Une fantaisie d'un couple marié

- Par l'auteur HDS Micky -
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Une fantaisie d'un couple marié Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une fantaisie d'un couple marié

‌‌C'est un couple marié comme il y en a tant d'autres. Ils ont la quarantaine, un physique ordinaire, lui plutôt mince et dégarni mais sportif, elle plutôt petite et charnue avec des cheveux châtain clair, mi-longs, un nez un peu fort mais un sourire doux. Il s'appelle Romain, travaille dans la maintenance et elle s'appelle Mathilde, oeuvre comme préparatrice en pharmacie. Ce soir là, elle rentre du travail après avoir passé une bonne partie de la journée debout derrière son comptoir et elle est un peu fatiguée. Après s'être mise à l'aise avec sa tenue maison (un jogging sous lequel elle est nue), elle s'attelle à prépare un dîner léger pour deux car leurs deux enfants sont absents pour cause de vacances à la mer avec un groupe car on est en été. Lorsqu'ils se mettent à table, Romain a une petite étincelle dans le regard qui interpelle Mathilde :
- On dirait que tu es gai ce soir. Ta journée s'est bien passée, on dirait.
- Oh, pas plus que d'habitude, j'avais un programme de révision que j'ai suivi à la lettre, voilà tout. Je t'admire, c'est tout.
- Ah bon ? C'est nouveau, ça.
- Mais je t'admire toujours, chérie, même si je ne te le montre pas toujours.
- C'est gentil. On dirait que tu attends quelque chose de moi...
- J'ai une question à te poser. Un couple marié fait-il l'amour systématiquement ou est-ce qu'il peut baiser ?
- Euh... Peux-tu préciser ta question ?
- Une épouse, à ton avis, peut-elle se transformer en maitresse ?
- Ben... ça dépend des circonstances, de l'humeur du moment mais où veux-tu en venir exactement ?
- Bon, je vais aller droit au but. On est tranquille ce soir et je ne veux pas te faire l'amour. Je veux te baiser.

Mathilde resta la fourchette en l'air, stupéfaite du propos de son mari.
- Quoi ? Qu'est-ce qui te prend de parler comme ça ? C'est d'un vulgaire !
- Ne fais pas ta sainte nitouche. Tu aimes le sexe ou pas ?
- Bien sûr que j'aime ça. Tu le sais très bien. Mais enfin, dit comme ça...
- J'ai pensé à ça toute la journée. J'ai une queue... je te dis pas. J'ai envie de te défoncer, de te faire vraiment jouir.
Mathilde ne mangeait plus. L'évocation de sa queue par son mari avait déclenché une onde de chaleur dans tout son corps. Cette manière d'aborder le rapport sexuel à venir changeait leurs habitudes mais le désir intense que lui manifestait son mari ne pouvait pas la laisser insensible.
- Bon, si je te comprends bien, tu veux aller au lit dès maintenant, c'est ça ?
- Pas du tout. Je ne veux pas te faire l'amour. Je veux te baiser. Et je te le prouve dès maintenant.

Alors, Romain se leva de table, déboutonna son pantalon et sortit son membre viril, effectivement tendu, le gland totalement décalotté au-dessus de son assiette.
- Regarde. C'est pour toi, tout de suite, là, maintenant. Suce-moi.
Mathilde n'était plus réticente. Elle ressentit aussitôt cette petite douleur aux seins qui était systématique quand le désir charnel l'envahissait. Cette bite offerte, de l'autre côté de la table, pouvait-elle l'ignorer ? Elle se leva à son tour, se pencha en avant après avoir écarté son assiette et emboucha le gland. Puisqu'il voulait être sucé, elle le sucerait, le ferait jouir et il la laisserait tranquille après. Le problème est que plus elle suçait et moins elle avait envie de le faire gicler. Son bas-ventre réclamait. Aussi, quand Romain lui dit : "Ecarte les assiettes, assieds-toi sur la table et laisse-moi faire...", elle se laissa déculotter, ôta elle-même son haut de jogging, s'assit au bord de la table, écarta les cuisses et accueillit la bouche avec délectation sur sa vulve humide, maintenant fermement sa nuque d'une main et caressant ses seins lourds de l'autre. Il allait la prendre sur la table ce qui ne s'était pas produit depuis des lustres. Il allait la baiser et elle allait baiser. Sa langue agile la préparait à une introduction vigoureuse, massive et, elle l'espérait, durable.

Quand il releva son visage mouillé de son jus, il l'interrogea :
- Alors, tu veux baiser ou faire l'amour ?
- Peu importe. Je veux ta queue, répondit-elle d'une voix rauque.
- Au lit ou ici, sur la table ?
- Là, maintenant, tout de suite.
- Donc tu veux baiser. Dis-le !
- Oui, je veux baiser !
- Dis que tu veux ma grosse bite !
- Oui, je veux ta grosse bite. S'il te plait, viens ! Baise-moi !

Elle ne faisait plus sa "chochotte", attitude de circonstance, un peu hypocrite. Validé, Romain se releva, guida son gland vers la vulve béante, et s'enfonça lentement, les yeux dans ceux de son épouse qui encercla aussitôt son dos et le força à s'introduire totalement. A ce stade de leurs ébats, Mathilde voyait encore ce rapport comme une simple fantaisie de son mari. Elle allait jouir sur la table, car elle jouissait facilement, il allait gicler en elle, ils s'embrasseraient, satisfaits, elle se moquerait de lui pour ses mots crus, ils iraient se doucher, s'habilleraient d'un pyjama et finiraient la soirée devant la télévision avant d'aller se coucher.
Mais telle n'était pas l'intention de Romain, et elle s'en aperçut quand, après qu'elle eut effectivement joui, il se retira, toujours gaillard, lui téta les seins, soupesa leur opulence, trouva sa bouche, la prit par la main et l'entraina dans la salle de bains, la bite en avant.
- Qu'est-ce que tu fais ? crut-elle bon de l'interroger.
- Je vais te baiser devant la glace. Je veux que tu te regardes baiser.

Ce n'était pas encore une première, elle s'était vue prise devant l'armoire à glace de la chambre d'amis de ses parents alors qu'ils étaient encore fiancés, mais cela remontait à loin. Elle avait grossi depuis, connu ses premières rides mais elle devait bien avouer qu'elle n'était pas encore totalement rassasiée de sexe. Cette bite dure, rigide, tendue, demeurait à son service. Elle découvrit son visage de femelle dans le vaste miroir au-dessus du lavabo, ses seins pendants alors qu'elle se penchait en avant, et derrière elle le visage concentré de Romain qui lui prenait les hanches, et elle se reconnut à peine. Oui, c'était bien la figure d'une femelle en attente de mâle que le miroir lui renvoyait. Et quand il fut à nouveau en elle, ses exclamations de plaisir couvrirent la glace d'une petite buée et de postillons.
- Tu te sens baisée ? souffla-t-il à son oreille.
- Mmmhhh oui, t'arrête pas surtout, continue, allez allez...

La petite pièce s'emplit du "floc floc" des deux sexes joints, du choc de la peau du ventre de l'un contre la croupe joufflue de l'autre, des halètements du mâle et des couinements de la femelle. Mathilde s'observait dans un état second, étonnée de son visage barré d'un rictus alternant avec sa bouche ouverte sur ses onomatopées mais concentrée sur cette bite qui la ramonait au plus profond.
- Tu baises ou tu fais l'amour ? lui dit-il.
- Je baise, je baise, encore, encore...
Il se détacha, s'accroupit, lui écarta les fesses et lui mit la langue dans son anus. Le délicieux chatouillis la fit sourire. Qu'il était cochon, son petit mari ! Elle eut alors une brève pensée pour sa collègue Fanny, vivant en concubinage. Elle l'avait parfois choquée en lui confiant à l'oreille les fantaisies de son mec, qui lui faisait un "annulingus" avant de la sodomiser. Cette petite brune menue et pétillante, à peine moins âgée qu'elle, l'épatait par sa liberté sexuelle et son langage cru. Et voilà que Romain s'apprêtait manifestement à lui faire subir le même outrage.
- Je vais t'enculer, la prévint-il en effet. Détends-toi, laisse-toi faire.

C'est vrai qu'il l'avait prévenue en lui annonçant qu'il allait la baiser. On était loin de l'amour courtois. Mais ça lui plaisait. Elle creusa les reins, se concentra sur son orifice car elle n'avait pas l'intention de lui refuser ce plaisir et encore moins de se tenir en retrait par rapport à Fanny. Oserait-elle tout lui raconter ? Elle était en feu des orteils à la racine des cheveux. Il entra en elle à petits coups, observant son expression via le miroir. Bouche grande ouverte sur une langue toute rose. Yeux écarquillés et clos. Puis un "ha !" sonore quand il fut totalement engagé. Quand il commença à limer, elle se mordit puis se lécha les lèvres. Elle eut un petit mouvement rotatif de hanches qu'il prit comme un contentement. Il l'encula en lui pétrissant les nichons, la tête contre la sienne, son souffle dans son oreille :
- Tu aimes ? lui demanda-t-il.
Elle se contenta d'opiner du chef, trop concentrée sur son plaisir anal pour répondre. Cette relation était rare dans leurs rapports. Elle y avait droit en général en vacances, quand ils avaient le temps et étaient bien chauds, dans le feu de l'action, et de manière très brève. Mais jamais elle ne s'était sentie aussi catégoriquement "enculée". Elle se lâcha d'un coup, éructant un cri de jouissance, le dos couvert de chair de poule, le visage soudain détendu. Il réprima de justesse son éjaculation tandis qu'elle courait vers les toilettes en proie à une envie pressante, le rectum chahuté. Elle revint un peu flageolante avec un "oh là là" évocateur de la jouissance qu'il lui avait procurée. Et elle dit :
- Mais... mais... tu bandes toujours ?
- Ben oui. Je t'ai prévenu qu'on allait baiser. Et on baise, non ?
- Tu parles. Je ne me suis jamais sentie aussi chienne, vieux cochon que tu es. Tu as pris du viagra ou quoi ? Tu es infatigable !
- C'est ton corps qui m'inspire, chérie. Tu es terriblement bandante.

Romain connaissait suffisamment les femmes, et la sienne en particulier, pour savoir que leur hantise était de ne plus susciter le désir. Lorsque quelque chose n'allait pas dans leur couple, il résolvait la question illico au plumard. Rassurée sur sa séduction malgré ses défauts liés à la maturité, Mathilde retrouvait la joie de vivre. Alors, elle n'avait plus quarante mais vingt ans. De voir ce soir là que son mari bandait vraiment pour elle, qu'il remettait le couvert sans débander, qu'il se comportait en mâle fornicateur plus qu'en mari lui faisait perdre toute retenue bourgeoise. Effectivement, il la baisait et elle adorait ça. Son corps pulpeux n'était plus qu'un sexe.

Elle le vit dépouiller le canapé et transférer les coussins sur le balcon de leur appartement.
- Mais qu'est-ce que tu fais ?
- On va continuer à baiser ici, sous les étoiles. Ce sera génial.
- Mais... les voisins vont nous entendre !
- Les Martin ? Qu'est-ce qu'on en a à faire ? Martine Martin te prends pour une petite bourgeoise coincée. Tu as une bonne occasion de lui montrer le contraire et moi, de montrer à son mari que je te fais jouir. Il ne peut sûrement pas en dire autant. Allez, viens, rejoins-moi.

Mathilde considéra le corps nu et l'érection intacte de son mari. Il avait touché juste. Cette voisine la prenait toujours un peu de haut. Elle allait lui montrer qui était la plus coincée des deux. D'emblée, elle s'allongea sur Romain et entreprit un 69. Elle avait envie de sucer cette bite qui lui donnait tant de plaisir. Amoureusement. Elle s'en détacha juste pour gémir quand la langue agile de son mari avait touché un point particulièrement sensible.
Puis elle se releva et envisagea une position que lui avait vantée Fanny et qu'elle n'avait jamais expérimentée : chevaucher Romain, mais sur le côté plutôt que dans le prolongement du corps. "On sent vraiment la bite" lui avait soufflé sa collègue.
C'était vrai. Tantôt pieds au sol, tantôt à genoux, Mathilde s'infligea un pal vaginal de haute intensité qui la rendit verbeuse, sans se préoccuper du voisinage. Romain se régalait au spectacle de ce corps à la chair mouvante, des seins aux fesses, et l'entendre commenter ses sensations d'un "ah qu'elle est bonne ta queue, elle est longue, elle est dure, elle me fait un bien fou..." Mathilde avait manifestement décidé de choquer sa voisine en lui révélant qu'elle baisait. Et au cas elle n'aurait pas compris, elle confirma :
- Tu me baises bien, chéri, tu es un homme, un vrai. Prends-moi par derrière maintenant.

Les peaux claquèrent sur le balcon, accompagnées des gémissements de Mathilde, sonores et stimulants. Il se félicitait décidément d'avoir pris ce soir là l'initiative de cet accouplement relevant davantage d'un couple adultère que légitime. Mais il sentait qu'il ne pourrait plus se retenir très longtemps. Son sperme se bousculait au bord du gland. Mais il voulait jouir avec elle. Il se retira et lui dit :
- Allonge-toi, je vais te défoncer. Lâche-toi. Fais-moi gicler. Et commente.
C'était justement ce qu'elle voulait. Etre prise en missionnaire, les yeux vers les étoiles, ses mains sur ses fesses, ses pieds au sol pour lui renvoyer la balle et lui crier toute la jouissance qu'il lui procurait. Elle fut volubile, célébra bruyamment sa bite à mesure que montait son orgasme, lâcha même un "allez vas-y jusqu'aux couilles" qui dut s'entendre jusqu'au rez de chaussée, couina, brama et explosa quand il grogna de jouissance, l'arrosant de son sperme sur ses seins larges et étalés, jus qu'elle porta à sa bouche pour s'en délecter comme un élixir de jouvence.

Le silence retomba sur la nuit d'été. Ils restèrent encore quelques minutes allongés sur le balcon comme pour profiter des derniers instants de cet accouplement si bien réussi. Puis l'ordinaire reprit le dessus. Elle courut se laver sous la douche pendant qu'il remettait les coussins sur le canapé et il la retrouva vêtue d'un simple peignoir, rayonnante, amoureuse, lui adressant une petite caresse sur son sexe au repos comme pour le remercier de l'hommage rendu.
- Je crois qu'on a été très cochons ce soir, gloussa-t-elle.
- Tu as laissé s'exprimer la femelle qui est en toi. Et je t'ai montré que tu es toujours la plus belle pour moi.
Elle l'embrassa et lui dit :
- J'espère que tu me feras encore longtemps des petites surprises de ce genre...

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Excellent récit. Le réveil du couple et le désir enfoui qui resurgit. Vive la baise !!!

Histoire Erotique
Excellente, ce fût un régal 🙂

Histoire Erotique
Micky,
merci pour ce texte encore criant de vérité, car en effet "baiser" de temps en temps permet de casser la routine sexuelle d'un couple...
Didier

Voici une merveilleuse histoire de couple. Oui, Micky, un couple ne fait pas que faire l'amour. Il peut et doit baiser!



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