Une étonnante rencontre - 4
Récit érotique écrit par HugoSud [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-09-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Une étonnante rencontre - 4
(Afin de bien comprendre le contexte de l'histoire, je vous invite à lire les trois premiers épisodes de cette série.)
Je reprends doucement ma respiration. Allongé sur le ventre, je laisse Luc caresser mes fesses nues. Le préservatif usagé est sur le carrelage gris anthracite de son appartement. Ce n’est pas la première fois que je vais chez lui, mais je n’avais jamais visité. Je déambule nu dans son appartement, j’ouvre toutes les portes et découvre les différentes pièces. Je n’ai pas eu le temps de le faire lors de notre arrivée, car rempli de désir, Luc m’a immédiatement sauté dessus pour que je le prenne en bouche. Nous avons commencé dans l’entrée, continué dans le salon et fini sur son lit. J’aimerais bien rester dîner et finir la nuit avec lui mais il ne semble pas pour et m’annonce qu’il va me ramener, sans même me proposer une douche.
Il me ramène sur le parking du court de tennis où ma voiture se trouve. Avant de descendre, je lui demande s’il veut qu’on se voie le lendemain soir, mais il décline ma proposition, m’expliquant qu’il a d’autres projets. Je lui demande : « Tu vois une fille ? ». Il sourit et répond d’un ton énigmatique « peut-être ! » avant de m’accuser d’être jaloux sur le ton de la rigolade. Il me fait sur un bisou sur la joue pour me dire au revoir. Je sors de la voiture, un peu déçu par cette fin de soirée. Il est si beau, si gentil, mais si hétéro parfois !
Après avoir pris une douche et grignoté un peu, je me couche. Je prends mon Smartphone et envoie un petit message à Mathieu, mon ex. Il ne tarde pas à répondre. Nous échangeons pendant de nombreuses minutes, d’abord des banalités, puis les messages se font de plus en plus coquins, de plus en plus chauds. Des MMS sont échangés, l’excitation est à son comble … Il m’envoie un MMS hard de son sexe tapissé de son liquide blanchâtre avec pour objet : je n’ai pas pu attendre … Les derniers SMS échangés sont : « Demain soir, chez moi, 22 heures ? ». Quand je lis sa réponse : « J’y serais mon Hugo ! », je ne tarde pas à m’endormir.
Le lendemain soir, Clara m’appelle me proposant de sortir boire un verre. Je refuse, prétextant que je suis fatigué. J’ai juste très envie de coucher avec Mathieu. Vers vingt-deux heures, il arrive dans son petit t-shirt blanc et son bermuda vert kaki. Nous nous installons sur le canapé. Nous buvons une bière. En discutant, il me dit qu’il a pris un flacon d’huile de massage. Je lui souris. Il s’est rappelé que l’avant-veille, quand je lui ai demandé de me laisser, je lui ai promis de lui faire un massage pour me faire pardonner. Je lui propose de monter dans la chambre. Je vais me laver les mains pendant que je lui demande de se déshabiller. Quand j’arrive dans la chambre, je le vois en boxer bleu. Je lui demande :
- Pourquoi tu l’as gardé ?
- De quoi ?
- Ton caleçon !
- Je suis pudique ! me dit-il en plaisantant.
Je prends une serviette propre dans la salle de bain et je lui lance. Le temps de fermer les volets, laisser la fenêtre ouverte et tamiser la lumière, il a enlevé son petit boxer. Je me mets torse-nu et je me mets à califourchon sur l’arrière de ses cuisses. Je commence à toucher son dos, à le masser doucement pour sentir sa peau douce et bronzée. Je mets ensuite quelques gouttes d’huile de massage dans mes mains. Je commence à masser. Il ferme les yeux et pousse de petits soupirs de satisfaction. J’aime tâter ses muscles et je le complimente, lui qui fait tant d’efforts pour avoir un corps de sportif. Au bout d’un moment, je retire sa serviette. Je masse ses fesses blanches. « C’est fou, dès que tu me touche le cul, je bande ! ». Je lui promets que ce n’est pas fini. Je compte bien écarter de plus en plus ses fesses pour préparer son petit trou pour la sodomie quelques minutes plus tard. Je me caresse pour me rendre dur. Je me lève pour attraper un préservatif dans ma table de nuit, mais la boite est vide. Mathieu fort heureusement en a un. Il le cherche dans son jean. Je mate son dos huileux. Mathieu, son sexe levé au ciel, me tend une capote, mais le souci est que je n’arrive pas à la mettre, elle est trop petite. Malgré les arguments de mon amant, je refuse de le pénétrer sans préservatif. Nous ne sommes jamais à l’abri. Nous décidons de finir en soixante-neuf. Nous ne tardons pas à jouir dans la bouche de l’autre, ce que nous adorons faire tous les deux …
Nus dans la salle de bain pour une petite douche câline, Mathieu me fait part de sa déception : « J’aurais tellement aimé que tu me baises ! ». Je l’embrasse et je lui promets de faire le plein de préservatifs à ma taille pour la prochaine fois.
Le lendemain midi, je mange un bout à la crêperie près de mon lieu de travail avec Clara qui m’a rejoint. Je lui raconte que j’ai vu Mathieu la veille et que nous avons passé toute la nuit ensemble. Ma meilleure amie rigole et me demande où nous en sommes tous les deux ! Je lui réponds qu’il n’y a plus rien à espérer. Je n’ai plus le temps. Le soir-même, mon contrat saisonnier se termine, je pars douze jours en Espagne avec mes camarades de promo, je n’aurais pas trop l’occasion de le revoir, surtout que mes parents rentrent le lendemain. Quand ils sont là, il est difficile d’avoir des relations sexuelles sous leur toit.
Sur le chemin du retour, je m’arrête à la supérette du village pour remplir le réfrigérateur avant l’arrivée de mes parents. En sortant, je tombe nez à nez avec Luc. Quelle coïncidence ! Il me demande comment je vais, lui, ne semble pas dans son assiette. Après quelques minutes, je veux en savoir plus sur sa soirée de la veille et je l’interroge sur son rencart de la veille. Faisant l’innocent quelques secondes en niant les faits, son ton devient grave et beaucoup moins fort : « Ecoute, oui, j’étais avec une femme, mais il ne s’est rien passé … Elle me plaisait pourtant, mais ça s’est mal passé ! ». Je veux en savoir plus et notamment pourquoi il n’est pas allé plus loin. Il baisse encore d’un ton pour me dire : « Le soucis, c’est que je n’ai pas réussi à … tu vois ? La pauvre, elle s’est donnée du mal, mais je n’y suis pas arrivé ! ». Je souris et lui dis que ce n’est qu’une panne. Il poursuit : « Non, justement ! Quand elle est partie, je me suis mis devant un porno. Je crois que c’est le mec qui m’excitait. J’ai vraiment l’impression que je deviens pédé moi ! ». Je souris et lui dis que ce n’est pas grave si c’était le cas, sachant que je ne crois pas une seule seconde de ses conclusions. Il devient agressif : « Pour toi non, c’est pas grave si je deviens pédé, mais pour moi oui ! Je ne sais pas quoi faire moi ! ». Je lui propose de se calmer et tout simplement de passer le soir-même chez moi, je n’ai rien de prévu, et je pourrais donc l’écouter se confier à moi. Il me répond qu’il ne pense pas que ce soit une bonne solution. Il baisse les yeux et me dit qu’il doit y aller. Alors qu’il s’éloigne, je le regarde. Il me fait de la peine, ça ne doit pas être facile pour lui.
Après le dîner, Mathieu arrive. Si Clara savait qu’au lieu de gaspiller mon vendredi soir j’allais m’envoyer en l’air avec mon ex que je m’étais juré de ne plus revoir !!! Après ma conversation avec Luc, je n’ai pas résisté à lui envoyer un SMS pour le voir une toute dernière fois. Ce qui est bien avec mon ex, c’est qu’en plus de prendre du plaisir, on peut se parler de tout. Je lui confesse alors que j’ai une relation avec un quadragénaire ami de mon père. Mathieu me sourit. Je lui donne quelques détails, puis très vite, je me rends compte qu’il est excité par mon récit. Il me confit qu’il a toujours su que je fantasmais sur les hommes mûrs. Se caressant le paquet, il me fait comprendre qu’il a une érection. En posant sa main sur le mien, il veut rendre mon sexe encore flasque dur comme de la pierre. Il se met à genoux devant le canapé, m’enlève tous mes vêtements et commence à me sucer … J’adore quand il m’offre une gâterie torride, à la limite du hard. Je gémis sous ses coups de langue, surtout quand il s’arrête sur mes bourses. En quelques secondes, il arrive à me rendre dur comme un roc. Mon sexe étant à son apogée, je descends à mon tour du canapé pour lui offrir une fellation, aussi coquine que celle qu’il m’a offert. « Lèche-moi bien les couilles ! » me dit-il, alors je m’exécute. J’insiste également sur son gland, puis je pousse jusqu’à l’anus que je lèche et que je commence doucement à pénétrer à l’aide de mes doigts. Il gémit, pousse même de petits cris. Je compte bien rattraper mon erreur de la veille et m’occuper de ses fesses divines ! A quatre pattes sur le canapé, je débute la sodomie après avoir enfilé un préservatif, fraichement acheté. Le rythme est lent dans un premier temps, puis au fur et à mesure de l’accélération de mes coups de reins, ses cris se font de plus en plus sourds. La sonnette de la porte retentie. Nous sommes surpris et nous nous arrêtons net. Vu l’insistance de notre visiteur, Mathieu me dit d’aller ouvrir. J’enfile mon boxer et demande à mon amant de se couvrir avec le plaid, même si de la porte, on ne peut pas le voir. J’ouvre et tombe sur Luc.
- Tu m’avais proposé de passer …
- Tu veux parler ? Parce que là…
- Non, je veux juste qu’on fasse l’amour, j’en ai tellement envie ! me dit Luc en posant sa main sur ma hanche.
- Luc, je ne suis pas seul …
- Y a un mec ?
- Oui.
- Vire-le comme la dernière fois…
- Il entend tout le mec en question ! dit Mathieu, de sa voix venant du salon
- Je vais y aller alors … répond Luc tout gêné
- Désolé, lui dis-je avant de lui faire un bisou sur ses lèvres. Ça va aller quand même ?
- Oui … dit-il avant de baisser les yeux et de s’éloigner.
Quand je referme la porte, Mathieu est devant la fenêtre pour voir à quoi mon amant ressemble. Il le trouve pas mal et me fait culpabiliser de ne pas avoir accepté sa proposition : « Alors comme ça, quand tu m’as viré la dernière fois, c’était pour lui ? Et là, il vient et tu refuses son offre, c’est gentil, mais je vois bien quand tu en meurs d’envie. Tes parents rentrent demain, tu ne pourras plus le voir après ! ». Je reste silencieux. « Dépêche-toi ! Il va partir ! », insiste Mathieu. Je me précipite dehors en boxer pour le rattraper. Il se retourne, je l’embrasse à pleine bouche avant de lui dire : « On peut s’amuser à trois non ? ».
Je reprends doucement ma respiration. Allongé sur le ventre, je laisse Luc caresser mes fesses nues. Le préservatif usagé est sur le carrelage gris anthracite de son appartement. Ce n’est pas la première fois que je vais chez lui, mais je n’avais jamais visité. Je déambule nu dans son appartement, j’ouvre toutes les portes et découvre les différentes pièces. Je n’ai pas eu le temps de le faire lors de notre arrivée, car rempli de désir, Luc m’a immédiatement sauté dessus pour que je le prenne en bouche. Nous avons commencé dans l’entrée, continué dans le salon et fini sur son lit. J’aimerais bien rester dîner et finir la nuit avec lui mais il ne semble pas pour et m’annonce qu’il va me ramener, sans même me proposer une douche.
Il me ramène sur le parking du court de tennis où ma voiture se trouve. Avant de descendre, je lui demande s’il veut qu’on se voie le lendemain soir, mais il décline ma proposition, m’expliquant qu’il a d’autres projets. Je lui demande : « Tu vois une fille ? ». Il sourit et répond d’un ton énigmatique « peut-être ! » avant de m’accuser d’être jaloux sur le ton de la rigolade. Il me fait sur un bisou sur la joue pour me dire au revoir. Je sors de la voiture, un peu déçu par cette fin de soirée. Il est si beau, si gentil, mais si hétéro parfois !
Après avoir pris une douche et grignoté un peu, je me couche. Je prends mon Smartphone et envoie un petit message à Mathieu, mon ex. Il ne tarde pas à répondre. Nous échangeons pendant de nombreuses minutes, d’abord des banalités, puis les messages se font de plus en plus coquins, de plus en plus chauds. Des MMS sont échangés, l’excitation est à son comble … Il m’envoie un MMS hard de son sexe tapissé de son liquide blanchâtre avec pour objet : je n’ai pas pu attendre … Les derniers SMS échangés sont : « Demain soir, chez moi, 22 heures ? ». Quand je lis sa réponse : « J’y serais mon Hugo ! », je ne tarde pas à m’endormir.
Le lendemain soir, Clara m’appelle me proposant de sortir boire un verre. Je refuse, prétextant que je suis fatigué. J’ai juste très envie de coucher avec Mathieu. Vers vingt-deux heures, il arrive dans son petit t-shirt blanc et son bermuda vert kaki. Nous nous installons sur le canapé. Nous buvons une bière. En discutant, il me dit qu’il a pris un flacon d’huile de massage. Je lui souris. Il s’est rappelé que l’avant-veille, quand je lui ai demandé de me laisser, je lui ai promis de lui faire un massage pour me faire pardonner. Je lui propose de monter dans la chambre. Je vais me laver les mains pendant que je lui demande de se déshabiller. Quand j’arrive dans la chambre, je le vois en boxer bleu. Je lui demande :
- Pourquoi tu l’as gardé ?
- De quoi ?
- Ton caleçon !
- Je suis pudique ! me dit-il en plaisantant.
Je prends une serviette propre dans la salle de bain et je lui lance. Le temps de fermer les volets, laisser la fenêtre ouverte et tamiser la lumière, il a enlevé son petit boxer. Je me mets torse-nu et je me mets à califourchon sur l’arrière de ses cuisses. Je commence à toucher son dos, à le masser doucement pour sentir sa peau douce et bronzée. Je mets ensuite quelques gouttes d’huile de massage dans mes mains. Je commence à masser. Il ferme les yeux et pousse de petits soupirs de satisfaction. J’aime tâter ses muscles et je le complimente, lui qui fait tant d’efforts pour avoir un corps de sportif. Au bout d’un moment, je retire sa serviette. Je masse ses fesses blanches. « C’est fou, dès que tu me touche le cul, je bande ! ». Je lui promets que ce n’est pas fini. Je compte bien écarter de plus en plus ses fesses pour préparer son petit trou pour la sodomie quelques minutes plus tard. Je me caresse pour me rendre dur. Je me lève pour attraper un préservatif dans ma table de nuit, mais la boite est vide. Mathieu fort heureusement en a un. Il le cherche dans son jean. Je mate son dos huileux. Mathieu, son sexe levé au ciel, me tend une capote, mais le souci est que je n’arrive pas à la mettre, elle est trop petite. Malgré les arguments de mon amant, je refuse de le pénétrer sans préservatif. Nous ne sommes jamais à l’abri. Nous décidons de finir en soixante-neuf. Nous ne tardons pas à jouir dans la bouche de l’autre, ce que nous adorons faire tous les deux …
Nus dans la salle de bain pour une petite douche câline, Mathieu me fait part de sa déception : « J’aurais tellement aimé que tu me baises ! ». Je l’embrasse et je lui promets de faire le plein de préservatifs à ma taille pour la prochaine fois.
Le lendemain midi, je mange un bout à la crêperie près de mon lieu de travail avec Clara qui m’a rejoint. Je lui raconte que j’ai vu Mathieu la veille et que nous avons passé toute la nuit ensemble. Ma meilleure amie rigole et me demande où nous en sommes tous les deux ! Je lui réponds qu’il n’y a plus rien à espérer. Je n’ai plus le temps. Le soir-même, mon contrat saisonnier se termine, je pars douze jours en Espagne avec mes camarades de promo, je n’aurais pas trop l’occasion de le revoir, surtout que mes parents rentrent le lendemain. Quand ils sont là, il est difficile d’avoir des relations sexuelles sous leur toit.
Sur le chemin du retour, je m’arrête à la supérette du village pour remplir le réfrigérateur avant l’arrivée de mes parents. En sortant, je tombe nez à nez avec Luc. Quelle coïncidence ! Il me demande comment je vais, lui, ne semble pas dans son assiette. Après quelques minutes, je veux en savoir plus sur sa soirée de la veille et je l’interroge sur son rencart de la veille. Faisant l’innocent quelques secondes en niant les faits, son ton devient grave et beaucoup moins fort : « Ecoute, oui, j’étais avec une femme, mais il ne s’est rien passé … Elle me plaisait pourtant, mais ça s’est mal passé ! ». Je veux en savoir plus et notamment pourquoi il n’est pas allé plus loin. Il baisse encore d’un ton pour me dire : « Le soucis, c’est que je n’ai pas réussi à … tu vois ? La pauvre, elle s’est donnée du mal, mais je n’y suis pas arrivé ! ». Je souris et lui dis que ce n’est qu’une panne. Il poursuit : « Non, justement ! Quand elle est partie, je me suis mis devant un porno. Je crois que c’est le mec qui m’excitait. J’ai vraiment l’impression que je deviens pédé moi ! ». Je souris et lui dis que ce n’est pas grave si c’était le cas, sachant que je ne crois pas une seule seconde de ses conclusions. Il devient agressif : « Pour toi non, c’est pas grave si je deviens pédé, mais pour moi oui ! Je ne sais pas quoi faire moi ! ». Je lui propose de se calmer et tout simplement de passer le soir-même chez moi, je n’ai rien de prévu, et je pourrais donc l’écouter se confier à moi. Il me répond qu’il ne pense pas que ce soit une bonne solution. Il baisse les yeux et me dit qu’il doit y aller. Alors qu’il s’éloigne, je le regarde. Il me fait de la peine, ça ne doit pas être facile pour lui.
Après le dîner, Mathieu arrive. Si Clara savait qu’au lieu de gaspiller mon vendredi soir j’allais m’envoyer en l’air avec mon ex que je m’étais juré de ne plus revoir !!! Après ma conversation avec Luc, je n’ai pas résisté à lui envoyer un SMS pour le voir une toute dernière fois. Ce qui est bien avec mon ex, c’est qu’en plus de prendre du plaisir, on peut se parler de tout. Je lui confesse alors que j’ai une relation avec un quadragénaire ami de mon père. Mathieu me sourit. Je lui donne quelques détails, puis très vite, je me rends compte qu’il est excité par mon récit. Il me confit qu’il a toujours su que je fantasmais sur les hommes mûrs. Se caressant le paquet, il me fait comprendre qu’il a une érection. En posant sa main sur le mien, il veut rendre mon sexe encore flasque dur comme de la pierre. Il se met à genoux devant le canapé, m’enlève tous mes vêtements et commence à me sucer … J’adore quand il m’offre une gâterie torride, à la limite du hard. Je gémis sous ses coups de langue, surtout quand il s’arrête sur mes bourses. En quelques secondes, il arrive à me rendre dur comme un roc. Mon sexe étant à son apogée, je descends à mon tour du canapé pour lui offrir une fellation, aussi coquine que celle qu’il m’a offert. « Lèche-moi bien les couilles ! » me dit-il, alors je m’exécute. J’insiste également sur son gland, puis je pousse jusqu’à l’anus que je lèche et que je commence doucement à pénétrer à l’aide de mes doigts. Il gémit, pousse même de petits cris. Je compte bien rattraper mon erreur de la veille et m’occuper de ses fesses divines ! A quatre pattes sur le canapé, je débute la sodomie après avoir enfilé un préservatif, fraichement acheté. Le rythme est lent dans un premier temps, puis au fur et à mesure de l’accélération de mes coups de reins, ses cris se font de plus en plus sourds. La sonnette de la porte retentie. Nous sommes surpris et nous nous arrêtons net. Vu l’insistance de notre visiteur, Mathieu me dit d’aller ouvrir. J’enfile mon boxer et demande à mon amant de se couvrir avec le plaid, même si de la porte, on ne peut pas le voir. J’ouvre et tombe sur Luc.
- Tu m’avais proposé de passer …
- Tu veux parler ? Parce que là…
- Non, je veux juste qu’on fasse l’amour, j’en ai tellement envie ! me dit Luc en posant sa main sur ma hanche.
- Luc, je ne suis pas seul …
- Y a un mec ?
- Oui.
- Vire-le comme la dernière fois…
- Il entend tout le mec en question ! dit Mathieu, de sa voix venant du salon
- Je vais y aller alors … répond Luc tout gêné
- Désolé, lui dis-je avant de lui faire un bisou sur ses lèvres. Ça va aller quand même ?
- Oui … dit-il avant de baisser les yeux et de s’éloigner.
Quand je referme la porte, Mathieu est devant la fenêtre pour voir à quoi mon amant ressemble. Il le trouve pas mal et me fait culpabiliser de ne pas avoir accepté sa proposition : « Alors comme ça, quand tu m’as viré la dernière fois, c’était pour lui ? Et là, il vient et tu refuses son offre, c’est gentil, mais je vois bien quand tu en meurs d’envie. Tes parents rentrent demain, tu ne pourras plus le voir après ! ». Je reste silencieux. « Dépêche-toi ! Il va partir ! », insiste Mathieu. Je me précipite dehors en boxer pour le rattraper. Il se retourne, je l’embrasse à pleine bouche avant de lui dire : « On peut s’amuser à trois non ? ».
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