Une étonnante rencontre.
Récit érotique écrit par HugoSud [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-07-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Une étonnante rencontre.
C’est toujours dans les plus fortes chaleurs de l’été que la climatisation dans la voiture décide de nous lâcher ! Ma petite heure de route entre mon lieu de travail et la villa de mes parents me semble interminable à cause de cette chaleur. En arrivant dans la cour de chez mes parents, je décide, trempé de sueur dans ma chemise et mon pantalon gris, d’aller toucher l’eau de la piscine du bout des doigts. Elle est à température idéale, du coup j’ai très envie de me baigner pour me rafraichir. En entrant dans le local technique de la piscine, je me rends compte que mon maillot de bain n’est pas sur l’étendage et qu’il se trouve donc dans la maison. Je prends la décision de me baigner en boxer pour m’éviter un aller-retour. Au moment de mettre les pieds dans l’eau, je décide de pousser le vice jusqu’au bout et de profiter de l’absence de mes parents pour la semaine entière et celle de tout voisin pour me baigner dans le plus simple appareil. Une fois nu, je plonge la tête la première dans l’eau. L’eau est bonne et j’adore quand elle glisse sur ma peau, surtout au-dessous des bourses. Je me surprends à mater mon ventre plat, mes biceps développés et mes grandes jambes musclées le tout dorés par le soleil.
Les lunettes noires protégeant mes yeux, je fais quelques longueurs, puis la planche. Depuis que je suis bambin, j’adore cette position où le corps est exposé au soleil. Je ferme les yeux et je profite ! Le chant des cigales m’enchante. J’aime ce calme campagnard de temps en temps, loin du vacarme citadin. « Salut ! ». Je tombe en arrière de surprise et me redresse illico quand j’entends cette voix masculine. Je m’aperçois que Luc, un ami de mon père, est juste devant le portillon donnant sur l’escalier qui mène à la piscine. Il me regarde tout sourire. J’étais tellement perdu dans mes pensées que je n’ai pas entendu sa voiture arriver. J’ai toujours trouvé ce quadragénaire charmant. Il est assez grand, un corps sportif, légèrement poilu sur le torse, les cheveux bruns très courts, une barbe de trois jours et un sourire de tombeur. « Le portail est ouvert donc je suis rentré, il n’y a personne chez toi ? » me demande-t-il de sa voix sexy. Je lui réponds tout en avançant vers le bord de la piscine pour masquer ma nudité, que mes parents sont en vacances et que je suis seul pour la semaine. Il m’explique qu’il est venu emprunter la pelle de mon père pour ses travaux de maçonnerie dans sa future maison. Les bras posés contre les margelles de la piscine, je lui conseille d’aller voir dans le local où mon père stocke ses outils, mais il me répond qu’il y est déjà allé et que la porte est fermée à clé. Un trousseau de clés se trouve dans la maison. Le problème qui se pose désormais est : comment vais-je faire pour sortir sans que Luc se rende vraiment compte que je suis nu ? Du haut des escaliers, Luc me demande d’un ton moqueur : « Tu veux que je te donne ta serviette ? ». Mon regard cherche une éventuelle serviette posée sur les bains de soleil, mais n’en trouve pas. Comprenant mon malaise, Luc me dit : « Je t’attends devant le local si tu préfères ! ». Ouf ! Je vais pouvoir sortir sans être obligé de m’exhiber.
Son regard éloigné, je sors vite de l’eau et j’enfile mon boxer sec sur mon corps mouillé. Je prends mes affaires et vais ouvrir la maison. Je lui donne le trousseau de clés. Pendant qu’il part chercher la pelle, je prends rapidement une serviette dans un placard et je ressors. Le pote de mon père charge l’outil dans sa voiture et revient après que je lui ai proposé de boire une bière.
On s’installe, nos deux bouteilles de bière fraiche à la main, sur les transats et on discute de choses et d’autres. Luc me raconte ses dernières vacances passées en Espagne avec sa copine, devenue ex depuis, où « les filles sont chaudes ! » selon ses dires. « Si j’avais su, j’aurais profité ! » poursuit-il en rigolant. En plus d’être un beau mec, il a beaucoup de charisme. Ses belles paroles et son coté « homme viril » m’ont toujours séduit chez lui.
Au bout de quelques minutes à discuter en plein soleil, il me demande s’il peut piquer une tête. Je lui propose d’aller chercher un maillot de bain dans la maison, mais sa réponse me surprend : « Ne t’embête pas, je vais me baigner en slip. ». Je commence à être excité par la situation. Je me dis qu’il va falloir faire preuve de contrôle pour masquer mon érection ! Il enlève ses baskets, son t-shirt (ses abdos divins apparaissent) puis son short. Je n’ai pas le temps d’apercevoir son paquet qu’il plonge déjà. Une fois les vagues disparues, je m’approche et me rend compte que son boxer est blanc et est à la limite de la transparence. Ses fesses m’ont l’air si belles … Je défais la serviette du tour de ma taille et je le plonge à mon tour. L’eau froide calme (un peu) mon excitation. On se détend et on nage un peu, tout en continuant de discuter. Je fais de nombreux mouvements pour qu’il ne se rende pas compte que je suis dur et tendu.
Un peu plus tard, on s’installe sur les escaliers de la piscine, nos bières à la main, on trinque de nouveau. « C’est le top d’avoir une piscine ! Il ne manque plus que les nanas presque à poil et c’est bon ! » dit-il en plaisantant. Je ris même si moi, la situation actuelle me plait déjà. Il continue : « Tu vas en profiter un peu cette semaine pour inviter une fille à venir se baigner ? Ou un garçon d’ailleurs ». Je lui réponds que j’ai invité mes amis à faire un barbecue un soir dans la semaine mais pas de tête à tête prévu pour l’instant. La suite de la conversation me surprend : « Elles doivent bien s’amuser avec ce que t’as entre les jambes ! Je savais que celle de ton père est assez imposante, mais celle du fils semble encore mieux ! ». Il fait référence à mon sexe. Je suis tout gêné. J’ai la chance de faire partie des « bien montés » avec un pénis pouvant atteindre vingt-un centimètres. Au repos, sa taille est assez proportionnelle à celle en érection, faisant l’objet de plusieurs blagues de mes amis. Luc évoque le sexe de mon père, que je n’ai jamais vu fort heureusement au garde à vous, mais qui est autant épaisse que la mienne même si moins longue. Je réponds timidement : « Je n’ai pas à me plaindre ». Il esquisse un sourire. Là, je suis sûr qu’il m’a vu nu quand je faisais la planche dans l’eau.
Après avoir ingurgité une ou deux gorgées, il enchaine en me demandant si j’en avais déjà profité pour faire des galipettes dans la piscine. Je me sens étrangement de plus en plus à l’aise et je lui raconte que ma dernière copine (en réalité mon dernier copain) n’a jamais voulu faire ça dans la piscine, voulant toujours mettre un préservatif, même pour les préliminaires. « Aïe, c’est sûr que sur le plan sécurité, c’est bien d’en avoir une, mais pour les préliminaires, le plaisir est beaucoup grand sans, ça c’est sûr ! Même pour la personne qui fait ça, c’est mieux non ? ». Je le regarde avec étonnement. Sous-entend-il que je suis gay ? Sa remarque plus tôt sur le fait d’inviter une fille ou un garçon et celle-ci sur le plaisir de faire une fellation me fait croire cela. Voyant mon regard paniqué, il me glisse :
- Ne crains rien, ça restera entre nous, du moment que tu es heureux, je m’en fiche !
- Qu’est-ce que tu veux dire ? lui demandé-je faisant mine d’être étonné
- Non, mais je connais ta véritable identité. En fait, c’est ton père. Je sais que quand tu lui as avoué, tu lui as demandé de ne rien dire à personne, mais il avait vraiment besoin de parler pour accuser le coup…
Luc est très énigmatique mais j’ai directement compris qu’il parlait de mon coming-out. Il poursuit : « Moi, ça ne me pose vraiment aucun soucis ! » avant de me faire un clin d’œil. J’avoue que je ne comprends pas grand-chose à ce qu’il se passe. Pourquoi me dit-il ça maintenant, alors qu’il me parlait quelques minutes avant de potentielles copines. Il pose sa bouteille de bière vide sur la margelle et dirige sa main sur son paquet que je peux reluquer maintenant, et qui est bien garni. « Faut que je te dise, je suis terriblement en manque, tu ne voudrais pas t’occuper de moi ? ». Je n’y crois pas mes oreilles, qu’est-ce qu’il me fait là ? Il croit peut-être que je suis mort de faim et que je vais me soumettre à lui faire une gâterie ? Voyant ma stupéfaction, il éclate de rire et me dit qu’il plaisante.
Il se lève et sort de la piscine sans rien dire. Dos à moi, il baisse son boxer, l’essore et le pose sur le bain de soleil. Je me retourne discrètement. Ses fesses sont magnifiques : bombées, musclées, légèrement velues et blanches. Sa peau est bronzée. «Je le fais sécher ! » me dit-il en parlant de son bout de tissus blanc avant de se retourner. Son sexe m’est visible pour la première fois et il est presque dressé. De taille moyenne, il est assez gros. Quelques millimètres de poils sur son pubis et de belles bourses qui ne pendent pas : J’ai très envie de lui à cet instant précis. Il s’assoit sur la marche de la piscine près de moi et me dit « Tu aimes voir ça ? ». D’un signe de la tête, je lui réponds oui. Il poursuit en chuchotant « Profite, elle est toute à toi ! ». Je reconnais que je suis faible et que je ne peux résister à ses avances. Tout en le regardant dans les yeux, ma main approche son sexe timidement et s’en munie. Je lui fais quelques mouvements de va et vient tout en m’amusant à le serrer fermement pour bien le sentir. Il gémit doucement. Il se soulève et s’assoit sur la margelle. J’approche ma bouche de son sexe tendu pour y gouter. Je commence une fellation douce, puis au fur et à mesure de mes mouvements de haut en bas, j’accélère jusqu’à ce que ces râles deviennent plus nombreux. Je le suce depuis un petit moment déjà quand il m’arrête : « Tu suces vraiment bien, mais j’ai deux choses à te dire. La première, ce qu’il se passe reste entre nous, personne ne doit être au courant et la deuxième, je suis actif à cent pour cent. Ce que je veux ? Que tu me suces, n’espère pas que je te rende la pareille … Et pas de bisou non plus ! ». Luc est ferme mais clair, je lui montre que j’ai compris et je reprends mes mouvements buccaux. Je ne m’arrête pas, j’essaye d’être le plus endurant possible pour lui garantir son plaisir, en accélérant tout de même de temps en temps pour l’entendre gémir. Il gémit, me caresse la nuque et me demande d’enlever mon boxer pour lui montrer mes fesses légèrement velues. Je l’ôte d’une main et le pose en boule sur le rebord de la piscine. Luc le prend et l’essore sur sa tête.
- Tu as chaud ? lui demandé-je
- Ouais, je commence à griller là, mais continue, j’adore !
- Tu veux monter ? On sera mieux dans ma chambre non ?
- Je te suis alors ! me dit-il avant de faire un clin d’œil.
Je me lève, mon sexe est tendu. Luc me sourit et se lève aussi. Nous nous essuyons rapidement pour ne pas mettre d’eau partout dans la maison et nous nous dirigeons vers la porte d’entrée. Dans les escaliers, je suis devant Luc qui me complimente sur mes fesses et qui me pose une ou deux caresses avant de me donner une douce fessée.
Les volets de la maison sont entrebâillés, ce qui rafraîchit la maison et la plonge dans une certaine obscurité. Il s’allonge sur le lit. Je me mets à genoux, devant son sexe encore dressé pour continuer ce que j’avais commencé. Je le suce quelques minutes avant qu’il ne me demande : « T’as des capotes ? ». Je tends mon bras pour en attraper une dans la table de nuit. Je me mets ensuite à quatre pattes, les jambes écartées. Il introduit un doigt après avoir mis sa langue. Je sens qu’il n’aime pas ce qu’il fait, préférant surement les anus féminins, mais il me respecte. Je gémis comme une pucelle. Il enfile le préservatif et débute la sodomie. Les quelques premières minutes sont très douloureuses malgré le faible rythme de ses coups de reins. Puis, au fur et à mesure, mes cris de douleurs s’estompent, il accélère de plus en plus fort. Je gémis de plaisir, lui reste silencieux. Il me tient par l’épaule et serre sa main quand il prend du plaisir. Il pousse quelques râles de plaisir avant de me dire « Ça vient ! ». Dans ma tête, je me dis « déjà ?! ». Je lui glisse d’un air coquin : « Je veux voir ton jus ! ». Il gémit de satisfaction. Je m’allonge sur le dos. Je le regarde dans les yeux en train d’enlever son préservatif et se branler au-dessus de mon ventre. Je me souviendrai toujours de cette scène de la jouissance : ses râles, ses yeux qui se ferment, sa main sur son torse : il est divinement beau. Mon torse l’est aussi, maculé de son nectar blanchâtre.
Il s’écroule sur le lit pour reprendre son souffle. Je me munie de mes vingt-un centimètres pour me finir sur mon torse et entremêlé mon sperme avec le siens. Luc jette quelques regards sur mon sexe de temps en temps jusqu’à l’éjaculation. J’attrape un mouchoir sur la table de nuit pour m’essuyer le ventre pendant qu’il utilise la salle de bain. Les yeux au plafond, je n’arrive pas à débander. Mon plaisir a été immense en cette fin d’après-midi. Il revient nu, toujours aussi sexy et séduisant et me dit qu’il va chercher ses habits à la piscine. Pendant son absence, j’en profite pour filer sous la douche tiède. Je suis sur un petit nuage, je ne pense à rien. Jamais je n’aurais cru qu’il me procurerait ce plaisir-là ! Une fois propre et rafraîchis, je retrouve mon lit vide. Je descends et sur le pas de la porte d’entrée, je me rends compte que sa voiture n’est plus là. Ce salaud est parti sans me prévenir …
Les lunettes noires protégeant mes yeux, je fais quelques longueurs, puis la planche. Depuis que je suis bambin, j’adore cette position où le corps est exposé au soleil. Je ferme les yeux et je profite ! Le chant des cigales m’enchante. J’aime ce calme campagnard de temps en temps, loin du vacarme citadin. « Salut ! ». Je tombe en arrière de surprise et me redresse illico quand j’entends cette voix masculine. Je m’aperçois que Luc, un ami de mon père, est juste devant le portillon donnant sur l’escalier qui mène à la piscine. Il me regarde tout sourire. J’étais tellement perdu dans mes pensées que je n’ai pas entendu sa voiture arriver. J’ai toujours trouvé ce quadragénaire charmant. Il est assez grand, un corps sportif, légèrement poilu sur le torse, les cheveux bruns très courts, une barbe de trois jours et un sourire de tombeur. « Le portail est ouvert donc je suis rentré, il n’y a personne chez toi ? » me demande-t-il de sa voix sexy. Je lui réponds tout en avançant vers le bord de la piscine pour masquer ma nudité, que mes parents sont en vacances et que je suis seul pour la semaine. Il m’explique qu’il est venu emprunter la pelle de mon père pour ses travaux de maçonnerie dans sa future maison. Les bras posés contre les margelles de la piscine, je lui conseille d’aller voir dans le local où mon père stocke ses outils, mais il me répond qu’il y est déjà allé et que la porte est fermée à clé. Un trousseau de clés se trouve dans la maison. Le problème qui se pose désormais est : comment vais-je faire pour sortir sans que Luc se rende vraiment compte que je suis nu ? Du haut des escaliers, Luc me demande d’un ton moqueur : « Tu veux que je te donne ta serviette ? ». Mon regard cherche une éventuelle serviette posée sur les bains de soleil, mais n’en trouve pas. Comprenant mon malaise, Luc me dit : « Je t’attends devant le local si tu préfères ! ». Ouf ! Je vais pouvoir sortir sans être obligé de m’exhiber.
Son regard éloigné, je sors vite de l’eau et j’enfile mon boxer sec sur mon corps mouillé. Je prends mes affaires et vais ouvrir la maison. Je lui donne le trousseau de clés. Pendant qu’il part chercher la pelle, je prends rapidement une serviette dans un placard et je ressors. Le pote de mon père charge l’outil dans sa voiture et revient après que je lui ai proposé de boire une bière.
On s’installe, nos deux bouteilles de bière fraiche à la main, sur les transats et on discute de choses et d’autres. Luc me raconte ses dernières vacances passées en Espagne avec sa copine, devenue ex depuis, où « les filles sont chaudes ! » selon ses dires. « Si j’avais su, j’aurais profité ! » poursuit-il en rigolant. En plus d’être un beau mec, il a beaucoup de charisme. Ses belles paroles et son coté « homme viril » m’ont toujours séduit chez lui.
Au bout de quelques minutes à discuter en plein soleil, il me demande s’il peut piquer une tête. Je lui propose d’aller chercher un maillot de bain dans la maison, mais sa réponse me surprend : « Ne t’embête pas, je vais me baigner en slip. ». Je commence à être excité par la situation. Je me dis qu’il va falloir faire preuve de contrôle pour masquer mon érection ! Il enlève ses baskets, son t-shirt (ses abdos divins apparaissent) puis son short. Je n’ai pas le temps d’apercevoir son paquet qu’il plonge déjà. Une fois les vagues disparues, je m’approche et me rend compte que son boxer est blanc et est à la limite de la transparence. Ses fesses m’ont l’air si belles … Je défais la serviette du tour de ma taille et je le plonge à mon tour. L’eau froide calme (un peu) mon excitation. On se détend et on nage un peu, tout en continuant de discuter. Je fais de nombreux mouvements pour qu’il ne se rende pas compte que je suis dur et tendu.
Un peu plus tard, on s’installe sur les escaliers de la piscine, nos bières à la main, on trinque de nouveau. « C’est le top d’avoir une piscine ! Il ne manque plus que les nanas presque à poil et c’est bon ! » dit-il en plaisantant. Je ris même si moi, la situation actuelle me plait déjà. Il continue : « Tu vas en profiter un peu cette semaine pour inviter une fille à venir se baigner ? Ou un garçon d’ailleurs ». Je lui réponds que j’ai invité mes amis à faire un barbecue un soir dans la semaine mais pas de tête à tête prévu pour l’instant. La suite de la conversation me surprend : « Elles doivent bien s’amuser avec ce que t’as entre les jambes ! Je savais que celle de ton père est assez imposante, mais celle du fils semble encore mieux ! ». Il fait référence à mon sexe. Je suis tout gêné. J’ai la chance de faire partie des « bien montés » avec un pénis pouvant atteindre vingt-un centimètres. Au repos, sa taille est assez proportionnelle à celle en érection, faisant l’objet de plusieurs blagues de mes amis. Luc évoque le sexe de mon père, que je n’ai jamais vu fort heureusement au garde à vous, mais qui est autant épaisse que la mienne même si moins longue. Je réponds timidement : « Je n’ai pas à me plaindre ». Il esquisse un sourire. Là, je suis sûr qu’il m’a vu nu quand je faisais la planche dans l’eau.
Après avoir ingurgité une ou deux gorgées, il enchaine en me demandant si j’en avais déjà profité pour faire des galipettes dans la piscine. Je me sens étrangement de plus en plus à l’aise et je lui raconte que ma dernière copine (en réalité mon dernier copain) n’a jamais voulu faire ça dans la piscine, voulant toujours mettre un préservatif, même pour les préliminaires. « Aïe, c’est sûr que sur le plan sécurité, c’est bien d’en avoir une, mais pour les préliminaires, le plaisir est beaucoup grand sans, ça c’est sûr ! Même pour la personne qui fait ça, c’est mieux non ? ». Je le regarde avec étonnement. Sous-entend-il que je suis gay ? Sa remarque plus tôt sur le fait d’inviter une fille ou un garçon et celle-ci sur le plaisir de faire une fellation me fait croire cela. Voyant mon regard paniqué, il me glisse :
- Ne crains rien, ça restera entre nous, du moment que tu es heureux, je m’en fiche !
- Qu’est-ce que tu veux dire ? lui demandé-je faisant mine d’être étonné
- Non, mais je connais ta véritable identité. En fait, c’est ton père. Je sais que quand tu lui as avoué, tu lui as demandé de ne rien dire à personne, mais il avait vraiment besoin de parler pour accuser le coup…
Luc est très énigmatique mais j’ai directement compris qu’il parlait de mon coming-out. Il poursuit : « Moi, ça ne me pose vraiment aucun soucis ! » avant de me faire un clin d’œil. J’avoue que je ne comprends pas grand-chose à ce qu’il se passe. Pourquoi me dit-il ça maintenant, alors qu’il me parlait quelques minutes avant de potentielles copines. Il pose sa bouteille de bière vide sur la margelle et dirige sa main sur son paquet que je peux reluquer maintenant, et qui est bien garni. « Faut que je te dise, je suis terriblement en manque, tu ne voudrais pas t’occuper de moi ? ». Je n’y crois pas mes oreilles, qu’est-ce qu’il me fait là ? Il croit peut-être que je suis mort de faim et que je vais me soumettre à lui faire une gâterie ? Voyant ma stupéfaction, il éclate de rire et me dit qu’il plaisante.
Il se lève et sort de la piscine sans rien dire. Dos à moi, il baisse son boxer, l’essore et le pose sur le bain de soleil. Je me retourne discrètement. Ses fesses sont magnifiques : bombées, musclées, légèrement velues et blanches. Sa peau est bronzée. «Je le fais sécher ! » me dit-il en parlant de son bout de tissus blanc avant de se retourner. Son sexe m’est visible pour la première fois et il est presque dressé. De taille moyenne, il est assez gros. Quelques millimètres de poils sur son pubis et de belles bourses qui ne pendent pas : J’ai très envie de lui à cet instant précis. Il s’assoit sur la marche de la piscine près de moi et me dit « Tu aimes voir ça ? ». D’un signe de la tête, je lui réponds oui. Il poursuit en chuchotant « Profite, elle est toute à toi ! ». Je reconnais que je suis faible et que je ne peux résister à ses avances. Tout en le regardant dans les yeux, ma main approche son sexe timidement et s’en munie. Je lui fais quelques mouvements de va et vient tout en m’amusant à le serrer fermement pour bien le sentir. Il gémit doucement. Il se soulève et s’assoit sur la margelle. J’approche ma bouche de son sexe tendu pour y gouter. Je commence une fellation douce, puis au fur et à mesure de mes mouvements de haut en bas, j’accélère jusqu’à ce que ces râles deviennent plus nombreux. Je le suce depuis un petit moment déjà quand il m’arrête : « Tu suces vraiment bien, mais j’ai deux choses à te dire. La première, ce qu’il se passe reste entre nous, personne ne doit être au courant et la deuxième, je suis actif à cent pour cent. Ce que je veux ? Que tu me suces, n’espère pas que je te rende la pareille … Et pas de bisou non plus ! ». Luc est ferme mais clair, je lui montre que j’ai compris et je reprends mes mouvements buccaux. Je ne m’arrête pas, j’essaye d’être le plus endurant possible pour lui garantir son plaisir, en accélérant tout de même de temps en temps pour l’entendre gémir. Il gémit, me caresse la nuque et me demande d’enlever mon boxer pour lui montrer mes fesses légèrement velues. Je l’ôte d’une main et le pose en boule sur le rebord de la piscine. Luc le prend et l’essore sur sa tête.
- Tu as chaud ? lui demandé-je
- Ouais, je commence à griller là, mais continue, j’adore !
- Tu veux monter ? On sera mieux dans ma chambre non ?
- Je te suis alors ! me dit-il avant de faire un clin d’œil.
Je me lève, mon sexe est tendu. Luc me sourit et se lève aussi. Nous nous essuyons rapidement pour ne pas mettre d’eau partout dans la maison et nous nous dirigeons vers la porte d’entrée. Dans les escaliers, je suis devant Luc qui me complimente sur mes fesses et qui me pose une ou deux caresses avant de me donner une douce fessée.
Les volets de la maison sont entrebâillés, ce qui rafraîchit la maison et la plonge dans une certaine obscurité. Il s’allonge sur le lit. Je me mets à genoux, devant son sexe encore dressé pour continuer ce que j’avais commencé. Je le suce quelques minutes avant qu’il ne me demande : « T’as des capotes ? ». Je tends mon bras pour en attraper une dans la table de nuit. Je me mets ensuite à quatre pattes, les jambes écartées. Il introduit un doigt après avoir mis sa langue. Je sens qu’il n’aime pas ce qu’il fait, préférant surement les anus féminins, mais il me respecte. Je gémis comme une pucelle. Il enfile le préservatif et débute la sodomie. Les quelques premières minutes sont très douloureuses malgré le faible rythme de ses coups de reins. Puis, au fur et à mesure, mes cris de douleurs s’estompent, il accélère de plus en plus fort. Je gémis de plaisir, lui reste silencieux. Il me tient par l’épaule et serre sa main quand il prend du plaisir. Il pousse quelques râles de plaisir avant de me dire « Ça vient ! ». Dans ma tête, je me dis « déjà ?! ». Je lui glisse d’un air coquin : « Je veux voir ton jus ! ». Il gémit de satisfaction. Je m’allonge sur le dos. Je le regarde dans les yeux en train d’enlever son préservatif et se branler au-dessus de mon ventre. Je me souviendrai toujours de cette scène de la jouissance : ses râles, ses yeux qui se ferment, sa main sur son torse : il est divinement beau. Mon torse l’est aussi, maculé de son nectar blanchâtre.
Il s’écroule sur le lit pour reprendre son souffle. Je me munie de mes vingt-un centimètres pour me finir sur mon torse et entremêlé mon sperme avec le siens. Luc jette quelques regards sur mon sexe de temps en temps jusqu’à l’éjaculation. J’attrape un mouchoir sur la table de nuit pour m’essuyer le ventre pendant qu’il utilise la salle de bain. Les yeux au plafond, je n’arrive pas à débander. Mon plaisir a été immense en cette fin d’après-midi. Il revient nu, toujours aussi sexy et séduisant et me dit qu’il va chercher ses habits à la piscine. Pendant son absence, j’en profite pour filer sous la douche tiède. Je suis sur un petit nuage, je ne pense à rien. Jamais je n’aurais cru qu’il me procurerait ce plaisir-là ! Une fois propre et rafraîchis, je retrouve mon lit vide. Je descends et sur le pas de la porte d’entrée, je me rends compte que sa voiture n’est plus là. Ce salaud est parti sans me prévenir …
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