baissa la première pour écarter mes jambes et venir embrasser mon minou, elle s'est placée sur moi et j'ai dégusté à mon tour son abricot. Après deux amants en quelques mois j'avais maintenant une maîtresse avec qui je venais de connaître mon premier orgasme, elle m'a suivi de peu.
Couchées côte à côte, serrées l'une contre l'autre, je lui avouais que c'était une première pour moi, elle me dit que c'était pareil pour elle mais qu'elle avait eu brusquement une énorme envie de m'embrasser. Elle m'a dit que c'était de ma faute avec mes histoires sur mes trios et mes doubles pénétrations. On s'est avoué qu'on avait bien aimé et qu'on recommencera.
Le soir, je n'ai pas dit à Jean-François que j'avais une nouvelle liaison encore moins que c’était avec notre amie Sylvie.
j'ai passé la semaine occupée dans mon coin, il a plu tous les jours, je ne savais pas si je devais faire le premier pas avec Sylvie ou attendre son appel. Le lundi le soleil était de retour, Sylvie m'a téléphoné pour me proposer de venir me baigner, en toute innocence bien sûr. Lorsque j'ai sonné elle m'a dit d’entrer de refermer derrière moi et venir la rejoindre vers la piscine. Elle était nue au bord de l'eau, elle s'est levée et m'a fait naturellement un bisou sur les lèvres suivi d'un « ça va ma chérie ? ». Il n'y avait aucun vis-à-vis je me suis aussitôt entièrement dévêtue, elle a remarqué que j'avais raccourci ma toison, mes grandes lèvres étaient bien visibles, en rigolant elle a dit « on en mangerait ». Dans l'eau elle est venue se coller contre moi et on s'est embrassées sans hésitations. Sorties de l'eau, une fois sèches, elle m’a proposé de rentrer, je l'ai suivie dans sa chambre.
Nous étions déjà nues, nos serviettes sont restées au pied de lit, on à repris nos baisers et nos caresses. Elle me fit écarter les jambes se plaça en face de mon minou en disant « hier, je n’ai pas bien vu », elle n'a toujours pas bien vu mais elle a beaucoup goûté, chacune de mes lèvres, petites et grandes ont été léchées et sucrées, mon clito a été tété, aspiré, chouchouté, ses doigts et sa langue ont visité mon vagin, j'ai eu orgasmes sur orgasmes. Elle a sorti son gode pour voir de près comment une bite écartait les lèvres pour pénétrer un con. Ayant eu une bonne éducation, j'ai proposé à ma copine d’inverser les rôles, sa toison était aussi bien entretenue, elle était aussi brune que la mienne était blonde et plus dense en poils. Je les ai écartés pour accéder à sa fente, j'ai commencé à la parcourir avec mon majeur, regardant où étaient les points sensibles, il y en avait partout, ensuite ma langue a pris le relais, c'était aussi doux que dans mon souvenir de la semaine précédente, à mon tour j'ai exploré sa chatte, je me suis attardée sur son clito plus gros et plus proéminent que le mien. Je n'ai pas eu à regarder comment un gode pénétrait une chatte, J.F. avait fait suffisamment de vidéos du nôtre dans ma chatte.
Face à face, jambes emmêlées nous avons amené nos sexes l’un contre l'autre pour se frotter, nos doigts essayaient de s'incruster pour caresser la partenaire.
Une fois sur nos matelas de piscine, on rigolait, on prenait notre liaison comme un jeu qui nous plaisait mais un jeu tout de même. Au moment où j'allais le dire , Sylvie a sorti « tu te rends compte, si nos maris nous voyaient, je suis sûre qu'ils aimeraient et se branleraient en nous regardant.
Lorsque je me suis préparée, Sylvie m'a embrassée tendrement me disant que je pouvais venir me baigner quand je voulais, on pouvait faire l'amour ou pas mais on pouvait aussi faire l'amour. L'avantage, lorsque deux amies se disent « ma chérie » en public, personne ne pense que c’est sexuel.
Un samedi, nous mangions chez nos amis, nous étions juste les deux couples, Sylvie nous avait préparé un délicieux repas et Jean-François avait ramené des bonnes bouteilles de notre cave. Après le dessert, les hommes ont commencé parler de leur travail, Sylvie en a eu marre, s'est levée pour mettre de la musique et on s'est déchaînées sur les jerks. En me faisant un clin d'œil, elle enchaîna avec des slows et m'enlaça, on s'est retrouvé enlacées en train de danser, par jeu, Sylvie à commencé me frotter seins contre seins, minou contre minou. À l'oreille elle me dit « ils sont tellement dans leurs discussions qu'on pourrait s'embrasser ils ne le verraient même pas », elle se pencha et appuya ses lèvres contre les miennes puis j'ai senti sa langue rentrer dans ma bouche. Nos maris ont arrêté net leur conversation et nous ont regardées bouche bée. Nous dansions nos corps emmêlés nos lèvres soudées sans s’occuper d'eux.
Lorsque la musique s'est arrêtée, Sylvie leur à dit « qu'est-ce qu’il nous faut faire pour que nos chéris s’intéressent à nous ». Richard s'est levé, a remis la série de slows et entraîna sa femme danser, Jean-François fit de même avec moi. Au bout de deux morceaux, Sylvie déclara qu'on changeait de partenaires, ça faisait une quinzaine d'années que je n'avais pas dansé avec Richard, la dernière fois, on avait flirté sur un slow. Sylvie tenait mon mari par le cou et le frottait un max, par jeu, je fis pareil avec le sien. Rapidement, j'ai senti que Richard avait une splendide érection, j'ai frotté mon bassin contre le sien, ses mains sur le haut de mes fesses accentuaient la pression, lorsque j'ai regardé l'autre couple J.F. et Sylvie s'embrassaient comme nous quelques minutes plus tôt. J'ai tourné la tête et j'ai fait pareil avec Richard, visiblement il n'attendait que ça. J'ai vu Sylvie entraîner mon chéri vers une chambre, avec Richard on a rejoint le canapé. Je lui ai demandé « où on en était il y a 15 ans ? » il s'est marré en enlevant mon corsage et en faisant sauter l’attaché de mon soutien-gorge. Il a trouvé mes seins plus beaux que dans son souvenir, le bas restait à découvrir on s'était arrêté au dessus de la ceinture. J'ai enlevé sa chemise puis j'ai ouvert son pantalon pour vérifier si ma copine ne s'était pas vantée . En vitesse il enleva ses chaussures ce qui m'a permis de finir de le déshabiller de me pencher et commencer une fellation. En effet, il était pas mal équipé, le gland était presque cylindrique, la tige de taille normale mais très large, je l'ai sucé avec beaucoup de plaisir lui faisant découvrir toutes les possibilités de mes lèvres, ma langue et ma gorge. Il m'a arrêté brusquement à la limite de l’éjaculation. Il me débarrassa rapidement de ma jupe, mes chaussures, mes collants et de ma culotte et plongea directement sur ma chatte, hum très adroit le copain, j'ai joui très rapidement. Avant de me pénétrer il m'a demandé si Sylvie et J.F. en étaient au même stade que nous, sans attendre ma réponse il me baisa, malgré sa largeur il est rentré d'un coup, il a éjaculé rapidement.
On s'est retrouvé enlacés jambes encore emmêlées, on s'est souri. Je lui ai fait des bisous amicaux.
Conversation :
je suis étonnée que tu ais laisser Sylvie partir dans la chambre avec J.F.
J'ai envie de toi depuis nos retrouvailles, je sais que Sylvie n'est pas d'une fidélité absolue, qu'elle a eu quelques amants depuis notre mariage, alors, J.F. en plus, au moins, c'est un ami. Vous aviez l'air très intimes toutes les deux en dansant, vous avez déjà fait l'amour ensemble ?
Disons qu'on s'aime bien, tu n'auras qu'à lui poser la question.
Il m'a prise par la main, « viens, on va regarder où ils en sont » . Et bien, lorsqu'on a ouvert la porté doucement, Sylvie était en train de se faire prendre en levrette, Richard l’a refermée, on est retourné dans le salon, je me suis mise sur le tapis et Richard m'a prise à mon tour de la même manière.
Lorsqu'on s'est retrouvé tous les quatre, il n'y a pas eu de gêne, nos chéris nous ont demandé si on avait aimé lorsqu'on est venu zieuter, Sylvie est venue me rouler un patin me disant que je pouvais lui prêter mon homme quand je voulais et que le sien était à ma disposition. C'est ce qui est arrivé de manière épisodique. On était avec nos maris respectifs, certains après-midi je faisais l'amour avec Sylvie, certains soirs où nous sortions ensemble il ne se passait rien, d'autres fois on finissait la nuit avec les conjoints inversés, une fois on s'est retrouvé à quatre dans le même lit, tout le monde a fait l'amour avec tout le monde sauf les deux hommes qui ont refusé toute relation entre eux. Ils ont vu qu'avec mon amie on ne se contentait de baisers amicaux, notre 69 les à très excités.
Devant la famille et nos autres amis, nous étions deux couples très amis dont chaque femme était une épouse exemplaire.
Toute bonne chose à une fin, Richard a eu une grosse opportunité de promotion en allant travailler en Chine pour cinq ans renouvelable. Notre dernière soirée à été plus triste que sexuelle.
Un jour, au bord de leur piscine où nous n’étions toutes les deux, allongées chacune sur un matelas posé près de l'autre, je lui ai même raconté nos trios avec mon mari et mon amant, elle a exigé des détails, je me suis amusée à les lui donner. Nous étions toutes les deux excitées par mes histoires, elle s'est rapprochée pour me demander si les deux hommes avaient eu des relations ensemble, s’ils s'étaient embrassés comme ça, et à ce moment, elle posa ses lèvres sur les miennes. Le premier baiser fut sage, elle s'est penchée à nouveau et son baiser est devenu un vrai beau et intense baiser, nos langues jouaient ensemble, elle s'est approchée de moi, une main dans son dos pour dégrafer son soutien-gorge puis le même geste pour enlever le mien.
Je découvrais le baiser lesbien que je trouvais fort agréable, on se caressait les seins, on se les léchait, en même temps, chacune passa la main dans le slip de bain de l'autre, en se marrant, chacune à enlevé celui de l'autre. On s'est regardée, on a ri, on s'est embrassée à nouveau et on a commencé a caresser le minou de l’autre, Sylvie mouillait autan que moi. C'est elle qui se baissa la première pour écarter mes jambes et venir embrasser mon minou, elle s'est placée sur moi et j'ai dégusté à mon tour son abricot. Après deux amants en quelques mois j'avais maintenant une maîtresse avec qui je venais de connaître mon premier orgasme, elle m'a suivi de peu.
Couchées côte à côte, serrées l'une contre l'autre, je lui avouais que c'était une première pour moi, elle me dit que c'était pareil pour elle mais qu'elle avait eu brusquement une énorme envie de m'embrasser. Elle m'a dit que c'était de ma faute avec mes histoires sur mes trios et mes doubles pénétrations. On s'est avoué qu'on avait bien aimé et qu'on recommencera.
Le soir, je n'ai pas dit à Jean-François que j'avais une nouvelle liaison encore moins que c’était avec notre amie Sylvie.
j'ai passé la semaine occupée dans mon coin, il a plu tous les jours, je ne savais pas si je devais faire le premier pas avec Sylvie ou attendre son appel. Le lundi le soleil était de retour, Sylvie m'a téléphoné pour me proposer de venir me baigner, en toute innocence bien sûr. Lorsque j'ai sonné elle m'a dit d’entrer de refermer derrière moi et venir la rejoindre vers la piscine. Elle était nue au bord de l'eau, elle s'est levée et m'a fait naturellement un bisou sur les lèvres suivi d'un « ça va ma chérie ? ». Il n'y avait aucun vis-à-vis je me suis aussitôt entièrement dévêtue, elle a remarqué que j'avais raccourci ma toison, mes grandes lèvres étaient bien visibles, en rigolant elle a dit « on en mangerait ». Dans l'eau elle est venue se coller contre moi et on s'est embrassées sans hésitations. Sorties de l'eau, une fois sèches, elle m’a proposé de rentrer, je l'ai suivie dans sa chambre.
Nous étions déjà nues, nos serviettes sont restées au pied de lit, on à repris nos baisers et nos caresses. Elle me fit écarter les jambes se plaça en face de mon minou en disant « hier, je n’ai pas bien vu », elle n'a toujours pas bien vu mais elle a beaucoup goûté, chacune de mes lèvres, petites et grandes ont été léchées et sucrées, mon clito a été tété, aspiré, chouchouté, ses doigts et sa langue ont visité mon vagin, j'ai eu orgasmes sur orgasmes. Elle a sorti son gode pour voir de près comment une bite écartait les lèvres pour pénétrer un con. Ayant eu une bonne éducation, j'ai proposé à ma copine d’inverser les rôles, sa toison était aussi bien entretenue, elle était aussi brune que la mienne était blonde et plus dense en poils. Je les ai écartés pour accéder à sa fente, j'ai commencé à la parcourir avec mon majeur, regardant où étaient les points sensibles, il y en avait partout, ensuite ma langue a pris le relais, c'était aussi doux que dans mon souvenir de la semaine précédente, à mon tour j'ai exploré sa chatte, je me suis attardée sur son clito plus gros et plus proéminent que le mien. Je n'ai pas eu à regarder comment un gode pénétrait une chatte, J.F. avait fait suffisamment de vidéos du nôtre dans ma chatte.
Face à face, jambes emmêlées nous avons amené nos sexes l’un contre l'autre pour se frotter, nos doigts essayaient de s'incruster pour caresser la partenaire.
Une fois sur nos matelas de piscine, on rigolait, on prenait notre liaison comme un jeu qui nous plaisait mais un jeu tout de même. Au moment où j'allais le dire , Sylvie a sorti « tu te rends compte, si nos maris nous voyaient, je suis sûre qu'ils aimeraient et se branleraient en nous regardant.
Lorsque je me suis préparée, Sylvie m'a embrassée tendrement me disant que je pouvais venir me baigner quand je voulais, on pouvait faire l'amour ou pas mais on pouvait aussi faire l'amour. L'avantage, lorsque deux amies se disent « ma chérie » en public, personne ne pense que c’est sexuel.
Un samedi, nous mangions chez nos amis, nous étions juste les deux couples, Sylvie nous avait préparé un délicieux repas et Jean-François avait ramené des bonnes bouteilles de notre cave. Après le dessert, les hommes ont commencé parler de leur travail, Sylvie en a eu marre, s'est levée pour mettre de la musique et on s'est déchaînées sur les jerks. En me faisant un clin d'œil, elle enchaîna avec des slows et m'enlaça, on s'est retrouvé enlacées en train de danser, par jeu, Sylvie à commencé me frotter seins contre seins, minou contre minou. À l'oreille elle me dit « ils sont tellement dans leurs discussions qu'on pourrait s'embrasser ils ne le verraient même pas », elle se pencha et appuya ses lèvres contre les miennes puis j'ai senti sa langue rentrer dans ma bouche. Nos maris ont arrêté net leur conversation et nous ont regardées bouche bée. Nous dansions nos corps emmêlés nos lèvres soudées sans s’occuper d'eux.
Lorsque la musique s'est arrêtée, Sylvie leur à dit « qu'est-ce qu’il nous faut faire pour que nos chéris s’intéressent à nous ». Richard s'est levé, a remis la série de slows et entraîna sa femme danser, Jean-François fit de même avec moi. Au bout de deux morceaux, Sylvie déclara qu'on changeait de partenaires, ça faisait une quinzaine d'années que je n'avais pas dansé avec Richard, la dernière fois, on avait flirté sur un slow. Sylvie tenait mon mari par le cou et le frottait un max, par jeu, je fis pareil avec le sien. Rapidement, j'ai senti que Richard avait une splendide érection, j'ai frotté mon bassin contre le sien, ses mains sur le haut de mes fesses accentuaient la pression, lorsque j'ai regardé l'autre couple J.F. et Sylvie s'embrassaient comme nous quelques minutes plus tôt. J'ai tourné la tête et j'ai fait pareil avec Richard, visiblement il n'attendait que ça. J'ai vu Sylvie entraîner mon chéri vers une chambre, avec Richard on a rejoint le canapé. Je lui ai demandé « où on en était il y a 15 ans ? » il s'est marré en enlevant mon corsage et en faisant sauter l’attaché de mon soutien-gorge. Il a trouvé mes seins plus beaux que dans son souvenir, le bas restait à découvrir on s'était arrêté au dessus de la ceinture. J'ai enlevé sa chemise puis j'ai ouvert son pantalon pour vérifier si ma copine ne s'était pas vantée . En vitesse il enleva ses chaussures ce qui m'a permis de finir de le déshabiller de me pencher et commencer une fellation. En effet, il était pas mal équipé, le gland était presque cylindrique, la tige de taille normale mais très large, je l'ai sucé avec beaucoup de plaisir lui faisant découvrir toutes les possibilités de mes lèvres, ma langue et ma gorge. Il m'a arrêté brusquement à la limite de l’éjaculation. Il me débarrassa rapidement de ma jupe, mes chaussures, mes collants et de ma culotte et plongea directement sur ma chatte, hum très adroit le copain, j'ai joui très rapidement. Avant de me pénétrer il m'a demandé si Sylvie et J.F. en étaient au même stade que nous, sans attendre ma réponse il me baisa, malgré sa largeur il est rentré d'un coup, il a éjaculé rapidement.
On s'est retrouvé enlacés jambes encore emmêlées, on s'est souri. Je lui ai fait des bisous amicaux.
Conversation :
je suis étonnée que tu ais laisser Sylvie partir dans la chambre avec J.F.
J'ai envie de toi depuis nos retrouvailles, je sais que Sylvie n'est pas d'une fidélité absolue, qu'elle a eu quelques amants depuis notre mariage, alors, J.F. en plus, au moins, c'est un ami. Vous aviez l'air très intimes toutes les deux en dansant, vous avez déjà fait l'amour ensemble ?
Disons qu'on s'aime bien, tu n'auras qu'à lui poser la question.
Il m'a prise par la main, « viens, on va regarder où ils en sont » . Et bien, lorsqu'on a ouvert la porté doucement, Sylvie était en train de se faire prendre en levrette, Richard l’a refermée, on est retourné dans le salon, je me suis mise sur le tapis et Richard m'a prise à mon tour de la même manière.
Lorsqu'on s'est retrouvé tous les quatre, il n'y a pas eu de gêne, nos chéris nous ont demandé si on avait aimé lorsqu'on est venu zieuter, Sylvie est venue me rouler un patin me disant que je pouvais lui prêter mon homme quand je voulais et que le sien était à ma disposition. C'est ce qui est arrivé de manière épisodique. On était avec nos maris respectifs, certains après-midi je faisais l'amour avec Sylvie, certains soirs où nous sortions ensemble il ne se passait rien, d'autres fois on finissait la nuit avec les conjoints inversés, une fois on s'est retrouvé à quatre dans le même lit, tout le monde a fait l'amour avec tout le monde sauf les deux hommes qui ont refusé toute relation entre eux. Ils ont vu qu'avec mon amie on ne se contentait de baisers amicaux, notre 69 les à très excités.
Devant la famille et nos autres amis, nous étions deux couples très amis dont chaque femme était une épouse exemplaire.
Toute bonne chose à une fin, Richard a eu une grosse opportunité de promotion en allant travailler en Chine pour cinq ans renouvelable. Notre dernière soirée à été plus triste que sexuelle.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Superbe partie de poker!!!!
Le candaulisme du mari débouche sur l'échangisme et la bisexualité . A suivre!
encore un récit terriblement excitant !!!!!
Merci !!!!!
Merci !!!!!
Attention à ne pas vous perdre en route. Trop de liberté tue la liberté.
La chipie
La chipie