Une épouse exemplaire 4
Récit érotique écrit par Lamiche31 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-06-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Une épouse exemplaire 4
Résumé :
Jean-François un peu candauliste sur les bords m'avait incitée à prendre des amants. Après deux amants, j'avais découvert ma bi-sexualité qui s'est fini par des échanges de nos maris. Une mutation en Chine nous avait privé de ce couple d'amis-amants.
Peu de temps après le départ de nos amis, Jean-François a créé sa société et vu son champ d'action, on est parti s'installer entre Bordeaux et l'océan. Il a fallu trouver ses marques, créer un nouveaux cercle d'amis surtout pour moi qui ne travaillait pas. Entre les parents d'élèves, le tennis, le fitness et les relations professionnelles de mon mari, on s'est rapidement implanté.
Jean-François me laissant libre et même m'encourageant, j'avais pris la décision de ne plus rien lui cacher, lui-même me parlait de ses aventures mais je préférais ne pas savoir, l'éternelle jalousie féminine.
J'étais devenue amie avec une femme de mon âge grâce au tennis, souvent après nos matchs ou nos entraînements, on allait boire un verre dans un bar en direction de Lacanau. Le patron bel homme d'une quarantaine d'années n'était pas insensible à mon sourire, je décidais de venir sans mon amie Justine pour voir son comportement seul, je me mis au comptoir. Lorsque j'allais partir, il me demanda si je pouvais revenir le soir, on pourrait discuter après la fermeture, je répondis que je serais la, mon mari me laissait libre et pourrait garder les enfants. Jean-François me donna son accord, en me souhaitant une très bonne soirée et effectivement elle fut bonne.
Dès la fermeture de son bar, Yvon s'approcha de moi et m'embrassa, j'étais venu pour ça et il le savait. Il m’entraîne dans son arrière salle , rapidement il découvrit la qualité de mes fellations et après avoir descendu mes collants et ma petite culotte sur mes chevilles il me baisa, assise sur des cartons de Bordeaux.
Dès que Jean-François pouvait garder les enfants, je partais rejoindre Yvon, on a fait l'amour sur toutes les banquettes, couchée sur le bar, je me faisais dévorer mon minou, il adorait mettre dans ma fente des noix de cajou et aller les récupérer sans les mains. Lorsque je rentrais, Jean-François me sautait dessus et on faisait l'amour avant de s'endormir enlacés.
Un jour, Justine m’a demandé si j'étais sa maîtresse, j'ai hésité puis je lui ai raconté, elle m'a répondu « bienvenu chez les bourgeoises bordelaises ». Elle n'a pas hésité à me parler de ses aventures, elle m'a promis de me faire découvrir les lieux les plus sympas de Bordeaux. Elle m'a dit de la prévenir lorsque je serais lassée, qu'elle prendrait bien m’a suite. Elle m'a fait un bisou sur la bouche en me disant « ne t'inquiète pas, je suis hétéro » je n'étais pas inquiète.
Yvon, c'était la parenthèse sportive, pas une seule fois on a fait l'amour dans un lit, c'était sur les banquettes, sur les tables, dans la réserve , cunni sur le bar, fellation à genou derrière son bar, souvent j'arrivais les fesses à l'air sous ma jupe, prête à l'emploi. Il n'était pas compliqué il prenait ce que je lui donnais, ne me posait pas de question sur ma vie, j'étais libre, je venais et on baisait, je ne l’étais pas, il ne m'en voulait pas.
Je me suis lassée de l'inconfort, un jour, voyant mes visites s'espacer il m'a demandé si je voulais arrêter, j'ai répondu oui. Dans les années qui ont suivi on a refait l'amour de temps en temps, parfois aucun rapport pendant un an, d'autres fois je venais deux jours d'affilée.
Les sorties avec Justine m'ont permis de n'avoir aucun temps mort, elle avait ses entrées dans un milieu dont j’ignorait l’existence, voire plusieurs milieux. En premier, elle me proposa d'aller chez deux étudiants en médecine qui cohabitaient dans un petits deux-pièces, elle avait couché avec l'un des deux, ils étaient très respectueux, ils ne forçaient personne, pour me rassurer, elle me proposa de prendre chacune notre voiture, j'ai fini par accepter. C'est la première fois que j’allais quelque part pour faire l'amour sans connaître mon « futur amant ». Justine m'avait prévenue, elle avait couché avec Pierre, elle prendra le second. Elle était très à l'aise, elle fit la bise aux deux, je fis pareil.
Très vite elle s'occupa du second dont je ne me souviens ni du nom ni de la tête et disparut dans sa chambre. Pierre avait dû être prévenu de mon inexpérience dans cette méthode d'approche car il s'est montré prévenant jusqu'à ce que ses lèvres se collent aux miennes et que sa main vienne caresser ma vulve humide, ensuite ce jeune homme de 19 ans se montra très adroit avec la dame de 35.
Il m’entraîna dans sa chambre, je l’aidais me déshabiller, une fois nue, je lui ai enlevé son polo puis assise au bord du lit et lui debout je me suis occupé du pantalon, très adroitement il retira ses chaussures, les chaussettes aussi mais garda son caleçon. J’adoraisi découvrir de moi-même le sexe de mes partenaires en faisant glisser la lingerie vers le bas, le gland est apparu, j'ai commencé à lui donner des petits coups de langue puis à l’entourer de mes lèvres, mes mains continuaient à faire descendre le caleçon pour découvrir la verge. J'ai fait des petites bises le long de la tige puis je l'ai sucée en gardant mes lèvres serrées. J'étais face à lui, son phallus rentrait en sortait de ma bouche au rythme que je lui imposait en appuyant sur ses fesses musclées à souhait. Il m'a demandé de ralentir, je me suis étendue avant qu'il vienne sur moi, j'avais les cuisses ouvertes, son dard s'est positionné face à mon trou, sans à-coups, il est rentré en entier. Il me pilonna longtemps, variant sans arrêt la vitesse ou la profondeur, j'entendais Justine crier dans la chambre voisine, pour ma part, j'avais le plaisir plus discret. Lorsqu'on est parti presque simultanément avec mon jeune amant j'ai soulevé mon bassin et poussé sur ses fesses pour le garder profondément en moi. J'ai filé sous la douche puis je me suis recouché à ses côtés.
On a discuté de ses études, de mes passions, de mon mari, ça semblait l'intéresser mes relations avec Jean-François, je le sentais frétiller et j'ai eu la confirmation lorsque sa main s'est posée sur ma chatte, un doigt s'est glissé entre mes petites lèvres a pénétré mon vagin puis s'est occupé de mon clitoris. Sa bouche est passée sur mes seins, mon ventre puis sur ma vulve, j'ai eu mon deuxième orgasme lorsque sa langue lapa mon petit bouton. Je lui ai demandé de venir, il m'a pénétrée aussitôt. Je l'ai bloqué à l’intérieur et en le regardant dans les yeux, j'ai contracté mes muscles vaginaux lui faisant une branlette inédite pour lui. J'ai relâché la pression, on s'est embrassé et il a repris son puissant coït.
Je me suis rhabillée puis j'ai été frapper à la porte de la chambre voisine pour prévenir Justine que je partais, elle l'a juste dit « chic, deux pour moi ». Pierre est venu une fois à la maison, on a fait l'amour tout l'après-midi, ensuite je lui ai dit que j'arrêtait, avoir un amant plus près en âge de mon fils ainé que de moi me gênait.
Justine tenait à m'amener dans une soirée où tout était permis mais rien n'était obligé. Elle m'expliqua que c'était dans un petit château il n'y aurait « que du beau linge », industriels, hommes politiques patrons, certains accompagnés de leur femme d'autres en majorité seuls. Les femmes seules ou venant seules étaient recherchées à condition de satisfaire à des critères de beauté ou de rangs social, Justine étant connue, les organisateurs lui faisaient confiance. Jean-François me dit d'aller voir, de participer à fond si j'étais à l'aise et de partir dans les autres cas. La tenue imposée pour les dames était robe longue avec bas auto-fixant ou bas et porte-jarretelles avec string ou sans rien, le soutien-gorge était proscrit. Ma robe était fendue sur une jambe jusqu'à la lisière de mes bas.
Je passait l'après-midi chez l'esthéticienne à épiler mon sexe ne gardant que le ticket de métro pas encore à la mode. Comme à notre habitude on a pris chacune notre voiture mais je passais par chez elle pour vérifier si tout était en ordre. Lorsqu'elle m'a vue elle a dit « ouah belle comme ça et nouvelle, ils vont se battre pour te niquer ». « il faut déjà que je veuille » « avec l'ambiance, tu voudras, on parie ».
Justine était à l'aise, elle connaissait presque tout le monde, elle fit le tour en me présentant et en précisant que j'étais nouvelle, rapidement je devins l'attraction. Ma copine m’enleva et me traîna jusqu'au bar. Le whisky était excellent, les petits fours aussi ; un monsieur d'une petite soixantaine vint vers moi et se présenta comme Henry X. député de cette circonscription, il commença à me dire que la réputation de beauté faite par Justine était en dessous de la vérité et qu'avec une secrétaire comme moi, il serait réélu sans problème. Après plusieurs verres jamais vides, il me proposa d'aller danser dans la pièce suivante. Lorsque j'ai franchi le seuil, ma copine a levé le pouce vers moi. C’était une salle à la lumière tamisée, une musique douce était en fond sonore, il y avait des canapés qu'on distinguait mal tant ils étaient dans l'ombre.
Mon député entama un slow très serré avec moi, je savais ses intentions, je savais que j'allais laisser faire, lorsqu’il m'embrassa j'ai répondu à son baiser, nous étions près d'un canapé il n'y entraîna. J'avais mon député à genou devant moi, ses mains remontaient le long de mes jambes, arrivèrent à l’élastique de mon string et le firent descendre puis l'enlever. « je vous confisque cet objet devenu inutile pour cette soirée ». Il remonta ma robe et posa ses lèvres sur mon abricot, sa langue passa dans ma fente puis s'occupa de mon petit bouton, une onde de plaisir me surprit par son intensité. « j'adore les femmes qui se lâchent aussi vite, ma chère on va faire pleins de choses ensemble ». Il baissa son pantalon et m'enfila, j'entendais de râles de plaisir venant des autres canapés, les miens se mêlèrent aux autres. Il enleva ma robe et me demanda de rester dans cette tenue, nue avec mes bas auto-fixant et mes escarpins. Un de ses conseillers arriva et vint nous rejoindre, il entreprit de me caresser le minou propre grâce l'usage des préservatifs, lorsqu'il amena sa verge à ma hauteur, je l'ai sucée. Les choses sérieuses commençaient. Dans la soirée j'ai sucé une dizaine de phallus des jeunes et des moins jeunes, des hommes et quelques femmes ont dégusté mon minou, j'en ignore le nombre, j'ai accueilli huit hommes dans ma chatte, personne dans mon cul. Au moment de partir, le député est venu me faire un baise-main, il m'a dit garder mon string en souvenir de notre première fois, il m’a tendu sa carte en me demandant de le contacter rapidement.
Justine m'a rattrapée sur le parking me félicitant de ma soirée, j'avais conquis tout le monde et les portes m'étaient grandes ouvertes.
J’ai revu le député seule à seul, un petit repas en tête à tête dans son cabinet puis direction le canapé déplié, il me fit l’amour comme un homme seul le fait avec une femme seule. Ce monsieur était très attentionné pour sa partenaire, j'ai beaucoup apprécié. J'ai été invitée à d'autres soirées avec mon mari ces fois là, c'était le seul à ne pas me baiser il était très demandé par ces dames, indirectement ses affaires ont fait un bond en avant. Je suis restée la maitresse de mon réputé pendant une année mais de manière irrégulière, il était souvent absent de la région. Au lit on s'entendait bien, il gardait le vouvoiement en dehors mais me tutoyait dans l'intimité et m'appelait salope chérie. Je ne lui ai jamais dit que je n'étais pas de son bord et que je n'ai jamais voté pour lui.
D'un commun accord avec Jean-François on a décidé d'arrêter ce mode de sexualité qui ne correspondait pas à nos envies, avoir des relations extraconjugales oui, sur commande non. J'ai plus apprécié ma relation personnelle avec mon député que les quelques partouzes que j'ai faites. Il avait vingt-cinq ans de plus que moi mais au lit il se comportait comme un homme de trente ans.
Pour un certain temps, je redevins une épouse exemplaire.
Jean-François un peu candauliste sur les bords m'avait incitée à prendre des amants. Après deux amants, j'avais découvert ma bi-sexualité qui s'est fini par des échanges de nos maris. Une mutation en Chine nous avait privé de ce couple d'amis-amants.
Peu de temps après le départ de nos amis, Jean-François a créé sa société et vu son champ d'action, on est parti s'installer entre Bordeaux et l'océan. Il a fallu trouver ses marques, créer un nouveaux cercle d'amis surtout pour moi qui ne travaillait pas. Entre les parents d'élèves, le tennis, le fitness et les relations professionnelles de mon mari, on s'est rapidement implanté.
Jean-François me laissant libre et même m'encourageant, j'avais pris la décision de ne plus rien lui cacher, lui-même me parlait de ses aventures mais je préférais ne pas savoir, l'éternelle jalousie féminine.
J'étais devenue amie avec une femme de mon âge grâce au tennis, souvent après nos matchs ou nos entraînements, on allait boire un verre dans un bar en direction de Lacanau. Le patron bel homme d'une quarantaine d'années n'était pas insensible à mon sourire, je décidais de venir sans mon amie Justine pour voir son comportement seul, je me mis au comptoir. Lorsque j'allais partir, il me demanda si je pouvais revenir le soir, on pourrait discuter après la fermeture, je répondis que je serais la, mon mari me laissait libre et pourrait garder les enfants. Jean-François me donna son accord, en me souhaitant une très bonne soirée et effectivement elle fut bonne.
Dès la fermeture de son bar, Yvon s'approcha de moi et m'embrassa, j'étais venu pour ça et il le savait. Il m’entraîne dans son arrière salle , rapidement il découvrit la qualité de mes fellations et après avoir descendu mes collants et ma petite culotte sur mes chevilles il me baisa, assise sur des cartons de Bordeaux.
Dès que Jean-François pouvait garder les enfants, je partais rejoindre Yvon, on a fait l'amour sur toutes les banquettes, couchée sur le bar, je me faisais dévorer mon minou, il adorait mettre dans ma fente des noix de cajou et aller les récupérer sans les mains. Lorsque je rentrais, Jean-François me sautait dessus et on faisait l'amour avant de s'endormir enlacés.
Un jour, Justine m’a demandé si j'étais sa maîtresse, j'ai hésité puis je lui ai raconté, elle m'a répondu « bienvenu chez les bourgeoises bordelaises ». Elle n'a pas hésité à me parler de ses aventures, elle m'a promis de me faire découvrir les lieux les plus sympas de Bordeaux. Elle m'a dit de la prévenir lorsque je serais lassée, qu'elle prendrait bien m’a suite. Elle m'a fait un bisou sur la bouche en me disant « ne t'inquiète pas, je suis hétéro » je n'étais pas inquiète.
Yvon, c'était la parenthèse sportive, pas une seule fois on a fait l'amour dans un lit, c'était sur les banquettes, sur les tables, dans la réserve , cunni sur le bar, fellation à genou derrière son bar, souvent j'arrivais les fesses à l'air sous ma jupe, prête à l'emploi. Il n'était pas compliqué il prenait ce que je lui donnais, ne me posait pas de question sur ma vie, j'étais libre, je venais et on baisait, je ne l’étais pas, il ne m'en voulait pas.
Je me suis lassée de l'inconfort, un jour, voyant mes visites s'espacer il m'a demandé si je voulais arrêter, j'ai répondu oui. Dans les années qui ont suivi on a refait l'amour de temps en temps, parfois aucun rapport pendant un an, d'autres fois je venais deux jours d'affilée.
Les sorties avec Justine m'ont permis de n'avoir aucun temps mort, elle avait ses entrées dans un milieu dont j’ignorait l’existence, voire plusieurs milieux. En premier, elle me proposa d'aller chez deux étudiants en médecine qui cohabitaient dans un petits deux-pièces, elle avait couché avec l'un des deux, ils étaient très respectueux, ils ne forçaient personne, pour me rassurer, elle me proposa de prendre chacune notre voiture, j'ai fini par accepter. C'est la première fois que j’allais quelque part pour faire l'amour sans connaître mon « futur amant ». Justine m'avait prévenue, elle avait couché avec Pierre, elle prendra le second. Elle était très à l'aise, elle fit la bise aux deux, je fis pareil.
Très vite elle s'occupa du second dont je ne me souviens ni du nom ni de la tête et disparut dans sa chambre. Pierre avait dû être prévenu de mon inexpérience dans cette méthode d'approche car il s'est montré prévenant jusqu'à ce que ses lèvres se collent aux miennes et que sa main vienne caresser ma vulve humide, ensuite ce jeune homme de 19 ans se montra très adroit avec la dame de 35.
Il m’entraîna dans sa chambre, je l’aidais me déshabiller, une fois nue, je lui ai enlevé son polo puis assise au bord du lit et lui debout je me suis occupé du pantalon, très adroitement il retira ses chaussures, les chaussettes aussi mais garda son caleçon. J’adoraisi découvrir de moi-même le sexe de mes partenaires en faisant glisser la lingerie vers le bas, le gland est apparu, j'ai commencé à lui donner des petits coups de langue puis à l’entourer de mes lèvres, mes mains continuaient à faire descendre le caleçon pour découvrir la verge. J'ai fait des petites bises le long de la tige puis je l'ai sucée en gardant mes lèvres serrées. J'étais face à lui, son phallus rentrait en sortait de ma bouche au rythme que je lui imposait en appuyant sur ses fesses musclées à souhait. Il m'a demandé de ralentir, je me suis étendue avant qu'il vienne sur moi, j'avais les cuisses ouvertes, son dard s'est positionné face à mon trou, sans à-coups, il est rentré en entier. Il me pilonna longtemps, variant sans arrêt la vitesse ou la profondeur, j'entendais Justine crier dans la chambre voisine, pour ma part, j'avais le plaisir plus discret. Lorsqu'on est parti presque simultanément avec mon jeune amant j'ai soulevé mon bassin et poussé sur ses fesses pour le garder profondément en moi. J'ai filé sous la douche puis je me suis recouché à ses côtés.
On a discuté de ses études, de mes passions, de mon mari, ça semblait l'intéresser mes relations avec Jean-François, je le sentais frétiller et j'ai eu la confirmation lorsque sa main s'est posée sur ma chatte, un doigt s'est glissé entre mes petites lèvres a pénétré mon vagin puis s'est occupé de mon clitoris. Sa bouche est passée sur mes seins, mon ventre puis sur ma vulve, j'ai eu mon deuxième orgasme lorsque sa langue lapa mon petit bouton. Je lui ai demandé de venir, il m'a pénétrée aussitôt. Je l'ai bloqué à l’intérieur et en le regardant dans les yeux, j'ai contracté mes muscles vaginaux lui faisant une branlette inédite pour lui. J'ai relâché la pression, on s'est embrassé et il a repris son puissant coït.
Je me suis rhabillée puis j'ai été frapper à la porte de la chambre voisine pour prévenir Justine que je partais, elle l'a juste dit « chic, deux pour moi ». Pierre est venu une fois à la maison, on a fait l'amour tout l'après-midi, ensuite je lui ai dit que j'arrêtait, avoir un amant plus près en âge de mon fils ainé que de moi me gênait.
Justine tenait à m'amener dans une soirée où tout était permis mais rien n'était obligé. Elle m'expliqua que c'était dans un petit château il n'y aurait « que du beau linge », industriels, hommes politiques patrons, certains accompagnés de leur femme d'autres en majorité seuls. Les femmes seules ou venant seules étaient recherchées à condition de satisfaire à des critères de beauté ou de rangs social, Justine étant connue, les organisateurs lui faisaient confiance. Jean-François me dit d'aller voir, de participer à fond si j'étais à l'aise et de partir dans les autres cas. La tenue imposée pour les dames était robe longue avec bas auto-fixant ou bas et porte-jarretelles avec string ou sans rien, le soutien-gorge était proscrit. Ma robe était fendue sur une jambe jusqu'à la lisière de mes bas.
Je passait l'après-midi chez l'esthéticienne à épiler mon sexe ne gardant que le ticket de métro pas encore à la mode. Comme à notre habitude on a pris chacune notre voiture mais je passais par chez elle pour vérifier si tout était en ordre. Lorsqu'elle m'a vue elle a dit « ouah belle comme ça et nouvelle, ils vont se battre pour te niquer ». « il faut déjà que je veuille » « avec l'ambiance, tu voudras, on parie ».
Justine était à l'aise, elle connaissait presque tout le monde, elle fit le tour en me présentant et en précisant que j'étais nouvelle, rapidement je devins l'attraction. Ma copine m’enleva et me traîna jusqu'au bar. Le whisky était excellent, les petits fours aussi ; un monsieur d'une petite soixantaine vint vers moi et se présenta comme Henry X. député de cette circonscription, il commença à me dire que la réputation de beauté faite par Justine était en dessous de la vérité et qu'avec une secrétaire comme moi, il serait réélu sans problème. Après plusieurs verres jamais vides, il me proposa d'aller danser dans la pièce suivante. Lorsque j'ai franchi le seuil, ma copine a levé le pouce vers moi. C’était une salle à la lumière tamisée, une musique douce était en fond sonore, il y avait des canapés qu'on distinguait mal tant ils étaient dans l'ombre.
Mon député entama un slow très serré avec moi, je savais ses intentions, je savais que j'allais laisser faire, lorsqu’il m'embrassa j'ai répondu à son baiser, nous étions près d'un canapé il n'y entraîna. J'avais mon député à genou devant moi, ses mains remontaient le long de mes jambes, arrivèrent à l’élastique de mon string et le firent descendre puis l'enlever. « je vous confisque cet objet devenu inutile pour cette soirée ». Il remonta ma robe et posa ses lèvres sur mon abricot, sa langue passa dans ma fente puis s'occupa de mon petit bouton, une onde de plaisir me surprit par son intensité. « j'adore les femmes qui se lâchent aussi vite, ma chère on va faire pleins de choses ensemble ». Il baissa son pantalon et m'enfila, j'entendais de râles de plaisir venant des autres canapés, les miens se mêlèrent aux autres. Il enleva ma robe et me demanda de rester dans cette tenue, nue avec mes bas auto-fixant et mes escarpins. Un de ses conseillers arriva et vint nous rejoindre, il entreprit de me caresser le minou propre grâce l'usage des préservatifs, lorsqu'il amena sa verge à ma hauteur, je l'ai sucée. Les choses sérieuses commençaient. Dans la soirée j'ai sucé une dizaine de phallus des jeunes et des moins jeunes, des hommes et quelques femmes ont dégusté mon minou, j'en ignore le nombre, j'ai accueilli huit hommes dans ma chatte, personne dans mon cul. Au moment de partir, le député est venu me faire un baise-main, il m'a dit garder mon string en souvenir de notre première fois, il m’a tendu sa carte en me demandant de le contacter rapidement.
Justine m'a rattrapée sur le parking me félicitant de ma soirée, j'avais conquis tout le monde et les portes m'étaient grandes ouvertes.
J’ai revu le député seule à seul, un petit repas en tête à tête dans son cabinet puis direction le canapé déplié, il me fit l’amour comme un homme seul le fait avec une femme seule. Ce monsieur était très attentionné pour sa partenaire, j'ai beaucoup apprécié. J'ai été invitée à d'autres soirées avec mon mari ces fois là, c'était le seul à ne pas me baiser il était très demandé par ces dames, indirectement ses affaires ont fait un bond en avant. Je suis restée la maitresse de mon réputé pendant une année mais de manière irrégulière, il était souvent absent de la région. Au lit on s'entendait bien, il gardait le vouvoiement en dehors mais me tutoyait dans l'intimité et m'appelait salope chérie. Je ne lui ai jamais dit que je n'étais pas de son bord et que je n'ai jamais voté pour lui.
D'un commun accord avec Jean-François on a décidé d'arrêter ce mode de sexualité qui ne correspondait pas à nos envies, avoir des relations extraconjugales oui, sur commande non. J'ai plus apprécié ma relation personnelle avec mon député que les quelques partouzes que j'ai faites. Il avait vingt-cinq ans de plus que moi mais au lit il se comportait comme un homme de trente ans.
Pour un certain temps, je redevins une épouse exemplaire.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'adore les 4 chapitres, une vraie histoire de femme.
Le mari candauliste a fait de son épouse une hypersexuelle, ou au moins une sacrée libertine!