Une femme outragée est capable de tout ... - histoire érotique

Promesse de vengeance.


Notre couple traversait une tempête, et tout était de ma faute, j’étais un imbécile, et même champion dans la catégorie. Imbécile d’abord parce que j’avais craqué pour une amie de ma femme avec qui j’avais couché, et champion des imbéciles parce que j’avais avoué ma faute. L’adultère est un pêché, un voluptueux pêché et je conservais en moi le sulfureux souvenir de mes étreintes avec Suzie, mais l’adultère, si elle est bien un pêché aux yeux du Ciel, n’est une faute aux yeux des humains que si elle est découverte. Et j’avais bien conscience que j’avais commis une erreur grossière et néfaste au moment même où je m’étais confessé à la seule personne qu’il ne fallait pas. Si j’ai un conseil à donner à toute personne mariée, c’est d’abord dans la mesure des faiblesses de la chair d’éviter de se mettre en mauvaise situation en ne consommant pas le fruit défendu, en esquivant les tentations, et ensuite, si malgré tout la tentation était trop forte, surtout de ne jamais avouer l’écart de conduite, même sous la torture, même pris en flagrant délit. Jamais au grand jamais il ne fallait avouer, une liaison qui semble juste un tout petit coup de canif dans le contrat de mariage se transforme en tempête, en cataclysme, et nul ne peut prédire les conséquences de cet aveu. De plus, quoiqu’on en dise le dicton, faute avouée est à demi pardonnée, jamais le fautif ne sera vraiment pardonné, jamais il ne sera absous, jamais plus il ne jouira de la confiance de son conjoint. Et j’avais avoué. J’avais déjà subi les premières colères, les premiers tumultes. Je savais par expérience que les femmes sont très rancunières et je m’attendais à manger encore beaucoup de pain noir même si la tempête semblait calmée. Je savais que la femme de ma vie me réservait un chien de sa chienne, et cela m’inquiétait beaucoup plus que sa colère. Elle se sentait bafouée, et allait se venger. Je ne savais pas encore comment elle allait consommer sa vengeance, et j’étais effrayé à l’idée qu’elle pouvait fort bien appliquer la loi du Talion, œil pour œil, coup pour coup, coït pour coït, amant pour maîtresse.
Ce dimanche s’annonçait néanmoins sous les meilleurs augures. Après le petit déjeuner, Maria proposa en toute simplicité de retourner au lit pour faire l'amour. Ma petite femme chérie se trouvait dans de très bonnes dispositions et entreprit de voluptueux préliminaires, multipliant les plaisirs que seule une amoureuse comme elle savait donner à un homme, prodiguant sans modération caresses manuelles et buccales, baisers fougueux et autres fellations. Après m'avoir fait lécher sa belle motte qu'elle m'avait carrément plaquée sur la bouche en venant s'asseoir à califourchon sur ma poitrine, Maria décida enfin de mettre un terme à ses exquises tortures. Elle descendit de ma poitrine à mon bas-ventre, guida mon membre raide à l'entrée de sa caverne trempée et le prit tout entier en elle.
J'adorais contempler ma femme quand elle faisait l'amour. Tout en elle et particulièrement l'expression de son visage trahissait une sensualité exacerbée pendant l'acte, puis la montée en puissance de son désir sexuel. J'adorais le contact de ses jambes et de ses cuisses, et sa peau était d'autant plus douce et lisse qu'elle s'était épilée le matin même. Elle soignait également sa toison pubienne, taillait ses poils très courts, et plus particulièrement autour des lèvres qu'elle dégageait complètement, ce qui avait pour premier effet de mettre en valeur ses parties plus intimes. En fait, rien qu'à voir son minou si soigné, on savait qu'on avait affaire à une femme qui attachait beaucoup d'importance aux choses du sexe et qui savait tirer profit du sien. Quelle que soit la position qu'elle prenait pour faire l'amour, Maria avait le don de savoir écarter les cuisses pour mieux s'offrir, et en me chevauchant, profitait des mouvements de son bassin pour frotter son clitoris contre moi et s'exciter encore d'avantage. Ma chérie aimait aussi se faire caresser les seins, particulièrement dans cette position où ils pendaient vers moi, donnait ses mamelons dressés à sucer et à mordiller, léchait mon visage, m'embrassait avec fougue.
Elle remarqua :
- Tes lèvres ont le goût de mon sexe.
- C'est un très bon goût.
- Et le sexe de Suzy n'était pas à ton goût, peut-être ?
- Je ne me rappelle pas trop bien, je ne l'ai pas léché beaucoup, tu sais.
- Tu parles, tu étais trop occupé à la baiser par tous les orifices.
- Tu exagères !
- Quand je pense que tu as fourré ta bite dans les trous puants de cette salope, ça me dégoutte de penser que tu ressortes ta queue poisseuse de sa chatte pour la mettre dans la mienne.
- Je me suis lavé depuis.
- Je t’en prie, en plus, ne fais pas le malin.
D'ordinaire, c'était plutôt moi qui aimais parler pendant l'amour, surtout de situations particulièrement scabreuses ou de mes phantasmes où ma femme prenait toujours le premier rôle. Mais depuis que je lui avais avoué mon aventure, à chaque fois que nous faisions l'amour, elle me pressait de questions, voulait tout savoir, tout juger, comment Suzy écartait les cuisses, comment elle suçait, comment elle jouissait, ce qu'elle aimait, ce qu'elle disait au lit. Elle exigeait des détails, des précisions, faisait des commentaires d'experte.
A chaque fois, elle ne pouvait s'empêcher de se comparer à ma maîtresse d'une nuit. A tout prix, il me fallait évaluer et noter leurs talents respectifs, leurs caractéristiques physiques. Une nouvelle fois, je lui répétais qu'elles étaient toutes deux désirables, mais qu’elle était et de loin la plus merveilleuses des amoureuses, que son con à elle était de loin le meilleur, le plus accueillant, serré et souple à la fois, doué d'une volonté propre. Et c'était vrai, sans aucun doute possible, le con de Maria était une voie royale et elle aimait se l'entendre dire. Par contre, elle ne supportait pas l'idée que Suzy pratiquait la sodomie, qu'elle aimait cette pénétration, et qu'elle m'avait demandé de la prendre par derrière plusieurs fois. J’avais eu le tort de lui avouer ce coup de canif pour moi sans conséquence et surtout sans lendemain, je me rendais compte maintenant à quel les femmes pouvaient être rancunières, je pressentais que cet écart ne resterait pas sans suite et je regrettais amèrement cet aveu en espérant que l’avenir ne ferait pas regretter encore plus d’avoir trop parlé.
Comme ma femme refusait obstinément toute pénétration annale, elle se ressentait un complexe d'infériorité sur ce point. Blessée dans son amour propre, elle rétorqua :
- Tu verras quand je me vengerais, mon amant ne viendra pas se plaindre de mes talents. Je vais tout faire pour qu'il n'ait pas besoin de me sodomiser pour prendre son pied, il n'y pensera même pas. Et quand il parlera de ta femme avec ses copains, il pourra se vanter d'avoir baisé une sacrée salope, crois-moi.
- Et qui va avoir ce bonheur ?
- Je ne sais pas encore ; en fait, je ne suis pas très exigeante, je veux juste qu'il soit jeune, assez bien bâti pour qu'il me plaise et surtout qu'il ait une grosse queue pour me rendre heureuse.
- Tu penses le trouver comment, cet étalon ?
- Il y a plein de possibilités pour une femme décidée à tromper son mari. Je peux aller en boîte de nuit, me faire draguer, et sortir pour trouver un endroit tranquille avec celui qui me fera la meilleure impression ; le mec sera tout content de se faire sucer dans un coin et moi je serais certaine de ne pas être déçue une fois au lit. Et tant pis si je dois faire plusieurs pipes dans la soirée. Quand j'aurais trouvé la bonne affaire, je finirai la nuit au lit avec celui que j'aurai choisi. Je peux aussi me faire draguer à la terrasse d'un bar ; le type comprendra vite qu'il peut tenter sa chance en me suivant aux toilettes et aura au moins droit à une bonne pipe aussi. S'il me convient, je le suivrais chez lui ou à l'hôtel et sinon, je continuerais à chercher.
- Et ça ne te gênerait pas de sucer plusieurs bites ?
- S'il le faut, je le ferais. Sucer n’est pas tromper, à ce qu’il parait. J'aurais plus d'expérience avec les hommes, voilà. Pour le moment, je n'ai sucé que ta queue, peut-être avec d'autres sexes découvrirais-je d'autres manières de me servir de ma bouche ou de ma langue pour faire jouir un mec.
- Un stage pratique de perfectionnement en fellation en quelque sorte.
- Tu te moques encore de moi.
- Et quand comptes-tu le faire ? Préviens-moi que je vois ça.
- Je sais que je dis des choses que je ne ferais peut être pas, mais ne sois pas si moqueur parce que je vais me faire sauter par un autre que toi. Tu seras bientôt cocu, ce sera ta punition.
- Tache de t'envoyer en l'air alors et de prendre ton pied.
- Mon propre mari qui me dit d’aller me faire foutre !
- Oui, va te faire foutre puisque tu en as envie.
- Tu as tout à fait raison. Quitte à me faire baiser, autant que ce soit vraiment à fond. Je sortirai le grand jeu. J'espère te raconter un de ces soirs que j'ai passé toute la journée à baiser avec un type et que je l’ai laissé sur les rotules. Épuisé, la bite en chou-fleur et les couilles sèches.
- Tu es folle ! Et si le mec est un salaud et qu'il invite plusieurs de ses copains à le rejoindre pour une tournante pendant que tu es au lit avec lui ? Tu seras à point pour te faire violer par plusieurs types qui te feront absolument tout ce qu'ils voudront. Et tu auras beau protester, tu seras bien obligée de te soumettre à toutes leurs envies comme une vraie esclave. Encore, s'ils se contentent de prouesses sexuelles, tu auras de la chance. Parce qu'en plus tu peux tomber sur des sadiques et te retrouver à l'hôpital.
- N'essaye pas de me faire peur, ma décision est prise. C'est vrai qu'il y a un risque, mais je serai prudente. Et il y a des milliers de femmes mariées qui trompent leur mari sans qu'elles prennent autre chose que ce qu'elles cherchent. Si tu t’inquiètes pour moi, tu peux me servir de chaperon.
- Pourquoi pas ! Je serais curieux de voir comment tu vas te débrouiller pour draguer.
- Alors c'est dit. Tu me serviras de nounou. Tu seras aux premières loges pour me voir faire ; si tu veux, je te présenterai à mon amant comme une sorte d’ami voyeur ; tu pourras tenir la chandelle pendant qu'il me baisera devant toi.
- Si tu le fais, je veux y assister pour tout voir. Mais je ne crois pas que tu le fasses.
- Sois plutôt certain du contraire !
Après, elle s'excita en me racontant toutes les prouesses qu'une femme mariée qui se transformait en salope intégrale pouvait faire avec un nouvel amant. Elle eut juste le temps de me demander de l'imaginer en jouissant avec une autre queue à la place de la mienne avant d'avoir un orgasme très fort qui déclencha le mien.
Nous dûmes nous lever très vite car nous devions préparer le repas de midi : nous avions un invité, Philippe, un ami de longue date, que nous avions perdu de vue. Je me mis à la cuisine, tandis que ma femme s'occupa des autres tâches ménagères. Quand elle revint à la cuisine, elle ne portait hormis ses espadrilles qu'un long maillot qui lui couvrait les fesses. Je m'aperçus très vite qu'elle ne portait rien d'autre et profitai pour caresser son cul et son entrejambe. Elle se dégagea en riant et déclara qu'elle devait s'habiller.
Je dis en plaisantant :
- Tu es très bien comme ça.
- Tu veux que je fasse bander ton copain Philippe ?
- Pourquoi pas ?
- Tu voudrais que je couche avec lui ?
- Pourquoi pas lui puisque tu tiens absolument à te faire sauter ?
- C’est vrai au fait, un de tes amis ferait bien l’affaire, et pourquoi je ne le ferais pas avec lui ?
- Si tu restes comme ça, c’est du tout cuit.
- Tu ne penses pas que je devrais mettre des bas noirs, mon porte-jarretelles, un soutien-gorge en dentelle noire et transparente avec le string assorti ?
- Ça, ce serait la tenue idéale, encore mieux que nue.
- Idiot, va !
Sur le moment, pauvre de moi, je ne cherchais qu’à provoquer ma tendre et fidèle épouse, l’idée qu’elle puisse passer à l’acte me paraissait tellement irréelle et improbable qu’elle me séduisait. Je dois même l’avouer, j’étais excité par cette image de ma femme se donnant à un autre, j’avais toujours eu le fantasme de la partager dans un trio avec un autre homme, c’était un fantasme, un délire que nous évoquions souvent en faisant l’amour. Quand elle revint, elle avait passé l'ensemble qu'elle venait de s'acheter : un chemisier très fin en soie couleur saumon avec des bretelles, sans manches, avec un décolleté plongeant, et une minijupe estivale en mousseline noire, fermée en portefeuille sur le devant avec en bas une échancrure qui dévoilait encore plus haut ses jolies cuisses. L'ensemble était très sexy, et mettait ses charmes en valeurs sans provocation de mauvais goût. Maria trouvait qu'elle en montrait trop, surtout ses seins qu'on discernait très nettement à cause des mamelons qui pointaient fièrement vers le haut au contact du tissu. Mais elle dut se rendre à l'évidence, le chemisier ne se portait que sans soutien-gorge. Malicieusement, je passais les mains sous sa jupe et commençai à descendre sa petite culotte en disant :
- Tu devrais l'enlever aussi, on voit la marque par derrière.
- Tu es fou, je ne peux pas me promener sans culotte.
- Pourquoi pas ?
- Et si ton ami s'en aperçoit ?
- Comment ferait-il pour s’en rendre compte ?
- Je ne sais pas moi, un faux mouvement en me baissant, un léger écart quand je suis assise, un rien suffirait pour que ton copain voit mon cul ou mon minou ; non, je la garde, même si elle ne cache presque rien, tu remarqueras qu'elle est transparente et qu'elle ne couvre qu'une toute petite partie de mes fesses.
- Dommage pour lui, je suis sur qu’il aimerait bien tout voir !
- Tu aimerais que je lui montre ma foufoune ?
- Tu es sûre de lui plaire.
- On dirait que tu cherches à me provoquer !
- Un peu oui, j’ai du mal à imaginer que tu puisses lui proposer de faire des galipettes.
- Tu sais, je le trouve pas mal, il pourrait faire l’affaire ou plutôt me faire mon affaire.
- Je peux lui demander les mensurations de son sexe si ça peut t’influencer.
- Ça, je peux très bien lui demander moi-même, pas besoin de toi pour ça.
- Je vois ça d’ici, entre deux plats : tu veux encore de la salade …. Et à propos, tu as une grosse queue, c’est facile à amener dans une conversation mondaine.
- Je suis parfaitement capable de parler de choses très grivoises à table, tu devrais le savoir, et tu devrais aussi savoir que si je bois un peu, je peux être moins sage que d’habitude.
- Moins sage jusqu’à quel point ?
- Jusqu’au point de coucher avec lui tout à l’heure !
- Chiche !
- Tu aimerais que Philippe devienne mon amant ?
- Pas ton amant, mais il pourrait te sauter cet après-midi par exemple.
- Et tu ne te fâcherais pas si ça arrivait ?
- Je te promets que non.
- Tu veux vraiment qu’il me prenne ?
- Je serais curieux de voir ça, oui. Au lieu d’aller te faire foutre Dieu sait où, tu te ferais foutre à domicile.
- Ce serait plutôt moi qui serais curieuse de voir la tête que tu ferais si je me tapais ton copain devant toi.
- Fais-le, tu verras bien.
- Et moi je te regarderais bien droit dans les yeux au moment où il éjaculera au fond de ma chatte.
- Ne le fais pas juste par défi, tache d’y trouver ton plaisir toi aussi.
- Si tu continues, tu ne vas tarder à me regarder jouir avec un autre sous tes yeux.
- Alors là, je vais bander comme jamais.
- Si tu es trop excité de voir ta femme baiser avec un autre homme, tu pourras toujours te masturber en regardant si tu veux.
- Ça, je sais que ça t’exciterais, tu m’as déjà dit que tu aimerais que je me branle pendant qu’un autre te baise.
- C’est vrai, c’est un de mes fantasmes, tu vas te masturber alors ?
- Je te promets d’essayer de le faire pour te faire plaisir et de décharger sur ton visage et sur ton amant mais après, j’attendrai que tu ais fini de faire l’amour avec Philippe pour te prendre après lui.
- Je te préviens, si je couche avec Philippe, je risque de baiser sans capote.
- Je ne suis pas trop chaud pour que tu le fasses. C’est vrai qu’on le connaît comme ami, mais d’abord, on ne sait pas où il trempe sa queue, et ensuite, tu oublies que tu viens d’arrêter de prendre plus la pilule.
- Je lui demanderais s’il est sain, et j’aurais encore plus l’impression de te faire cocu si je reçois le sperme dans ma chatte en pouvant tomber enceinte, tu te rends compte, il me baiserait comme toi, sans filet.
- Il te répondra qu’il n’y a pas de problème et que tu peux lui faire confiance. Lui, il ne demandera que ça, te baiser sans capote, pour lui, vider ses couilles dans une chatte de femme mariée, c’est zéro risque et plaisir maximum, mais toi, tu veux courir le risque ?
- Avec un inconnu, je ne le prendrais pas, je ne suis pas folle, je lui ferais mettre une capote, mais avec un ami, je ne sais pas, sans doute je lui demanderais d’utiliser un préservatif mais si j’ai trop envie, je ne sais pas, je me laisserais peut être baiser sans protection.
- Et bien, tu aimes vraiment le foutre.
- J’adorerais recevoir le sperme de Philippe dans ma chatte en même temps que le tien sur mon visage. Après, même si je suis fatiguée, je te promets que tu pourras me baiser aussi. Tu sentiras mieux que tu es cocu quand tu mettras ton sexe dans le mien, bien lubrifié avec le sperme d’un autre. Son foutre comme tu dis.
- Alors c’est dit, tu baises avec Philippe cet après midi.
- Tu ne m’en crois pas capable, hein ? Je ne sais pas si je serais capable de coucher avec Philippe cet après midi, l’idée est bonne mais c’est pas évident pour moi, je suis plutôt pudique et je n’ai pas l’habitude de m’exhiber. Ce ne sera pas facile de coucher avec un inconnu. Mais je te ferais cocu, je te le promets.
- Préviens-moi quand tu le feras, si tu le fais un jour.
- Tu trouves l’idée amusante parce que tu crois que je n’oserais pas demander à Philippe ou à un autre de me faire l’amour. Mais tu riras bien moins quand tu seras devant le fait accompli.
Nous continuâmes nos préparatifs jusqu'à l'arrivée de notre invité. Après nos retrouvailles chaleureuses, nous prîmes tous les trois un apéritif ou plutôt plusieurs, et bien tassés. C'était bien parti pour faire la fête. Puis nous passâmes à table.

Le déjeuner fut très agréable, et on peut dire très animé. Les différents plats de poisson que nous avions préparés et servis eurent un succès mérité, mais c'était surtout la quantité d'alcool que nous avions absorbée qui commençait à produire son effet et à chauffer les esprits. A la fin du repas, l'ambiance était chaude et grivoise : nous n'arrêtions pas de rire tous les trois grassement en écoutant et en racontant des histoires particulièrement cochonnes, et les commentaires et plaisanteries qui les suivaient n'étaient pas moins salaces.
Quoiqu'il en soit, les sujets de conversation restaient en dessous de la ceinture. Maria était parfaite dans son rôle de représentante du sexe faible et s'enflammait en défendant la cause des femmes :
- Vous les hommes, vous êtes tous des cochons, des obsédés sexuels !
- Pourquoi… ?
Fit Philippe
- … les femmes n'aiment pas le sexe, peut-être ? Vous êtes plus hypocrites, et même plus vicieuses que nous dans le fond car vous savez nous manipuler et vous servir de votre cul pour arriver à vos fins.
- A qui penses-tu ? A la petite secrétaire qui fait des pipes ou qui se fait sauter par son chef pour son avancement ? C'est dépassé tout ça.
- Au contraire, c’est toujours d’actualité. Je connais une femme qui a fait bien pire, j’ai promis à son mari et je ne peux pas vous raconter ce qu’elle a fait mais vous pouvez me croire sur parole. Et je croise tous les jours des maris cocus, et des femmes mariées bien sous tous rapports qui sont de véritables salopes. Tu vois que le sexe est important pour les femmes aussi.
- Je n'ai jamais dit le contraire. Je dis juste que les femmes sont en général plus fidèles que les hommes et qu'elles ne vont pas chercher à se taper tous les mecs qui passent à leur portée.
- Parce que vous n'osez pas.
- C'est plutôt parce que vous ne pouvez pas regarder une femme sans avoir envie de la sauter.
- Avoue que les femmes ne s'en plaignent pas toujours. Et c'est aussi ce que font certaines femmes.
- Mais pas la grande majorité. Vous conviendrez qu'il y a beaucoup plus de femmes trompées que de maris.
- C'est possible mais ce n’est pas sûr. Et encore, seulement sur le nombre d’aventures. Statistiquement, une grande majorité de femmes mariés ont trompé leur mari au moins une fois.
- Pas moi, pas encore, j’ai été fidèle jusqu’à aujourd’hui, mais j’ai la ferme intention de tromper mon mari, Bernard sait pourquoi.
- Ne le dis pas, fais-le.
- Sois tranquille, d’ici peu mon mari aura une belle paire de cornes.
- Vous savez ce qu’on dit à propos des cornes de cocu ?
- Non, dis voir.
- La longueur des cornes des maris est proportionnelle aux sexes des amants de leurs femmes.
- S’il y en a plusieurs, ça s’additionne ?
- C’est ça.
- Et si je couche plusieurs fois avec le même ?
- Les cornes ne s’allongent pas, elles se renforcent.
- On verra pour la longueur mais celles de mon mari seront bien épaisses.
- Je t’en prie, Maria, ça devient scabreux.
- Tous les hommes mariés sont toujours prêts à baiser n'importe quelle salope.
- C'est certainement qu'elles font des choses que les femmes soi-disant sérieuses n'osent pas, des petites gâteries.
- Tu peux demander à ton copain, moi, je ne suis pas avare de petites gâteries, et pourtant il est allé voir ailleurs.
Je tentai de me défendre :
- Tu n'étais pas là, et...
- Ce n'est pas une excuse. D'ailleurs, il ne peut pas y avoir d'excuse. Il n’y a que les faits qui comptent, les faits passés et à venir. Tu m’as trompée, je vais te tromper, j’applique la loi du Talion. Crois-moi, je ne vais pas être en reste. Mon but, ce n’est pas de me faire sauter seulement par vengeance pour aller tout raconter à mon mari ; si je me tape un autre mec, je veux prendre mon pied et m’envoyer en l’air, je veux que mon mari lise dans mes yeux à quel point j’ai aimé la queue de mon amant, je veux qu’il soit jaloux du plaisir que j’ai pris avec un autre.
Philippe intercéda :
- Tu veux vraiment tromper ton mari ?
- Plutôt deux fois qu’une, lui il m’a bien trompée, mon époux est allé se taper une de mes amies, qui n’en est plus une d’ailleurs ? Et oui mon cher, je suis cocue, ça te choque que je lui rende la pareille ?
- Bien au contraire, vu que je ne suis pas ton mari, je n’ai aucune objection à formuler, tu feras un bienheureux.
- Encore plus que tu ne crois, mon futur chéri ne va pas être mécontent de m’avoir connue. Il verra ce que c’est, un bon coup !
- Ça promet !
- Si mon mari aime les salopes, il va être servi, je vais lui prouver que je suis capable de devenir une salope intégrale où je veux et quand je veux.
- La question est de savoir avec qui ?
- Je ne sais pas encore, je ne crois pas que ce soit un problème de trouver quelqu’un qui veuille bien me sauter.
- Je veux bien me dévouer si tu veux. C’est où tu veux quand tu veux.
- Pourquoi pas, après tout, je pourrais coucher avec toi, je te trouve plutôt mignon.
- Je n’en crois pas mes oreilles. Dis-lui carrément de te sauter, prends rendez-vous tant que tu y es !
- Je ne sais pas ce qui me retient de le faire.
- Tu es folle !
- Je t’ai dis que je te ferais cocu dès que l’occasion se présentera. Alors pourquoi pas avec ton ami ? Ça me plairait bien d’aller avec lui, je suis sure qu’il me ferait ça très bien.
- Tu blagues, ou tu es sérieuse ?
- Pourquoi chercher plus loin ce que j’ai à disposition ? Dis-moi, Philippe, si je te le demande gentiment, tu me rendrais ce petit service ?
- C’est sérieux ? Si je comprends bien Maria, tu me demandes …
- Tu as bien compris, je te demande si tu as envie de me sauter. Ou encore de tirer un coup avec moi, d’explorer ma grotte, de me fourrer la chatte, de gaver mon minou. Si tu n’as pas envie, n’en parlons plus, sinon, on pourrait passer quelques heures ensemble et faire l’amour.
- Excuse-moi Bernard, mais si ta femme me le demande, je lui fais l’amour sur le champ. Et j’y mettrais tout mon cœur.
- Je n’en crois pas mes oreilles, tu viens de lui demander s’il avait envie de te sauter, tu es malade ou quoi.
- Ah ! Je suis contente, tu es en colère, tu ne fais plus le bouffon. Je crois que tu es jaloux avant même que je te fasse cocu.
- Ne vous disputez pas.
- Laisse au contraire, ça prouve qu’il tient à moi, il est jaloux parce qu’il vient de prendre conscience que je pourrais coucher avec toi.
- Maintenant ?
- Merci, mais je n’ai pas dit non plus que je le ferais tout de suite, ne sois pas si pressé, il faut que ça mûrisse dans ma petite tête. C’est juste pour que mon mari ne s’étonne pas de se retrouver avec des cornes.
- Bon, j’attendrai que tu te décides. Pour le moment, explique-moi plutôt ce que tu entendais tout à l’heure par petites gâteries ?
- Que veux-tu m'entendre dire, que je fais volontiers des pipes ?
- Sois plus claire.
- Plus claire ou plus obscène ? Alors en parlant comme un obsédé comme toi, j'avoue que je suce la bite de mon mec et que je ne me fais pas prier pour avaler son jus quand je le fais jouir avec ma bouche. J’aime la queue, je ne le crie pas sur les toits mais je n'en ai pas honte, au contraire, même si les femmes ne sont pas aussi vantardes que les hommes. On dit que ce sont celles qui en parlent le plus qui en font le moins, et moi, il y a des choses que je préfère faire que raconter.
- Bravo, un point pour toi. Et quoi d'autre encore ?
- Comment ça, quoi d'autre ?
- Tu veux me donner d'autres détails croustillants sur tes goûts sexuels ?
- Bon, je crois qu'il en sait assez sur ta vie sexuelle, non ?
- Laisse, ça m'amuse. Je vais lui dire encore un truc, je suis une vraie vaginale, j'aime me faire baiser par une grosse bite qui me remplit bien, et quand je jouis, j'aime être prise très fort et très profond. Et en plus quand j'ai fini, j'aime me sentir pleine de foutre jusqu'aux yeux. Ça te suffit ?
- Et par derrière, tu le fais aussi ?
- Tu veux vraiment tout savoir, toi, c’est plutôt indiscret comme question.
- Oh ! C’était juste pour savoir.
- Puisque j’en suis à ce genre de confidences, je vais te le dire, je suis encore vierge de ce coté. Mais dans le feu de l’action je ne m’interdis pas d’essayer.
- Tu as l’intention de te faire sodomiser par quelqu’un d’autre que ton mari ?
- Tant qu’à faire, j’aurai la totale.
- Dans ce cas, il vaut mieux que tu cherches un amant avec une petite bite.
- Ça non, j’en veux une grosse, sûrement pas une petite.
- Tu n’as pas peur d’avoir mal ?
- Je demanderai à mon amant de me pénétrer tout doucement de ce coté, je ne crois pas que ce soit un problème. Philippe, toi par exemple, tu ne ferais pas un petit effort de douceur ?
- Je te le promets, je serai doux comme un ange.
- Tu vois, il suffit de demander. Et puisqu’on en est au stade des confidences, dis-moi si la nature t’a bien doté.
- Je n’en crois pas mes oreilles, tu veux savoir s’il a une grosse queue ?
- Bien sur, je préfère un amant bien monté, tu sais bien qu’il faut me travailler bien au fond pour me faire jouir. Alors, Philippe, tu me racontes ?
- Je peux te dire que jusqu’à présent, personne ne s’est plaint de mes mensurations.
- Tant mieux, je te crois.
- Ça commence à me plaire tout ça.
- Tu pourrais être mon premier amant. Après l’amour, on pourrait se retrouver tous les trois comme maintenant, et tu raconteras à mon mari ce que tu as fait avec sa petite femme. Tu le ferais ?
- Ce ne sera pas très sympa pour ton mari, mais s’il faut le faire pour devenir ton amant, je le promets. Quelle femelle, tu me fais baver d'envie. C'est plutôt excitant de t'imaginer au pieu. Je fantasme déjà de jouer à la bête à deux dos avec toi quand tu seras décidée.
- Dis-lui que tu aimerais aller au pieu avec elle tant que tu y es !
- Sans vouloir te vexer, ta femme m’excite et après tout ce qu’elle a raconté, j’aimerais bien passer un petit moment intime avec elle si tu vois ce que je veux dire.
- Tu me dis gentiment que tu te taperais volontiers ma femme, c’est bien ça ? Tu y vas fort, non ? Tu oublies sans doute qu’elle est mariée et que je suis le mari.
- Ce sera peut être pour une autre fois, pour le moment je ne me suis pas encore décidée à tromper Bernard, même avec toi. … Je ne devrais pas te le dire, mais c’est peut-être toi que je choisirais, sois patient, mon petit mari ne va pas tarder avoir ses premières cornes. Pour le moment, c’est lui qui me baise, bientôt qui sait, tu me baiseras peut être toi aussi. Je suis folle de raconter des choses si intimes devant toi.
- Plus tu parles, plus tu nous excites !
- Lui tu l’excites, moi tu m’énerves. Ma fille, il vaut mieux que tu ne boives pas si c’est pour dire des conneries pareilles.
- C’est vrai que j’ai trop bu, je suis saoule. Si j’étais dans mon état normal, je ne dirais pas que j’aimerais qu’il ait une belle queue et qu’il sache s’en servir, je ne dirais pas non plus que j’ai de plus en plus envie de m’envoyer en l’air avec lui.
- Je n’en reviens pas que tu puisses dire ça.
- Ben tu vois, je l’ai dit. Bon, on arrête maintenant. Ça va trop loin. En guise de gâteries, vous allez vous contenter de friandises et d’un bon café pour le moment.
J’avais relevé l’embarras de Maria. J’étais moi-même choqué que mon ami puisse dire si ouvertement à ma femme qu’il aimerait la sauter, même si c’était sur le ton de la plaisanterie. Elle lui avait répondu en le regardant dans les yeux, visiblement plus troublée qu’elle ne voulait le montrer par les avances sans équivoque de Philippe. Le pire, c’est qu’elle ne les avait pas repoussées, bien au contraire, et ça, ça me chiffonnait car je savais que lui comme n’importe quel homme serait tenté de profiter de la situation. Elle se leva de table, et nous la suivîmes jusqu'au coin salon. Philippe et moi prîmes place sur le grand divan, et Maria s'installa en face de nous sur l'autre canapé. Nous bûmes également un digestif, et ma femme, contrairement à son habitude se servit une liqueur. Je pensais en mon for intérieur qu'elle risquait d'être complètement saoule.
Elle regagna sa place et se laissa glisser en arrière sur le dossier du canapé. En la regardant s'asseoir, je m'aperçus que la minijupe était remontée plus haut que la normale. Maria soupirait, engourdie par l'alcool. Elle s'abandonnait, ma petite femme, relâchait ses muscles, et petit à petit laissait s'ouvrir le compas de ses jambes. Quand les genoux ronds et dorés s’écartèrent, mon regard remonta le long des belles cuisses pour s'arrêter sur la petite culotte de dentelle blanche largement exposée. Je distinguai sans peine l'ombre sombre de sa toison de brune qui ressortait sous le tissu transparent. Je la trouvais particulièrement belle et attirante et je n'étais pas le seul. Philippe, aux premières loges, reluquait sans vergogne l'entrecuisse de ma femme. Je sentais que la vue à peine voilée du minou conjugal attisait encore plus son phantasme.
Après un long moment, celle-ci soupira très fort en baillant et dit en se redressant :
- Pourquoi me regardez-vous comme ça ? J’ai quelque chose de bizarre ?
- Non, non, rien de particulier.
- Je suis saoule, vous savez !
- Moi aussi j’ai trop mangé et trop bu.
- Il faut que je bouge sinon je vais m'endormir. Je vais mettre de la musique pour danser, vous voulez ?
Sans attendre de réponse, elle recula la petite table du salon et mit un disque sur la chaîne. Elle nous força à nous lever pour danser avec elle sur une musique entraînante. C'est ce que nous fîmes le temps de ce premier disque. Maria bougeait beaucoup et il était facile de constater qu'aucun soutien-gorge n'entravait la liberté de mouvement de ses jolis petits seins sous le chemisier de soie. A la fin du disque, elle dit qu'elle avait soif tout comme Philippe et moi d'ailleurs et me demanda de nous servir un grand verre de jus de fruit. J'allai jusqu'au réfrigérateur pour constater qu'il n'en restait plus et je décidai alors d'aller en chercher à la cave. Maria avait mis un nouveau disque, de slows cette fois, et elle se colla lascivement contre lui pour danser. Trop lascivement à mon goût, Maria était plaquée corps à corps, et je ne pouvais m’empêcher de penser que quelques fines épaisseurs de tissu n’étaient pas un grand rempart pour ma petite chérie. Pensées que je rejettais tandis que je quittai la pièce.
En remontant avec mes bouteilles, je croisai un des voisins du dessus, celui du quatrième étage, qui m'entretint un long moment d'un problème de copropriété. Après moult tergiversations, je lui demandai de monter avec moi pour lui montrer un plan de répartition des lots et des millièmes. Je le laissai passer dans le salon avant moi pendant que je cherchais ce fameux document, et ce n’est qu’en revenant vers la pièce principale que je me rendis compte qu’il se passait quelque chose d’anormal, le voisin était tombé à l’arrêt à l’entrée de la pièce, quelques pas plus tard je restai bouche bée devant ce qui m'attendait.
Maria et Philippe étaient toujours enlacés, mais plutôt comme on ne pourrait le faire que dans les recoins les plus sombres des boites branchées : en fait Maria était appuyée sur le dossier du canapé, les jambes autour de celles de son cavalier qui s’agitait entre ses cuisses relevées et largement écartées ; elle s'agrippait à lui en se retenant à son cou et la main sur sa nuque, embrassait mon ami ; elle ne se contentait pas de lui offrir ses lèvres mais répondait avec fougue aux baisers torrides de Philippe ; leurs langues tournaient l'une sur l'autre et pénétraient tour à tour dans leurs bouches. Voilà pourquoi ils ne parlaient pas, mais gémissaient et poussaient de petits cris tout en s'activant avec fébrilité. La main gauche de mon ami malaxait un sein mis à nu par le chemisier ouvert ; quant à la droite, elle était passé sous l'arrière de la jupe et empoignait le cul dénudé sous la jupe.
A l'évidence, Maria avait décidé de passer à l’acte avec Philippe. Slip et pantalon sur les chevilles, il l’avait pénétrée et la besognait à petits coups de reins. La situation ne manquait pas de comique et le spectacle cocasse, deux spectateurs aussi abasourdis qu’immobiles et deux acteurs dont le brave travailleur, slip et pantalon sur les chevilles, qu’on voyait de dos, surtout ses fesses blanches qui se convulsaient en ponctuant les va-et-vient de son membre. Ma petite chérie s’efforçait de s’accrocher à son cou, écartelée à souhait. Les jambes en l’air, les fesses à peine posées sur le rebord du canapé, elle essayait de lui faciliter la tâche mais manquait de se casser la figure à chaque coup de boutoir. Malgré tout, elle vibrait de plaisir et accompagnait le mouvement de petits coups de reins. À plusieurs reprises, la verge était éjectée de son fourreau, et c’était Madame qui s’empressait de la remettre en place. C’était très drôle, sans doute irrésistible pour tout autre spectateur, mais j’étais le mari de celle qui se faisait sauter sous nos yeux : ces mots illustraient avec force les images, ma femme chérie était en train de se faire sauter. Elle était visiblement gênée et frustrée par cette position inconfortable. Lui par contre jubilait :
- Tu ne peux pas savoir comment j’aime fourrer ta chatte !
- Je suis folle de me laisser faire, je suis mariée.
- Et alors, tu veux faire cocu ton mari non ?
- Oui, c’est vrai, mais je ne sais plus où j’en suis.
- Laisse toi faire, tu en meurs d’envie.
- Je suis saoule, tu me rends folle et tu en profites.
- Tu es très mignonne.
- Plutôt conne, c’est sûr. Attends, Philippe, on n’est pas bien là, je préfère que tu me prennes sur le divan.
- Comme tu veux ma jolie, debout, couchée, demande et je te baise dans toutes les positions que tu veux. Tiens-toi bien, je vais essayer de t’emmener comme ça.
- Je m’agrippe, ne t’inquiète pas, je ne risque pas de glisser empalée comme je suis.
- Je n’ai pas envie de sortir ma queue, elle est trop bien où elle est.
- Alors ne la sors pas, emmène-moi et couche-moi sur le canapé.
Philippe ne se fit pas prier. Ma femme chérie empalée sur son sexe et agrippée à lui par les jambes et par les bras, mon bon copain la porta sur le canapé. Ma douce et tendre se laissa tomber sur le dos cuisses relevées dans cette position qu’elle affectionnait particulièrement, son amant déjà sur elle. Il ressortit son sexe du fourreau de ma princesse, corrigea sa position entre les cuisses ouvertes, puis la pénétra d’un coup. Tout cela se passait sous mes yeux et ceux de notre voisin ; depuis tout ce temps nous n’avions toujours pas bougé d’un millimètre, comme si nous avions peur de déranger ; nous assistions à la copulation adultère depuis de longues minutes mais mon voisin voulait sans doute en voir plus. En vérité, je ne sais pas ce qu’il aurait pu voir de plus, la cochonne avait relevé ses cuisses et ses fesses, elle nous offrait sa fente ouverte de l’anus au pubis. Un spectacle scabreux et inespéré, pensez donc, voir sa voisine se faire tringler par son amant, qui plus est en compagnie de son cocu de mari ! Moi je ne savais plus où j’en étais, j’étais paralysé.
Qu’est ce qu’il lui mettait, il la chevauchait sans ménagement, avec violence, jusqu’aux couilles, nous pouvions entendre leurs chairs s’entrechoquer. Un étranger pouvait trouver l’homme brutal, l’étreinte trop violente, moi je savais combien ma chérie aimait être prise de cette façon, et son amant avait compris qu’elle ne demandait que ça. Tandis qu’elle était si copieusement ramonée, ma femme roucoulait :
- C’est ma position favorite, sur le dos les cuisses relevées, c’est trop bon, bien au fond.
- À la missionnaire, comme papa !
- Pour moi, ce serait plutôt à la hussarde.
- Et c’est quoi la différence ?
- La vigueur, j’aime être prise bien fort et bien profond, je me régale.
- Moi aussi je me régale, je n’en reviens pas que tu aies un petit con si serré.
- Je ne suis pas si serrée, il n’y a pas de raison, mon mari me baise régulièrement, et il a aussi une belle queue.
- Peut-être, mais tu es serrée comme une jeunette, j’ai l’impression de dépuceler une petite cochonne.
- Je pensais que toutes les femmes avaient le même sexe, que toutes les femmes étaient pareilles.
- Détrompe toi, les femmes de ton âge ont un vagin bien plus large, d’autres sont plus sèches.
- Moi j’ai toujours mouillé abondamment. Peut-être que je suis restée étroite parce que je n’ai jamais eu d’enfant.
- Tu sais, on s’en fout du pourquoi, ce qui est sur, c’est que tu es bien serrée, tu es souple et tu mouilles, ton con est un must, un régal à baiser.
- Ça te plait alors ?
- Tu parles, tu as le meilleur con de la ville, tu vas voir comment je vais te le baiser.
- Tu ne mets pas de préservatif ?
- Ça m’excite de te baiser sans capote.
- Ce n’est pas bien, je suis mariée.
- Justement, pouvoir jouir dans ta petite chatte de femme mariée, c’est ça qui est bon, ça ne te plait pas ?
- Si, au contraire j’adore, mais qu’est ce que je vais dire à mon mari après ?
- Rien, même s’il est cocu, tu n’es pas obligée de tout lui dire, ce sera notre petit secret.
- Il va s’en apercevoir, c’est obligé.
- Mais non, tu te laves, tu remets ta culotte et ni vu ni connu, ton minou sera propre comme un sou neuf et ton mari n’y verra que du feu. Tout le monde sait qu’un cocu est toujours le dernier à savoir ce que fait sa femme.
- C’est toi qui le dis !
- Je te rappelle que j’ai déjà déchargé dans ta chatte, et tu n’as pas protesté.
- Non, c’est vrai, mais tu m’avais prise à l’improviste. Et tu ne m’as pas laissé le temps de réagir que tu avais déjà joui en moi.
- Qu’est ce que tu veux, je n’en pouvais plus, j’attendais ça depuis tellement longtemps.
- Je t’en ai voulu sur le coup, surtout parce que j’ai cru que tu allais me planter là comme une conne après m’avoir sautée.
- J’ai juste vidé un peu mes couilles, mais je t’ai réservé d’autres cartouches.
- C’est vrai, tu n’as pas débandé.
- Et maintenant je vais te baiser à fond.
- C’est incroyable, tout a été si vite, tu m’as mis le grappin dessus sitôt que mon mari a tourné le dos, tu m’as sautée et maintenant tu recommences. C’est moche de faire ça à mon mari mais le plus beau, c’est que j’adore ça.
- Tu es chaude ma salope
- C’est toi le salaud de profiter de moi comme ça. Je t’en prie, fais moi jouir avant que mon mari ne revienne
- Alors, tu l’aimes, ma bite ?
- Je l’adore, elle est grosse et dure comme j’aime, ça me fait du bien de la sentir au fond.
- Tu n’as pas menti, tu aimes vraiment la queue, on dirait. J’aurais bien voulu que tu me montres comment tu suces.
- Je te promets, je te ferais une bonne pipe à la première occasion, maintenant que tu fais de moi ce que tu veux, tu trouveras bien un moyen de me coincer quelque part pour te faire sucer. Là on n’a pas trop le temps. Maintenant fais moi l’amour, baise-moi.
- Dommage, je suis sur que tu es une gourmande. J’ai bien noté ta proposition, compte sur moi pour te rappeler ta promesse. Mais t’inquiète, je vais te la baiser, ta belle chatte.
- Je n’en peux plus.
- Moi non plus, à ce train là, je ne vais pas résister longtemps, je vais encore décharger.
- Décharge tant que tu veux, mais ne t’arrête pas, baise moi fort
- Tu en veux, toi !
- Oui, j’en veux, je veux tout, baise-moi, remplis moi !
Philippe changea un peu de posture, il releva les cuisses plus haut, prit de nouveaux appuis et pilonna avec encore plus de force le vagin matrimonial. Difficile de dire depuis combien de temps nous étions là, mon voisin et moi, à mater ma femme et son amant, plusieurs longues minutes sans bouger, moi, j’étais éberlué et tétanisé par la scène et surtout par l’attitude de mon épouse, le voisin ravi n’osait bouger un cil de peur de nous faire découvrir tandis qu’elle suppliait :
- Ne t’arrête pas, continue, je vais jouir.
- Ça y est, je viens.
La libertine eut un orgasme démonstratif avec force gémissements et contorsions tandis que son amant continuait à pilonner son ventre. Elle cria presque :
- Régale-toi mon chéri, vas-y, lâche-toi, viens dans mon ventre.
- Je vais tout te mettre au fond ma salope.
- Vas-y envoie tout, je suis à toi.
Philippe ne se le fit pas dire deux fois. Il donna de grands coups en lâchant sa semence tandis que sa partenaire se tordait de plaisir. Puis la bête à deux dos s’écroula, déconnectée du monde pendant quelques longues secondes. Après ce moment, l’amant levait les yeux sur les spectateurs et me regardait, au comble de la surprise. Comme il semblait tétanisé, ma femme, allongée et écartelée, protesta :
- Qu’est ce qui t’arrive ? Tu es bloqué ?
- Non, c’est ton mari !
- Qu’est ce que tu lui veux à mon cher mari maintenant que tu m’as baisée ?
- Il est là.
- Quoi ?
Elle se déplaça pour pouvoir tourner la tête dans notre direction, porta son regard sur notre voisin puis sur moi, puis passa son regard incrédule de l’un à l’autre. Le temps sembla se figer pendant une éternité, puis sa réaction fut fulgurante. Son amant se retrouva en un clin d’oeil en érection hors du fourreau si accueillant. Maria bondit alors hors du canapé tandis que Philippe essayait de remonter son pantalon en toute hâte. J'étais abasourdi : elle était décoiffée, complètement dépoitraillée, sans culotte, la jupe ouverte jusqu'à la ceinture sur sa chatte, et maculée de sperme ; en plus du rouge à lèvres qui lui barbouillait tout le bas du visage, ses lèvres, son menton étaient rougis par la frénésie de ses baisers et surtout son regard hagard la trahissait ; elle ne pouvait nier son trouble, et moi qui la connaissais si bien, j'y lisais le plaisir qu’elle venait de prendre. Maria se saisit de sa petite culotte, arrangea un peu son chemisier et quitta la pièce. En passant, elle agita sa petite culotte et jeta au voisin :
- Alors, ça vous a plu ? Pardon mais je dois y aller.
- Excusez moi, je ne voulais pas déranger.
- Laissez moi passer s’il vous plait, je dois aller laver mon minou maintenant.
- Pardon, oui bien sur, allez-y.
En passant, elle m’assena deux syllabes cinglantes au creux de l’oreille :
- Cocu !

Le voisin formula une vague politesse avant de retourner sur ses pas, il avait un sourire de contentement qui en disait long, bigre, ce n’est pas tous les jours qu’on voit une femme se faire baiser de la sorte. J’entendis la porte d’entrée se refermer doucement, comme à regret, comme s’il avait envie de connaître la suite.