Une étudiante bien maladroite - Partie 1
Récit érotique écrit par AmantDesSens [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-11-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une étudiante bien maladroite - Partie 1
Lundi 6 septembre… Premier jour, premier cours… Bâtiment E, 1er étage, salle 103… Pierre est anxieux… Ce n’est pas la première fois qu’il vient à l’Université, mais là, c’est le jour J… Cartable à bout de bras, il parcourt les allées sans prêter attention aux personnes qu’il croise. D’après les écriteaux, le bâtiment est à droite. Pierre est un peu déçu. Il aurait aimé qu’il soit à la hauteur de son appréhension. Deux étages derrière un crépi grisonnant et défraîchis. Les huisseries semblent d’époque. La double porte est ouverte pour accueillir la foule des étudiants en ce jour de rentrée. Pierre se faufile dans l’escalier, presque emportée par le flot des retardataires, des pressés, des enseignants… Derniers pas. Pierre examine chaque porte pour trouver celle de sa salle… Enfin, la voici. La porte est fermée… Une dernière vague d’inquiétude monte en lui alors qu’il pose la main sur la poignée. Une grande respiration et Pierre entre :- Bonjour à tous… Les retardataires, merci de bien vouloir vous asseoir.
Le cours d’anglais que Pierre assure va pouvoir commencer. Ses traits trahissent ses 28 ans… A l'Université, le niveau est plus important et les besoins plus spécifiques. Pierre le sait bien, Perfectionniste et amoureux de son métier comme de la langue de Shakespeare, il a à cœur de mener avec passion cette nouvelle année.
L'amphithéâtre est à moitié plein. Il faut dire qu’il est disproportionné par rapport au nombre d’élèves de son cours. Et puis, un amphithéâtre pour un cours d’anglais, le choix est un peu atypique. Mais Pierre devra faire avec cette année.
Un premier regard sur ses élèves : la mixité semble équitable à première vue. Au premier rang, deux étudiants aux allures de “premier de la classe”. Pierre se rappelle de lui il y a quelques années. Certes, il n’avait pas leur image, mais il aimait déjà beaucoup l’anglais.
Sur le bureau, deux grands cahiers : déposés par le personnel administratif, il y retrouve la liste de ses élèves qu’il n’a pas pu récupérer la semaine dernière. Afin de se familiariser avec, il décide d’improviser un appel. Les prénoms se succèdent. Certains semblent tirer leur propriétaire d’une léthargie propre aux lundis matins. Au bout du cinquième prénom orphelin, Pierre commence à être agacée. Il espère au fond de lui que cela n’est pas représentatif de l’état d’esprit de cette promotion.
- Eva ….
Pas de réponse- Eva ! Insiste PierreEn guise de réponse, il obtient un bruit sourd accompagné de ce qui semble être un juron.
- Heu, là, présent, MonsieurAu fond à droite, une main se lève, suivie d’une tête aux cheveux châtains. La douleur du choc avec le pupitre se lit encore sur le visage.
- Excusez-moi, Monsieur, c’est … mon crayon… il a glissé.
La jeune femme tente maladroitement de se ressaisir. Ses joues se colorent d’un rouge de gêne. Elle regarde, apeurée, autour d’elle. Mais ses camarades ne s’en inquiète pas. Pierre est amusé par la situation qui pique son humour :- Try in english, Miss : I’m sorry, Sir. My pencil felt on the floor and I tried to pick it up while you were calling my name. Right ?
La jeune femme est prise de court et tente de bredouiller quelques mots-Heu, Yes, Monsieur, heu, Sir… My pencil…Pierre ne relève pas et n’écoute même pas la suite de sa réponse. Il se contente de lui sourire avant de passer au nom suivant.
Le cours commence enfin. Pierre se présente définitivement. Il résume les grandes lignes de programmes de cette année, les objectifs, sa méthode. Il est plus adepte d’un enseignement dynamique, en dehors des cours magistraux, trop éloignés de la réalité et d’un usage pratique de la langue.
- Je ne suis pas là pour que vous soyez incollable sur l’œuvre de William Shakespeare …. Shakespeare, vous connaissez ? Nous, français, avons eu Molière; les anglais, Shakespeare… Molière, ça vous dit quelque chose, j’espère ?
L’auditoire s’amuse de son intervention. Mais déjà cette première heure arrive à son terme. La sonnerie retentit… Loin de marquer la fin d’un match, elle annonce le début d’une nouvelle partie, avec un autre enseignant, dans une autre salle.
Bientôt deux mois. Les appréhensions des premiers jours sont passées. Ce n’est pas pour autant la routine. Pierre met un point d’honneur à préparer consciencieusement ses cours. Il s’inquiète toujours de savoir si les notions, les explications, les exemples sont bien compris. Comme il aime à le dire “Ce n’est pas au moment de monter le toit qu’il faut s’inquiéter des fondations !”. Alors, même si certains de ses élèves y voient un piège, il aime bien faire des “sondages” parmi eux. Ils demandent des exemples similaires à ceux qu’il a donnés, une mise en application d’une règle, la traduction en français ou en anglais d’une phrase clef… Son exercice préféré consiste à mettre en application des leçons vues plusieurs semaines auparavant. Cela soulève toujours quelques soupirs dans le fond accompagnés de mimiques d’inquiétudes ou de lassitudes… Hors de question de s’endormir… Après tout, c’est bien un cours de langue vivante !
Mais ce jeu a aussi un revers : par manque de temps, Pierre ne peut malheureusement pas faire participer tout le monde. Tous ne manifestent pas forcément un enthousiasme immense à répondre ou à chercher la réponse… Il abandonne régulièrement ceux du premier rang qui s’empressent de lever la main à la moindre question… Le deuxième et troisième rang est partagé : si on les questionne, ils arrivent facilement à avoir la réponse, mais ils ne viendront pas se plaindre si on les oublie. Le quatrième est plus discret. Il n’y a d’ailleurs souvent pas grand monde. Pourtant, Pierre essaye toujours de discerner qui y a ses quartiers. Car si pour les autres rangs, il n’est pas rare que les élèves changent de place, le dernier fait autorité en terme de constance.
Sans s’en rendre compte, ses interrogatoires sont toujours précédés du même rituel. Dos à l’auditoire, il s’interrompt dans son discours. Il pose le feutre dans la goulotte du tableau et après une courte pose de quelques secondes, il se retourne tout en commençant à énoncer sa question… Il ne change pourtant pas son habitude, même s’il sait que l’effet perd en surprise. Mais il n’est pas là pour les piéger. Cependant, dès les premiers signes, spontanément, le visage des étudiants témoigne de leur capacité à répondre. Certains peuvent feindre, mais l’expérience de Pierre n’est pas facilement à tromper.
Ce jour-là, Pierre est décidé à ne laisser personne sur le bas-côté.
- Vous n’avez pas oublié que la semaine prochaine vous avez un contrôle, n’est-ce pas ? lança-t-il ?
Comme à son accoutumé, il posa le feutre sur le rebord du tableau et se retourna- Au fait, les “question tag”, vous vous rappelez leur usage ?
Pierre pose tout d’abord le regard sur le deuxième et troisième rang. Il ignore totalement les mains qui se sont spontanément levées devant lui. Il soupçonne même certains d’avoir anticipé sa question.
Les attitudes sont partagées : il y a ceux qui continuent à noter les dernières phrases; d’autres inspectent le tableau à la recherche d’une hypothétique réponse ou font mine d’analyser en profondeur les quelques phrases qui s’y trouvent. Enfin, il y a ceux qui plongent la tête dans leur sac pour chercher encore une fois ce fameux stylo… Tiens, en parlant de stylo… Au dernier rang, la “jeune femme au stylo”.... Pierre parcourt le rang du regard à sa recherche. Finalement, tout au bout, la jeune femme l’observe derrière de lunettes à monture sombre et épaisse. Force est de constater que le peu d’intérêt qu’elle semble porter à son apparence la rend quasi invisible, fondue dans la masse.
- Vous, heu… Pierre bredouille tout en montrant la jeune femme du doigt- Eva, Monsieur...
- Oui, Eva, que pouvez-vous me dire sur les “question tag” ?
- Et bien, Monsieur, quand on pose une question en anglais, on utilise fréquemment à la fin de sa question un question tag pour obtenir l'approbation de son interlocuteur.
- Oui, c’est bien ça…Eva regarda presque surprise ses camarades et se mit à rougir. Pierre est étonné. Etonné déjà de l’a priori dont il avait fait preuve lorsqu’il avait posé les yeux sur elle la première fois : une étourdie, un peu maladroite, certainement là un peu par hasard sans vouloir dire par erreur. Elle était alors représentative d’une majorité de ses élèves qui avaient choisi une filière un peu par défaut, sans réelle motivation, se laissant bercer par la vague. Ensuite, la réponse était spontanée, claire, efficace.
- Intéressant, intéressant… se surprit à penser PierreLa sonnerie retentit. Scrupuleusement et avec un automatisme certains, les élèves enfournèrent dans leur sac, cartable et autre attaché-case, leurs notes et livres avant d’évacuer les rangs à la queue leu leu.
- Au fait, lança Pierre, étourdis, Lundi prochain, autocontrôle sur les chapitres 21 à 25… Attention la note comptera double pour votre évaluation mensuelle.
La troupe s’arrêta un instant dans son élan, pestant à demi-mot, et reprit son chemin. Pierre, machinalement, suivit Eva des yeux alors qu’elle fermait quasiment la marche. Il prit conscience de son regard insistant lorsque la jeune femme se retourna et croisa le sien. D’un hochement de tête à peine perceptible, elle sembla le saluer. Pierre se ressaisit et fit mine de se replonger dans ses notes sans lui retourner la pareille.
Le cours d’anglais que Pierre assure va pouvoir commencer. Ses traits trahissent ses 28 ans… A l'Université, le niveau est plus important et les besoins plus spécifiques. Pierre le sait bien, Perfectionniste et amoureux de son métier comme de la langue de Shakespeare, il a à cœur de mener avec passion cette nouvelle année.
L'amphithéâtre est à moitié plein. Il faut dire qu’il est disproportionné par rapport au nombre d’élèves de son cours. Et puis, un amphithéâtre pour un cours d’anglais, le choix est un peu atypique. Mais Pierre devra faire avec cette année.
Un premier regard sur ses élèves : la mixité semble équitable à première vue. Au premier rang, deux étudiants aux allures de “premier de la classe”. Pierre se rappelle de lui il y a quelques années. Certes, il n’avait pas leur image, mais il aimait déjà beaucoup l’anglais.
Sur le bureau, deux grands cahiers : déposés par le personnel administratif, il y retrouve la liste de ses élèves qu’il n’a pas pu récupérer la semaine dernière. Afin de se familiariser avec, il décide d’improviser un appel. Les prénoms se succèdent. Certains semblent tirer leur propriétaire d’une léthargie propre aux lundis matins. Au bout du cinquième prénom orphelin, Pierre commence à être agacée. Il espère au fond de lui que cela n’est pas représentatif de l’état d’esprit de cette promotion.
- Eva ….
Pas de réponse- Eva ! Insiste PierreEn guise de réponse, il obtient un bruit sourd accompagné de ce qui semble être un juron.
- Heu, là, présent, MonsieurAu fond à droite, une main se lève, suivie d’une tête aux cheveux châtains. La douleur du choc avec le pupitre se lit encore sur le visage.
- Excusez-moi, Monsieur, c’est … mon crayon… il a glissé.
La jeune femme tente maladroitement de se ressaisir. Ses joues se colorent d’un rouge de gêne. Elle regarde, apeurée, autour d’elle. Mais ses camarades ne s’en inquiète pas. Pierre est amusé par la situation qui pique son humour :- Try in english, Miss : I’m sorry, Sir. My pencil felt on the floor and I tried to pick it up while you were calling my name. Right ?
La jeune femme est prise de court et tente de bredouiller quelques mots-Heu, Yes, Monsieur, heu, Sir… My pencil…Pierre ne relève pas et n’écoute même pas la suite de sa réponse. Il se contente de lui sourire avant de passer au nom suivant.
Le cours commence enfin. Pierre se présente définitivement. Il résume les grandes lignes de programmes de cette année, les objectifs, sa méthode. Il est plus adepte d’un enseignement dynamique, en dehors des cours magistraux, trop éloignés de la réalité et d’un usage pratique de la langue.
- Je ne suis pas là pour que vous soyez incollable sur l’œuvre de William Shakespeare …. Shakespeare, vous connaissez ? Nous, français, avons eu Molière; les anglais, Shakespeare… Molière, ça vous dit quelque chose, j’espère ?
L’auditoire s’amuse de son intervention. Mais déjà cette première heure arrive à son terme. La sonnerie retentit… Loin de marquer la fin d’un match, elle annonce le début d’une nouvelle partie, avec un autre enseignant, dans une autre salle.
Bientôt deux mois. Les appréhensions des premiers jours sont passées. Ce n’est pas pour autant la routine. Pierre met un point d’honneur à préparer consciencieusement ses cours. Il s’inquiète toujours de savoir si les notions, les explications, les exemples sont bien compris. Comme il aime à le dire “Ce n’est pas au moment de monter le toit qu’il faut s’inquiéter des fondations !”. Alors, même si certains de ses élèves y voient un piège, il aime bien faire des “sondages” parmi eux. Ils demandent des exemples similaires à ceux qu’il a donnés, une mise en application d’une règle, la traduction en français ou en anglais d’une phrase clef… Son exercice préféré consiste à mettre en application des leçons vues plusieurs semaines auparavant. Cela soulève toujours quelques soupirs dans le fond accompagnés de mimiques d’inquiétudes ou de lassitudes… Hors de question de s’endormir… Après tout, c’est bien un cours de langue vivante !
Mais ce jeu a aussi un revers : par manque de temps, Pierre ne peut malheureusement pas faire participer tout le monde. Tous ne manifestent pas forcément un enthousiasme immense à répondre ou à chercher la réponse… Il abandonne régulièrement ceux du premier rang qui s’empressent de lever la main à la moindre question… Le deuxième et troisième rang est partagé : si on les questionne, ils arrivent facilement à avoir la réponse, mais ils ne viendront pas se plaindre si on les oublie. Le quatrième est plus discret. Il n’y a d’ailleurs souvent pas grand monde. Pourtant, Pierre essaye toujours de discerner qui y a ses quartiers. Car si pour les autres rangs, il n’est pas rare que les élèves changent de place, le dernier fait autorité en terme de constance.
Sans s’en rendre compte, ses interrogatoires sont toujours précédés du même rituel. Dos à l’auditoire, il s’interrompt dans son discours. Il pose le feutre dans la goulotte du tableau et après une courte pose de quelques secondes, il se retourne tout en commençant à énoncer sa question… Il ne change pourtant pas son habitude, même s’il sait que l’effet perd en surprise. Mais il n’est pas là pour les piéger. Cependant, dès les premiers signes, spontanément, le visage des étudiants témoigne de leur capacité à répondre. Certains peuvent feindre, mais l’expérience de Pierre n’est pas facilement à tromper.
Ce jour-là, Pierre est décidé à ne laisser personne sur le bas-côté.
- Vous n’avez pas oublié que la semaine prochaine vous avez un contrôle, n’est-ce pas ? lança-t-il ?
Comme à son accoutumé, il posa le feutre sur le rebord du tableau et se retourna- Au fait, les “question tag”, vous vous rappelez leur usage ?
Pierre pose tout d’abord le regard sur le deuxième et troisième rang. Il ignore totalement les mains qui se sont spontanément levées devant lui. Il soupçonne même certains d’avoir anticipé sa question.
Les attitudes sont partagées : il y a ceux qui continuent à noter les dernières phrases; d’autres inspectent le tableau à la recherche d’une hypothétique réponse ou font mine d’analyser en profondeur les quelques phrases qui s’y trouvent. Enfin, il y a ceux qui plongent la tête dans leur sac pour chercher encore une fois ce fameux stylo… Tiens, en parlant de stylo… Au dernier rang, la “jeune femme au stylo”.... Pierre parcourt le rang du regard à sa recherche. Finalement, tout au bout, la jeune femme l’observe derrière de lunettes à monture sombre et épaisse. Force est de constater que le peu d’intérêt qu’elle semble porter à son apparence la rend quasi invisible, fondue dans la masse.
- Vous, heu… Pierre bredouille tout en montrant la jeune femme du doigt- Eva, Monsieur...
- Oui, Eva, que pouvez-vous me dire sur les “question tag” ?
- Et bien, Monsieur, quand on pose une question en anglais, on utilise fréquemment à la fin de sa question un question tag pour obtenir l'approbation de son interlocuteur.
- Oui, c’est bien ça…Eva regarda presque surprise ses camarades et se mit à rougir. Pierre est étonné. Etonné déjà de l’a priori dont il avait fait preuve lorsqu’il avait posé les yeux sur elle la première fois : une étourdie, un peu maladroite, certainement là un peu par hasard sans vouloir dire par erreur. Elle était alors représentative d’une majorité de ses élèves qui avaient choisi une filière un peu par défaut, sans réelle motivation, se laissant bercer par la vague. Ensuite, la réponse était spontanée, claire, efficace.
- Intéressant, intéressant… se surprit à penser PierreLa sonnerie retentit. Scrupuleusement et avec un automatisme certains, les élèves enfournèrent dans leur sac, cartable et autre attaché-case, leurs notes et livres avant d’évacuer les rangs à la queue leu leu.
- Au fait, lança Pierre, étourdis, Lundi prochain, autocontrôle sur les chapitres 21 à 25… Attention la note comptera double pour votre évaluation mensuelle.
La troupe s’arrêta un instant dans son élan, pestant à demi-mot, et reprit son chemin. Pierre, machinalement, suivit Eva des yeux alors qu’elle fermait quasiment la marche. Il prit conscience de son regard insistant lorsque la jeune femme se retourna et croisa le sien. D’un hochement de tête à peine perceptible, elle sembla le saluer. Pierre se ressaisit et fit mine de se replonger dans ses notes sans lui retourner la pareille.
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