Une famille sans complexe
Récit érotique écrit par Dede des alpes [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-04-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Une famille sans complexe
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Seb et Marion sont arrivés très tard ce soir là. Tout le monde dormait et ils se sont installés dans une des chambres libres. Le lendemain Seb réveillé de bonne heure décide en attendant le petit déjeuner de faire un tour dans le terrain. Il a simplement enfilé un flottant sur son corps nu et sort sans bruit. Le temps est au beau et Seb s’avance vers le jardin. A quelques mètres de lui il aperçoit de dos une femme penchée vers le sol. Elle ne l’a pas entendu et entièrement nue, jambes tendues et écartées elle lui dévoile toute sa zone génitale. Seb ne peut s’empêcher d’admirer les fesses rebondies, la raie ornée de quelques poils blonds laisse entrevoir l’anneau plus brun et plissé d’un anus excitant. Il s’approche doucement pour apprécier pleinement le spectacle. Les lèvres entrebâillées de la moule visibles dans cette position sont peu cachées par la toison clairsemée de la dame. Elle avance doucement les pieds écartés de chaque côté d’une raie de salade qu’elle est en train de cueillir. Se redressant en quelques pas de côté elle se retrouve sur une bande herbeuse. A demi accroupie, de nouveau jambes écartées, genoux demi pliés elle se penche vers l’avant cul plus haut que la tête. Quelques secondes d’attente et un jet timide d’abord puis abondant sort de sa moule béante pour ensuite se réduire en petits jets discontinus traduisant la fin de la miction. Seb pouvait dans la raie écartée par la position de la dame repérer les contractions et relâchements du sphincter anal synchronisés avec les expulsions d’urine. Pendant un bon moment il s’en met plein les yeux jusqu’à ce que sentant une présence derrière elle la femme regarde entre ses jambes et aperçoive le jeune homme. Elle finit de laisser s’échapper les dernières gouttes puis se redresse et se retourne nullement gênée de sa prestation. C’est une belle femme d’une cinquantaine d’années, pas très grande, un peu potelée. Ses seins assez importants aux tètons plutôt longs aux aréoles larges et roses sont un peu affaissés mais attirants. Son pubis est orné d’une broussaille peu dense de poils qui masque à peine le sexe.
-Tu dois être Seb, ma fille m’a prévenue qu’elle venait avec son petit ami du moment. Tiens rends-toi utile, suis moi avec ce panier, je dois finir de cueillir la salade et la nettoyer pour midi. Tu vas m’aider.
Ayant dit cela elle reprend son travail. Seb ne se le fait pas dire deux fois. Il s’accroupit près du pied droit qui est en avant ce qui lui permet quand il lève discrètement les yeux d’apprécier la vue imprenable sur les charmes de la mère de Marion. Il la suit pas à pas et bientôt au fur et à mesure que le panier se remplit sa bite gonfle, se tend, le gland sort son museau dans l’entre-jambe assez large du flottant.
-Déjà au travail s’écrie Marion qui vient les rejoindre.
Elle aussi arrive dans le plus simple appareil et s’approche des jardiniers. Ses tétons ornés d’anneaux pointent en avant. Elle se plante devant eux pour les apostropher :
-Je vois que vous avez fait connaissance de bon matin. Mais qu’est-ce qui t’arrive mon Seb, tu bandes ! C’est maman qui te fait cet effet ! Relèves-toi s’il te plait !
Seb obtempère et Marion s’agenouillant devant lui d’un coup sec tire le short vers le bas, libérant la queue qui se dresse aussitôt.
-Regarde Maman tu lui fais un bel effet insiste-t-elle malgré la gêne manifeste de son ami. Admire sa grosse et longue queue qui se dresse en ton honneur !
-C’est un plaisir de se rendre compte que, à mon âge je plais encore aux jeunes ! C’est vrai qu’il a une belle bite, longue, grosse, tu n’avais pas exagéré au téléphone. Son beau gland décalotté par son érection fait envie. Il a de belles couilles aussi, bien lourdes ajoute-t-elle en les soulevant. Ce doit être plein de bon jus là-dedans ! Je t’envie ma fille. Ce jeune homme doit te faire vraiment jouir en t’emplissant de son foutre! Comme disait ta grand’mère « du jus de couilles plein le cul ou la gueule mais pas dans le con évite le mouflet dans le ventre! » J’espère que vous faites attention et que je ne serai pas grand-mère trop tôt ! Seb tournes- toi que je vois le coté pile ;
Etonné de la tournure que prend la conversation Seb obéit.
-Mais c’est que ce jeune homme a le cul bien fermes ajoute la mère en empoignant une fesse d’une main décidée, son pouce dans la raie sans nul doute en contact avec le petit trou. Ecartes un peu les cuisses …elle glisse son autre main entre les jambes de Seb et soupèse encore les bourses. C’est très jouissif elles sont vraiment lourdes! Il est mieux équipé que celui que tu nous avais amené il y a quelques mois…
-Maman tu sais bien que je n’aime pas beaucoup que tu tripotes mes potes. Seb même si tu le fais bander est tout gêné. Je ne l’ai pas prévenu que chez nous on se balade presque toujours à poil. C’est la campagne indique-t-elle à l’intention de son ami mal à l’aise, les voisins sont loin. Seul parfois un couple de retraités se promène dans le coin et ils ne sont pas contre le fait de nous admirer tout nus… ils s’arrêtent quelque fois pour discuter mais surtout pour se rincer l’œil surtout s’il y a de jeunes invitées.
-Je suppose que ce jeune homme est Seb dont tu nous as parlé.
C’est un homme plutôt trapu qui arrive à grands pas. Lui aussi est nu et ses attributs s’agitent au gré de sa marche. Seb ne peut faire autrement que de regarder le bas-ventre de celui qui vient vers eux, il est frappé par les couilles poilues pendues très bas qui se balancent à chaque enjambé.
-Bonjour ma fille continue l’arrivant en serrant Marion tout contre lui. Bienvenue à toi et à ton ami. Je vois que ta maman fait connaissance avec son sans-gêne habituel ! Elle lui a déjà mis la main au cul… je vais la surveiller de près plaisante-t-il. Je pense que Paul, Henri et moi-même devrions suffire à la satisfaire mais on ne sait jamais la jeunesse est attirante. Il faut reconnaitre que c’est un des plus beau et des plus couillu que tu nous aies présenté ! Allez venez le café doit être chaud il est temps de prendre notre petit déjeuner.
Sur ces fortes paroles ils se dirigent tous les quatre vers la maison. Martine toujours espiègle tire Jean son mari par la bite tandis que Marion se contente de se serrer contre Seb bras sur son épaule comme pour le rassurer. Elle doit avoir peur que la désinvolture de ses parents envers les choses du sexe ne le rebute.
Autour de la table dressée sur la terrasse ils retrouvent quatre autres personnes. Marion fait les présentations :
-Voici Marie une des amies de mon frère Loïc à son côté, l’autre jeune homme basané est Damien ami de Marie et Loïc, venu avec Julie. Comme tu le vois ils sont déjà habitués à notre manière de vie.
En effet tous sont entièrement nus et Seb se rend compte qu’il ne s’intéresse que peu aux visages des convives mais que son regard est surtout attiré par seins ou bas ventres. Ses yeux se posent d’abord sur la zone génitale de celui qui lui a été présenté comme étant Damien le basané. En effet sa peau est plus halée qu’habituellement, presque marron. Nonchalamment assis sur un banc à coté de Julie les cuisses écartées il ne dissimule aucune partie de son anatomie. Ce que Seb remarque tout de suite c’est que si la longueur et l’épaisseur du membre de Damien n’ont rien de particulier par contre son extrémité, son gland circoncis est énorme, la tête se montre sans artifice et bien que le sexe soit au repos il est terminé par un très gros renflement, comme la boule au sommet d’une quille. Le gland violacé arbore un méat légèrement humide, fente à demi ouverte. Seb imagine cet instrument forçant l’entrée d’un vagin ou plus encore d’un anus, le ou la partenaire doit sentir l’intromission ! Son bas ventre est soigneusement rasé, même les deux couilles qui reposent sur le banc sont totalement lisses, comme souvent la gauche plus volumineuse que l’autre. La fille appuyée contre lui, Julie est brune mais sont pubis bien rasé lui aussi ne cache pas la petite fente qui placée très haut sur son bas ventre est très attirante. Mais Seb se demande comment ce gros gland a sans doute put pénétrer cette moule. Julie grande, mince se tient debout une main sur le dossier du banc. Ses seins assez forts pendent un peu sous l’effet de la pesanteur mais leurs mamelons percés par un bijou se dressent fièrement au centre de très grandes aréoles très roses. Les lèvres de son sexe, aussi bien les petites mais surtout les grandes sont tirées vers le bas par de nombreux bijoux assez lourds qui les transpercent, autant que Seb puisse en juger même le capuchon du clitoris est orné de deux anneaux dorés. Sa main droite tout contre le sexe du frère de Marion est chargée de bagues. Seb ne peut s’empêcher de remarquer la demi-érection de cette queue excitée par la chaleur de la main de la belle. Queue qui sans être exceptionnelle parait de belle taille, non circoncise, le prépuce est percé d’un bijou qui scintille à chacun des balancements de cet organe.
Martine la mère toujours décontractée est assise sur un transat, les cuisses de chaque côté du siège position qui expose bien sa moule. Quant à Jean le père debout près de la table il verse les cafés. Ses volumineux attributs flasques reposent sur la table contre laquelle ses cuisses sont en appui.
-Damien et Julie ont eu la bonne idée de nous apporter des croissants et des petites brioches, c’est très gentil de leur part. Viens près de moi que je te fasse la bise Julie, tu transmettras à ton mâle !
Elle ne se le fait pas dire deux fois et se serre contre Jean. Ses seins s’écrasent contre le torse, pubis en contact avec la hanche de l’homme qui la saisit par la taille faisant saillir la croupe de la demoiselle plaquée contre lui. Leurs lèvres se joignent. Ce baiser se prolonge un peu plus que nécessaire et tous peuvent voir que sur la table la bite s’allonge découvrant un gland rougeoyant. Lorsque le baiser se termine enfin Jean une tasse à la main se retourne pour la passer à sa femme mais dans le mouvement le bout de sa bite bien raide maintenant heurte une autre tasse qui se renverse sur la table.
-C’est bien de toi ça s’écrie Martine, toujours la queue en avant, pourtant d’habitude tu es plus habile avec ton engin ! Mais rien de grave la plastique ne se tache pas, Marion va nous chercher une éponge s’il te plait…
-Merci Marion… regardes la bite de ton père, regardez comme elle a rétrécie ! Elle a eu peur de se faire ébouillanter…. Pour l’éponger je suis obligée de la tirer par le prépuce pour la tenir droite !
Ce disant Martine frictionne vigoureusement avec l’éponge toute la zone génitale de son homme
-Oh le calme ne dure pas longtemps, elle recommence déjà à durcir, mon traitement est efficace. Bon ça suffit … Loïc je te passe l’éponge, essuie la table et le sol s’il te plait.
Loïc obéissant nettoie le café répandu sur la table puis s’agenouille pour essuyer le sol. Seb qui s’était assis sur la marche qui donne dans le séjour est à bonne hauteur pour apprécier la valse des couilles de Loïc qui ne ménage pas sa peine et frotte vigoureusement les dalles ; Le bijou qui perce le prépuce se balance et reflète des éclats de lumière en fonction des mouvements. Ce que Loïc n’avait pas vu lors des présentations c’est que le périnée et même le plissé de l’anus très visibles de par la position du jeune male sont aussi percés par des anneaux décoratifs. Décidément la famille et les invités de son amie semblent très portés sur les ornements érotiques. Martine lâche son homme et pour s’approcher de la table passe une jambe par-dessus son fils qui nez en l’air doit surement sentir les effluves femelles. Décidemment pense Seb, ils n’ont vraiment aucune gêne dans cette famille.
-Il est tout de même temps de prendre notre café s’exclame la mère de famille. Elle saisit deux petits pains et s’installe de nouveau sur le transat. Mais elle plie les genoux, pose ses pieds sur le siège et bas ventre bien dégagé introduit un des petits pains entre les lèvres humides de son con.
-Viens te servir papa je te prépare un petit pain aromatisé de mon suc… je sais que tu adores ça. Elle le fait entrer et sortir plusieurs fois de son sexe puis l’enfonçant assez profondément continue :
-Sers-toi directement chez le fournisseur, mais uniquement avec ta bouche, tu sais comme j’aime sentir tes lèvres et ta langue fouiller mon intimité.
Jean sans se faire prier s’approche et se penche pour happer la friandise sa langue et son nez tentant d’écarter les muqueuses. Ce faisant dos tourné à tous il dévoile un beau cul très poilu sous lequel pendent ses attributs, ou plutôt ses couilles car la queue bandée par l’exercice auquel il se livre n’est plus visible entre ses jambes. Les spectateurs peuvent par contre apercevoir la main de la maitresse de maison qui sans doute excitée lui malaxe activement les bourses. Ayant enfin réussi à saisir la pâtisserie il se redresse et se retourne flamberge au vent :
-Je veux bien partager avec qui le désire !
Damien accepte de partager cette brioche aromatisée et s’en délecte sous les yeux de Julie qui n’en revient pas.
-Madame votre mouille est succulente, j’ose espérer qu’avec la bénédiction de Julie je pourrai y gouter directement à la source !
-Voilà qui est parlé et doit faire mouiller ma femme. Mais finissons le petit déjeuner avant que nos amis Paul et Henri n’arrivent. Vous apprécierez ces deux beaux spécimens de fouteurs qui plaisent tant à Martine. Souvent je surnomme Martine Blanche-neige non pas bien sûr à cause de son innocence mais parce qu’elle a été capable de satisfaire sept males sans problème. Si tu es d’accord et s’ils sont en forme vous nous ferez j’espère une démonstration de vos capacités. Vous verrez de vrais étalons à l’œuvre surtout Paul qui est increvable et ne débande que rarement. Martine qui vous pourrez le voir ne demande pas son reste finit par demander grâce sous leur assauts ! Quand on parle du loup il arrive !
En effet deux hommes se présentent. Ils ont bien entendu laissé leur peu de vêtement dans l’entrée et il est possible d’admirer leurs grands et robuste corps assez impressionnants.
Le premier Henri ne s’embarrasse pas de formalités et se précipite, surtout sur les femmes pour leur faire une bise nettement appuyée. Il profite de cette situation pour, les ceinturant serrer chacune contre son ventre et bien entendu c’est son gland qui au bout d’une bite légèrement tendue entre en contact en premier avec leur abdomens. Comme peut le constater Seb il tente d’introduire son vit entre leurs jambes rarement serrées et qui ne refusent pas ce contact appuyé. Il faut avouer que ses attributs ne manquent pas de susciter l’intérêt de toutes. Par contre Martine toujours assise se trouve à bonne hauteur pour avec sa langue souhaiter le bonjour à ce sexe avenant.
Paul qui contrairement à tous n’est pas totalement nu, a gardé un tee-shirt qui lui arrive à mi- ventre. Ce qui se trouve en dessous mérite le coup d’œil. Ce grand noir ne fait pas mentir la légende et ses poils noirs, frisés ne peuvent dissimuler une bite de cheval que ses bourses ramassées dans leur scrotum, soulèvent et mettent en valeur bien que manifestement il ne soit pas en érection. Quand il se penche vers Martine toujours affalée dans le transat pour l’embrasser il s’arrange pour présenter son sexe au niveau de la tête de la femme et balayer son visage d’une queue nonchalante. Martine apprécie et plutôt que de lui faire une bise classique saisit le membre qui la nargue et repoussant le prépuce donne quelques coups de langue sur le bout du gland qui en signe de contentement relève un peu la tête.
-Asseyez-vous et si vous le désirez Marion va vous servir le café indique Jean. Mais attention c’est ma fille n’en profitez pas pour lui peloter le cul. J’ai promis à nos invités que vous ferez une petite démonstration de vos talents Martine et vous deux pour nous mettre en appétit. Vous avez bien une bonne heure devant vous avant que nous passions à table. D’accord ? Marion et Loïc s’il vous plait poussez la table et mettez la sur le côté. Il faut dégager la piste de leurs ébats. Damien et Seb aidez-moi nous allons disposer des coussins au sol en arc de cercle pour nous asseoir et ainsi être à bonne hauteur pour admirer leur prestation. Marie et Julie vous voulez bien sucer un peu leurs deux bites pour abréger les préliminaires, la jeunesse de vos bouches les feront bander plus vite et l’action pourra démarrer plus rapidement. Martine mouille déjà pas besoin de préparation pour elle, ajoute-t-il en retirant les deux doigts qu’il a glissés dans le vagin de madame.
Marie et Julie bien que peu enthousiastes n’ose refuser et timidement d’abord prennent chacune un membre en bouche. Mais les spectateurs ont l’impression que petit à petit elles apprécient le jeu à mesure que les vits se tendent et gonflent entre leurs lèvres. Leur excitation semble se développer tout comme le montrent les bouts de leurs mamelles.
-Allez place au spectacle indique Jean. Henri couches-toi sur le dos…admirez tous le mât qui se dresse, bravo jeunes filles vous avez bien œuvré. Allez chérie face à Henni accroupies toi sur cette bite je t’aide pour l’enfiler dans ta cramouille…. Pas si vite tu vas te faire mal ! Penches toi bien sur le torse de Henri pour nous montrer ton petit trou, Marion passes moi le beurre, pour le plaisir de ta maman je vais enduire son cul de beurre, la bite de notre ami Paul entrera plus facilement. Je ne sais pas si vous avez remarqué la taille de ce braquemard mais beaucoup de graisse est utile pour se le faire enfiler sans trop de douleur, même pour le cul de ma femme qui en a vu d’autres ! Merci ma fille continue-t-il en passant abondamment le beurre dans la raie culière qui s’offre à lui Martine écartant largement de ses deux mains ses belles fesses. De deux puis trois doigts il enduit le conduit intérieur :
-J’assouplie ton anus ma belle, la bite de Paul entrera plus facilement. Allez Paul présente ton outil face à son trou. Vas-y franchement ajoute-t-il en poussant son ami par les fesses. Penché visage très près des opérations il assiste à la pénétration progressive du gros organe qui ayant franchi le sphincter anal progresse dans le fondement de Martine. Quand il voit les couilles s’écraser contre le périnée de madame dont le con est déjà envahi par le vit d’Henri il se recule pour se placer à genoux tout près du visage de sa chérie guettant les signes de la jouissance. Sa queue tendue et décalottée se présente tout près de la bouche de sa femme au cas où elle voudrait la téter pendant sa saillie. Les spectateurs de cette exhibition ont une vue directe sur les grosses fesses du noir et sur sa bite qui s’active dans l’anus de Martine, tandis qu’entre ses cuisses ils peuvent apprécier la chatte de la dame investie par un autre organe, celui d’Henri. Lorsque Jean estime que le spectacle a assez duré il interpelle les acteurs :
-Allez les mecs je connais votre endurance mais on ne va pas vous admirer toute la matinée. Il est vrai que votre performance est superbe mais crachez votre foutre dans ma femelle que l’on puisse préparer le repas. Paul rappelles-toi que c’est toi qui doit faire les grillades !
Finalement dans un rut finale les deux hommes vident leurs couilles pratiquement en même temps, peu avant que Jean sous la réaction de plaisir de celle qui l’a englouti crache lui aussi sa semence au fond de la gorge de son épouse.
Les quatre protagonistes se relèvent et saluent comme de vrais artistes en tournée. Martine ne semble pas se soucier des spermes qui suintent de ses orifices et laissent de longues trainées sur ses cuisses, elle est déjà inquiète pour les préparatifs du repas :
-Loïc et Damien vous voulez bien remettre la table et les sièges en place ? Marion s’il te plait apportes moi une serviette que tu placeras sur ma chaise, avec ce qui coule entre mes jambes je ne voudrai pas tout salir… qu’est-ce qu’ils m’ont mis les salauds !
Sans tarder Paul passe rapidement un tablier et commence à allumer le barbecue. Son ardeur n’est pas retombée et son sexe fait une grosse bosse sous le tablier à demi-soulevé. Julie qui semble avoir été impressionnée par sa prestation se précipite pour lui proposer ses services. Il accepte qu’elle lui passe le bois déposé à terre. Seb remarque que la demoiselle sans se le faire dire deux fois s’agenouille aux pieds de Paul et lui passe le combustible. Chaque fois qu’elle lui tend un morceau de bois elle lève son regard vers lui et par conséquent sous le tablier elle continue d’admirer le sexe toujours en érection qu’elle a vu en action il y a peu.
Le repas se passe sans qu’il y ait lieu de raconter quelque chose de particulier, les grillades succulentes ne permettent que peu de discours.
Après le café accepté par tous chacun se prépare à une sieste réparatrice. Martine interpelle Seb :
-Voudrais-tu me passer un peu de crème solaire sur le corps ? Demandes à Marion de t’apporter mon flacon. Je vais prendre un bain de soleil. Elle s’allonge sur une serviette disposée au sol certaine que sa demande sera exaucée. Effectivement Seb s’agenouille près de la mère de Marion et s’apprête à lui enduire le corps.
-Attends, il faut me débarrasser des coulures de sperme qui maculent mes cuisses, Marion veux-tu nous apporter un gant de toilette humide.
Seb passe avec délicatesse le gant à l’intérieur des cuisses qu’elle lui présente largement écartées. Il pense avoir fini mais prenant ses jambes au niveau des genoux Martine les ramènent vers ses épaules et ordonne :
-Tu n’as pas fini regardes toute ma zone génitale est engluée jusqu’à mon trou de balle, laves tout ça soigneusement s’il te plait… passes bien entre mes grosses et petites lèvres c’est important… nettoie aussi l’entrée de mon vagin et n’oublie pas mon clito… tu vois il sort de son capuchon pour que tu le soignes ! Bien insiste maintenant sur mon périnée… attends je me renverse plus en arrière pour qu’il te soit plus accessible… parfait … la raie du cul maintenant, avec la dose que m’a injectée Paul il y en a besoin ! Merci mon gars il est temps d’enduire mon corps de crème solaire. Ne bouge pas pour te simplifier la vie je me mets à quatre pattes, tu as ainsi accès plus facilement à tout mon corps.
Genoux et coudes au sol, bien évidemment cuisses écartées elle présente son cul au jeune homme. Seb d’une main hésitante commence, sous le regard de son amie à enduire le dos de Martine.
-C’est bien mais tu peux masser plus fort pour faire pénétrer la crème… mais le dos ça va, c’est surtout les fesses le ventre et les seins qui doivent être protégés… insiste bien sur mes fesses… n’hésite pas à en mettre dans ma raie et même dans mon trou de balle qui a été irrité par mon enculage…n’hésites pas enfonces moi deux ou trois doigts et enduis bien l’intérieur…voilà parfait je te sens bien… vas un peu plus profond s’il te plait, fais tourner tes doigts dedans… impeccable maintenant mets moi de la crème sur le périnée, frottes bien tout mon entre-jambe… montes jusqu’au pubis… n’hésite pas à tirer d’une main sur les lèvres de ma moule et de l’autre à passer la crème sur toute leur surface, dans tous les replis… bien, bien…passes à mes mamelles maintenant.
Docile, mais un peu inquiet de la réaction de Marion il jette un coup d’œil vers sa chérie, et rassuré par le sourire de connivence qu’elle lui renvoie il la voit s’approcher pour profiter du spectacle. Seb toujours agenouillé passe sur le côté de Martine.
-Regarde ma poitrine pend un peu c’est de mon âge. Tiens l’un de mes seins d’une main ferme et de l’autre enduis le bien…surtout dans le pli inférieur…voilà… n’oublie pas le téton… enduis le bien c’est une partie très sensible…parfait l’autre maintenant… merci tu as été très gentil, je vais maintenant m’allonger et me faire chauffer la foufoune par le soleil. Marion je te rends ton homme !
Marion félicite Seb d’avoir aidé sa mère :
-Maman aime bien provoquer, surtout mes nouveaux copains. Elle est très exhibitionniste et un brin nymphomane mais elle ne ferait pas de mal à une mouche. Mon père pas jaloux pour deux sous l’aime telle qu’elle est et fait tout pour son plaisir. C’est lui qui lui a présenté Paul et Henri pour pouvoir satisfaire pleinement sa libido. Je pense que sous certains aspects je ressemble à ma mère et je vais te demander quelque chose : tu as vu la bite particulière de Damien. Et bien si tu es d’accord j’aimerai bien la sentir m’enfiler, me faire baiser par lui. J’en ai parlé à Julie elle veut bien me prêter son mec à condition d’être présente lors de notre coït. Damien ne refusera sans doute pas, d’après elle il est toujours partant pour planter sa bite dans une meuf. Pensant que tu serais d’accord je leur ai donné rendez-vous à l’orée du bois, nous y serons tranquilles. Je te réserve une belle surprise si tu acceptes ajoute-t-elle en lui donnant un chaud baiser.
Seb peut difficilement refuser cette demande et bras dessus bras dessous se rendent au rendez-vous. Ils retrouvent Julie et Damien qui pour patienter se masturbent réciproquement.
-Je vois que vous avez su meubler l’attente s’exclame Marion .Comme j’ai remarqué ton inclination au voyeurisme mon Seb adoré tu vas t’allonger sur le dos, moi je me place en 69 au-dessus de toi. Ainsi ton visage à quelques dizaines de centimètres de mon sexe tu pourras tout à loisir admirer sa pénétration par la bite de Damien ! Bon exécution sans attendre, je vois que Damien bien chauffé par Julie bande déjà. Allez je suis prête, Damien enfiles moi lentement s’il te plait que Seb ait le temps de voir ton organe progresser dans mon vagin…vas-y mais toujours lentement tu entres et tu sors à demi de mon con… oui c’est divin je sens parfaitement ton gros nœud coulisser dans mes muqueuses… allez continue un peu plus vite… Alors Seb tu es aux premières loges, tu dois te régaler devoir cette belle queue baiser ta copine…
Effectivement à quelques centimètres de ses yeux Seb suit le membre du jeune homme coulisser entre les lèvres serrées de la chatte de son amie. Il est plutôt étonné de ne pas ressentir de jalousie mais plutôt un vrai plaisir augmenté par les lèvres de sa dulcinée qui s’activent sur sa bite. Après plusieurs minutes conscient de sentir les bourses qui par moment frottaient sur son nez remonter petit à petit, le pilon grossir de plus en plus et le rythme s’accélérer il intervient quand même :
-Arrêtez, cela fait plusieurs minutes qu’il te lime je n’ai pas envie qu’il remplisse ton vagin de son foutre, il vaut mieux qu’il se soulage dans ton cul s’il peut entrer. Julie tu veux bien mouiller de ta salive la raie de Marion… assouplie lui l’anneau pour éviter que le mandrin de ton ami ne lui fasse trop mal…je l’ai enculée plusieurs fois mais mon gland est loin d’être aussi gros que celui de Damien. Tu dois surement avoir expérimenté cette intromission et savoir comme ça doit être difficile pour son organe de se frayer un chemin dans ton anus…
-Pas particulièrement j’ai une bonne habitude de décontracter mon sphincter anal, Damien m’enfile souvent toutes sortes d’objet voir des canettes de bière et mon cul n’oppose aucune résistance, au contraire je trouve ça très jouissif, mais bon pour Marion je vais freiner l’ardeur de mon mec.
Damien se retire mais son énorme gland, luisant du suc du plaisir de Marion reste au-dessus du visage de Loïc prêt à reprendre la pénétration. Julie simple spectatrice jusqu’alors se penche, pétrit les fesses de Marion, frictionne un peu sa raie et glisse un doigt enduit de crème dans l’anus contracté. Après un temps de massage le petit trou se détend, elle peut introduire alors deux puis trois doigts.
-Tu dois pouvoir l’enculer maintenant. Places ton gland tout contre, je te guide …Seb écartes les fesses de ta chérie Damien va commencer de forcer le passage… tu vois la pointe a déjà bien pénétrée, détends toi bien Marion tu vas ressentir une jouissance indescriptible quand son gland fouillera tes entrailles… vas-y Damien forces un peu le passage ordonne-t-elle en poussant son mec par les fesses… lentement laisses le temps au sphincter de Marion de se détendre, ce n’est pas mon cul il faut qu’elle s’habitue… ça y est .. elle a ton gros bout dans le cul… regarde Seb la bite de Damien est complètement enfoncée… Damien tu peux commencer à la limer sans souci… ses petits cris prouvent son plaisir…vas-y lâches toi mets lui en plein les boyaux. Julie tout en donnant ses indications a passé une main entre les cuisses de son mâle et malaxe fortement les bourses qui claquent à chaque poussée contre les fesses de Marion. Finalement Damien s’immobile et crache son foutre dans les entrailles consentantes. Seb toujours aux premières loges est subjugué par cette copulation. Lorsque Damien se retire il entraine un peu de sperme qui goutte sur son visage. Loin de le rebuter ce suc l’amène, grâce au mouvement de Marion qui s’est pratiquement assise sur la face de son ami, à lui lécher sans retenue toute la raie.
-Fini la galipette les amoureux il est bientôt temps de reprendre la route du retour. Une petite douche et c’est parti ! s’exclame Julie. Dit donc qu’est-ce qu’il t’a mis, tu en as plein les cuisses tu es excitante à voir comme ça n’est-ce pas Seb ? J’espère que tu as eu autant de plaisir que ta dulcinée en la voyant s’éclater ! Essuies toi bien le visage tu es encore maculé du sperme de Damien… viens ici que je le lèche j’aime bien le gout de la semence de ce baiseur.
Revenus près des autres ils se préparent pour le retour. Julie a proposé à Marion et Loïc d’effectuer le retour dans la même voiture.
Les adieux se font rapidement mais quand Loïc se contente de faire une bise à ses hôtes Martine le réprimande :
-Chez nous on ne se fait pas qu’une petite bise, les partants doivent embrasser le sexe de chacune et chacun. Allez exécution dit-elle en plaçant son ventre en avant.
Seb puis Damien, Julie et même Marion se soumettent à ce rite, fouillent de leurs lèvres la chatte présentée, celle de Marie puis sucent brièvement les bites de Jean, Paul et Henri.
-Damien c’est toi qui conduis et pour ne pas te distraire je passe derrière avec Julie et Seb. Si tu es sage à l’arrivée nous te sucerons toutes les deux ensemble jusqu’à éjaculation dans nos bouches pour te récompenser.
C’est ainsi que pour le retour Seb se retrouve sur le siège arrière entre les deux demoiselles qui jupes retroussées jusqu’à la taille et bien évidemment sans culottes s’installent. Le voyage lui parait trop court occupé qu’il est de chacune de ses mains à titiller les clitoris ou glisser ses doigts entre des lèvres vaginales humides. Les demoiselles ont baissé son flottant et malaxent ses organes durant tout le voyage, lui demandant même de relever les cuisses pour pouvoir exciter son anus.
Inutile de dire que Seb a apprécié ce voyage bien court à son gré et qu’il n’a pas refusé l’invitation d’un prochain week-end à la campagne.
Seb et Marion sont arrivés très tard ce soir là. Tout le monde dormait et ils se sont installés dans une des chambres libres. Le lendemain Seb réveillé de bonne heure décide en attendant le petit déjeuner de faire un tour dans le terrain. Il a simplement enfilé un flottant sur son corps nu et sort sans bruit. Le temps est au beau et Seb s’avance vers le jardin. A quelques mètres de lui il aperçoit de dos une femme penchée vers le sol. Elle ne l’a pas entendu et entièrement nue, jambes tendues et écartées elle lui dévoile toute sa zone génitale. Seb ne peut s’empêcher d’admirer les fesses rebondies, la raie ornée de quelques poils blonds laisse entrevoir l’anneau plus brun et plissé d’un anus excitant. Il s’approche doucement pour apprécier pleinement le spectacle. Les lèvres entrebâillées de la moule visibles dans cette position sont peu cachées par la toison clairsemée de la dame. Elle avance doucement les pieds écartés de chaque côté d’une raie de salade qu’elle est en train de cueillir. Se redressant en quelques pas de côté elle se retrouve sur une bande herbeuse. A demi accroupie, de nouveau jambes écartées, genoux demi pliés elle se penche vers l’avant cul plus haut que la tête. Quelques secondes d’attente et un jet timide d’abord puis abondant sort de sa moule béante pour ensuite se réduire en petits jets discontinus traduisant la fin de la miction. Seb pouvait dans la raie écartée par la position de la dame repérer les contractions et relâchements du sphincter anal synchronisés avec les expulsions d’urine. Pendant un bon moment il s’en met plein les yeux jusqu’à ce que sentant une présence derrière elle la femme regarde entre ses jambes et aperçoive le jeune homme. Elle finit de laisser s’échapper les dernières gouttes puis se redresse et se retourne nullement gênée de sa prestation. C’est une belle femme d’une cinquantaine d’années, pas très grande, un peu potelée. Ses seins assez importants aux tètons plutôt longs aux aréoles larges et roses sont un peu affaissés mais attirants. Son pubis est orné d’une broussaille peu dense de poils qui masque à peine le sexe.
-Tu dois être Seb, ma fille m’a prévenue qu’elle venait avec son petit ami du moment. Tiens rends-toi utile, suis moi avec ce panier, je dois finir de cueillir la salade et la nettoyer pour midi. Tu vas m’aider.
Ayant dit cela elle reprend son travail. Seb ne se le fait pas dire deux fois. Il s’accroupit près du pied droit qui est en avant ce qui lui permet quand il lève discrètement les yeux d’apprécier la vue imprenable sur les charmes de la mère de Marion. Il la suit pas à pas et bientôt au fur et à mesure que le panier se remplit sa bite gonfle, se tend, le gland sort son museau dans l’entre-jambe assez large du flottant.
-Déjà au travail s’écrie Marion qui vient les rejoindre.
Elle aussi arrive dans le plus simple appareil et s’approche des jardiniers. Ses tétons ornés d’anneaux pointent en avant. Elle se plante devant eux pour les apostropher :
-Je vois que vous avez fait connaissance de bon matin. Mais qu’est-ce qui t’arrive mon Seb, tu bandes ! C’est maman qui te fait cet effet ! Relèves-toi s’il te plait !
Seb obtempère et Marion s’agenouillant devant lui d’un coup sec tire le short vers le bas, libérant la queue qui se dresse aussitôt.
-Regarde Maman tu lui fais un bel effet insiste-t-elle malgré la gêne manifeste de son ami. Admire sa grosse et longue queue qui se dresse en ton honneur !
-C’est un plaisir de se rendre compte que, à mon âge je plais encore aux jeunes ! C’est vrai qu’il a une belle bite, longue, grosse, tu n’avais pas exagéré au téléphone. Son beau gland décalotté par son érection fait envie. Il a de belles couilles aussi, bien lourdes ajoute-t-elle en les soulevant. Ce doit être plein de bon jus là-dedans ! Je t’envie ma fille. Ce jeune homme doit te faire vraiment jouir en t’emplissant de son foutre! Comme disait ta grand’mère « du jus de couilles plein le cul ou la gueule mais pas dans le con évite le mouflet dans le ventre! » J’espère que vous faites attention et que je ne serai pas grand-mère trop tôt ! Seb tournes- toi que je vois le coté pile ;
Etonné de la tournure que prend la conversation Seb obéit.
-Mais c’est que ce jeune homme a le cul bien fermes ajoute la mère en empoignant une fesse d’une main décidée, son pouce dans la raie sans nul doute en contact avec le petit trou. Ecartes un peu les cuisses …elle glisse son autre main entre les jambes de Seb et soupèse encore les bourses. C’est très jouissif elles sont vraiment lourdes! Il est mieux équipé que celui que tu nous avais amené il y a quelques mois…
-Maman tu sais bien que je n’aime pas beaucoup que tu tripotes mes potes. Seb même si tu le fais bander est tout gêné. Je ne l’ai pas prévenu que chez nous on se balade presque toujours à poil. C’est la campagne indique-t-elle à l’intention de son ami mal à l’aise, les voisins sont loin. Seul parfois un couple de retraités se promène dans le coin et ils ne sont pas contre le fait de nous admirer tout nus… ils s’arrêtent quelque fois pour discuter mais surtout pour se rincer l’œil surtout s’il y a de jeunes invitées.
-Je suppose que ce jeune homme est Seb dont tu nous as parlé.
C’est un homme plutôt trapu qui arrive à grands pas. Lui aussi est nu et ses attributs s’agitent au gré de sa marche. Seb ne peut faire autrement que de regarder le bas-ventre de celui qui vient vers eux, il est frappé par les couilles poilues pendues très bas qui se balancent à chaque enjambé.
-Bonjour ma fille continue l’arrivant en serrant Marion tout contre lui. Bienvenue à toi et à ton ami. Je vois que ta maman fait connaissance avec son sans-gêne habituel ! Elle lui a déjà mis la main au cul… je vais la surveiller de près plaisante-t-il. Je pense que Paul, Henri et moi-même devrions suffire à la satisfaire mais on ne sait jamais la jeunesse est attirante. Il faut reconnaitre que c’est un des plus beau et des plus couillu que tu nous aies présenté ! Allez venez le café doit être chaud il est temps de prendre notre petit déjeuner.
Sur ces fortes paroles ils se dirigent tous les quatre vers la maison. Martine toujours espiègle tire Jean son mari par la bite tandis que Marion se contente de se serrer contre Seb bras sur son épaule comme pour le rassurer. Elle doit avoir peur que la désinvolture de ses parents envers les choses du sexe ne le rebute.
Autour de la table dressée sur la terrasse ils retrouvent quatre autres personnes. Marion fait les présentations :
-Voici Marie une des amies de mon frère Loïc à son côté, l’autre jeune homme basané est Damien ami de Marie et Loïc, venu avec Julie. Comme tu le vois ils sont déjà habitués à notre manière de vie.
En effet tous sont entièrement nus et Seb se rend compte qu’il ne s’intéresse que peu aux visages des convives mais que son regard est surtout attiré par seins ou bas ventres. Ses yeux se posent d’abord sur la zone génitale de celui qui lui a été présenté comme étant Damien le basané. En effet sa peau est plus halée qu’habituellement, presque marron. Nonchalamment assis sur un banc à coté de Julie les cuisses écartées il ne dissimule aucune partie de son anatomie. Ce que Seb remarque tout de suite c’est que si la longueur et l’épaisseur du membre de Damien n’ont rien de particulier par contre son extrémité, son gland circoncis est énorme, la tête se montre sans artifice et bien que le sexe soit au repos il est terminé par un très gros renflement, comme la boule au sommet d’une quille. Le gland violacé arbore un méat légèrement humide, fente à demi ouverte. Seb imagine cet instrument forçant l’entrée d’un vagin ou plus encore d’un anus, le ou la partenaire doit sentir l’intromission ! Son bas ventre est soigneusement rasé, même les deux couilles qui reposent sur le banc sont totalement lisses, comme souvent la gauche plus volumineuse que l’autre. La fille appuyée contre lui, Julie est brune mais sont pubis bien rasé lui aussi ne cache pas la petite fente qui placée très haut sur son bas ventre est très attirante. Mais Seb se demande comment ce gros gland a sans doute put pénétrer cette moule. Julie grande, mince se tient debout une main sur le dossier du banc. Ses seins assez forts pendent un peu sous l’effet de la pesanteur mais leurs mamelons percés par un bijou se dressent fièrement au centre de très grandes aréoles très roses. Les lèvres de son sexe, aussi bien les petites mais surtout les grandes sont tirées vers le bas par de nombreux bijoux assez lourds qui les transpercent, autant que Seb puisse en juger même le capuchon du clitoris est orné de deux anneaux dorés. Sa main droite tout contre le sexe du frère de Marion est chargée de bagues. Seb ne peut s’empêcher de remarquer la demi-érection de cette queue excitée par la chaleur de la main de la belle. Queue qui sans être exceptionnelle parait de belle taille, non circoncise, le prépuce est percé d’un bijou qui scintille à chacun des balancements de cet organe.
Martine la mère toujours décontractée est assise sur un transat, les cuisses de chaque côté du siège position qui expose bien sa moule. Quant à Jean le père debout près de la table il verse les cafés. Ses volumineux attributs flasques reposent sur la table contre laquelle ses cuisses sont en appui.
-Damien et Julie ont eu la bonne idée de nous apporter des croissants et des petites brioches, c’est très gentil de leur part. Viens près de moi que je te fasse la bise Julie, tu transmettras à ton mâle !
Elle ne se le fait pas dire deux fois et se serre contre Jean. Ses seins s’écrasent contre le torse, pubis en contact avec la hanche de l’homme qui la saisit par la taille faisant saillir la croupe de la demoiselle plaquée contre lui. Leurs lèvres se joignent. Ce baiser se prolonge un peu plus que nécessaire et tous peuvent voir que sur la table la bite s’allonge découvrant un gland rougeoyant. Lorsque le baiser se termine enfin Jean une tasse à la main se retourne pour la passer à sa femme mais dans le mouvement le bout de sa bite bien raide maintenant heurte une autre tasse qui se renverse sur la table.
-C’est bien de toi ça s’écrie Martine, toujours la queue en avant, pourtant d’habitude tu es plus habile avec ton engin ! Mais rien de grave la plastique ne se tache pas, Marion va nous chercher une éponge s’il te plait…
-Merci Marion… regardes la bite de ton père, regardez comme elle a rétrécie ! Elle a eu peur de se faire ébouillanter…. Pour l’éponger je suis obligée de la tirer par le prépuce pour la tenir droite !
Ce disant Martine frictionne vigoureusement avec l’éponge toute la zone génitale de son homme
-Oh le calme ne dure pas longtemps, elle recommence déjà à durcir, mon traitement est efficace. Bon ça suffit … Loïc je te passe l’éponge, essuie la table et le sol s’il te plait.
Loïc obéissant nettoie le café répandu sur la table puis s’agenouille pour essuyer le sol. Seb qui s’était assis sur la marche qui donne dans le séjour est à bonne hauteur pour apprécier la valse des couilles de Loïc qui ne ménage pas sa peine et frotte vigoureusement les dalles ; Le bijou qui perce le prépuce se balance et reflète des éclats de lumière en fonction des mouvements. Ce que Loïc n’avait pas vu lors des présentations c’est que le périnée et même le plissé de l’anus très visibles de par la position du jeune male sont aussi percés par des anneaux décoratifs. Décidément la famille et les invités de son amie semblent très portés sur les ornements érotiques. Martine lâche son homme et pour s’approcher de la table passe une jambe par-dessus son fils qui nez en l’air doit surement sentir les effluves femelles. Décidemment pense Seb, ils n’ont vraiment aucune gêne dans cette famille.
-Il est tout de même temps de prendre notre café s’exclame la mère de famille. Elle saisit deux petits pains et s’installe de nouveau sur le transat. Mais elle plie les genoux, pose ses pieds sur le siège et bas ventre bien dégagé introduit un des petits pains entre les lèvres humides de son con.
-Viens te servir papa je te prépare un petit pain aromatisé de mon suc… je sais que tu adores ça. Elle le fait entrer et sortir plusieurs fois de son sexe puis l’enfonçant assez profondément continue :
-Sers-toi directement chez le fournisseur, mais uniquement avec ta bouche, tu sais comme j’aime sentir tes lèvres et ta langue fouiller mon intimité.
Jean sans se faire prier s’approche et se penche pour happer la friandise sa langue et son nez tentant d’écarter les muqueuses. Ce faisant dos tourné à tous il dévoile un beau cul très poilu sous lequel pendent ses attributs, ou plutôt ses couilles car la queue bandée par l’exercice auquel il se livre n’est plus visible entre ses jambes. Les spectateurs peuvent par contre apercevoir la main de la maitresse de maison qui sans doute excitée lui malaxe activement les bourses. Ayant enfin réussi à saisir la pâtisserie il se redresse et se retourne flamberge au vent :
-Je veux bien partager avec qui le désire !
Damien accepte de partager cette brioche aromatisée et s’en délecte sous les yeux de Julie qui n’en revient pas.
-Madame votre mouille est succulente, j’ose espérer qu’avec la bénédiction de Julie je pourrai y gouter directement à la source !
-Voilà qui est parlé et doit faire mouiller ma femme. Mais finissons le petit déjeuner avant que nos amis Paul et Henri n’arrivent. Vous apprécierez ces deux beaux spécimens de fouteurs qui plaisent tant à Martine. Souvent je surnomme Martine Blanche-neige non pas bien sûr à cause de son innocence mais parce qu’elle a été capable de satisfaire sept males sans problème. Si tu es d’accord et s’ils sont en forme vous nous ferez j’espère une démonstration de vos capacités. Vous verrez de vrais étalons à l’œuvre surtout Paul qui est increvable et ne débande que rarement. Martine qui vous pourrez le voir ne demande pas son reste finit par demander grâce sous leur assauts ! Quand on parle du loup il arrive !
En effet deux hommes se présentent. Ils ont bien entendu laissé leur peu de vêtement dans l’entrée et il est possible d’admirer leurs grands et robuste corps assez impressionnants.
Le premier Henri ne s’embarrasse pas de formalités et se précipite, surtout sur les femmes pour leur faire une bise nettement appuyée. Il profite de cette situation pour, les ceinturant serrer chacune contre son ventre et bien entendu c’est son gland qui au bout d’une bite légèrement tendue entre en contact en premier avec leur abdomens. Comme peut le constater Seb il tente d’introduire son vit entre leurs jambes rarement serrées et qui ne refusent pas ce contact appuyé. Il faut avouer que ses attributs ne manquent pas de susciter l’intérêt de toutes. Par contre Martine toujours assise se trouve à bonne hauteur pour avec sa langue souhaiter le bonjour à ce sexe avenant.
Paul qui contrairement à tous n’est pas totalement nu, a gardé un tee-shirt qui lui arrive à mi- ventre. Ce qui se trouve en dessous mérite le coup d’œil. Ce grand noir ne fait pas mentir la légende et ses poils noirs, frisés ne peuvent dissimuler une bite de cheval que ses bourses ramassées dans leur scrotum, soulèvent et mettent en valeur bien que manifestement il ne soit pas en érection. Quand il se penche vers Martine toujours affalée dans le transat pour l’embrasser il s’arrange pour présenter son sexe au niveau de la tête de la femme et balayer son visage d’une queue nonchalante. Martine apprécie et plutôt que de lui faire une bise classique saisit le membre qui la nargue et repoussant le prépuce donne quelques coups de langue sur le bout du gland qui en signe de contentement relève un peu la tête.
-Asseyez-vous et si vous le désirez Marion va vous servir le café indique Jean. Mais attention c’est ma fille n’en profitez pas pour lui peloter le cul. J’ai promis à nos invités que vous ferez une petite démonstration de vos talents Martine et vous deux pour nous mettre en appétit. Vous avez bien une bonne heure devant vous avant que nous passions à table. D’accord ? Marion et Loïc s’il vous plait poussez la table et mettez la sur le côté. Il faut dégager la piste de leurs ébats. Damien et Seb aidez-moi nous allons disposer des coussins au sol en arc de cercle pour nous asseoir et ainsi être à bonne hauteur pour admirer leur prestation. Marie et Julie vous voulez bien sucer un peu leurs deux bites pour abréger les préliminaires, la jeunesse de vos bouches les feront bander plus vite et l’action pourra démarrer plus rapidement. Martine mouille déjà pas besoin de préparation pour elle, ajoute-t-il en retirant les deux doigts qu’il a glissés dans le vagin de madame.
Marie et Julie bien que peu enthousiastes n’ose refuser et timidement d’abord prennent chacune un membre en bouche. Mais les spectateurs ont l’impression que petit à petit elles apprécient le jeu à mesure que les vits se tendent et gonflent entre leurs lèvres. Leur excitation semble se développer tout comme le montrent les bouts de leurs mamelles.
-Allez place au spectacle indique Jean. Henri couches-toi sur le dos…admirez tous le mât qui se dresse, bravo jeunes filles vous avez bien œuvré. Allez chérie face à Henni accroupies toi sur cette bite je t’aide pour l’enfiler dans ta cramouille…. Pas si vite tu vas te faire mal ! Penches toi bien sur le torse de Henri pour nous montrer ton petit trou, Marion passes moi le beurre, pour le plaisir de ta maman je vais enduire son cul de beurre, la bite de notre ami Paul entrera plus facilement. Je ne sais pas si vous avez remarqué la taille de ce braquemard mais beaucoup de graisse est utile pour se le faire enfiler sans trop de douleur, même pour le cul de ma femme qui en a vu d’autres ! Merci ma fille continue-t-il en passant abondamment le beurre dans la raie culière qui s’offre à lui Martine écartant largement de ses deux mains ses belles fesses. De deux puis trois doigts il enduit le conduit intérieur :
-J’assouplie ton anus ma belle, la bite de Paul entrera plus facilement. Allez Paul présente ton outil face à son trou. Vas-y franchement ajoute-t-il en poussant son ami par les fesses. Penché visage très près des opérations il assiste à la pénétration progressive du gros organe qui ayant franchi le sphincter anal progresse dans le fondement de Martine. Quand il voit les couilles s’écraser contre le périnée de madame dont le con est déjà envahi par le vit d’Henri il se recule pour se placer à genoux tout près du visage de sa chérie guettant les signes de la jouissance. Sa queue tendue et décalottée se présente tout près de la bouche de sa femme au cas où elle voudrait la téter pendant sa saillie. Les spectateurs de cette exhibition ont une vue directe sur les grosses fesses du noir et sur sa bite qui s’active dans l’anus de Martine, tandis qu’entre ses cuisses ils peuvent apprécier la chatte de la dame investie par un autre organe, celui d’Henri. Lorsque Jean estime que le spectacle a assez duré il interpelle les acteurs :
-Allez les mecs je connais votre endurance mais on ne va pas vous admirer toute la matinée. Il est vrai que votre performance est superbe mais crachez votre foutre dans ma femelle que l’on puisse préparer le repas. Paul rappelles-toi que c’est toi qui doit faire les grillades !
Finalement dans un rut finale les deux hommes vident leurs couilles pratiquement en même temps, peu avant que Jean sous la réaction de plaisir de celle qui l’a englouti crache lui aussi sa semence au fond de la gorge de son épouse.
Les quatre protagonistes se relèvent et saluent comme de vrais artistes en tournée. Martine ne semble pas se soucier des spermes qui suintent de ses orifices et laissent de longues trainées sur ses cuisses, elle est déjà inquiète pour les préparatifs du repas :
-Loïc et Damien vous voulez bien remettre la table et les sièges en place ? Marion s’il te plait apportes moi une serviette que tu placeras sur ma chaise, avec ce qui coule entre mes jambes je ne voudrai pas tout salir… qu’est-ce qu’ils m’ont mis les salauds !
Sans tarder Paul passe rapidement un tablier et commence à allumer le barbecue. Son ardeur n’est pas retombée et son sexe fait une grosse bosse sous le tablier à demi-soulevé. Julie qui semble avoir été impressionnée par sa prestation se précipite pour lui proposer ses services. Il accepte qu’elle lui passe le bois déposé à terre. Seb remarque que la demoiselle sans se le faire dire deux fois s’agenouille aux pieds de Paul et lui passe le combustible. Chaque fois qu’elle lui tend un morceau de bois elle lève son regard vers lui et par conséquent sous le tablier elle continue d’admirer le sexe toujours en érection qu’elle a vu en action il y a peu.
Le repas se passe sans qu’il y ait lieu de raconter quelque chose de particulier, les grillades succulentes ne permettent que peu de discours.
Après le café accepté par tous chacun se prépare à une sieste réparatrice. Martine interpelle Seb :
-Voudrais-tu me passer un peu de crème solaire sur le corps ? Demandes à Marion de t’apporter mon flacon. Je vais prendre un bain de soleil. Elle s’allonge sur une serviette disposée au sol certaine que sa demande sera exaucée. Effectivement Seb s’agenouille près de la mère de Marion et s’apprête à lui enduire le corps.
-Attends, il faut me débarrasser des coulures de sperme qui maculent mes cuisses, Marion veux-tu nous apporter un gant de toilette humide.
Seb passe avec délicatesse le gant à l’intérieur des cuisses qu’elle lui présente largement écartées. Il pense avoir fini mais prenant ses jambes au niveau des genoux Martine les ramènent vers ses épaules et ordonne :
-Tu n’as pas fini regardes toute ma zone génitale est engluée jusqu’à mon trou de balle, laves tout ça soigneusement s’il te plait… passes bien entre mes grosses et petites lèvres c’est important… nettoie aussi l’entrée de mon vagin et n’oublie pas mon clito… tu vois il sort de son capuchon pour que tu le soignes ! Bien insiste maintenant sur mon périnée… attends je me renverse plus en arrière pour qu’il te soit plus accessible… parfait … la raie du cul maintenant, avec la dose que m’a injectée Paul il y en a besoin ! Merci mon gars il est temps d’enduire mon corps de crème solaire. Ne bouge pas pour te simplifier la vie je me mets à quatre pattes, tu as ainsi accès plus facilement à tout mon corps.
Genoux et coudes au sol, bien évidemment cuisses écartées elle présente son cul au jeune homme. Seb d’une main hésitante commence, sous le regard de son amie à enduire le dos de Martine.
-C’est bien mais tu peux masser plus fort pour faire pénétrer la crème… mais le dos ça va, c’est surtout les fesses le ventre et les seins qui doivent être protégés… insiste bien sur mes fesses… n’hésite pas à en mettre dans ma raie et même dans mon trou de balle qui a été irrité par mon enculage…n’hésites pas enfonces moi deux ou trois doigts et enduis bien l’intérieur…voilà parfait je te sens bien… vas un peu plus profond s’il te plait, fais tourner tes doigts dedans… impeccable maintenant mets moi de la crème sur le périnée, frottes bien tout mon entre-jambe… montes jusqu’au pubis… n’hésite pas à tirer d’une main sur les lèvres de ma moule et de l’autre à passer la crème sur toute leur surface, dans tous les replis… bien, bien…passes à mes mamelles maintenant.
Docile, mais un peu inquiet de la réaction de Marion il jette un coup d’œil vers sa chérie, et rassuré par le sourire de connivence qu’elle lui renvoie il la voit s’approcher pour profiter du spectacle. Seb toujours agenouillé passe sur le côté de Martine.
-Regarde ma poitrine pend un peu c’est de mon âge. Tiens l’un de mes seins d’une main ferme et de l’autre enduis le bien…surtout dans le pli inférieur…voilà… n’oublie pas le téton… enduis le bien c’est une partie très sensible…parfait l’autre maintenant… merci tu as été très gentil, je vais maintenant m’allonger et me faire chauffer la foufoune par le soleil. Marion je te rends ton homme !
Marion félicite Seb d’avoir aidé sa mère :
-Maman aime bien provoquer, surtout mes nouveaux copains. Elle est très exhibitionniste et un brin nymphomane mais elle ne ferait pas de mal à une mouche. Mon père pas jaloux pour deux sous l’aime telle qu’elle est et fait tout pour son plaisir. C’est lui qui lui a présenté Paul et Henri pour pouvoir satisfaire pleinement sa libido. Je pense que sous certains aspects je ressemble à ma mère et je vais te demander quelque chose : tu as vu la bite particulière de Damien. Et bien si tu es d’accord j’aimerai bien la sentir m’enfiler, me faire baiser par lui. J’en ai parlé à Julie elle veut bien me prêter son mec à condition d’être présente lors de notre coït. Damien ne refusera sans doute pas, d’après elle il est toujours partant pour planter sa bite dans une meuf. Pensant que tu serais d’accord je leur ai donné rendez-vous à l’orée du bois, nous y serons tranquilles. Je te réserve une belle surprise si tu acceptes ajoute-t-elle en lui donnant un chaud baiser.
Seb peut difficilement refuser cette demande et bras dessus bras dessous se rendent au rendez-vous. Ils retrouvent Julie et Damien qui pour patienter se masturbent réciproquement.
-Je vois que vous avez su meubler l’attente s’exclame Marion .Comme j’ai remarqué ton inclination au voyeurisme mon Seb adoré tu vas t’allonger sur le dos, moi je me place en 69 au-dessus de toi. Ainsi ton visage à quelques dizaines de centimètres de mon sexe tu pourras tout à loisir admirer sa pénétration par la bite de Damien ! Bon exécution sans attendre, je vois que Damien bien chauffé par Julie bande déjà. Allez je suis prête, Damien enfiles moi lentement s’il te plait que Seb ait le temps de voir ton organe progresser dans mon vagin…vas-y mais toujours lentement tu entres et tu sors à demi de mon con… oui c’est divin je sens parfaitement ton gros nœud coulisser dans mes muqueuses… allez continue un peu plus vite… Alors Seb tu es aux premières loges, tu dois te régaler devoir cette belle queue baiser ta copine…
Effectivement à quelques centimètres de ses yeux Seb suit le membre du jeune homme coulisser entre les lèvres serrées de la chatte de son amie. Il est plutôt étonné de ne pas ressentir de jalousie mais plutôt un vrai plaisir augmenté par les lèvres de sa dulcinée qui s’activent sur sa bite. Après plusieurs minutes conscient de sentir les bourses qui par moment frottaient sur son nez remonter petit à petit, le pilon grossir de plus en plus et le rythme s’accélérer il intervient quand même :
-Arrêtez, cela fait plusieurs minutes qu’il te lime je n’ai pas envie qu’il remplisse ton vagin de son foutre, il vaut mieux qu’il se soulage dans ton cul s’il peut entrer. Julie tu veux bien mouiller de ta salive la raie de Marion… assouplie lui l’anneau pour éviter que le mandrin de ton ami ne lui fasse trop mal…je l’ai enculée plusieurs fois mais mon gland est loin d’être aussi gros que celui de Damien. Tu dois surement avoir expérimenté cette intromission et savoir comme ça doit être difficile pour son organe de se frayer un chemin dans ton anus…
-Pas particulièrement j’ai une bonne habitude de décontracter mon sphincter anal, Damien m’enfile souvent toutes sortes d’objet voir des canettes de bière et mon cul n’oppose aucune résistance, au contraire je trouve ça très jouissif, mais bon pour Marion je vais freiner l’ardeur de mon mec.
Damien se retire mais son énorme gland, luisant du suc du plaisir de Marion reste au-dessus du visage de Loïc prêt à reprendre la pénétration. Julie simple spectatrice jusqu’alors se penche, pétrit les fesses de Marion, frictionne un peu sa raie et glisse un doigt enduit de crème dans l’anus contracté. Après un temps de massage le petit trou se détend, elle peut introduire alors deux puis trois doigts.
-Tu dois pouvoir l’enculer maintenant. Places ton gland tout contre, je te guide …Seb écartes les fesses de ta chérie Damien va commencer de forcer le passage… tu vois la pointe a déjà bien pénétrée, détends toi bien Marion tu vas ressentir une jouissance indescriptible quand son gland fouillera tes entrailles… vas-y Damien forces un peu le passage ordonne-t-elle en poussant son mec par les fesses… lentement laisses le temps au sphincter de Marion de se détendre, ce n’est pas mon cul il faut qu’elle s’habitue… ça y est .. elle a ton gros bout dans le cul… regarde Seb la bite de Damien est complètement enfoncée… Damien tu peux commencer à la limer sans souci… ses petits cris prouvent son plaisir…vas-y lâches toi mets lui en plein les boyaux. Julie tout en donnant ses indications a passé une main entre les cuisses de son mâle et malaxe fortement les bourses qui claquent à chaque poussée contre les fesses de Marion. Finalement Damien s’immobile et crache son foutre dans les entrailles consentantes. Seb toujours aux premières loges est subjugué par cette copulation. Lorsque Damien se retire il entraine un peu de sperme qui goutte sur son visage. Loin de le rebuter ce suc l’amène, grâce au mouvement de Marion qui s’est pratiquement assise sur la face de son ami, à lui lécher sans retenue toute la raie.
-Fini la galipette les amoureux il est bientôt temps de reprendre la route du retour. Une petite douche et c’est parti ! s’exclame Julie. Dit donc qu’est-ce qu’il t’a mis, tu en as plein les cuisses tu es excitante à voir comme ça n’est-ce pas Seb ? J’espère que tu as eu autant de plaisir que ta dulcinée en la voyant s’éclater ! Essuies toi bien le visage tu es encore maculé du sperme de Damien… viens ici que je le lèche j’aime bien le gout de la semence de ce baiseur.
Revenus près des autres ils se préparent pour le retour. Julie a proposé à Marion et Loïc d’effectuer le retour dans la même voiture.
Les adieux se font rapidement mais quand Loïc se contente de faire une bise à ses hôtes Martine le réprimande :
-Chez nous on ne se fait pas qu’une petite bise, les partants doivent embrasser le sexe de chacune et chacun. Allez exécution dit-elle en plaçant son ventre en avant.
Seb puis Damien, Julie et même Marion se soumettent à ce rite, fouillent de leurs lèvres la chatte présentée, celle de Marie puis sucent brièvement les bites de Jean, Paul et Henri.
-Damien c’est toi qui conduis et pour ne pas te distraire je passe derrière avec Julie et Seb. Si tu es sage à l’arrivée nous te sucerons toutes les deux ensemble jusqu’à éjaculation dans nos bouches pour te récompenser.
C’est ainsi que pour le retour Seb se retrouve sur le siège arrière entre les deux demoiselles qui jupes retroussées jusqu’à la taille et bien évidemment sans culottes s’installent. Le voyage lui parait trop court occupé qu’il est de chacune de ses mains à titiller les clitoris ou glisser ses doigts entre des lèvres vaginales humides. Les demoiselles ont baissé son flottant et malaxent ses organes durant tout le voyage, lui demandant même de relever les cuisses pour pouvoir exciter son anus.
Inutile de dire que Seb a apprécié ce voyage bien court à son gré et qu’il n’a pas refusé l’invitation d’un prochain week-end à la campagne.
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