Une épouse exemplaire 7
Récit érotique écrit par Lamiche31 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-07-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une épouse exemplaire 7
Résumé : mon mari Jean-François m'a proposé d’être libre sexuellement, au début je n'ai pas osé, petit à petit, j'ai osé un peu, beaucoup, passionnément. Après chaque tumulte, je traverse une période d'accalmie.
Le théâtre est une excellente thérapie, j'ai écrit une pièce qui n'était pas du tout une auto-biographie même si souvent on me demandait si c'était le cas. Je retrouvais mon fidèle ami et partenaire de scène pour la jouer.
Jean-François aussi avait trouvé un équilibre, je pense qu'il est resté longtemps sans avoir une liaison.
Un vendredi soir, au cours d'une réception dans une ville pour l'organisation du planning de leur salle de spectacle, il y avait un groupe peu connu à l'époque mais qui le deviendrait quelques temps plus tard, le guitariste ne m’a pas lâchée de la soirée, je suis repartie avec ses coordonnées en main. Entretemps le responsable de la salle m'a proposé de se voir après la réception, une fois seuls, on est parti dans son bureau à l’étage au-dessus, sans hésiter, il m'a embrassée, on s'est étendu sur le canapé et après avoir enlevé ou baissé les vêtements gênants, on a fait l'amour, vu le peu de confort, je n'ai pas joui, il m’a promis un lieu plus idyllique dans le futur.
Le samedi, après avoir téléphoné au guitariste et obtenu un rendez-vous pour le dimanche, j'ai été rejoindre Jean-François sous la couette et j'ai retrouvé le confort de faire l'amour avec mon chéri de toujours. Le dimanche, en début d'après-midi, je suis sortie rejoindre mon guitariste et bien sûr faire l'amour avec lui. Comme il était en instance de divorce, il a fallu aller dans une chambre prêtée par un copain du groupe. Là, il m'a déshabillée, s'est agenouillé entre mes jambes et a plongé directement sur mon minou, il était encore tout habillé que j'étais nue le sexe léché avec minutie. Lorsque j'ai eu mon premier orgasme, il s'est enfin mis nu et j'ai pu à mon tour honorer son sexe. C'était mon premier sexe entièrement épilé, le premier contact avec la main me fit une drôle de sensation mais je me suis vite habituée, surtout lorsque j'ai gobé ses bourses toutes lisses. Lorsqu'il s'est positionné sur moi en 69 j'ai pu constater que l'épilation continuait jusqu’à l'anus. Ensuite, il s'est mis entre mes jambes et m'a pénétrée. À part mes quelques partouzes avec mon député, c'était la première fois que j'avais trois hommes différents dans mon minou en 48 heures. Je m'aperçu d’une coïncidence, le responsable des spectacles s’appelait Jean et mon guitariste François, ce qui faisait avec mon chéri Jean-François un sacré trio. J'ai parlé avec Jean-François de l'épilation du sexe du guitariste, il me proposa de faire la même chose, je ne voulais pas aller chez une esthéticienne, aussi avec d’infimes précautions il se chargea de me débroussailler mon minou. Une fois mon sexe lisse, il se jeta dessus pour être le premier à le goûter. Il a beaucoup aimé et moi j'ai adoré, depuis, surtout à la belle saison ou en vacances dans des îles lointaines, Jean-François se fait un plaisir à enlever toute pilosité de mon entrejambe.
C'était agréable, un après-midi par semaine, je retrouvais Jean dans un petit hôtel et un autre après-midi François dans l'appartement de son copain. Tous les deux ont apprécié de découvrir mon abricot dénudé. Après m'avoir fait l'amour, François m’a avoué qu'il se rasait depuis des années et qu'il était bisexuel. Il aimait de temps en temps faire l'amour avec un homme et être autant actif que passif. Jean lui était un pur hétéro, il n'avait pas eu énormément de maîtresses mais dès notre première rencontre il avait eu envie de moi, je n'ai pas osé lui dire que je n'avais fait attention à lui, en dehors de son rôle officiel que lorsqu'il s'était décidé à me draguer. Entre Jean-François, Jean et François, chacun ayant une façon de me faire l'amour différente, j'étais comblée.
Jean était le plus conventionnel, François le plus innovant, il voulait en quelques après-midi avoir tout fait avec moi en particulier, dès le deuxième jour il me lécha le sexe puis ma petite étoile avant de positionner son gland dessus et me sodomiser. J'ai pu constater qu'il maîtrisait sa technique car je me suis retrouvée avec son phallus planté au fond de mon cul sans aucune douleur. Régulièrement après m'avoir fait jouir par les voies dites normales, il finissait par m’enculer et j’appréciais de le sentir finir ainsi.
Le groupe de François devenant célèbre, ses moments de libre devenaient rares. Un jour alors que j'arrivais à notre rendez-vous, son copain était présent, lorsque François commença à m'embrasser devant lui j'ai cru qu’ils voulaient me prendre en trio, il m'a dit que son copain était homo et effectivement on a fait l'amour à trois mais le deuxième homme ne s’est occupé que de lui. Pendant que mon amant me faisait un cunni, le second le suçait et lorsque François m’a prise en missionnaire, son amant le sodomisait. Ce fut une des dernières fois où on a fait l’amour ensemble.
Jean lui restait fidèle à nos habitudes, je savais exactement comment allait se dérouler notre après-midi de sexe, il me déshabillait toujours en premier puis j’attendais qu'il se mette nu à son tour, ensuite c'était un échange de baisers et de caresses, lui m'abreuvant de mots doux, invariablement il descendait me faire un cunni, certes très agréable puis je lui faisais â mon tour une fellation avant qu'il ne se mette sur moi pour me faire l'amour en missionnaire, jamais au cours de ces cinq mois de liaison il n'a essayé une autre position, il disait vouloir me regarder dans les yeux au moment de nos jouissances, plusieurs fois, j'ai simulé pour abréger la séance. Je commençais à me lasser sérieusement car notre relation perdait de son piment, j'ai profité des vacances d'été pour mettre fin à notre relation.
Un soir où je prenais un pot avec une amie, un type m'a draguée je suis partie avec lui.
Alors que nous étions en train de faire l'amour, quelqu'un s'est mis à tambouriner sa porte, au bout d'un moment , il s'est levé pour aller voir, de la chambre j'entendais des cris, c'était sa copine qui avait été prévenue. Je me suis rhabillée et en passant devant eux j'ai dit « bonne nuit messieurs-dames ».
Quelques jours plus tard, je ne sais plus comment, je ne suis retrouvée chez moi en train de baiser avec un type dont je ne me souviens plus comment je l'avais rencontré ni comment il s'appelait. Au bout de préliminaires qui traînaient sans être motivants, je lui ai dit de venir, j'ai accéléré le coït puis dès qu'il a joui, je lui ai dit de partir. Mes deux derniers partenaires sexuels m'avaient permis de me poser des questions, je ne sais pas si c'était l'âge, la lassitude ou les prémices du sida mais brusquement dans ma tête j'ai dit stop. Pendant plus de quinze ans je n'ai plus eu d'amant et j’étais redevenue une épouse exemplaire.
Le théâtre est une excellente thérapie, j'ai écrit une pièce qui n'était pas du tout une auto-biographie même si souvent on me demandait si c'était le cas. Je retrouvais mon fidèle ami et partenaire de scène pour la jouer.
Jean-François aussi avait trouvé un équilibre, je pense qu'il est resté longtemps sans avoir une liaison.
Un vendredi soir, au cours d'une réception dans une ville pour l'organisation du planning de leur salle de spectacle, il y avait un groupe peu connu à l'époque mais qui le deviendrait quelques temps plus tard, le guitariste ne m’a pas lâchée de la soirée, je suis repartie avec ses coordonnées en main. Entretemps le responsable de la salle m'a proposé de se voir après la réception, une fois seuls, on est parti dans son bureau à l’étage au-dessus, sans hésiter, il m'a embrassée, on s'est étendu sur le canapé et après avoir enlevé ou baissé les vêtements gênants, on a fait l'amour, vu le peu de confort, je n'ai pas joui, il m’a promis un lieu plus idyllique dans le futur.
Le samedi, après avoir téléphoné au guitariste et obtenu un rendez-vous pour le dimanche, j'ai été rejoindre Jean-François sous la couette et j'ai retrouvé le confort de faire l'amour avec mon chéri de toujours. Le dimanche, en début d'après-midi, je suis sortie rejoindre mon guitariste et bien sûr faire l'amour avec lui. Comme il était en instance de divorce, il a fallu aller dans une chambre prêtée par un copain du groupe. Là, il m'a déshabillée, s'est agenouillé entre mes jambes et a plongé directement sur mon minou, il était encore tout habillé que j'étais nue le sexe léché avec minutie. Lorsque j'ai eu mon premier orgasme, il s'est enfin mis nu et j'ai pu à mon tour honorer son sexe. C'était mon premier sexe entièrement épilé, le premier contact avec la main me fit une drôle de sensation mais je me suis vite habituée, surtout lorsque j'ai gobé ses bourses toutes lisses. Lorsqu'il s'est positionné sur moi en 69 j'ai pu constater que l'épilation continuait jusqu’à l'anus. Ensuite, il s'est mis entre mes jambes et m'a pénétrée. À part mes quelques partouzes avec mon député, c'était la première fois que j'avais trois hommes différents dans mon minou en 48 heures. Je m'aperçu d’une coïncidence, le responsable des spectacles s’appelait Jean et mon guitariste François, ce qui faisait avec mon chéri Jean-François un sacré trio. J'ai parlé avec Jean-François de l'épilation du sexe du guitariste, il me proposa de faire la même chose, je ne voulais pas aller chez une esthéticienne, aussi avec d’infimes précautions il se chargea de me débroussailler mon minou. Une fois mon sexe lisse, il se jeta dessus pour être le premier à le goûter. Il a beaucoup aimé et moi j'ai adoré, depuis, surtout à la belle saison ou en vacances dans des îles lointaines, Jean-François se fait un plaisir à enlever toute pilosité de mon entrejambe.
C'était agréable, un après-midi par semaine, je retrouvais Jean dans un petit hôtel et un autre après-midi François dans l'appartement de son copain. Tous les deux ont apprécié de découvrir mon abricot dénudé. Après m'avoir fait l'amour, François m’a avoué qu'il se rasait depuis des années et qu'il était bisexuel. Il aimait de temps en temps faire l'amour avec un homme et être autant actif que passif. Jean lui était un pur hétéro, il n'avait pas eu énormément de maîtresses mais dès notre première rencontre il avait eu envie de moi, je n'ai pas osé lui dire que je n'avais fait attention à lui, en dehors de son rôle officiel que lorsqu'il s'était décidé à me draguer. Entre Jean-François, Jean et François, chacun ayant une façon de me faire l'amour différente, j'étais comblée.
Jean était le plus conventionnel, François le plus innovant, il voulait en quelques après-midi avoir tout fait avec moi en particulier, dès le deuxième jour il me lécha le sexe puis ma petite étoile avant de positionner son gland dessus et me sodomiser. J'ai pu constater qu'il maîtrisait sa technique car je me suis retrouvée avec son phallus planté au fond de mon cul sans aucune douleur. Régulièrement après m'avoir fait jouir par les voies dites normales, il finissait par m’enculer et j’appréciais de le sentir finir ainsi.
Le groupe de François devenant célèbre, ses moments de libre devenaient rares. Un jour alors que j'arrivais à notre rendez-vous, son copain était présent, lorsque François commença à m'embrasser devant lui j'ai cru qu’ils voulaient me prendre en trio, il m'a dit que son copain était homo et effectivement on a fait l'amour à trois mais le deuxième homme ne s’est occupé que de lui. Pendant que mon amant me faisait un cunni, le second le suçait et lorsque François m’a prise en missionnaire, son amant le sodomisait. Ce fut une des dernières fois où on a fait l’amour ensemble.
Jean lui restait fidèle à nos habitudes, je savais exactement comment allait se dérouler notre après-midi de sexe, il me déshabillait toujours en premier puis j’attendais qu'il se mette nu à son tour, ensuite c'était un échange de baisers et de caresses, lui m'abreuvant de mots doux, invariablement il descendait me faire un cunni, certes très agréable puis je lui faisais â mon tour une fellation avant qu'il ne se mette sur moi pour me faire l'amour en missionnaire, jamais au cours de ces cinq mois de liaison il n'a essayé une autre position, il disait vouloir me regarder dans les yeux au moment de nos jouissances, plusieurs fois, j'ai simulé pour abréger la séance. Je commençais à me lasser sérieusement car notre relation perdait de son piment, j'ai profité des vacances d'été pour mettre fin à notre relation.
Un soir où je prenais un pot avec une amie, un type m'a draguée je suis partie avec lui.
Alors que nous étions en train de faire l'amour, quelqu'un s'est mis à tambouriner sa porte, au bout d'un moment , il s'est levé pour aller voir, de la chambre j'entendais des cris, c'était sa copine qui avait été prévenue. Je me suis rhabillée et en passant devant eux j'ai dit « bonne nuit messieurs-dames ».
Quelques jours plus tard, je ne sais plus comment, je ne suis retrouvée chez moi en train de baiser avec un type dont je ne me souviens plus comment je l'avais rencontré ni comment il s'appelait. Au bout de préliminaires qui traînaient sans être motivants, je lui ai dit de venir, j'ai accéléré le coït puis dès qu'il a joui, je lui ai dit de partir. Mes deux derniers partenaires sexuels m'avaient permis de me poser des questions, je ne sais pas si c'était l'âge, la lassitude ou les prémices du sida mais brusquement dans ma tête j'ai dit stop. Pendant plus de quinze ans je n'ai plus eu d'amant et j’étais redevenue une épouse exemplaire.
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