Une expo à l'etranger
Récit érotique écrit par Cplcandaudu60 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-11-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une expo à l'etranger
Mon travail m’amenait parfois à me déplacer en France ou à l’étranger pour des salons professionnel.
Cette fois-ci s’était en Allemagne.
Je devais y aller plusieurs jours afin de rencontrer des clients et voir des nouveautés.
J’avais demandé à ma femme si elle voulait m’accompagner et elle m’avait répondu que ça lui semblait difficile de pouvoir prendre des jours en cette période de fin avril.
M’y étant pris assez tôt j’avais réussi à trouver une chambre près de l’exposition, c’était la seule qu’il restait dans l’hôtel, elle était bien sûr assez chère mais c’était à cinq minutes à pied.
J’avais vu les photos sur le site de l’hôtel, il y avait deux grands lits de cent soixante séparés par un rideau.
Je n’avais pas besoin de ces deux lits mais j’ai réservé la chambre quand même.
Une semaine avant cette expo, je me suis rendu chez un client dont le chef d’atelier devait quitter la société à la fin du mois pour déménager dans les Landes.
Bruno, ce chef d’atelier était un homme à femme.
Il avait sauté la moitié des secrétaires de la boite pour laquelle il travaillait ainsi que la femme du patron et avant que ce dernier ne l’apprenne, il avait préféré démissionner et quitter la région.
Bruno ne se vantait pas de ses conquêtes mais n’était pas assez discret et quelques-uns de ses collègues s’en sont aperçu et ont commencés à saper son autorité jusqu’à lui dire qu’ils allaient tout raconter au patron.
Bruno avait donc jeté l’éponge et trouvé un prétexte quelconque pour quitter la société.
Ayant des relations courtoises avec lui, (il ne m’a pas raconté la vrai raison pour laquelle il partait et moi je ne l’ai apprise que plusieurs mois après son départ) alors que nous discutions de tout et de rien, en lui précisant que je ne serai pas là de tel date à tel date car j’allais à l’expo, il m’a dit qu’il y serait bien allé mais qu’il s’y était pris un peu trop tard pour trouver une chambre d’hôtel.
Alors comme j’avais une très grande chambre avec deux lits, je lui ai proposé de partager cette chambre et au moins nous pourrions faire la route ensemble.
Il a accepté et nous avons pris rendez-vous pour partir le mardi suivant.
Entre-temps, Nathalie avait réussi à prendre des jours pour m’accompagner.
Mince, moi qui avais proposé à Bruno de partager la chambre, la situation se compliquait.
Ma femme m’a dit :
« Tant pis, tu ne vas pas lui dire maintenant que tu ne veux plus de lui dans ta chambre, il sera déçu je pense, et puis on fera l’amour quand il ne sera pas là. »
J’ai donc appelé Bruno pour lui expliquer. Au début il m’a dit qu’il ne viendrait plus car il ne voulait pas nous déranger dans notre intimité, puis, à force d’insister il a quand même accepté d’y aller.
Après un long voyage en voiture, nous sommes arrivés en fin d’après-midi à l’hôtel.
Nous avons descendu nos bagages et je suis allé jusqu’au parking de l’exposition pour y déposer la voiture, afin qu’elle y reste jusqu’à notre départ.
La chambre était très grande, en entrant il y avait un premier lit en face de la porte et à droite de cette porte un toilette avec un lavabo.
Après les toilettes un grand rideau qui allait jusqu’au fond et qui servait à cacher l’autre partie de la chambre ou se trouvait le deuxième lit et la salle de bain.
Nous avons pris la partie avec le toilette et Bruno celle avec la salle de bain.
Douche, restau et dodo. Demain j’avais un premier rendez-vous avant l’ouverture au public, à huit heures avec un fournisseur.
Nathalie devait me retrouver vers neuf heures et Bruno y allait pour onze heures car il ne pouvait récupérer le badge invité, qu’il avait réussi à chiner à un de ses fournisseurs, avant.
Avant que je parte, ma femme m’a demandé en chuchotant :
« Je vais devoir allé dans la salle de bain, il n’est pas à poil j’espère ? »
« Non ne t’inquiète pas, je l’ai aperçu hier soir en caleçon avant de rentrer dans le lit quand je suis sorti de la salle de bain. » « Et là il est bien couvert »
Rassurée, elle m’a dit, avant que je ne referme la porte de la chambre pour partir :
« Bisous, à tout à l’heure »
Peu de temps après, elle s’est levée et habillée pour descendre déjeuner.
Quand elle est revenue dans la chambre, elle a écouté :
Pas de bruit, juste un bruit de respiration comme celui de quelqu’un qui dort.
Elle pouvait donc traverser la chambre de Bruno pour aller à la douche.
Prenant les affaires qu’elle allait mettre aujourd’hui, elle a ouvert doucement le rideau pour se diriger vers la salle de bain.
Les doubles rideaux au fenêtre n’étaient pas très occultant et il n’y avait pas de volets.
Bruno était couché sur le côté, tourné vers la salle de bain et semblait dormir.
Il était complètement nu et découvert.
Nathalie, un peu gênée de le trouver ainsi, l’a quand même regardé.
« Beau corps bien musclé » a-t-elle pensée.
Alors très vite elle est entrée dans la salle de bain.
« J’espère qu’il dort vraiment » s’est-elle dit.
Lavée, habillée, pomponnée, elle est sortie de la salle de bain.
Cette fois-ci, semblant toujours dormir, il était allongé sur le dos le sexe bien raide et tendu vers le plafond.
« Whaaaa, non seulement il a un beau corps mais en plus une très belle queue »
Elle l’a admiré quelques secondes puis est sortie de la chambre pour venir me retrouver au salon, avec le doute qu’il n’était pas complètement endormi.
La journée s’est écoulée très vite entre les différents rendez-vous, les cocktails et les restaurants, sans oublier une petite sieste crapuleuse dans l’après-midi.
Nous avons retrouvé Bruno le soir dans un bar et après quelques verres nous sommes rentrés à l’hôtel.
Le lendemain matin, je suis parti le premier et ne devait revenir qu’a treize heures pour passer le reste de la journée avec ma femme.
Bruno s’est levé vers huit heures trente et quand il est descendu pour prendre le petit déjeuner, Nathalie était allongée sur le ventre, tournant le dos à la porte, une jambe remontée sur le côté et complètement découverte.
Il n’a certainement pas pu faire autrement que de regarder la position indécente de ma femme qui lui tendait bien les fesses.
Il est sorti et en fermant la porte, elle s’est réveillée en s’apercevant qu’elle lui avait offert une vue qu’il a dû apprécier.
Elle est restée à flâner un peu au lit et quand il est revenu dans la chambre, elle a fait semblant de dormir.
Allongée sur le dos, après avoir un peu remonté le drap, ne laissant apparaitre que son ventre et ses deux gros seins lourd à la vue de Bruno.
Elle aimait exciter les hommes et ayant un gros doute sur le fait que la veille il ne dormait pas quand elle est passé dans sa chambre, elle s’est dit qu’elle allait lui rendre la pareille.
De nouveau il est resté quelques secondes à l’admirer puis est allé à la douche.
Dix minutes plus tard, il sortait de sa chambre fin prêt.
Le drap couvrant ma femme avait bizarrement glissé vers le bas.
Toujours allongée sur le dos, elle offrait maintenant une vue complétement dénudée de son anatomie.
Les yeux fermés, faisant toujours semblant de dormir, elle l’a sentie se rapprocher presque à la toucher.
Il est resté à la détailler une bonne vingtaine de seconde puis est sortie de la chambre, prenant soin de ne pas faire trop de bruit en fermant la porte.
Excitée de cette situation, elle s’est demandé s’il avait eu un début d’érection à la regarder.
Sa main a glissé vers son pubis et doucement elle a commencé à se caresser.
D’abord doucement, puis à force d’excitation, elle commençait à mouiller, ses caresses sont devenues plus énergique et plus précise.
Elle enfonçait ses doigts dans son vagin, caressant au passage son clito, jusqu’à ce qu’environ trente minutes plus tard, elle atteigne l’orgasme.
Elle s’est ensuite levée pour descendre prendre un petit déjeuner, puis est remonté pour se doucher, se maquiller et s’apprêter.
Bruno est revenu à l’hôtel plus tôt que prévu.
Il avait vue tout ce qui l’intéressait au salon et s’était dit qu’il irait flâner en ville.
Le temps était au beau fixe et il faisait assez chaud, il est donc repassé à l’hôtel pour se changer.
Short, tee-shirt et basket était au programme de sa tenue vestimentaire pour la balade.
Personne dans la chambre, il s’est donc déshabillé pour se changer.
Quand Nathalie, qui venait de finir de se maquiller, est sortie, elle n’était pas encore habillée.
Elle s’est donc retrouvée presque complètement nue, avec juste un string, devant Bruno qui, lui, était en caleçon et assis sur le lit.
Surprise, elle a essayé de se cacher avec ses mains.
Bruno, beaucoup plus à l’aise, lui a dit :
« Tu sais ce matin tu m’en as montré beaucoup plus »
Elle s’est sentie rougir et lui a répondu en bafouillant un peu :
« Mais, heuuu…, je dormais…, enfin je… »
Avant qu’elle ne finisse de répondre, il s’est levé et s’est dirigé vers elle.
« Tu es très belle et désirable, depuis hier nous jouons à un jeu qu’il va falloir clarifier je pense »
Il a alors plaqué ses mains sur la poitrine de Nathalie et a approcher sa bouche de la sienne pour l’embrasser.
Elle n’a opposé aucune résistance et leurs langues se sont entremêlées dans un baiser fougueux.
Les mains de Bruno se sont misent à parcourir tout le corps de ma femme, tandis qu’elle a dirigé les siennes vers son sexe tendu pour le libérer du caleçon et le branler.
Pendant une dizaine de minutes ils sont restés ainsi à se découvrir et s’embrasser.
Elle s’est ensuite accroupie devant lui, a fait descendre complètement le caleçon et engloutie sa queue bien raide entre ses lèvres.
Une main sur les couilles, l’autre sur le membre et la bouche qui avait emprisonné le gland pour l’aspirer et l’enrouler de sa langue.
Un fellation digne de ce nom dont elle avait le secret.
Pendant cinq bonne minutes, il s’est laissé envoûté par cette bouche si accueillante, puis sentant certainement qu’il n’allait pas pouvoir résister bien longtemps à ce supplice, il l’a relevé, l’a allongé sur le lit, lui a ôté sont string et s’est allongé sur elle.
Il se sont de nouveau embrassé fougueusement un long moment, puis de sa bouche il est descendu vers son cou, puis vers ses seins, à chaque fois il s’attardait à la lécher et l’embrasser longuement, jouant avec les lobes d’oreille ou les tétons.
Puis il a continué la découverte de son corps vers le ventre puis le pubis.
Elle frissonnait de plaisir à chaque bisous qu’il lui faisait.
Lorsqu’il est enfin arrivé à son sexe, il a d’abord commencé à lécher les lèvres humides d’excitation.
Sa langue s’est introduite petit à petit à l’intérieur qui était beaucoup plus humide.
Il lui titillait le clito puis enfonçait sa langue bien loin entre ses lèvres, il la léchait, l’aspirait, la mordillait.
Ses doigts sont venus se mêler à la fête pour aller caresser l’intérieur de son vagin.
Une langue experte, des doigts magique il n’en fallait pas plus pour qu’elle ait un orgasme très rapide.
Alors qu’elle jouissait dans sa bouche, il continuait a lui dévorer le sexe, provoquant chez elle une nouvelle jouissance quelques minutes plus tard.
Il s’est relevé pour prendre un préservatif dans sa valise qu’il a enfilé sur son braquemart bien raide.
De nouveau couché sur elle, il l’a pénétré rapidement et profondément.
Nathalie avait bien écarté les jambes pour lui faciliter le passage et le sentir bien à fond.
Sa queue la remplissait bien et elle gémissait de plaisir à chacun de ses coups de reins.
Ils continuaient à s’embrasser et elle avait entouré ses jambes autour de son bassin et ses bras autour de son torse.
Elle se donnait bien à lui pour jouir encore plus fort.
Après plusieurs minutes de va et vient, elle a de nouveau pris son pied par deux fois.
Trempé de sueur il s’est relevé, lui a demandé de se retourner et de se mettre à quatre pattes.
Sans hésitation elle s’est exécuté, lui tendant bien ses fesses et écartant les jambes pour qu’il vienne se caler derrière elle.
Puissamment et presque sauvagement il l’a empalé jusqu’à la garde, recommençant ses va et vient, mais cette fois-ci dans un mode plus bestiale.
Elle était presque dans un état second et commençait à lui parler :
« Oh putain, oui vas-y, défonce moi bien salaud, elle est trop bonne ta grosse queue, j’adore ça… »
Alors qu’elle allait vers un nouvel orgasme, la clé dans la serrure les a stoppés.
Quand je suis rentré dans la chambre, j’avais les écouteurs de mon téléphone dans les oreilles.
En pleine conversation avec un client, pour qui j’étais venu chercher un document que j’avais oublié dans la chambre, je n’avais pas entendu les gémissements de ma femme.
J’ai recherché le papier dans la sacoche de mon portable et me suis assis sur le lit pour continuer de parler avec mon client.
Nathalie qui avait toujours la bite bien raide de Bruno au fond de son ventre, a commencé à bouger son bassin.
Elle l’a regretté très vite car cela a incité son amant a recommencer ses mouvements de va et vient, mais cette fois-ci en douceur, sans bruit.
Elle lui a attrapé un bras qui la tenait par les hanches, en le serrant très fort pour qu’il arrête car elle sentait qu’elle ne pourrait retenir son orgasme, lui, a certainement compris le contraire et a accéléré légèrement le mouvement.
La tête enfoui dans l’oreiller, elle n’a pu se retenir de jouir mais a réussi à le faire en silence.
Je suis resté deux ou trois minutes dans la chambre avant d’en sortir pour retourner au salon.
J’étais loin à ce moment là d’imaginer que ma femme était à quatre pattes sur le lit derrière le rideau, la bite de mon client enfoncée en elle et qu’il la faisait jouir alors que je ne me trouvais qu’a quelques mètres d’eux.
Une fois la porte refermé, ils ont attendu quelques dizaines de secondes avant de remettre ça.
La situation les avait terriblement excités car Bruno l’a repris sauvagement, toujours en levrette et elle s’est lâchée encore plus verbalement.
Cinq minutes plus tard, ils ont explosé ensemble dans un orgasme très bruyant, sans se soucier du reste de l’hôtel.
A partir de ce moment, Nathalie n’a plus compté le nombre d’orgasme qu’elle a eu.
Ils ont continué à baiser ainsi, entre plusieurs pause, jusqu’à environ quatorze heure.
Quand elle est venue me rejoindre, elle était toute fraîche et pimpante.
Nous nous sommes baladé tout le reste de la journée et avons mangé le soir en ville.
Elle avait décidé de ne me raconter son aventure avec Bruno qu’une fois revenu chez nous.
Le lendemain matin, une fois prêt à partir, je suis allé chercher la voiture pendant que Nathalie et Bruno finissaient de boucler leurs valises.
« J’ai passé un super moment hier avec toi, c’était divin, merci » lui dit-il.
« Moi aussi j’ai adoré » répondit Nathalie avec encore des étoiles dans les yeux.
« Je pense que malheureusement nous n’aurons plus l’occasion de recommencer, à moins que… heuu… je peux te demander une dernière faveur ? » a-t-il ajouté.
« Oui, je crois savoir ce que tu veux, on a peu de temps il ne va pas falloir te retenir »
Elle s’est alors approchée de lui pour l’embrasser, sa main s’est directement posée sur la bosse qui commençait à se former sur son pantalon, puis s’est accroupie face à lui en libérant le membre qui prenait de plus en plus de vigueur.
Sa bouche l’a directement engloutie et sa langue a commencé à se promener et s’enrouler sur sa hampe et sur son gland.
En quelques secondes il était au meilleur de sa forme, bien raide et bien dur.
D’une main elle le branlait, de l’autre lui caressait les couilles et les fesses pendant que sa bouche experte jouait avec son gland.
Elle le titillait, le léchait, l’aspirait en le branlant assez rapidement.
Elle a doucement dirigé un doigt vers son anus pour le caresser, puis après l’avoir bien lubrifié de salive, a commencé à le pénétrer.
Il a d’abord légèrement sursauté avant de se laisser faire.
Elle n’avait rentré qu’une phalange et il semblait apprécier.
De plus en plus excité, il lui a saisi la tête entre ses mains pour mieux lui baiser la bouche.
Elle le sentait au bord de la jouissance et a donc approfondit la découverte de son cul en enfonçant encore un peu plus son doigt.
N’en pouvant plus, il lui a bloqué la tête pour éjaculer au fond de sa gorge.
Nathalie à avalé avec délectation les giclées de foutre qu’il lui envoyait.
Elle lui a ensuite bien nettoyé la queue avant de se relever.
« Whaaaaa » dit-il « C’est la première fois qu’on me fait ça et j’avoue que ça m’a terriblement excité au point de ne pas pouvoir me retenir, tu es vraiment la meilleur, merci encore »
Quand je suis remonté, ils étaient tous les deux à m’attendre la valise à la main.
Cette fois-ci s’était en Allemagne.
Je devais y aller plusieurs jours afin de rencontrer des clients et voir des nouveautés.
J’avais demandé à ma femme si elle voulait m’accompagner et elle m’avait répondu que ça lui semblait difficile de pouvoir prendre des jours en cette période de fin avril.
M’y étant pris assez tôt j’avais réussi à trouver une chambre près de l’exposition, c’était la seule qu’il restait dans l’hôtel, elle était bien sûr assez chère mais c’était à cinq minutes à pied.
J’avais vu les photos sur le site de l’hôtel, il y avait deux grands lits de cent soixante séparés par un rideau.
Je n’avais pas besoin de ces deux lits mais j’ai réservé la chambre quand même.
Une semaine avant cette expo, je me suis rendu chez un client dont le chef d’atelier devait quitter la société à la fin du mois pour déménager dans les Landes.
Bruno, ce chef d’atelier était un homme à femme.
Il avait sauté la moitié des secrétaires de la boite pour laquelle il travaillait ainsi que la femme du patron et avant que ce dernier ne l’apprenne, il avait préféré démissionner et quitter la région.
Bruno ne se vantait pas de ses conquêtes mais n’était pas assez discret et quelques-uns de ses collègues s’en sont aperçu et ont commencés à saper son autorité jusqu’à lui dire qu’ils allaient tout raconter au patron.
Bruno avait donc jeté l’éponge et trouvé un prétexte quelconque pour quitter la société.
Ayant des relations courtoises avec lui, (il ne m’a pas raconté la vrai raison pour laquelle il partait et moi je ne l’ai apprise que plusieurs mois après son départ) alors que nous discutions de tout et de rien, en lui précisant que je ne serai pas là de tel date à tel date car j’allais à l’expo, il m’a dit qu’il y serait bien allé mais qu’il s’y était pris un peu trop tard pour trouver une chambre d’hôtel.
Alors comme j’avais une très grande chambre avec deux lits, je lui ai proposé de partager cette chambre et au moins nous pourrions faire la route ensemble.
Il a accepté et nous avons pris rendez-vous pour partir le mardi suivant.
Entre-temps, Nathalie avait réussi à prendre des jours pour m’accompagner.
Mince, moi qui avais proposé à Bruno de partager la chambre, la situation se compliquait.
Ma femme m’a dit :
« Tant pis, tu ne vas pas lui dire maintenant que tu ne veux plus de lui dans ta chambre, il sera déçu je pense, et puis on fera l’amour quand il ne sera pas là. »
J’ai donc appelé Bruno pour lui expliquer. Au début il m’a dit qu’il ne viendrait plus car il ne voulait pas nous déranger dans notre intimité, puis, à force d’insister il a quand même accepté d’y aller.
Après un long voyage en voiture, nous sommes arrivés en fin d’après-midi à l’hôtel.
Nous avons descendu nos bagages et je suis allé jusqu’au parking de l’exposition pour y déposer la voiture, afin qu’elle y reste jusqu’à notre départ.
La chambre était très grande, en entrant il y avait un premier lit en face de la porte et à droite de cette porte un toilette avec un lavabo.
Après les toilettes un grand rideau qui allait jusqu’au fond et qui servait à cacher l’autre partie de la chambre ou se trouvait le deuxième lit et la salle de bain.
Nous avons pris la partie avec le toilette et Bruno celle avec la salle de bain.
Douche, restau et dodo. Demain j’avais un premier rendez-vous avant l’ouverture au public, à huit heures avec un fournisseur.
Nathalie devait me retrouver vers neuf heures et Bruno y allait pour onze heures car il ne pouvait récupérer le badge invité, qu’il avait réussi à chiner à un de ses fournisseurs, avant.
Avant que je parte, ma femme m’a demandé en chuchotant :
« Je vais devoir allé dans la salle de bain, il n’est pas à poil j’espère ? »
« Non ne t’inquiète pas, je l’ai aperçu hier soir en caleçon avant de rentrer dans le lit quand je suis sorti de la salle de bain. » « Et là il est bien couvert »
Rassurée, elle m’a dit, avant que je ne referme la porte de la chambre pour partir :
« Bisous, à tout à l’heure »
Peu de temps après, elle s’est levée et habillée pour descendre déjeuner.
Quand elle est revenue dans la chambre, elle a écouté :
Pas de bruit, juste un bruit de respiration comme celui de quelqu’un qui dort.
Elle pouvait donc traverser la chambre de Bruno pour aller à la douche.
Prenant les affaires qu’elle allait mettre aujourd’hui, elle a ouvert doucement le rideau pour se diriger vers la salle de bain.
Les doubles rideaux au fenêtre n’étaient pas très occultant et il n’y avait pas de volets.
Bruno était couché sur le côté, tourné vers la salle de bain et semblait dormir.
Il était complètement nu et découvert.
Nathalie, un peu gênée de le trouver ainsi, l’a quand même regardé.
« Beau corps bien musclé » a-t-elle pensée.
Alors très vite elle est entrée dans la salle de bain.
« J’espère qu’il dort vraiment » s’est-elle dit.
Lavée, habillée, pomponnée, elle est sortie de la salle de bain.
Cette fois-ci, semblant toujours dormir, il était allongé sur le dos le sexe bien raide et tendu vers le plafond.
« Whaaaa, non seulement il a un beau corps mais en plus une très belle queue »
Elle l’a admiré quelques secondes puis est sortie de la chambre pour venir me retrouver au salon, avec le doute qu’il n’était pas complètement endormi.
La journée s’est écoulée très vite entre les différents rendez-vous, les cocktails et les restaurants, sans oublier une petite sieste crapuleuse dans l’après-midi.
Nous avons retrouvé Bruno le soir dans un bar et après quelques verres nous sommes rentrés à l’hôtel.
Le lendemain matin, je suis parti le premier et ne devait revenir qu’a treize heures pour passer le reste de la journée avec ma femme.
Bruno s’est levé vers huit heures trente et quand il est descendu pour prendre le petit déjeuner, Nathalie était allongée sur le ventre, tournant le dos à la porte, une jambe remontée sur le côté et complètement découverte.
Il n’a certainement pas pu faire autrement que de regarder la position indécente de ma femme qui lui tendait bien les fesses.
Il est sorti et en fermant la porte, elle s’est réveillée en s’apercevant qu’elle lui avait offert une vue qu’il a dû apprécier.
Elle est restée à flâner un peu au lit et quand il est revenu dans la chambre, elle a fait semblant de dormir.
Allongée sur le dos, après avoir un peu remonté le drap, ne laissant apparaitre que son ventre et ses deux gros seins lourd à la vue de Bruno.
Elle aimait exciter les hommes et ayant un gros doute sur le fait que la veille il ne dormait pas quand elle est passé dans sa chambre, elle s’est dit qu’elle allait lui rendre la pareille.
De nouveau il est resté quelques secondes à l’admirer puis est allé à la douche.
Dix minutes plus tard, il sortait de sa chambre fin prêt.
Le drap couvrant ma femme avait bizarrement glissé vers le bas.
Toujours allongée sur le dos, elle offrait maintenant une vue complétement dénudée de son anatomie.
Les yeux fermés, faisant toujours semblant de dormir, elle l’a sentie se rapprocher presque à la toucher.
Il est resté à la détailler une bonne vingtaine de seconde puis est sortie de la chambre, prenant soin de ne pas faire trop de bruit en fermant la porte.
Excitée de cette situation, elle s’est demandé s’il avait eu un début d’érection à la regarder.
Sa main a glissé vers son pubis et doucement elle a commencé à se caresser.
D’abord doucement, puis à force d’excitation, elle commençait à mouiller, ses caresses sont devenues plus énergique et plus précise.
Elle enfonçait ses doigts dans son vagin, caressant au passage son clito, jusqu’à ce qu’environ trente minutes plus tard, elle atteigne l’orgasme.
Elle s’est ensuite levée pour descendre prendre un petit déjeuner, puis est remonté pour se doucher, se maquiller et s’apprêter.
Bruno est revenu à l’hôtel plus tôt que prévu.
Il avait vue tout ce qui l’intéressait au salon et s’était dit qu’il irait flâner en ville.
Le temps était au beau fixe et il faisait assez chaud, il est donc repassé à l’hôtel pour se changer.
Short, tee-shirt et basket était au programme de sa tenue vestimentaire pour la balade.
Personne dans la chambre, il s’est donc déshabillé pour se changer.
Quand Nathalie, qui venait de finir de se maquiller, est sortie, elle n’était pas encore habillée.
Elle s’est donc retrouvée presque complètement nue, avec juste un string, devant Bruno qui, lui, était en caleçon et assis sur le lit.
Surprise, elle a essayé de se cacher avec ses mains.
Bruno, beaucoup plus à l’aise, lui a dit :
« Tu sais ce matin tu m’en as montré beaucoup plus »
Elle s’est sentie rougir et lui a répondu en bafouillant un peu :
« Mais, heuuu…, je dormais…, enfin je… »
Avant qu’elle ne finisse de répondre, il s’est levé et s’est dirigé vers elle.
« Tu es très belle et désirable, depuis hier nous jouons à un jeu qu’il va falloir clarifier je pense »
Il a alors plaqué ses mains sur la poitrine de Nathalie et a approcher sa bouche de la sienne pour l’embrasser.
Elle n’a opposé aucune résistance et leurs langues se sont entremêlées dans un baiser fougueux.
Les mains de Bruno se sont misent à parcourir tout le corps de ma femme, tandis qu’elle a dirigé les siennes vers son sexe tendu pour le libérer du caleçon et le branler.
Pendant une dizaine de minutes ils sont restés ainsi à se découvrir et s’embrasser.
Elle s’est ensuite accroupie devant lui, a fait descendre complètement le caleçon et engloutie sa queue bien raide entre ses lèvres.
Une main sur les couilles, l’autre sur le membre et la bouche qui avait emprisonné le gland pour l’aspirer et l’enrouler de sa langue.
Un fellation digne de ce nom dont elle avait le secret.
Pendant cinq bonne minutes, il s’est laissé envoûté par cette bouche si accueillante, puis sentant certainement qu’il n’allait pas pouvoir résister bien longtemps à ce supplice, il l’a relevé, l’a allongé sur le lit, lui a ôté sont string et s’est allongé sur elle.
Il se sont de nouveau embrassé fougueusement un long moment, puis de sa bouche il est descendu vers son cou, puis vers ses seins, à chaque fois il s’attardait à la lécher et l’embrasser longuement, jouant avec les lobes d’oreille ou les tétons.
Puis il a continué la découverte de son corps vers le ventre puis le pubis.
Elle frissonnait de plaisir à chaque bisous qu’il lui faisait.
Lorsqu’il est enfin arrivé à son sexe, il a d’abord commencé à lécher les lèvres humides d’excitation.
Sa langue s’est introduite petit à petit à l’intérieur qui était beaucoup plus humide.
Il lui titillait le clito puis enfonçait sa langue bien loin entre ses lèvres, il la léchait, l’aspirait, la mordillait.
Ses doigts sont venus se mêler à la fête pour aller caresser l’intérieur de son vagin.
Une langue experte, des doigts magique il n’en fallait pas plus pour qu’elle ait un orgasme très rapide.
Alors qu’elle jouissait dans sa bouche, il continuait a lui dévorer le sexe, provoquant chez elle une nouvelle jouissance quelques minutes plus tard.
Il s’est relevé pour prendre un préservatif dans sa valise qu’il a enfilé sur son braquemart bien raide.
De nouveau couché sur elle, il l’a pénétré rapidement et profondément.
Nathalie avait bien écarté les jambes pour lui faciliter le passage et le sentir bien à fond.
Sa queue la remplissait bien et elle gémissait de plaisir à chacun de ses coups de reins.
Ils continuaient à s’embrasser et elle avait entouré ses jambes autour de son bassin et ses bras autour de son torse.
Elle se donnait bien à lui pour jouir encore plus fort.
Après plusieurs minutes de va et vient, elle a de nouveau pris son pied par deux fois.
Trempé de sueur il s’est relevé, lui a demandé de se retourner et de se mettre à quatre pattes.
Sans hésitation elle s’est exécuté, lui tendant bien ses fesses et écartant les jambes pour qu’il vienne se caler derrière elle.
Puissamment et presque sauvagement il l’a empalé jusqu’à la garde, recommençant ses va et vient, mais cette fois-ci dans un mode plus bestiale.
Elle était presque dans un état second et commençait à lui parler :
« Oh putain, oui vas-y, défonce moi bien salaud, elle est trop bonne ta grosse queue, j’adore ça… »
Alors qu’elle allait vers un nouvel orgasme, la clé dans la serrure les a stoppés.
Quand je suis rentré dans la chambre, j’avais les écouteurs de mon téléphone dans les oreilles.
En pleine conversation avec un client, pour qui j’étais venu chercher un document que j’avais oublié dans la chambre, je n’avais pas entendu les gémissements de ma femme.
J’ai recherché le papier dans la sacoche de mon portable et me suis assis sur le lit pour continuer de parler avec mon client.
Nathalie qui avait toujours la bite bien raide de Bruno au fond de son ventre, a commencé à bouger son bassin.
Elle l’a regretté très vite car cela a incité son amant a recommencer ses mouvements de va et vient, mais cette fois-ci en douceur, sans bruit.
Elle lui a attrapé un bras qui la tenait par les hanches, en le serrant très fort pour qu’il arrête car elle sentait qu’elle ne pourrait retenir son orgasme, lui, a certainement compris le contraire et a accéléré légèrement le mouvement.
La tête enfoui dans l’oreiller, elle n’a pu se retenir de jouir mais a réussi à le faire en silence.
Je suis resté deux ou trois minutes dans la chambre avant d’en sortir pour retourner au salon.
J’étais loin à ce moment là d’imaginer que ma femme était à quatre pattes sur le lit derrière le rideau, la bite de mon client enfoncée en elle et qu’il la faisait jouir alors que je ne me trouvais qu’a quelques mètres d’eux.
Une fois la porte refermé, ils ont attendu quelques dizaines de secondes avant de remettre ça.
La situation les avait terriblement excités car Bruno l’a repris sauvagement, toujours en levrette et elle s’est lâchée encore plus verbalement.
Cinq minutes plus tard, ils ont explosé ensemble dans un orgasme très bruyant, sans se soucier du reste de l’hôtel.
A partir de ce moment, Nathalie n’a plus compté le nombre d’orgasme qu’elle a eu.
Ils ont continué à baiser ainsi, entre plusieurs pause, jusqu’à environ quatorze heure.
Quand elle est venue me rejoindre, elle était toute fraîche et pimpante.
Nous nous sommes baladé tout le reste de la journée et avons mangé le soir en ville.
Elle avait décidé de ne me raconter son aventure avec Bruno qu’une fois revenu chez nous.
Le lendemain matin, une fois prêt à partir, je suis allé chercher la voiture pendant que Nathalie et Bruno finissaient de boucler leurs valises.
« J’ai passé un super moment hier avec toi, c’était divin, merci » lui dit-il.
« Moi aussi j’ai adoré » répondit Nathalie avec encore des étoiles dans les yeux.
« Je pense que malheureusement nous n’aurons plus l’occasion de recommencer, à moins que… heuu… je peux te demander une dernière faveur ? » a-t-il ajouté.
« Oui, je crois savoir ce que tu veux, on a peu de temps il ne va pas falloir te retenir »
Elle s’est alors approchée de lui pour l’embrasser, sa main s’est directement posée sur la bosse qui commençait à se former sur son pantalon, puis s’est accroupie face à lui en libérant le membre qui prenait de plus en plus de vigueur.
Sa bouche l’a directement engloutie et sa langue a commencé à se promener et s’enrouler sur sa hampe et sur son gland.
En quelques secondes il était au meilleur de sa forme, bien raide et bien dur.
D’une main elle le branlait, de l’autre lui caressait les couilles et les fesses pendant que sa bouche experte jouait avec son gland.
Elle le titillait, le léchait, l’aspirait en le branlant assez rapidement.
Elle a doucement dirigé un doigt vers son anus pour le caresser, puis après l’avoir bien lubrifié de salive, a commencé à le pénétrer.
Il a d’abord légèrement sursauté avant de se laisser faire.
Elle n’avait rentré qu’une phalange et il semblait apprécier.
De plus en plus excité, il lui a saisi la tête entre ses mains pour mieux lui baiser la bouche.
Elle le sentait au bord de la jouissance et a donc approfondit la découverte de son cul en enfonçant encore un peu plus son doigt.
N’en pouvant plus, il lui a bloqué la tête pour éjaculer au fond de sa gorge.
Nathalie à avalé avec délectation les giclées de foutre qu’il lui envoyait.
Elle lui a ensuite bien nettoyé la queue avant de se relever.
« Whaaaaa » dit-il « C’est la première fois qu’on me fait ça et j’avoue que ça m’a terriblement excité au point de ne pas pouvoir me retenir, tu es vraiment la meilleur, merci encore »
Quand je suis remonté, ils étaient tous les deux à m’attendre la valise à la main.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Hummmm une très belle histoire de cocu, j'adore
Bonjour le cocu pauvre bougre tu as épousé une salope pauvre de toi bientôt elle te fera de beaux batards ya des mecs qui n ont vraiment pas de chance avec leur gonzesse.
je verrais bien une belle suite, quand elle avouera à son mari avoir coucher avec Bruno...