UNE FEMME OBEISSANTE

- Par l'auteur HDS Jeanyves -
Récit érotique écrit par Jeanyves [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : UNE FEMME OBEISSANTE Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-07-2006 dans la catégorie Dominants et dominés
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UNE FEMME OBEISSANTE
Cette histoire je l’ai réellement vécue je veux vous la relater de la façon la plus véridique.

En cette journée torride du 14 Juillet, nous avions invité pour l’apéritif un voisin qui était seul ce week-end. C’est un homme de 60 ans bedonnant un peu adipeux et a moitié chauve. Il nous avait déjà rendu service en nous fournissant de la viande à prix exceptionnel.
J’avais convaincue Sylvie, ma femme de ne mettre que sa petite robe courte d’été très légère avec un grand décolleté. J’avais eu un peu de mal car elle avait déjà remarqué les coups d’oeils appuyés de Monsieur F (appelons le comme cela) sur son corps. Elle avait accepté sur mon insistance mais à contre cœur !
F arriva les banalités d’usage furent échangées et tous les trois réunis devant la table du jardin, nous discutions de choses et d’autres. Je remarquais que F louchait souvent dans le décolleté de Sylvie mais il n’y avait pas grand-chose à voir, elle avait mis un soutien gorge très sage.
Avec ma femme nous allâmes dans la cuisine pour chercher les amuses gueule et j’en profitait pour lui dire :
- Dis donc tu as vu comment il te regarde ? Tu pourrais retirer ton soutien gorge et te pencher un peu vers lui pour l’aguicher un peu ?!! Ce serait sympa de lui montrer tes seins ?
Aussi surprenant que cela elle me dit :
- D’accord mais juste ça !
Ravi de cette aubaine, je lui dis : D’accord, tu lui montre bien en te penchant vers lui hein ?
Elle parti dans la salle de bain et moi je revins sur la terrasse avec l’autre.
Un instant plus tard, Sylvie nous rejoint mine de rien. Je me demandais si elle avait bien fait ce que je lui avais demandé mais sous la robe légère je vis ses seins remuer quand elle s’assit.
Déjà excité en voyant cela, je dis à Sylvie (pour tester sa bonne volonté) :
-Tiens montre un peu tes plantations à M. F, il te donnera sûrement des conseils !
-Pourquoi pas, venez voir… lui dit t’elle avec un sourire engageant.
- Bien sur avec plaisir.
Ils se levèrent et je constatais que Sylvie se penchait face à lui pour montrer ses fleurs et qu’il devait avoir une superbe vue sur les seins de ma femme.
Elle restait penchée le décolleté ouvert en le regardant dans les yeux avec un sourire franc !
Je me levais enfin et m’approchant d’eux je jetais un coup d’oeil, à ma femme, je vis ses seins ronds et fermes avec les auréoles roses et des bouts tendus comme des pointes et : Surprise, je vis qu’elle avait aussi retiré sa petite culotte !
C’était la première fois qu’elle faisait cela ! Je bandais de plaisir de voir ma femme exaucer mes désirs cachés depuis tellement longtemps !
F était rouge comme les fleurs admirées (?!!)
Cette présentation dura un petit moment, Sylvie s’étant laissée admirer les seins à loisir par le vieux vicieux, ayant toujours un sourire aux lèvres le regardant droit dans les yeux quand il osait croiser son regard.
Nous sommes revenus à la table pour boire nos alcools. Je constatais que Sylvie respirait rapidement et qu’elle buvait vite son apéritif bien servit ! Elle avait laissé sa robe remonter en s’asseyant et nous voyions ses cuisses bronzées. J’en voulais encore plus et d’un regard je l’encourageais , comprenant, elle croisa les jambes faisant remonter sa robe jusqu'à son ventre, nous laissant entrevoir les poils noirs de sa chatte. J’étais aux anges de la voir obéir comme cela à mes fantasmes.
Monsieur F bégayait, toujours rouge pivoine, troublé du spectacle offert par ma femme !
Enfin elle leva pour chercher quelque chose dans la maison. J’en profitais pour dire à notre invité :
-Vous avez de la chance de voir autant de choses ! Peut être un peu plus vous intéresserait ?
- Oh oui, mais ça ne vous dérange pas ?
-Non, au contraire lui dis je. J’avais tellement envie de la voir faire cela pour vous.
Je rejoignis Sylvie dans la cuisine et la pris dans mes bras. L’embrassant sur sa bouche chaude, je glissais une main sous sa robe légère et je sentis sa chatte humide. Je lui fis part de mon excitation à la voir faire tout cela et je profitai de son trouble :
-Dis donc tu as l’air d’aimer te montrer au vieux F mais ce n’est pas assez, si tu lui faisait une petite gâterie ce serait mieux !!
-Oh non il est répugnant, c’est pour toi que je fais cela mais.
- Allez, fais un effort, lui dis je d’un ton ferme, tu es bien partie et il a peut être une belle bite que tu sucera jusqu’au bout. Allez fais moi plaisir suce le !!!
- Bon OK pourquoi pas me dit t’elle !
-N’oublie pas : jusqu’au bout et tu avale son foutre ! Je me mets dans le grenier et je te laisse faire.
Elle ne dit rien et partie rejoindre le vieux, me jetant un regard trouble en passant devant moi.
Sous un prétexte quelconque je les quittais et me rendis dans le grenier. J’écoutais leur conversation.
Sylvie avait dû recommencer ses exhibitions car il lui demanda si elle était heureuse d’être dehors avec si peu de vêtements.
Elle lui répondit :
-C’est lui qui le veut !!! Mais ça vous plait au moins ?
- Bien sur une si jolie femme avec un corps jeune et svelte comme vous !
- J’ai envie de vous embrasser pour toutes les réductions que vous nous avez eu !
Et elle l’embrassa à pleine bouche (je le sut plus tard)
-Viens la haut j’ai envie de toi.
Ils montèrent dans la chambre à coté de moi.
J’avais laissé la porte de séparation entrouverte et je les vis face à face.
Sylvie se jeta contre lui et reprit son baiser, la bouche grande ouverte avalant déjà la salive du vieux.
Elle se mit à genoux devant lui et ouvrit son pantalon, qui tomba à ses pieds, elle descendit le slip de F et une petite bite toute molle se présenta devant son visage.
La prenant entre ses doigts elle le regarda et dit :
-Tu n’as pas l’air en forme ! Je ne t’ai pas excité ?
-Tu sait, dit t’il à mon age c’est plus dur pour bander longtemps il va falloir que tu bosse ! Et d’abord lève toi !
Elle se releva et il lui saisit sa robe qu’il lui ôta, la mettant nue.
Son corps mince et musclé apparut révélant ses seins blancs tendus et sa toison noire, n’ayant jamais voulu se mettre nue au soleil.
-Depuis le temps que je te connais et que je voulais te voir comme cela !!!
Il lui saisit les seins et les tripota fébrilement. Il reprit la bouche de ma femme, qui s’ouvrit et y plongea sa langue. Il lui dit :
-Reste la bouche ouverte. Ce qu’elle fit. Et alors il lui crachat dedans a plusieurs reprises, elle ne bougeait pas gardant la bouche ouverte souillée des crachats du vieux.
J’étais abasourdis de voir ce qu’il faisait à Sylvie mais excité en même temps !
-Allez avale, dit t’il.
Elle s’exécuta avec un haut le cœur et avala tout, soumise devant moi a l’autorité de son amant.
-Ma queue maintenant !
Il avait pris un peu de vigueur, alors Sylvie s’agenouillât et reprenant le sexe de F encapuchonné elle le prit en bouche, aspirant cette petite queue qui sous l’action de sa langue que je connais si vive et de sa sucion appliquée, commença à grossir.

Il l’encourageait :
Vas y suce, ma salope suce le vieux connard que je suis pour toi.

Elle redoubla d’efforts bucaux et enfin la bite atteint une taille normale.
Il la prit entre ses doigts et commença à se branler dans la bouche de ma femme elle tendait la langue agaçant le méat ou une goutte de sperme perla quelle recueilli avec plaisir.
Il se branlait de plus en plus vite le gland a moitié dans la bouche ouverte langue tendue de Sylvie. Je le vis accélerer son mouvement, la tête penchée vers ma femme et il lui dit :
-Prend tout !
Et il déchargea en jets spasmodiques sur la langue tendue. Une fois tout déversé elle gardait toujours la bouche ouverte, le sperme visqueux du vieux la répulsait mais elle se sentait soumise, prête à tout.
-Garde mon jus, régale toi salope!
Elle ferma la bouche et je vis qu’elle avala tout le foutre.
Rouvrant la bouche vide devant l’autre elle lui montra qu’elle avait fait ce qu’il voulait.
-C’est bien, tu es la première qui avale sans raler !
Il remonta son slip et pantalon, elle toujours nue a genoux devant lui.
Il la fit relever en la prenant par les cheveux et il lui dit ,
-T’es ma salope maintenant je t’amènerai des copains si tu es sage.
Et sans attendre il partit.
Je sortis du grenier et pris Sylvie toujours nue, abasourdie dans mes bras pour la réconforter en la félicitant de son comportement. Elle ne dit rien et c’est bien après qu’elle m’a livré ses sentiments à ce moment la, après qu’il l’ai livrée à des copains pour le même exercice.
Ce qui fera un autre récit…..

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