Une étonnante rencontre - 2
Récit érotique écrit par HugoSud [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-07-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Une étonnante rencontre - 2
La nuit commence à tomber. Deux heures se sont écoulées depuis le départ précipité de Luc et mes draps sentent encore son odeur. Même si je n’ai été que son « vide-couille », j’ai pris énormément de plaisir avec lui. Un plaisir indescriptible ! Jamais je n’aurais cru qu’il allait faire une chose pareille, être autant en manque pour coucher avec un mec. Lui, l’homme viril et macho qui se résout à se taper une petite « tafiole», comme il appelle vulgairement les gays, quelle surprise ! Après un petit plateau-télé, je monte me coucher. Le sommeil ne vient pas immédiatement. Je me repasse dans ma tête cette scène de sexe unique. Je suis fier d’être son premier.
Le lendemain, j’invite mes amis d’enfance à venir dîner autour de quelques grillades, saucisses et merguez. Chacun rapporte quelque chose : des chips, des fruits ou de l’alcool. Clara, ma plus fidèle amie, arrive la première vers dix-neuf heures sous un soleil encore très chaud. Elle vient pour m’aider à préparer la soirée. Ses journées en tant qu’animatrice dans un centre de vacances l’épuisent, mais elle fait toujours l’effort de venir et de surcroit, de m’aider. Elle me fait rire en me racontant ses péripéties avec les enfants. Moi je lui explique comment une collègue me fait des avances ! Aurélie, Mathieu, Florent et Juliette (le couple de notre cercle d’amis) et Anthony, arrivent quasiment en même temps. La soirée peut enfin commencer ! Une fois la viande cuite, nous nous attablons. Très vite, les fous-rires éclatent, les verres s’enchainent et les assiettes se vident. Nous nous connaissons tous depuis le lycée et l’ambiance entre nous a toujours été excellente. Ça fume, ça bois dans tous les sens, mais qu’importe, nous sommes jeunes ! J’ai envie de les prendre tous dans mes bras et leur dire à quel point je les aime ! Florent et Juliette ne se cachent pas pour se faire des bisous. Mathieu me surprend à les regarder et me fait un clin d’œil.
D’un coup, Anthony enlève son t-shirt et lance à toute la table : « On va se baigner ? ». Tout le monde s’enthousiasme et part chercher les maillots de bain dans les voitures. Mathieu est le seul qui ne bouge pas. Il a oublié le sien. Nous montons tous les deux à l’étage pour que je lui en refile un. Je lui donne propose mon boxer « moule bite » ou un vieux short. Il prend ce dernier et j’en profite également pour me changer. Alors que je suis nu, dos à Mathieu, celui-ci me dit : « Tes fesses sont vraiment pas mal ! ». Il n’y a aucune pudeur entre nous. Je souris tout en remontant mon short de bain. Il poursuit : « C’est un compliment, rien de méchant, tu n’es pas obligé de faire cette tête ! ». Je me retourne vers lui, lui dis de se taire en souriant et de se dépêcher de se changer (il n’a enlevé que son t-shirt pour l’instant). Il s’approche de moi, me tient par la taille derrière moi et me dit à l’oreille : « Je préfère quand tu es à poil ». Il baisse sans rien me demander mon maillot. Je me mets face à lui et je lui dis : « On avait dit qu’on se calmait, qu’on arrêtait ça ! ». Il jette un coup d’œil sur mon sexe qui se gonfle doucement, me sourit et s’approche de moi, comme si j’étais resté muet. Ses lèvres viennent se poser contre les miennes, nous nous embrassons. J’ai toujours aimé la façon dont il embrasse, si unique, si indescriptible !
Mathieu est mon premier amour. Nous nous sommes rencontrés en seconde et sommes sortis plusieurs années ensemble. Nous avons tout découvert à deux, que ce soit l’amour, notre sexualité ou le coming-out. Notre relation a toujours été et sera toujours forte. Depuis notre rupture, elle est assez ambiguë. Quand nous sommes célibataires en même temps, ce qui est le cas actuellement, il nous arrive de nous voir pour coucher ensemble. Nous nous aimons toujours un peu. Nous nous aimerons toujours, comme on aime un premier amour.
Pendant qu’il m’embrasse, sa main caresse mon sexe. Il s’en munie et le masturbe. Moi, je lui touche ses cheveux bouclés. Il me donne ensuite trois petits baisers dans le cou avant de s’agenouiller devant moi. Mon sexe tendu, il me regarde dans les yeux avant de le gouter. Il a toujours su comment donner du plaisir à un homme rien qu’avec sa bouche. J’adore quand il me fait son regard de soumis qui me dit « baise-moi la bouche ! ». Je donne de légers coups de reins pour le faire gémir. Il joue à lécher mes bourses et me répète « Ta queue est tellement grosse, elle m’a manqué ! ». Je gémis et au moment où je lui chuchote de venir m’embrasser, nous entendons une voix à travers l’escalier. « Les garçons, vous arrivez ? ». Je crie à Clara « on arrive » avant de tenter de me séparer de Mathieu. Je me rhabille, lui se met en maillot et avant de sortir de la chambre pour rejoindre les autres, je l’embrasse. Arrivés en bas, Anthony nous demande : « Vous faisiez quoi là-haut ? Mathieu, il t’en reste un petit peu au coin de la bouche ! ». Tout le monde éclate de rire, Mathieu, naïf, l’interroge pour savoir de quoi il parle. Nous rions tous. Nous savons tous les deux que nos amis ne sont pas dupes et qu’ils savent que nous sortons régulièrement ensemble. Ils sont déjà tous dans la piscine et s’amusent dedans. La pleine lune nous éclaire. Nous nous amusons à nous pousser sous l’eau, à nous éclabousser, à faire chuter les autres, comme des gamins de dix ans. Mathieu s’approche de moi avec un petit sourire coquin. Nous nous embrassons devant nos amis, qui sont désormais habitués à cette situation. Entre deux baisers, il me murmure à l’oreille : « Je veux ta grosse bite dans mon cul, je bande encore ! ». Ses mots crus dans mon oreille, à quelques centimètres de mes amis m’excitent, mais je veux rester discret. « Arrête de me chauffer » lui dis-je en souriant. Il me sourit et m’embrasse de nouveau.
Vers minuit, tout le monde s’est rhabillé et commence à partir. Mathieu et Clara sont restés pour m’aider à ranger. Quand ma meilleure amie s’absente aux toilettes, mon ex me chuchote : « Je peux rester dormir ? ». Je le regarde et je lui demande si c’est bien raisonnable. « Non » poursuit-il, « mais on s’en fou de la raison ! » avant de m’embrasser de nouveau. Quand Clara revient, nous lui dispensons de vaisselle, nous sacrifiant à cette tâche. Elle s’en va alors en nous disant « Amusez-vous bien les mecs ! ». Elle a bien compris ce que nous allions faire ! La vaisselle attendra le lendemain, je demander à Mathieu de monter à l’étage pendant que je ferme la maison. Quand j’arrive dans la chambre, je le vois entièrement nu, assis sur le lit, le sexe bandé. Je souris et me déshabille à mon tour, tout en m’approchant du lit. Je monte sur celui-ci et je le chevauche pour l’embrasser. Nos deux sexes bandés se frottent. Je me baisse vers sa tige pour la sucer. Il n’a pas un aussi grand et gros pénis que le mien, mais j’adore l’avoir en bouche. Je crois que j’aime son goût. Ses mots « Tu suces comme un dieu ! » m’encouragent à continuer, avant de changer de position pour poursuivre en soixante-neuf. C’est notre position préférée. Celle qui donne autant de plaisir qu’elle en procure. D’abord sur le côté, puis lui sur moi, je gémis tout en le faisant gémir ! Quelle excitation ! Après avoir lubrifié son petit trou, je débute une douce sodomie. Ses cris et son cul qui ondule sur ma pine me rendent fou. Allongé sur le dos, il me chevauche tout en me donnant la main. J’étouffe ses gémissements en le contraignant régulièrement à m’embrasser.
Soudain, j’entends un bruit de voiture à l’extérieur. Mathieu me dit que j’ai rêvé, mais les bruits persistent. Je le contrains de se retirer et je me lève pour ouvrir le volet de la fenêtre. Je vois des phares allumés devant le portail. La lumière s’allume automatiquement. Il me semble apercevoir Luc au loin. Je suis étonné qu’il vienne et surtout, aussi tard. Il parle fort pour que je l’entende : « Je suis désolé de débarquer comme ça, mais faut que je te parle ! ». Je reconnais sa voix, je suis ainsi rassuré. J’enfile un short et subi l’agacement de Mathieu. Je lui dis de ne pas bouger et je descends. J’ouvre le portail et la porte d’entrée et je l’attends.
- Qu’est-ce que tu fais là ? lui demandé-je d’un ton froid
- Il faut que je te parle, c’est important. Je te réveille ? me demande-t-il d’une voix calme
- Non, je ne dormais pas. Luc, je ne suis pas seul, ça ne peut pas attendre demain ?
Je m’étonne moi-même de mon assurance. J’ai beau dire que j’ai pris énormément de plaisir avec lui, je me rends compte que je n’ai pas digéré la manière dont il est parti.
- Je ne serais pas long ! Tu es avec un mec ? poursuit-il
- Qu’est-ce que ça peut te faire ?
- Je comprends que tu sois énervé contre moi. Ce que j’ai fait n’est pas à faire. Mais comprend moi, faire ça avec un mec, le fils d’un de mes meilleurs potes, ça me dépasse ! Je suis trop macho pour assumer ce que j’ai fait, encore plus pour avouer que j’y ai pris du plaisir.
Je reste stupéfait par cette révélation. Se rend-il compte de ce qu’il me dit ?
- Pardonne-moi ! continue-t-il en baissant les yeux au sol
- Je t’imaginais trop fier de toi pour venir me présenter tes excuses, je me suis trompé. Mais ça ne pouvait pas attendre demain ?
- Non … me répond-il avant de s’approcher de moi pour poser ses lèvres sur les miennes.
Ce n’est qu’un bisou, mais venant de lui, il veut tout dire. Il me murmure : « J’ai envie de ta langue et de ton petit trou … maintenant ! ». J’aime son côté franc-jeu, il m’excite tellement !
Un choix cornélien s’offre à moi : décliner l’offre de Luc et me résoudre à finir la nuit avec Mathieu ou alors me débarrasser poliment de mon ex et prendre mon pied avec Luc ? Que faire ?
Le lendemain, j’invite mes amis d’enfance à venir dîner autour de quelques grillades, saucisses et merguez. Chacun rapporte quelque chose : des chips, des fruits ou de l’alcool. Clara, ma plus fidèle amie, arrive la première vers dix-neuf heures sous un soleil encore très chaud. Elle vient pour m’aider à préparer la soirée. Ses journées en tant qu’animatrice dans un centre de vacances l’épuisent, mais elle fait toujours l’effort de venir et de surcroit, de m’aider. Elle me fait rire en me racontant ses péripéties avec les enfants. Moi je lui explique comment une collègue me fait des avances ! Aurélie, Mathieu, Florent et Juliette (le couple de notre cercle d’amis) et Anthony, arrivent quasiment en même temps. La soirée peut enfin commencer ! Une fois la viande cuite, nous nous attablons. Très vite, les fous-rires éclatent, les verres s’enchainent et les assiettes se vident. Nous nous connaissons tous depuis le lycée et l’ambiance entre nous a toujours été excellente. Ça fume, ça bois dans tous les sens, mais qu’importe, nous sommes jeunes ! J’ai envie de les prendre tous dans mes bras et leur dire à quel point je les aime ! Florent et Juliette ne se cachent pas pour se faire des bisous. Mathieu me surprend à les regarder et me fait un clin d’œil.
D’un coup, Anthony enlève son t-shirt et lance à toute la table : « On va se baigner ? ». Tout le monde s’enthousiasme et part chercher les maillots de bain dans les voitures. Mathieu est le seul qui ne bouge pas. Il a oublié le sien. Nous montons tous les deux à l’étage pour que je lui en refile un. Je lui donne propose mon boxer « moule bite » ou un vieux short. Il prend ce dernier et j’en profite également pour me changer. Alors que je suis nu, dos à Mathieu, celui-ci me dit : « Tes fesses sont vraiment pas mal ! ». Il n’y a aucune pudeur entre nous. Je souris tout en remontant mon short de bain. Il poursuit : « C’est un compliment, rien de méchant, tu n’es pas obligé de faire cette tête ! ». Je me retourne vers lui, lui dis de se taire en souriant et de se dépêcher de se changer (il n’a enlevé que son t-shirt pour l’instant). Il s’approche de moi, me tient par la taille derrière moi et me dit à l’oreille : « Je préfère quand tu es à poil ». Il baisse sans rien me demander mon maillot. Je me mets face à lui et je lui dis : « On avait dit qu’on se calmait, qu’on arrêtait ça ! ». Il jette un coup d’œil sur mon sexe qui se gonfle doucement, me sourit et s’approche de moi, comme si j’étais resté muet. Ses lèvres viennent se poser contre les miennes, nous nous embrassons. J’ai toujours aimé la façon dont il embrasse, si unique, si indescriptible !
Mathieu est mon premier amour. Nous nous sommes rencontrés en seconde et sommes sortis plusieurs années ensemble. Nous avons tout découvert à deux, que ce soit l’amour, notre sexualité ou le coming-out. Notre relation a toujours été et sera toujours forte. Depuis notre rupture, elle est assez ambiguë. Quand nous sommes célibataires en même temps, ce qui est le cas actuellement, il nous arrive de nous voir pour coucher ensemble. Nous nous aimons toujours un peu. Nous nous aimerons toujours, comme on aime un premier amour.
Pendant qu’il m’embrasse, sa main caresse mon sexe. Il s’en munie et le masturbe. Moi, je lui touche ses cheveux bouclés. Il me donne ensuite trois petits baisers dans le cou avant de s’agenouiller devant moi. Mon sexe tendu, il me regarde dans les yeux avant de le gouter. Il a toujours su comment donner du plaisir à un homme rien qu’avec sa bouche. J’adore quand il me fait son regard de soumis qui me dit « baise-moi la bouche ! ». Je donne de légers coups de reins pour le faire gémir. Il joue à lécher mes bourses et me répète « Ta queue est tellement grosse, elle m’a manqué ! ». Je gémis et au moment où je lui chuchote de venir m’embrasser, nous entendons une voix à travers l’escalier. « Les garçons, vous arrivez ? ». Je crie à Clara « on arrive » avant de tenter de me séparer de Mathieu. Je me rhabille, lui se met en maillot et avant de sortir de la chambre pour rejoindre les autres, je l’embrasse. Arrivés en bas, Anthony nous demande : « Vous faisiez quoi là-haut ? Mathieu, il t’en reste un petit peu au coin de la bouche ! ». Tout le monde éclate de rire, Mathieu, naïf, l’interroge pour savoir de quoi il parle. Nous rions tous. Nous savons tous les deux que nos amis ne sont pas dupes et qu’ils savent que nous sortons régulièrement ensemble. Ils sont déjà tous dans la piscine et s’amusent dedans. La pleine lune nous éclaire. Nous nous amusons à nous pousser sous l’eau, à nous éclabousser, à faire chuter les autres, comme des gamins de dix ans. Mathieu s’approche de moi avec un petit sourire coquin. Nous nous embrassons devant nos amis, qui sont désormais habitués à cette situation. Entre deux baisers, il me murmure à l’oreille : « Je veux ta grosse bite dans mon cul, je bande encore ! ». Ses mots crus dans mon oreille, à quelques centimètres de mes amis m’excitent, mais je veux rester discret. « Arrête de me chauffer » lui dis-je en souriant. Il me sourit et m’embrasse de nouveau.
Vers minuit, tout le monde s’est rhabillé et commence à partir. Mathieu et Clara sont restés pour m’aider à ranger. Quand ma meilleure amie s’absente aux toilettes, mon ex me chuchote : « Je peux rester dormir ? ». Je le regarde et je lui demande si c’est bien raisonnable. « Non » poursuit-il, « mais on s’en fou de la raison ! » avant de m’embrasser de nouveau. Quand Clara revient, nous lui dispensons de vaisselle, nous sacrifiant à cette tâche. Elle s’en va alors en nous disant « Amusez-vous bien les mecs ! ». Elle a bien compris ce que nous allions faire ! La vaisselle attendra le lendemain, je demander à Mathieu de monter à l’étage pendant que je ferme la maison. Quand j’arrive dans la chambre, je le vois entièrement nu, assis sur le lit, le sexe bandé. Je souris et me déshabille à mon tour, tout en m’approchant du lit. Je monte sur celui-ci et je le chevauche pour l’embrasser. Nos deux sexes bandés se frottent. Je me baisse vers sa tige pour la sucer. Il n’a pas un aussi grand et gros pénis que le mien, mais j’adore l’avoir en bouche. Je crois que j’aime son goût. Ses mots « Tu suces comme un dieu ! » m’encouragent à continuer, avant de changer de position pour poursuivre en soixante-neuf. C’est notre position préférée. Celle qui donne autant de plaisir qu’elle en procure. D’abord sur le côté, puis lui sur moi, je gémis tout en le faisant gémir ! Quelle excitation ! Après avoir lubrifié son petit trou, je débute une douce sodomie. Ses cris et son cul qui ondule sur ma pine me rendent fou. Allongé sur le dos, il me chevauche tout en me donnant la main. J’étouffe ses gémissements en le contraignant régulièrement à m’embrasser.
Soudain, j’entends un bruit de voiture à l’extérieur. Mathieu me dit que j’ai rêvé, mais les bruits persistent. Je le contrains de se retirer et je me lève pour ouvrir le volet de la fenêtre. Je vois des phares allumés devant le portail. La lumière s’allume automatiquement. Il me semble apercevoir Luc au loin. Je suis étonné qu’il vienne et surtout, aussi tard. Il parle fort pour que je l’entende : « Je suis désolé de débarquer comme ça, mais faut que je te parle ! ». Je reconnais sa voix, je suis ainsi rassuré. J’enfile un short et subi l’agacement de Mathieu. Je lui dis de ne pas bouger et je descends. J’ouvre le portail et la porte d’entrée et je l’attends.
- Qu’est-ce que tu fais là ? lui demandé-je d’un ton froid
- Il faut que je te parle, c’est important. Je te réveille ? me demande-t-il d’une voix calme
- Non, je ne dormais pas. Luc, je ne suis pas seul, ça ne peut pas attendre demain ?
Je m’étonne moi-même de mon assurance. J’ai beau dire que j’ai pris énormément de plaisir avec lui, je me rends compte que je n’ai pas digéré la manière dont il est parti.
- Je ne serais pas long ! Tu es avec un mec ? poursuit-il
- Qu’est-ce que ça peut te faire ?
- Je comprends que tu sois énervé contre moi. Ce que j’ai fait n’est pas à faire. Mais comprend moi, faire ça avec un mec, le fils d’un de mes meilleurs potes, ça me dépasse ! Je suis trop macho pour assumer ce que j’ai fait, encore plus pour avouer que j’y ai pris du plaisir.
Je reste stupéfait par cette révélation. Se rend-il compte de ce qu’il me dit ?
- Pardonne-moi ! continue-t-il en baissant les yeux au sol
- Je t’imaginais trop fier de toi pour venir me présenter tes excuses, je me suis trompé. Mais ça ne pouvait pas attendre demain ?
- Non … me répond-il avant de s’approcher de moi pour poser ses lèvres sur les miennes.
Ce n’est qu’un bisou, mais venant de lui, il veut tout dire. Il me murmure : « J’ai envie de ta langue et de ton petit trou … maintenant ! ». J’aime son côté franc-jeu, il m’excite tellement !
Un choix cornélien s’offre à moi : décliner l’offre de Luc et me résoudre à finir la nuit avec Mathieu ou alors me débarrasser poliment de mon ex et prendre mon pied avec Luc ? Que faire ?
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